Répliques de Dr Anasser Ag Rhissa aux critiques de Dr FOMBA Brahima sur la légalité des autorités intérimaires et du protocole d’entente entre parties au Mali

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Lettre ouverte au Président, au Haut Représentant du Président de la République pour la mise en œuvre de l’accord pour  la paix et la Réconciliation au Mali, au Premier Ministre, au Ministre de l’administration territoriale, de la décentralisation et de la réforme de l’Etat, au CSA, au CNCA, aux Maliens et aux Partenaires

Nous remercions le frère, Dr FOMBA Brahima, Chargé de cours à l’Université des sciences juridiques et politiques de Bamako, pour les articles qu’il a écrits en liaison avec la mise en œuvre de l’accord de paix au Mali mais ils contiennent des critiques acerbes sur la légalité des autorités intérimaires, des décrets de nomination des membres de ces dernières et des conseillers spéciaux dans les régions.
Ces critiques sont : l’impact des autorités intérimaires sur la partition du pays et sur les aspects illégaux (il parle de cacophonie et bricolage juridiques au sommet de l’État) de ces dernières et des décrets de nomination des membres des autorités intérimaires et des conseillers spéciaux auprès du représentant de l’État.
Ces articles, publiés sur plusieurs médias, sont intitulés
– Autorités intérimaires : le statut autonome de l’Azawad se met en place, paru le 17 octobre 2016,


– Décrets sur les autorités intérimaires, les collèges transitoires et les conseillers spéciaux : Bricolage juridique au sommet de l’État !, paru le 24 octobre 2016.


Il prétend que l’accord de paix est anticonstitutionnel et engendre la partition du pays, de même que le protocole d’entente et les décrets de nomination associés.

En plus, pour lui, ce dernier ne peut pas avoir de lien avec le décret d’application de la loi sur la mise en place des autorités intérimaires et n’est pas légal malgré sa légitimité.
Loin d’engendrer la partition du pays, les autorités intérimaires, tout en gérant les collectivités territoriales, permettent, en liaison avec l’accord de paix auxquelles elles sont intégrées, de créer, entre autres, une jonction et une coordination avec l’État central à travers le représentant de l’État dans les collectivités territoriales (régions et communes).
En plus, la conférence d’entente nationale inclusive apportera plus d’inclusivité, renforcera l’implication des citoyens et des communautés dans toutes les régions et dans tout le pays et pourrait avoir un effet sur la mise en place des autorités intérimaires.
Sans cette conférence, des consultations plus légères des citoyens et des communautés, faites par les parties, pour choisir les membres des autorités intérimaires et les conseillers spéciaux, pourront aider dans ce sens.
Vous trouverez, au point 1, des éléments liés à cet aspect.
Je rappelle que l’article 3 de l’accord protège l’accord contre toute violation de la constitution, voir le point 2 ci-dessous. La mise en œuvre graduelle de l’accord tiendra compte de cela.


Dr FOMBA Brahima dit, à tort, que le protocole d’entente est incompatible avec le décret d’application de la loi sur la mise en place des autorités intérimaires.

Tout d’abord, le protocole d’entente a été conçu et signé par toutes les parties prenantes Maliennes, sous la supervision de la médiation internationale, en réponse à la désignation consensuelle des membres des autorités intérimaires telle que l’exige l’accord de paix.
Ce que (ce consensus) Dr FOMBA Brahima a trouvé tout à fait normal dans son article paru, le 17 octobre 2016, sur plusieurs médias, et intitulé “Autorités intérimaires : le statut autonome de l’Azawad se met en place”.
La légitimité du protocole d’entente se fonde sur l’aspect consensuel entre parties prenantes Maliennes de ce dernier et le choix des membres des autorités intérimaires parmi les membres de la société civile et des communautés des collectivités territoriales, des agents des services déconcentrés de l’État et des conseillers sortants.
Étant plus d’être plus large que la légalité, la légitimité ne se fonde pas que sur le droit, elle peut être caractérisée par divers critères (consensus, appuis, tradition, …).
Concernant le protocole d’entente, un compromis, voir le point 3 ci-dessous, est possible, pour assurer sa légalité en plus d’être légitime (consensuel), entre ce dernier et le décret d’application de la loi pour la mise en place des autorités intérimaires.
Cette légitimité et cette légalité, à travers ce compromis, lui permettent d’être appliqué sans aucun problème.
Les décrets, de nomination des membres des autorités intérimaires et des conseillers spéciaux, ne sont pas illégaux, ils découlent de cette légitimité et de cette légalité à travers le compromis entre le protocole d’entente et le décret d’application de la loi (déjà promulguée après sa validation par l’assemblée nationale et la cour constitutionnelle) sur la mise en place des autorités intérimaires.

