La France, notre colonisateur, nous a souvent inspiré dans notre jeune histoire. Sa République, ses valeurs républicaines, sa Constitution, ses institutions, son mode d’organisation étatique et quelques fois sa culture et son mode de vie. En matière de gouvernance également elle a pu nous orienter.
Aujourd’hui plus qu’hier, au moment où elle a sauvé notre pays d’un désastre, la France peut nous servir de modèle, notamment dans un domaine prégnant pour le Mali, celui de la bonne gouvernance et de la transparence. Bousculé par ce qu’on appelle «l’affaire Cahuzac», le pouvoir français s’apprête à prendre des mesures importantes en matière de transparence, avec notamment la systématisation de la déclaration du patrimoine des membres du Gouvernement. Ces exigences décidées là-bas devraient être élémentaires chez nous. Car plus qu’ailleurs, la transparence est une nécessité dans notre pays. Un pays où le leadership est devenu source d’enrichissement, où la responsabilité est considérée comme une permission de voler, détourner, profiter du bien public et en faire profiter le maximum de ses proches ! Nous devons rectifier le tir, nous inspirer de ce qui a été fait ailleurs et nous battre pour que nos leaders s’engagent enfin sur le chemin de la vertu, la vraie vertu, celle qui est mesurable et vérifiable. Quoi de mieux que d’obtenir d’eux, au moment où ils aspirent aux responsabilités, de prendre des engagements clairs et de poser des actes univoques vers la transparence ? C’est pourquoi, il est impérieux que chaque candidat aux prochaines élections présidentielles soit soumis à certaines exigences présentées dans les lignes qui suivent.
1. Nous éclairer sur son parcours
Les Maliens ont la mauvaise habitude de voter pour des personnes qu’ils ne connaissent pas ou en raison de critères subjectifs (parenté, présentation, …). Cela est entretenu par les candidats qui ne donnent que peu d’informations sur leurs parcours. Il est souhaitable qu’on sorte de cela en obtenant de chaque candidat la publication de son parcours, des actes posés par le passé dans les responsabilités, mais aussi et surtout avant qu’il n’exerce de responsabilité. Chaque détail de son parcours doit être su par les électeurs. Des résultats obtenus au fur et à mesure des responsabilités à ses mœurs et à sa morale en passant par son apport en tant qu’individu pour sa communauté, son voisinage, son village, sa commune …Les informations peuvent être fournies à travers la presse, les sites internet, les conférences de presse…Elles doivent être vérifiables et tout citoyen, toute organisation doit pouvoir les contrôler.
2. Publier son patrimoine, ce qu’il a gagné, ce qu’il gagne et les justifier
La publication du patrimoine et des revenus pendant toute la carrière et la justification détaillée de la manière dont le patrimoine a été constitué forme le cœur du dispositif vers une nouvelle exemplarité du leadership dans notre pays. Le patrimoine est l’illustration parfaite de l’enrichissement d’un responsable et donc le miroir de son honnêteté ou de sa malhonnêteté. Tout candidat doit le publier, mais également s’engager à collaborer avec la presse, les organes de contrôle, la société civile et les organisations internationales pour donner toutes les informations permettant de contrôler, de divulguer ou de contester la véracité des informations données. La publication du patrimoine ne doit pas attendre le début du mandat. Elle doit se faire au moment de l’acte de candidature pour qu’à moyen terme soit rejeté le dossier de tout candidat dont le patrimoine n’est pas justifiable. La publication du patrimoine doit être accompagnée par un acte solennel du déclarant qui accepte de se retirer de la course si jamais il était prouvé qu’il a menti sur son patrimoine ou sur ses revenus.
3. Publier les revenus et biens de ses proches
L’acte de déclaration du patrimoine et des revenus ne doit pas seulement porter sur la personne même du candidat, mais aussi et surtout sur ses proches (famille directe notamment les descendants) car ceux-ci, quelques fois, sont les bénéficiaires des détournements et autres comportements déviants. Chaque candidat doit déclarer la liste des personnes concernées et procéder à la déclaration sur leur patrimoine, leurs revenus afin de justifier qu’ils ne se sont pas enrichis de manière disproportionnée.
