J’ai appris ce week-end que le Gouvernement malien et les Syndicats de la santé ont trouvé un compromis qui met fin à une grève qui a été extrêmement éprouvante pour les couches les plus défavorisées du Mali. Beaucoup de nos compatriotes ont malheureusement perdu la vie durant ce mouvement social. Je profite de cette occasion pour présenter mes plus sincères condoléances aux familles de ces innocentes victimes.
Durant cette période si difficile où tout malien consciencieux devait concentrer ses efforts vers une sortie de crise, une certaine presse, agissant pour le compte d’obscurs intérêts, s’est évertuée à accuser tour à tour l’opposition politique puis le secteur privé d’être à l’origine et même de financer le mouvement social des Syndicats.
En effet, dans un article paru sur un site inconnu et peu crédible, des individus sans scrupules et malintentionnés insinuent que je serais impliqué dans le financement du mouvement social des syndicats de la santé. C’est un mensonge éhonté qui n’a aucun fondement. J’apporte par cette tribune un démenti formel et catégorique. Je n’ai jamais été en contact avec les Syndicats de la santé. Ce type d’allégations mensongères fait simplement le jeu de ceux qui privilégient la fuite en avant à l’allégement des souffrances des populations. Ce n’est ni responsable ni propre à apaiser un climat social déjà extrêmement tendu.
D’ailleurs, selon les moteurs de recherche, le site internet à l’origine de cette soi-disant information n’a été créé que ce 1er Mars 2017 dans le seul but de désinformer et de semer la discorde. Ce site n’est connu de personne et n’est signé d’aucun journaliste connu. Je me réserve donc le droit de porter plainte contre le site ainsi que contre les auteurs de cet article insensé pour diffamation. Internet ne doit pas être une zone de non-droit dans laquelle tout serait permis, surtout sur un sujet aussi sensible que la santé.
Pour ma part, mes collaborateurs et ceux qui me connaissent savent que je reste un acteur convaincu que seuls les moyens pacifiques, le dialogue et la solidarité agissante peuvent nous permettre de résoudre nos problèmes.
C’est dans cette dynamique que j’ai lancé la Fondation Maliba qui intervient partout sur le territoire national, dans tous les secteurs, pour améliorer les conditions de vie de nos concitoyens. C’est dans ce cadre que nous avons construit plusieurs écoles et centres de santé, des lieux de cultes et des forages d’eau au bénéfice de nos laborieuses populations.
D’ailleurs, le mois dernier, nous avons réhabilité les salles de classe d’une école à Ménaka pour permettre aux jeunes élèves de cette localité très enclavée de reprendre les cours. Les enfants ont également été dotés en matériel scolaire. Je tiens, à ce titre, à profiter de cette occasion pour remercier les autorités politiques, administratives et coutumières de Ménaka pour leur implication désintéressée.
Sachez que je ne cautionnerai jamais la violence ou la déstabilisation de notre cher Mali comme moyens d’action. Au contraire, je crois plutôt qu’il est du devoir de tout malien, à quelque niveau qu’il soit, de s’engager honnêtement pour réduire la pauvreté et les souffrances de nos populations.
Pour ma part, je cherche à apporter à mes compatriotes qui n’en ont pas les moyens, les soins et l’éducation qu’ils méritent tant, et que je ne saurai être impliqué dans des entreprises qui les priveraient de ce droit. Mon seul et véritable terrain d’action, à travers ma Fondation Maliba, est celui de l’aide à ceux qui n’en ont pas les moyens. Celui de la solidarité et de l’entraide. Je n’ai jamais mené et je ne mènerai jamais une action qui puisse priver un malien des soins ou de l’éducation auxquels il a droit.
Je suis très fier de tous les hommes et les femmes qui participent avec moi à la réussite des actions de ma Fondation.
Pour conclure, je lance un appel aux autorités afin qu’elles reprennent le dialogue avec les acteurs de l’éducation en vue de trouver une solution à la grève qui menace des milliers d’enfants d’année blanche. Cela constituerait un drame qui viendrait s’ajouter à la souffrance extrême des maliens. Personne ne peut souhaiter cela.
Qu’Allah bénisse le Mali et apaise les cœurs et les esprits des maliens !
Aliou Boubacar DIALLO
PDG de Wassoul’Or
Président de la Fondation Maliba
Ha Oui!! Jai lu l’article de Confidentiel Afrique. Un ami me l’a forwade vers 20h 30. Il est bien écrit je l’avoue et plus attrayant qu’une simple tribune. Pourquoi toujours cherche ton des poux sur la tête de notre champion national, Aliou Boubacar DIALLO PDG Wassoul Or ? Dans dautres pays on protège les entrepreneurs locaux. Au Mali, cest l’inverse. Cessons la méchanceté ça ne paye jamais.
Le tres professionnel journal numérique Confidentiel Afrique qui nous habitue à des infos exclusives et croustillantes vient de publier à 19 h 30 aussi le cri du cœur de notre entrepreneur Aliou Boubacar Diallo. Un chapo bien écrit et des intertitres qui expriment la position courageuse et lucide de tous les Maliens épris de Justice, de solidarité de Paix et d’unité nationales. ALLAH Ka Mali déma !!!
Bonjour
PDG, ceux qui parlent ainsi ne vous connaissent pas.Du lycée technique à l’université de TUNIS,PDG vous avez été toujours le meilleurs.Vous êtes intègre et travailleur.Ce qui vous connaissent savent que vous œuvrez pour le bonheur des maliens. ALIOU je suis convaincu que le président IBK ne vous connaît pas sinon il vous nommera comme son premier ministre ou à défaut son ministre des finances.PDG aide le MALIBA à éduquer ces filles et fils. Vous êtes la fierté de tout un peuple .Que le bon DIEU vous protège. AMEN
Monsieur le PDG, ne vous en faites pas pour les actions des journalistes d’une autre époque. Ne vous laissez pas tomber dans leur jeu. Celui ou celle qui a écrit l’article en question ne vous connait pas sûrement. Mais diantre, je me pose toujours la question comment peut-on parler de quelqu’un sans pour autant prendre le recul d’aller le voir ? C’est une question de règle élémentaire du journalisme. On me dira peut-être qu’ABD est inaccessible ! Mais attendons le jour où il est disposé à parler avant de publier un article. Où est le problème ? L’information, ce n’est pas une course de vitesse. C’est plutôt un exercice d’endurance et de patience où seuls les vrais journalistes, soucieux du respect de la déontologie du métier et de ses lecteurs, arrivent à franchir la ligne d’arrivée. Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, Aliou Boubacar Diallo fait partie d’une espèce de Maliens qui se fait plus en plus rare de nos jours. Ses actions sont là pour l’illustrer. Je ne faisais que passer !!!
Merci monsieur le fondateur de adp maliba tu es un exemplaires pour tous les maliens vous avez créé aussi une fondation kayes propre cette fondation est a Sikasso je vous remercie bonne journée .
bonjour je saisis cette occasion juste pour dire qu’en 2012 vous avez aidé les élèves et étudints de Goundam à travers ma personne à organiser des cours de rattrapage pour les inscrits au DEF et au BAC les résultats sont connus je témoigne koudou
Vous avez eu combien pour témoigner😁😁😁😁
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