Malgré les critiques de Dr FOMBA Brahima et le fait de considérer, à tort, les décrets, de nomination des membres des autorités intérimaires et des conseillers spéciaux, illégaux, le gouvernement et le comité CSA (Comité de Suivi de l’Accord) sont parvenus à des résultats remarquables dans la mise en œuvre de l’accord de paix malgré quelques incompréhensions, entre parties, pour établir le consensus nécessaire afin de définir les membres des autorités intérimaires des régions du nord du Mali.
Aidons-les pour un avancement synchronisé et fécond de tous les acteurs et de toutes les parties prenantes à l’accord de paix.

  1. ÉVITER LA PARTITION, CONTRIBUER A L’INCLUSIVITÉ ET A L’IMPLICATION DES ACTEURS, DES CITOYENS ET DES COMMUNAUTÉS DE BASE VIA LA CONFÉRENCE D’ENTENTE NATIONALE INCLUSIVE OU DES CONSULTATIONS

Comme je disais, loin d’engendrer la partition du pays, les autorités intérimaires, tout en gérant les collectivités territoriales permettent, en liaison avec l’accord de paix auxquelles elles sont intégrées, de créer une jonction et une coordination avec l’État central à travers le représentant de l’État dans les collectivités territoriales (régions et communes).
En plus, la conférence d’entente nationale inclusive apportera plus d’inclusivité, renforcera l’implication des citoyens et des communautés dans tout le pays et pourrait avoir un effet sur la mise en place des autorités intérimaires.
Sans cette conférence, des consultations plus légères des citoyens et des communautés, faites par les parties, pour choisir les membres des autorités intérimaires et les conseillers spéciaux, pourront aider dans ce sens.
Vous trouverez dans la lettre ouverte, adressée, depuis le 21 juin 2016, au Président et aux Maliens et aux Partenaires, ci-dessous, un rappel sur le protocole d’entente, les autorités intérimaires et le fait que ces dernières n’engendrent pas la partition du pays mais aussi la conférence d’entente nationale inclusive pour plus d’inclusivité, pour l’implication des citoyens et des communautés dans tout le pays et pourrait avoir un effet sur la mise en place des autorités intérimaires :
http://www.maliweb.net/contributions/sentendre-autorites-interimaires-ddr-plus-mise-oeuvre-suivi-stricts-de-laccord-de-bamako-1645522.html