4. Publier tous les comptes de toutes ses campagnes
La manière de mener et surtout de financer la campagne conditionne pour une large part le style de gouvernance adoptée une fois le pouvoir acquis. En prenant de l’argent auprès de très gros contributeurs, on établit tacitement ou de manière expresse un pacte de corruption avec ces derniers. Ce qui nous liera pendant le mandat. Il faut œuvrer à avoir des leaders libres de leurs décisions pour atteindre des résultats. Il faut exiger de chacun, la publication de tous les comptes de campagnes précédentes en recettes et en dépenses, une indication précise des sources de financement de chacune et les explications détaillées de ces sources. Chaque candidat doit ensuite s’engager à collaborer dans le cadre d’éventuelles vérifications. Ces dernières, à conduire par les structures publiques ou privées porteront sur la réalité et la vraisemblance des comptes de campagnes eu égard avec les réalités de terrain et donc fixeront la validité des informations fournies et donc l’honnêteté du candidat.
5. Publier le budget de sa campagne 2013
La fourniture d’informations sur les campagnes passées sera complétée par la présentation publique des budgets de campagne au titre des élections avortées de 2012 et de cette année, avec une indication précise des origines des fonds. Ces informations doivent pouvoir être suivies sur le terrain avec une forte participation de la société civile pour justifier les ressources, leurs provenances et leur niveau de collecte ainsi que la réalité et l’effectivité des dépenses envisagées.
6. S’engager à ne pas acheter les électeurs
Dans un acte public, chaque candidat doit s’engager de manière irrévocable à ne pas recourir aux cadeaux (biens matériels, aliments, meubles…) et aux distributions d’argent destinés à acheter des voix. Il doit condamner par avance toute initiative de ce type par ses responsables de campagne conformément aux exigences de la loi électorale. Chaque candidat doit manifester clairement ses intentions à combattre ses pratiques, sanctionner ses collaborateurs qui y auraient recours et collaborer avec les autorités et toutes les autres forces qui les combattent.
7. Collaborer à la promotion de la transparence
La multiplication des exigences contraignantes pour les candidats n’aura aucun sens si elle n’était pas accompagnée par l’acceptation par les candidats eux-mêmes à œuvrer à la bonne exécution du processus de transparence et de bonne gouvernance. Nous devons exiger de chaque candidat un engagement solennel à demander aux organisations de la société civile, aux Organisations non gouvernementales (ONGs) nationales et internationales et à la communauté internationale à venir aider le Mali à organiser des élections propres où l’argent et la fraude ne feront pas la différence.
8. Demander et collaborer aux contrôles des informations données
Le contrôle et les vérifications constituent des phases majeures du dispositif des «dix commandements du leader honnête». La perspective de dispositif de contrôle efficace, exhaustif, objectif et dissuasif accroîtra la crédibilité des déclarations et autres actes posés. Nous devons aller dans ce sens. Il est de ce fait nécessaire que chaque candidat souscrive un engagement solennel visant à demander à l’Etat, exceptionnellement et à travers ses structures de contrôle et de vérification, à procéder aux vérifications des informations données pour en valider la réalité, la pertinence et la crédibilité. Pendant cette courte période, nous séparant des élections, les corps de contrôle doivent être mobilisés et engager leurs moyens et compétences pour mener à bien les contrôles appropriés et fournir les résultats aux autorités.
9. Proposer et soutenir un programme mesurable
Dans une démocratie organisée et crédible, le choix des électeurs se fait sur les idées et programmes des candidats ainsi que leur crédibilité à défendre ses propositions. Cela n’est pas encore le cas dans notre pays. Il nous faut marquer le coup de la rupture cette année en exigeant des aspirants un programme avec des objectifs chiffrés, sur lequel il s’engagera et demandera aux contrepouvoirs de le juger à l’aune des réalisations de ce programme. Nous devons exiger que les candidats dévoilent clairement leurs intentions, qu’ils sortent du bois, se «mouillent» sur des résultats à atteindre et surtout qu’ils se fixent des objectifs chiffrés, permettant aux populations, aux corps intermédiaires et aux contrepouvoirs d’évaluer l’efficacité du dirigeant et donc de pouvoir le juger ultérieurement.
10. Accepter de débattre et de confronter ses idées à celles des autres
Chaque candidat doit s’engager à accepter le principe de se rendre disponible pour les sollicitations de la presse, les débats contradictoires avec les autres candidats et de manière générale participer à toutes occasions de confrontation permettant d’éclairer la lanterne des électeurs sur son programme. Il doit soutenir les initiatives des Organisations non gouvernementales (ONGs) nationales et internationales, de la presse et de la société civile permettant aux citoyens de comparer, d’apprécier et d’analyser la capacité de conviction de chaque leader. Ces exercices crédibilisent le processus électoral et renforce l’ancrage de la démocratie dans notre pays en suscitant l’intérêt des citoyens pour la politique.