  1. MISE EN ŒUVRE DE L’ACCORD DE BAMAKO ET LIEN AVEC LA CONSTITUTION

Ce qui est important à noter, concernant la mise en œuvre de l’accord de Bamako, c’est que, compte-tenu du fait que le transfert de pouvoir et de compétences aux régions se feront à travers la loi, seuls quelques articles seront ajoutés dans la constitution.
La constitution, une fois modifiée, en y ajoutant tous les articles nécessaires pour la mise en œuvre de l’accord, cas par exemple de la création du sénat, fera l’objet d’un référendum pour son adoption. Ce qui se fera pendant la période intérimaire de dix-huit à vingt-quatre mois après la signature de l’accord.
La mise en œuvre de l’accord se fera graduellement : on travaillera, dans un premier temps, avec la constitution actuelle et des lois pour le transfert de compétences aux régions et, dans un deuxième temps, on fera adopter la constitution modifiée à travers un référendum.
Je rappelle que l’article 3 de l’accord protège l’accord contre toute violation de la constitution. La mise en œuvre graduelle de l’accord tiendra compte de cela.
Donc, les articles, qui seront rajoutés ou modifiés dans la constitution, une fois la constitution modifiée adoptée, pourront être mis en œuvre : c’est ainsi qu’on évitera la violation de la constitution à travers l’article 3 de l’accord de Bamako.
Vous voyez que l’incidence sur la constitution de l’accord de Bamako ne sera pas une révolution, comme vous semblez l’insinuez, à plus forte raison plus qu’une révolution, comme le disait Me Mamadou Ismaïla Konaté (actuel Ministre de la justice), mais juste un changement qui se fera graduellement.
Il est à noter que toutes les dispositions (art 4) s’appliquent en général à toutes les régions du Mali sauf celles dédiées exclusivement pour les régions du nord du Mali (afin de rattraper les retard et que leur indice de développement humain soit égal à la moyenne de ceux des autres régions du Mali).
Il est à noter que l’accord de Bamako apporte un équilibre sur plusieurs points :
– dans son article 17, un des points retenus concerne l’inclusivité et la représentation significative de toutes les populations du Mali dans les forces de défense et sécurité du Mali.
– L’intégration/réintégration/réinsertion dans les forces de défense et sécurité du Mali se feront en utilisant des critères, qui seront les mêmes pour tous.
– dans ses articles 1 et 5, respectivement, l’accord met en avant pour toutes les régions, la promotion du développement équilibré et la régionalisation, avec au centre de leurs gouvernances et gestions, des ressortissants de ces régions.
– dans l’article 32, au moins deux régions quelconques parmi les régions du Mali pourront promouvoir leur développement si elles le souhaitent.
Cet accord n’est pas idéal mais il est acceptable car il est issu d’un compromis multi-parties prenantes Maliennes, sous la supervision de la médiation internationale, à travers des pourparlers inclusifs inter-Maliens.
Il représente un grand espoir pour les Maliens.


Il faut l’union de TOUS les Maliens, indépendamment des bords politiques, pour mettre en œuvre cet accord. Donc, l’implication et la participation de TOUS est indispensable.

La prise en compte de la constitution modifiée fera partie des éléments de mise en œuvre de l’accord de Bamako.
Le comité international de suivi de l’accord se focalisera sur ces éléments aidé par le comité (déjà constitué) pour l’adaptation de la constitution à l’accord de Bamako.

  1. COMMENT RENDRE COMPATIBLE LE PROTOCOLE D’ENTENTE AVEC LE DÉCRET D’APPLICATION DE LA LOI SUR LES AUTORITÉS INTÉRIMAIRES ?

Tout d’abord, le protocole d’entente a été conçu et signé par toutes les parties prenantes Maliennes, sous la supervision de la médiation internationale, en réponse à la désignation consensuelle des membres des autorités intérimaires telle que l’exige l’accord de paix.
Ce que (ce consensus) que Dr FOMBA Brahima a trouvé tout à fait normal dans son article paru, le 17 octobre 2016, et intitulé “Autorités intérimaires : le statut autonome de l’Azawad se met en place”.


La légitimité du protocole d’entente se fonde sur l’aspect consensuel entre parties prenantes Maliennes de ce dernier et le choix des membres des autorités intérimaires parmi les membres de la société civile et des communautés des collectivités territoriales, des agents des services déconcentrés de l’État et des conseillers sortants.
Étant plus d’être plus large que la légalité, la légitimité ne se fonde pas que sur le droit, elle peut être caractérisée par divers critères (consensus, appuis, tradition, …).

Concernant le protocole d’entente, un compromis, voir le point 3 ci-dessous, est possible, pour assurer sa légalité en plus d’être légitime (consensuel), entre ce dernier et le décret d’application de la loi pour la mise en place des autorités intérimaires.

Cette légitimité et cette légalité, à travers ce compromis, lui permettent d’être appliqué sans aucun problème.
Les décrets, de nomination des membres des autorités intérimaires et des conseillers spéciaux, ne sont pas illégaux, ils découlent de cette légitimité et de cette légalité à travers le compromis entre le protocole d’entente et le décret d’application de la loi (déjà promulguée après sa validation par l’assemblée nationale et la cour constitutionnelle) sur la mise en place des autorités intérimaires.
Concernant le protocole d’entente, un compromis, pour assurer sa légalité en plus d’être légitime (consensuel), est possible entre les deux (le protocole d’entente et le décret d’application de la loi sur les autorités intérimaires) et dans ma lettre ouverte adressée au Président, au Haut Représentant du Président pour la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali, aux Maliens et aux partenaires, pointée par l’adresse :

http://www.maliweb.net/contributions/mali-moc-autorites-interimaires-ddr-elections-communales-regionales-1835772.html

Comme rappelé dans le protocole d’entente signé, le 19 juin 2016, entre parties prenantes, là où un conseil communal ou un conseil régional fonctionne normalement, on n’a pas besoin d’autorité intérimaire.

Dans les régions et dans les communes où il n’y a pas respectivement de conseil régional ou de conseil communal, il faut l’installation d’un collège transitoire (constitué des membres de la société civile) qui joue le rôle d’autorité intérimaire.
Dans celles (régions et communes) où ces conseils ne fonctionnement pas (non fonctionnalité), il faut l’installation des autorités intérimaires.
D’après le décret d’application de la loi sur la mise en place des autorités intérimaires, la non fonctionnalité d’un conseil, régional ou bien communal, est établie par le Représentant de l’État (après investigations et consultations) dans cette région ou bien dans cette commune, en liaison avec le Ministre de tutelle qui dresse un rapport au conseil des Ministres.
D’après le protocole d’entente :
– la non fonctionnalité d’un conseil, régional ou bien communal, est établie par les parties prenantes,
– des représentants de la Plateforme et de la CMA sont désignés par le gouvernement, comme conseillers spéciaux pour la gestion de tout ce qui est relatif à la mise en œuvre de l’accord de paix, auprès du Représentant de l’État dans la région ou bien dans la commune.
Comme selon le protocole d’entente, des conseillers spéciaux de la CMA et de la Plateforme sont désignés auprès du représentant de l’État dans la région ou dans la commune, la non fonctionnalité d’un conseil, régional ou bien communal, pourrait être établie conformément au décret d’application de la loi pour la mise en œuvre des autorités intérimaires.
C’est ainsi que le protocole d’entente pourrait être utilisé en étant compatible ou conforme sur les conditions (modalités) au décret d’application de la loi pour la mise en œuvre des autorités intérimaires.

Donc, on peut bien utiliser conjointement le protocole d’entente ET le décret d’application de la loi sur la mise en place des autorités intérimaires dans les régions et communes du nord du Mali même si la loi s’applique à tout le Mali.

  1. CONCLUSION

Le Mali, aujourd’hui, a besoin que tous ses fils et toutes ses filles s’unissent autour de la mise en œuvre de l’accord de paix, en particulier, la mise en place des autorités intérimaires, du MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination) et du DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion), indépendamment des bords politiques, afin d’aboutir, dans l’unité et dans la cohésion, à une sécurité, une paix et une réconciliation durables, mais aussi à son développement, durable et résilient, dans un Mali Un et Indivisible sans fédération.
Il est souhaitable que chacun(e) y contribue.


En tant qu’intellectuel et patriote Malien, Dr FOMBA Brahima devra être un meneur pour mettre le Mali en avant et pour impulser une dynamique pour la mise en œuvre de l’accord de paix, en particulier, la mise en place des autorités intérimaires, pour que les fruits de ce dernier puissent servir pour le bien-être de tous les citoyens, qui attendent impatiemment.

Toute attitude contraire à cela est de nature à briser l’espoir des citoyens, à les démoraliser et à générer un effet négatif sur la mise en œuvre de l’accord de paix.