La société civile, les acteurs de la presse, les organisations de jeunes et de femmes, les tenants de nos pouvoirs traditionnels et religieux, les intercesseurs sociaux, nos anciens et de manière générale tous les maliens soucieux de notre pays doivent s’organiser pour exiger le respect de ces dix commandements par tout candidat qui désirerait diriger le Mali aujourd’hui. Ils doivent être aidés en cela par tous les amis du Mali, très nombreux et qui ont tous appréhendé à quel point la malhonnêteté, le vol aggravé, l’enrichissement sans cause du leadership a pu affaiblir l’Etat malien au point de faire s’écrouler le pays. S’ils veulent que la rigueur, la justice et la bonne gouvernance aient un jour droit de cité sous nos cieux, ils doivent s’évertuer à attaquer le mal à la racine, au moment où le leadership s’octroie, à l’occasion des prochaines élections générales dans notre pays.
Moussa MARA
Moussamara@moussamara.com
ce mec n’est qu’un bonimenteur chevronné… et rien qu’à insister minutieusement sur ces trois premiers points de ses “commandements” qu’il décrète pompeusement avec fatuité, il sera lui-même l’un des premiers disqualifiés de la course pour Koulouba. certes, avec un fort taux de naïveté (pratiquement le même que celui de la pauvreté et de l’illettrisme) que connait son peuple, il peut espérer convaincre bien du monde que seuls lui et ses proches n’ont jamais “pécher” dans les eaux troubles du Djoliba… et bien de paumés lui croiront, sans aucun doute ! ça au moins, c’est certain !
Au contraire Mr Rebel c’est les trois premiers points qui le conduiront à Koulouba si vous ne le savez pas Mr Moussa Mara à travers sa biographie et ses débats éclairent la population sur son riche et digne parcours, en plus de la déclaration de son patrimoine chaque année l’homme est reconnu comme le politique le plus transparent que les maliens réclament pour l’échéance présidentielle du mois de juillet, alors de grâce pour l’amour du Mali encourager des bonnes initiatives de ce genre.
DRISSA AMARA, si un parcours personnel commence par la filiation, alors c’est une sacrée erreur d’appréciation que de qualifier celui de ce quidam en ces termes comme vous le faites. mais, je vous laisse l’entière responsabilité de vos propos. seulement j’attire votre attention sur le commentaire ci-dessous de VERIDIQUE, et surtout ce passage : “[…] un État, c’est d’abord et avant tout la FOI INÉBRANLABLE en la république et la LOYAUTÉ ABSOLUE envers ses lois et ses institutions.” ainsi donc, si vraiment ce type savait d’où et de qui il vient, alors il n’aurait jamais osé alimenter le débat de la transparence et de l’honnêteté. car ceci reviendrait à ouvrir la boite de Pandore sachant que l’histoire ne plaide guère en sa faveur…
Mara ne sera même pas réélu maire en commune IV à fortiori président de la République. Il se moque de qui? un démagogue.
Rebel, ce monsieur se rendra vite compte que la commune V n’est pas le mali entier et il ne reussira à rouler que ceux qui auront delibérément choisis de ne pas regarder les faits et l’histoire de cet homme depuis son papa Joseph, lui aussi putschite, doublé de pilleur des biens publics et des biens de l’etat###.. Une telle imposture: les 10 commandements qui sont axés uniquement sur la gouvernance, alors qu’un etat, c’est dabord et avant tout la FOI INEBRANLABLE en la republique et la LOYAUTE ABSOLUE envers ses lois et ses institutions. sans cela, il peut mettre ses commandements à la poubelle.
VERIDIQUE, c’est une certitude que le réveil sera bien pénible pour ce quidam. mais à chaque chose son temps…
Ce n’est pas l’honnêteté seulement qui pourra nous sortir de cette merde. Les maliens me font marrer, le Mali n’a pas besoin “d’un apprenti sorcier “pour se développer. Il est très clair que quelque soit l’heureux élu de juillet prochain ou novembre prochain, le pays ne sera plus dirigé comme par le passé…. Pour cela nous avons besoin de quelqu’un qui a de l’expérience, des relations solides, une compétence avérée avec la mise au point des textes claires pour diriger le pays…..