Contribuons positivement et engageons-nous sérieusement pour l’avancement de la mise en œuvre de cet accord.

  1. CONTACT

Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
E-mail: Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 00223 95 58 48 97

Commentaires via Facebook :

27 COMMENTAIRES

  1. Merci a tout le monde,
    J’ai simplement un petit commentaire , essayons d’etre rassembleur quelque soit nos idées.
    Au cas contraire degager……….

    • Bonjour,
      Merci, Frère 1FILSDUMALIBA, de votre petit commentaire, qui en réalité est grand.

      Vous avez raison, prenons, TOUS/TOUTES, de la hauteur et RASSEMBLONS-NOUS autour du Mali et de la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali, en particulier, supportons la mise en place des autorités intérimaires au nord du Mali.

      Sans ces dernières, il n’y aura pas de services de base de l’État ni d’élections démocratiques futures dans plusieurs zones et régions au nord du Mali.

      Les détracteurs et Ceux qui veulent détruire l’accord de paix, veulent-ils qu’il y ait ces services de base de l’État et des élections partout au nord du Mali ou pas ?

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
      TEL 00223 95 58 48 97

    • Comment veux-tu te rassembler avec des gens qui prennent des armes et tuent les gens tous les 5/10/15 ans et puis ils deviennent des fonctionnaires intérimaires nommés pour diriger les populations dont ils ont apporté la guerre et tuer des parents …

      PS:
      Dans tout ce long, long, long charabia, le mot ‘justice’ revient qu’une fois et c’est pour qualifier un ministre. Comment voulez-vous que ce pays aille de l’avant sans justice?
      Personnellement, je n’aime pas les tic-tac… (mauvais pour la santé). Enfin je me comprends….

      • Bonjour,
        Merci Wsr de votre message.

        C’est inquiétant de dire qu’il n’y a pas le mot justice dans cette lettre ouverte qui porte sur les répliques contre les critiques de, Dr FOMBA Brahima, qualifiant l’accord de paix, les autorités intérimaires et les décrets de nomination de leurs membres de cacophonie et de bricolage juridiques au sommet de l’État.

        Ces répliques sont basées la légitimité de l’accord de paix et des autorités intérimaires, sur la modification de la loi fondamentale (qu’est la constitution) pour l’adapter à l’accord de paix ET sur la loi pour la mise en place des autorités intérimaires et son décret d’application.

        Je vous rappelle que ces lois, incluant la loi fondamentale, font référence à la justice.

        Sur un autre volet, celui de la réconciliation, auquel vous faites référence, effectivement, il n’y aura pas de réconciliation sans justice, réparation et pardon.

        Cher frère, ne mélangeons pas les choses et évitons les amalgames.

        Pour ce faire, lisez une contribution et les éléments (dans notre cas, protocole d’entente, loi sur les autorités intérimaires, le décret d’application de la loi, …) auxquels elle se rapporte avant d’y répondre.

        Vous sous-entendez que chaque partie choisira ses représentants dans les autorités intérimaires au sein d’elle-même, ce qui ne doit pas se faire compte-tenu du protocole d’entente.

        C’EST A TRAVERS UN CONSENSUS ENTRE LE GOUVERNEMENT, LA PLATEFORME ET LA CMA QUE SERONT CHOISIS LES MEMBRES DES AUTORITÉS INTÉRIMAIRES.

        Ce que beaucoup de gens, dont vous-même, oublient, ce sont les ressortissants (membres de la SOCIÉTÉ CIVILE dont des réfugiés Maliens de retour) de telle ou telle région ou de telle ou telle commune mais aussi les agents des services déconcentrés de l’État et les conseillers sortants, qui feront partie des autorités intérimaires.

        Les MEMBRES de la Plateforme, de la CMA et du Gouvernement, NE FERONT PAS PARTIE de ces autorités intérimaires.

        Les membres des autorités intérimaires sont/seront choisis à travers un CONSENSUS entre les trois parties prenantes.

        METTONS LA VÉRITÉ EN AVANT : ACCORDONS-NOUS SUR L’ACCORD DE PAIX, SON CONTENU, LA LOI ET LE DÉCRET POUR LA MISE EN PLACE DES AUTORITÉS INTÉRIMAIRES ET LE PROCESSUS D’ENTENTE ENTRE PARTIES PRENANTES, EN PARTICULIER, SUR LE CHOIX DES MEMBRES DES AUTORITÉS INTÉRIMAIRES.

        Ces dernières (LES AUTORITÉS INTÉRIMAIRES) ont une existence limitée : jusqu’à la fin des élections régionales et, au plus, jusqu’à la fin de la période intérimaire.

        Évitons les amalgames afin de se comprendre, entre frères et sœurs Maliens, indépendamment des bords politiques.

        LE FRÈRE 1FILSDUMALIBA A RAISON, UN SEUL MOT DOIT RÉSUMER NOTRE ATTITUDE : RASSEMBLER (TOUS LES MALIENS POUR AVANCER, ENSEMBLE, EN HARMONIE).

        RASSEMBLONS-NOUS, INDÉPENDAMMENT DES BORDS POLITIQUES, AUTOUR DE L’ACCORD DE PAIX ET SA MISE EN ŒUVRE, DONT LES AUTORITÉS INTÉRIMAIRES, POUR LE BONHEUR DES MALIENS.

        Bien cordialement
        Dr ANASSER AG RHISSA
        Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
        E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
        TEL 00223 95 58 48 97

  2. Bonsoir,
    Merci aux uns et aux autres pour vos contributions.

    Fassakênê se croit tout permis.

    D’abord, en tentant de me priver de ma liberté d’expression.

    Ensuite, en m’insultant, en faisant des amalgames et en disant de contre vérités.

    Fassakênê, sachez que je ne suis pas votre garçon ni votre jeune frère pour me manquer de respect ou dire ce que vous voulez de moi comme vous le faites.

    Je dois, probablement, avoir, au moins, l’age de votre père.

    Avec mes cinquante huit ans, vous me devez, sûrement, du respect.

    COMME VOUS N’AIMEZ PAS L’ACCORD DE PAIX, AU LIEU DE VOUS FOCALISEZ SUR LE CONTENU DE LA LETTRE OUVERTE, QUE VOUS N’AVEZ, SÛREMENT, PAS LU, VOUS PRÉFÉREZ RECOURIR A DES AMALGAMES, INSULTES ET CONTRE VÉRITÉS.

    Vous cherchez un bouc émissaire pour expliquer votre comportement malsain.

    Pourquoi, un tel comportement ?

    Compte-tenu de votre comportement, l’inclusivité, que vous détestez, pourrait vous ramenez dans la République, vous, qui en êtes exclu.

    Changez de comportement et ouvrez-vous aux autres pour bâtir, ensemble, le Mali.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
    TEL 00223 95 58 48 97

  3. Ce garçon est un grand malade.
    Très cher Expert en TIC, gouvernance sécurité et tralala ..est ce que cela ne serait judicieux et surtout “inclusive” pour vous d’aller voir un psychiatre ?
    C’est pas normal qu’une seule et même personne consacre autant de temps à écrire une suite ininterrompue d’un charabia incompréhensible truffés de mots les uns plus lourds que les autres.
    A cause de vous et de beaucoup d’autres personnes, je ne supporte plus le mot: inclusif..je ne sais même plus qu’est ce que cela veut dire parce qu’on le met à toutes les sauces.
    Personnellement, je trouve tout cela très grave

    • Bonjour,
      Merci Fassakênê de votre message et de vos amalgames.

      Vous, qui voulez marginaliser, à tort, c’est normal que vous ne supportiez pas le mot inclusif car votre agissement est le contraire de la signification de ce mot.

      Vos amalgames malsains nous éloignent du contenu de cette lettre ouverte.

      Contrairement à votre attitude, nous devons militer pour la cohésion sociale et cultiver le vivre ensemble.