Drissa AMARA, votre champion Mara a condamné le coup d’etat du bout des lèvres avant d’en prendre acte croyant que la communauté internationale allait aussi prendre cette position irresponsable. En effet, la france de sarko ( à l’epoque c’était lui) avait dans un premier temps semblé aller dans cette direction avant de se ressaisir. Nous l’avons ensuite vu à kati entrain de faire la courbette à ce parvenu de sanogo, puis au meeting de la copam et autres associations pro-putsch, meeting qui devait installer sanogo à koulouba. la pression allant croissante sur cette racaille de kati et sur ceux qui le soutiennent, Mara a tenté le virage. C’est ainsi que dans un premier temps il s’est approché de zoumana sacko, president de l’ADPS, avant de finir chez la CSM de Moutaga Tall, cet autre homme politique qui n’agit jamais en fonction de ses convictions, mais en fonction des calculs politiques. Pourquoi at-il quitté l’ADPS ? parce l’ADOS se veut avant tout republiçain. Mara lui a préféré
Pourquoi at-il quitté l’ADPS ? parce l’ADOS se veut avant tout republiçain. Mara lui a préféré choisir de ne pas choisir alors que meme que les fondements du pays qu’il entend diriger partent en vril ! parfois , le courage est sans plasticité, il faut choisir, decider et s’engager au nom de la conviction et de la republique, ses lois et ses institutions. c’est cela que nous attendons comme qualité premier d’un ledear politique republiçain et democrate. Sans ces qualités, il ne vaut rien et ne sera d’aucune utilité au peuple. N’importe qui ne plus arriver à koulouba. Un putschiste comme Mara ne doit pas etre notre president, car il n’aura aucun egard pour nos Lois.
Une foire encore, erreur d’analyse et d’appréciation de votre part Mr Veridique et cela parce que vous renversez les faits. Dans la version factuelle pittoresque c’est ADPS qui voulait intégrer CSM, un plate forme initiée et crée par Mr Moussa Mara qui à invité les Mountaga et autres comme Poulho à lui rejoindre en se mettant au second plan (vice-coordinateur) pour donner la coordination à Mountaga et cela à cause de son patriotisme, son grand intérêt pour un Mali uni. Par ailleurs vous ne pouvez pas contestez la condamnation du coup de temps par Mr Moussa Mara car a été faite officiellement à travers les chaines TV et Radios, seulement il ne s’est pas inscrit dans un esprit extrémiste pour bloquer l’union comme FDR, MP22, CNRDRE et COPAM au contraire il (Moussa Mara) les a tous rapprochés pour leur faire venir à la raison d’union. Donc de grâce reconnaissez en l’homme sa valeur intrinsèque d’unificateur qui saura faire du Mali un meilleur Etat.
Drissa Amara, ne voyez vous pas que vous me donnez raison? en realité, derrière l’argument creux et fourbe de “je vais les approcher, les faire venir à la raison”, il y avait la peur bleue de faire un choix et de faire le mauvais choix, sachant que pour lui se mettre clairement du coté des putschistes etait s’exposer aux sanctions de la communauté internationale. Nous avons le communiqué de Mara qui prend acte du coup d’etat. ça veut dire ce que ça veut dire. On ne peut pas etre pour le coup d’etat et etre pour la republique et ses lois. on ne peut pas approcher ces deux positions. c’est impossible, raison pour laquelle si c’etait son but, il a lamentablement échoué. S’il a crée la CSM, c’est parceque l’ADPS etait anti-putsch. S’il a mis un putschiste à la tete de la CSM, c’est qu’il est putschit. Quand l’essentiel est en jeu et que les circonstances imposent de s’engager sans fourberie pour la defense des institutions, alors il faut le faire si on est un acteur politique responsable
je reviens et persiste Drissa Amara pour dire que Mara a commencé par l’ADPS crée par Zou avant de passer à la CSM. ça c’est un fait. Tout comme ses passages à la télé à kati pour glorifier sanogo et sa participation au meeting qui devait installer sanogo à koulouba. ça ce sont de faits qu’il serait peut-etre raisonnable de ne pas nier puisque nous pouvons les demontrer, avec photos, interviews et texte à l’appui. Et si Sanogo aujoudrhui decidait de rendre public les enregistrements qu’il a fait en clando de ses visiteurs du soir comme Mara, beaucoup d’acteurs politiques seraient finis. Merci de votre comprehension.
Pour une manifestation silencieuse du Peuple malien dans un contexte de l’état d’urgence :
Reconnaissant notre part de responsabilité dans la déchéance de la République,
Convaincus que notre passéisme a été la cause principale de l’audace égoïste de nos chefs,
Convaincus que seule une nouvelle mentalité d’exigence du devoir accompli aidera nos chefs à nous aider,
Résolus d’anticiper toute mauvaise décision politique aux conséquences graves pour notre pays par des actions civiques,
Décidons d’écrire sur nos murs, nos banderoles et nos morceaux de cartons devant nos maisons que :
« AUX ELECTIONS SANS KIDAL, NOUS PAS BOUGER !».
Que nos chefs sachent que nous ne voterons pas en juillet 2013 ni à aucun autre moment sans nos frères de Kidal car, faire cela équivaudra pour le peuple de donner lui-même un fondement légitime à toute séparation future d’une partie de son corps.
Alors maliennes, maliens, c’est maintenant ou jamais !
Votre fils et frère qui vous aime tant,
Mahamadou Kona
Le Consigne:
Pour une manifestation silencieuse du Peuple malien dans un contexte de l’état d’urgence :
Reconnaissant notre part de responsabilité dans la déchéance de la République,
Convaincus que notre passéisme a été la cause principale de l’audace égoïste de nos chefs,
Convaincus aidera nos chefs à nous aider,
Résolus d’anticiper toute mauvaise décision politique aux conséquences graves pour notre pays par des actions civiques,
Décidons d’écrire sur nos murs, nos banderoles et nos morceaux de cartons devant nos maisons que :
« AUX ELECTIONS SANS KIDAL, NOUS PAS BOUGER !».
Que nos chefs sachent que nous ne voterons pas en juillet 2013 ni à aucun autre moment sans nos frères de Kidal car, faire cela équivaudra pour le peuple de donner lui-même un fondement légitime à toute séparation future d’une partie de son corps.
Alors maliennes, maliens, c’est maintenant ou jamais !
Votre fils et frère qui vous aime tant,
Mahamadou Konaté Dakar.
Au Senegal, Hier Jeudi 18 avril 2013, la marche des maliens a été finalement transformée en une conférence de presse. De pressions énormes ont été exercées par l’ambassade du Mali sur certains membres du bureau de l’association et sur certains medias. Malheureusement, quelques uns n’ont pas su enduré et ils ont démobilisé nos masses en disséminant de fausses informations et inutiles sur la marche. Mais le message est parti car une quarantaine de personnes ont fait le deplacement de toute façon pour entendre et partager ceci: Kidal aux élections présidentielles: c’est notre dernier mot.
Donc nous ne baissons pas et ne baisserons jamais les bras, nous comptons avec ceux qui sont déterminés et nous remplirons notre devoir envers notre peuple. L’histoire nous jugera. La mobilisation continue. Je mettrai moi meme un nouveau collectif en place qui réorganisera cette marche aussitôt que la tension sociale ici autour de l’affaire Karim wade tombera; c’etait le motif que la prefecture de Dakar
En lisant les phrases introductives des 10 propositions de Moussa Mara, c’est un sentiment de déception qui m’anime. J’y sous entend courtisanerie et volonté de plaire à la France. Comme si, il fallait dire tout cela pour ne pas s’attirer les foudres de la France pour les élections à venir. Justement Moussa Mara, ce sont les maliens qui éliront leur présidents. Si nous souhaitons que la France décide à notre place, nous inspire dans nos actes. Et bien, il faut prendre conscience que ce n’es pas la France , mais nous même qui auront voulu cela. là concernait le fond.
Quant à la forme, j’affirme haut et fort qu’aucun ministre du Mali ne peut l’être sans déclarer ses bien et chaque année ils se plient à la déclaration au près de la cour Suprême. C’est déclarations sont accessible à tout citoyen. Pour quoi le Parti Yelema qui à soutenu le putch ne sait pas intéresser à ces déclarations et les publiées? Je note cependant quelques points positifs mais arrêter de nous amuser
Sans vous contester totalement Mr le Républicain j’aimerais éclairer votre lanterne sur le fait que ces propositions s’inspirent des comportements gouvernementales de Mr Moussa Mara dans sa famille, son cabinet et sa commune et non de la France, la France n’est citée qu’en exemple comme étant entrain de pratiquer ces commandements de Moussa Mara. Par ailleurs sachez que le seul homme politique qui aspire la confiance du peuple malien à tout les niveaux est Moussa Mara et oui il fait l’écho de tous les jours comme étant l’espoir du peuple et l’incarnation du changement donc pour vous dire qu’avec une élection transparente sans l’ombre de doute MOUSSA MARA DU PARTI YELEMA SERAIT LE 5e PRÉSIDENT DU MALI. Wait and see.
DRISSA AMMARA, vous pouvez bien rêver, si vous croyiez que le Mali, c’est votre machin de parti… 😆
Le Mali serait meilleur lorsque le Parti YELEMA serait au commande chose qui est très proche mon frère Rebel car les maliens ne se laisseront plus berner par les mauvais partis et leurs dirigeants corrompus d’ou la prise de conscience.
La politique est de bien choisir son camp, après t’avoir vu courir a Kati pour félicite Sanogo de son coup d’état, je n’ai plus confiance a Moussa Mara il n’est qu’un opportuniste comme les autres.
Le Mali rêve d’un candidat irréprochable… (je sais, ça n’existe pas!)
Une chose est plus que sure, parmi les candidats en lice vous êtes le meilleur!!! Et gérer une commune au Mali -et contrairement à d autres pays- est l une des responsabilités les plus délicates. Acceptons le changement. Mara GO Ahead
La commune n est constituee que de qlq quartiers beh s il a bien gere sa commune bravo pour lui , mais qu il sache que le mali est prseq deux fois la france bien avant lui bcp sont comme sauveur avec des programmes(…) mais helas on est tjrs au point Vo.Cher moussa a ta place je vais me reserver pour les autres annees a venir et tout en m acquerant d experiences qui me permettront d etre a koulouba un jour .
En tout cas, j’adhère pleinement aux idées partagées ici par Moussa Mara. Je n’ai pas encore choisi mon candidat, mais je ne voterai jamais pour les candidats au parcours opaques.
Acceptons le changement et oeuvrons dans ce sens, il faudrait cas même que çà commence quelque part, acceptons la vérité et surtout le sacrifice!
La bonne gouvernance est-elle possible au Mali et en Afrique oû le pouvoir est considéré avant tout comme un honneur ,un prestige, une sorte de “fortune cookies ou Pandora box “-voire gagner à la lotterie -avant d’être une grande responsabilité, ce contrat social entre gouvernants et gouvernés. Afin qu’elle soit une réalité, il faudra nécessairement redéfinir, démystifier et vulgariser les concepts de pouvoir, politique, démocratie, gouvernance…au niveau des communautés de base, grassroots level. ( CIVICUS) .
Si la france nous impose son modèle à tous les niveaux c’est parce qu’ il n’y a pas de modèle MALIEN alternatif.Quand est-ce que le Mali et le Malien sera lui même?Quand Sarko dit que l’homme Africain n’est pas entrer dans l’histoire en ce 21 eme siècle c’est de cela qu’il s’agit.Quel modèle après 54 d’indépendance dans l’éducation ,la santé l’agriculture bref dans tous les domaines?Nous savons une histoire bien sûr est ce qu’on s’inspire de cette histoire de cette culture pour un modèle Africain<>
MALIENNE ET MALIEN JE VOUS DEMANDE QUI EST MOUSSA MARA. MAITENANT QUE LA SITUATION LUI A FORTEMENT VAFORISER IL SE PREND COMME UN SAUVAIR. VOUS QUI LUI CROYER DEMANDE LUI DE QUI IL VIENT ET VOUS SAUUEZ QUIL NEST PAS PROPRE COMME VOUS LE CROIYEZ. MERCI
Mr Tiefo sachez que trois questions répondent à la connaissance d’un homme et surtout d’un candidat notamment qui il est? qu’est ce qu’il a fait? et qu’est ce qu’il fera?. Ces trois questions trouvent une réelle satisfaction lorsqu’ils se posent sur Moussa Mara et cela à travers sa riche biographie, ses réalisations en commune IV et son projet de société de 20 thèmes qui exposent les grands maux du Mali et les idoines solutions. Alors pour l’intérêt du Mali choisissons un bon dirigeant.
Monsieur Tiefo.
Ici il n’est pas question de Moussa MARA en personne mai du Mali et de son avenir.
Moussa MARA n’oblige personne à le choisir.Il a juste proposer des conduites à tenir pour prétendre à diriger ce pays.
Donc vraiment ayons pitié de ce pays.
L’HONNÊTETÉ D’HOMME SEUL NE SUFFIT PAS !LE DIFFICILE C’EST LE CONTRÔLE PERMANENT APRES LES ELECTIONS ET C’EST LE PLUS IMPORTANT! (connaissez-vous un candidat qui va nous révéler ses défauts?)
Une tres bonne reflexion sur les fondements de la gouvernance au Mali.
Il ne reste qu’a fixer les priorites.Le probleme de “impeachment” ,
de la mise en accusation et du proces des Hauts responsables de l’Etat consttuent un vide juridique dans notre Justice.Pour ne pas justifier les coups d’Etat,un President, par exemple,qui detournerait des milliards,qui transgresserait les legistations protegeant les interets suprieurs du pays ou qui eliminerait ses concurrents devrait etre juge et s’il est coupable,demis de ses fonctions.
Aux USA,on a tente” d’impeacher” un President qui aurait flirte avec une fille adulte.Que dire de certains de nos Premiers Ministres ,et meme de nos Presidents.Eux,ils sont libres!Parviendrons -nous a un tel degre de bonne gouvernance?Enfin,devant la gravite de la situation,j’estime que tous les partisans sinceres du Changement (pour ne pas tomber dans le gouffre)doivent se mettre ensemble car en cas de victoire,c’est une equipe competente qui fera le changement.
Force reste à la loi… Respecter les lois que vous-même aviez voter le pays ira mieux…..
Nous avions plein de textes qui devraient permettre d’être democrates et transparents….
”Publier son patrimoine, ce qu’il a gagné, ce qu’il gagne et les justifier”.
C’est louable, mais ne servira à rien s’il n’y a pas publication et contrôle des biens EN FIN DE MANDAT. Bref, conttôle à priori et à posteriori….
Après les dix commandement d’Allah à Moise, voilà les dix de MARA aux hommes politiques Maliens.Les propositions sont tellement belles pour qu’elles soient vraies.Voilà au moins un exemple de transparence, de patriotisme.Ceux qui pensent que le 1er critère l’éliminerais d’office, se trompent.Personne lui mis ces paroles dans sa bouche comme on le dit chez nous.Il bien reflechi et choisi les mots qu’il faut pour faire entendre sa voix.Nous attendons la contre proposition des autres leaders et on fera le tri.Evitons les procès d’intention et jugeons chacun selon qu’il est.Zou et MARA peuvent constituer une alternative à toutes ces pourritures de mouvement democratique, pourvu qu’on ose et acceptons le sacrifice du changement.Il n(y a rien sans peine et le changement dont nous rêvons a un prix qu’il assumé.Notre salut passe par ça.Il ne nous reste qu’à retrousser les manches pour le combat.
Moussa Mara a vraiment ecrit que “la France peut nous servir de modèle, notamment dans un domaine prégnant pour le Mali, celui de la bonne gouvernance et de la transparence.”????
Alors la, Mara, ou tu ne lis pas tout ou tu es devenu deja un vrai “politicien” pour t’attirer la grace de la France, qui on le sait tous, choisira le president prochain du Mali!
La France un exemple de transparence? Alors la le Mali est encore une fois mal partie pour s’inspirer! Lisez les livres ecrits sur la politique Francaise, sur les relations France-afrique, les scandales financiers en France etc et vous saurez qui ils sont ces gens la!
Sachez Mr Fatz que ces principes ne s’inspirent pas de la France mais de la bonne gouvernance que les français ont commencé à appliquer chez eux alors qu’ils on été proposés par Mr Moussa Mara il ya longtemps et à pratiquer même certains à l’occurrence la déclaration de patrimoine qu’il fait chaque année. Donc la France n’est un exemple et non une incarnation de cette belle réflexion. Bravo Mr le futur président du Mali.
Nous restons unis derrrière l’ URD pour elir Soumaila CISSE à la magistrature suprème du Mali.
Mme N’DIAYE Aissé KEITA
Je propose dans le gouvernement, si l’URD viens au pouvoir:
Oumar MARIKO au ministère des domaines fonciers (solutionner le problème de parcelles voler)
Zoumana SACKO au ministère des finances (pour une très bonne gestion de l’argent de l’ETAT )
Moussa MARA au ministère du budget ( bonne gestion des ressources de l’ETAT )
Malick COULIBALY à la justice ou un malien bon comme Malick
Poulo au Affaires sociales
Chatto née Mme HAIDARA promotion feminine
Aminata DRAMANE ministère de l’agriculture ( pour aider les agricultes dans la gestion des intrants.
Konimba SIDIBE ministère de l’education.
la jeunesse malienne faite des propositions
kader
Sauf que c’est SOUMAILA lui meme qui pose probleme dans cette equipe.
Le changement est réticent à Mr Soumaïla Sidibé qui à montré ces insuffisances d’ou son retrait pour donner la place à ceux qui ont montré leurs preuves avec des moindres responsabilités et qui aspirent la confiance du peuple comme Moussa Mara qui en tant que Maire crée de l’emploi, urbanise sa commune et protège les citoyens de sa commune et d’autres communes contre l’injustice dans toutes ses formes, alors Bravo Mr le Maire que Dieu fasse de vous le président du Mali au mois de juillet pour un Mali meilleur.
Mr Mara trèes jeune poliquement, il a de l’avenir devant lui. Je lui conseille de travailler en concert avec Mr IBK pour un Mali de paix et de justice. Le cas de maitre WADE et Macki SALL du senegal est un bon exeple. Dans l’avenir il sera un très bon president…………..
Ceux qui font l’éloge de MARA ne le connaissent pas du tout!
MARA, si on t’appliquait ton 1er critère, tu ne seras jamais président de ce pays.
Cordialement.
OH YES WE CAN ! WITH ALLAH KA MOUSSA MARA ON ES AVEC TOI
YES MARA GO AHEAD ! MARA L’HOMME DES COMPTES DOUBLé DE PERSEVERENCE ET DE LA BARAKA.
PLEIN DE PUGNACITE…NO DOUBT ABOUT…MARA LE PAYS A BESOIN DE TOI
VIENS NOUS DELIVRER DE L’IGNORANCE , LA CUPIDITE,LA CORRUPTION EN
METTANT LE PAYS SUR LE DROIT CHEMEIN, OUI MOUSSA KARAMALAH L’AMI DE
DIEU PAR TON HOMONYME NABILAHI MOUSSA ET SAUVEUR DE NATION.
On te le concède. Tu es alors le seul à le connaître.
Mr James sachez que trois questions répondent à la connaissance d’un homme et surtout d’un candidat notamment qui il est? qu’est ce qu’il a fait? et qu’est ce qu’il fera?. Ces trois questions trouvent une réelle satisfaction lorsqu’ils se posent sur Moussa Mara et cela à travers sa riche biographie, ses réalisations en commune IV et son projet de société de 20 thèmes qui exposent les grands maux du Mali et les idoines solutions. Alors pour l’intérêt du Mali choisissons un bon dirigeant.
Monsieur Arama, vous parlez de sa riche biographie….Au pays des aveugles les borgnes sont rois. Avez-vous lu les livres écrits par Mara? Totalement indigestes pour un intellectuel qui se respecte!!
Effectivement je suis d’accord avec vous quand vous dites “choisissons un bon dirigeant”. Avec Alpha et ATT, le malien pensait avoir bien choisi et l’on voit où ça nous a mené…!!!
Qu’Allah sauve le Mali.
Il doit avant tout temoigner d’une FOI et d’une LOYAUTE inébranlable en la republique et en ses institutions.Sinon toutes ces regles c’est du pipo si au premier coup de fusil de vouyous putchistes mus par l’appat du gain, il prendra acte du forfait pour ne pas froisser les nouveaux maitres et finira par choisir de ne pas choisir, alors meme que son pays vivra ses heures les plus sombres et qu’il aurait fallu avoir le COURAGE de CHOISIR, DE DECIDER et de S’ENGAGER pour la REPUBLIQUE et ses LOIS, seules garantes d’un projet commun pour notre nation. Les ambitions ne valent donc qu’à l’aube du sacrifice qu’on est pret à y consentir. Pour ma part, j’estime que vous, Mara est un bon maire et feriez peut-etre (je dis bien peut-etre) un bon ministre.Mais personne au monde ne pourra me convaincre que vous feriez un bon president. De toute façon votre trajectoire permet de dire qu’au mieux , vous aurez la carrière politique de Moutaga Tall.
Bonne chance moussa, car le salut du mali passera par des homme comme toi et zoumana sacko.
Zou et Mara ne sont pas de la meme espèce politique. Zou, en plus des qualités ses averées dans la gouvernance (ce qui est aussi le cas de Mara), est un republiçain convainçu qui ne transigera jamais avec la republique et ses lois. Zou ne copinera pas et ne se prostituera pas avec des voyous putschistes. ce qui n’est pas le cas de Mara qui ira toujours dans le sens du vent , comme il a pu nous le montrer avec les malheureux évènements du 22 mars. Si son intélligence ne lui permet plus de connaitre le sens, il decidera de ne pas bouger. ¨Pendant ce temps là, Zou, tel un zorro, sera entrain de se battre contre les usurpateurs, pour le retablissement de la republique et de ses lois.
Sans mettre en cause les qualités de Zou j’infirme les affirmations de Mr Veridique qui ne sont qu’erreur d’analyse et d’appréciation et cela en lui faisant savoir que tout au long de cette crise Mr Moussa Mara à jouer le pompier en adoptant une position médiane à travers la Convergence pour Sauver le Mali (CSM) une plate forme composée de 33 partis politiques et de plus de 400 associations donc vous dire que Moussa Mara dans s sensibilisation à collaborer avec toutes les parties (FDR, COPAM, MP22, les Militaires) pour les converger tout en condamnant le coup d’Etat et cela pour un Mali Uni, tels devraient être le comportement de tout bon patriote.
Mon cher président, la corruption et le vol organisé ont encore de beaux jours devant eux au Mali. tu vois que personne ne réagit à tes propos? Le système est vicié et les dés sont pipés. Je me demande comment te rejoindre sans que cela paraisse démagogique, mais je sais qu’ils ne sont pas nombreux ceux de nous qui iront dans ton sens, car chacun pense que c’est peut-être la bonne heure pour lui et q’il ne faut la rater pour quelque vertu morale que ce soit. Dieu seul pourra réveiller ce peuple.
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