      En mettant le Mali en avant, engageons-nous, TOUS/TOUTES, indépendamment des bords politiques, pour la mise en œuvre INCLUSIVE de l’accord de paix.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
      TEL 00223 95 58 48 97

  4. Bonjour,
    En indexant le fait que ma lettre ouverte soit adressée au Président, au Haut Représentant du Président, au Premier Ministre, au CSA et aux partenaires, tout en oubliant qu’elle est aussi adressée à TOUS les Maliens, certains internautes pensent qu’ils ont le droit de me priver de ma liberté d’expression en m’empêchant d’apporter ma contribution en réagissant aux critiques acerbes de Dr FOMA Brahima.

    Ces critiques sont contre la mise en œuvre de l’accord de paix, des autorités intérimaires et des décrets de nomination des membres de ces dernières, en disant qu’ils sont illégaux et qu’il existe une cacophonie et un bricolage juridiques au sommet de l’État.

    Où mettez-vous ma liberté d’expression ?

    Vous voulez m’empêcher de donner mon opinion sur un sujet d’intérêt général et de faire connaitre, à qui de droit, cette opinion ?

    Contribuons tous, indépendamment des bords politiques, à la mise en œuvre de l’accord de paix, en particulier, à la mise en place des autorités intérimaires.

    Je lance un APPEL à tous ceux qui soutiennent l’accord de paix et à ceux qui mettent le Mali en avant : Utilisons, entre autres, notre liberté d’expression pour protéger l’accord de paix contre tous ses détracteurs et pour contribuer à faire avancer sa mise en œuvre.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et sécurité
    E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
    TEL 00223 95 58 48 97

    • Tous ceux qui critiquent l’accord de paix ne le font pas pour un plaisir malsain. Ils ont de réelles inquiétudes et ils savent que cet accord a été forcé par l’utilisation des armes. Cet accord cherche à créer des injustices dans le pays, prétendant réparer des injustices qui n’ont jamais existé. Les gens ont ce sentiment et c’est pourquoi quelques soient les mots savants concoctés je ne pense pas que vous puissiez convaincre les autres maliens. Bien sûr, le gouvernement est partant parce qu’il n’a pas le choix.

      • Bonjour,
        Merci Tienkafo de votre contribution.

        Chacun(e) a le droit d’avoir sa position par rapport à l’accord de paix MAIS il doit y avoir le respect mutuel.

        Sachant que certains, en particulier, de l’opposition, n’ont pas participé aux pourparlers inclusifs inter-Maliens et aux tables rondes auxquelles ils étaient invités, si ces derniers et ceux qui ont des inquiétudes placent le Mali en avant, nous devons nous retrouver sur cette base à travers la conférence d’entente nationale pour choisir la stratégie la mieux adaptée pour, entre autres, mettre en œuvre l’accord de paix.

        Ce dernier est un CANEVAS qu’on peut utiliser pour répondre aux besoins des populations Maliennes.

        Mettons le Mali en avant et retrouvons-nous sur cette base.

        Cher frère, l’accord est issu d’un compromis entre parties prenantes Maliennes sous la supervision de la médiation internationale.

        EN PRINCIPE, IL DOIT ÊTRE ACCEPTÉ PAR TOUS.

        Il met en avant la libre administration des régions et communes dans le cadre de la décentralisation poussée dans un Mali Un et Indivisible sans fédération.

        Comme l’a proposé l’opposition et comme, moi aussi, je l’avais proposé avant les pourparlers d’Alger, les concertations nationales étaient adaptées avant ces pourparlers pour avoir une position commune ou parler d’une même voix comme vous le dites mais MAINTENANT qu’un compromis, entre parties prenantes maliennes sous la supervision de la médiation internationale, a abouti à un accord de paix, elles ne sont plus adaptées à la situation actuelle.

        Ceci à cause, entre autres, (1) de la complexité de ces concertations nationales, (2) du gâchis en ressources et en temps induit pour aboutir à l’accord de paix déjà signé et aux préparatifs pour sa mise œuvre et (3) du fait qu’on n’est pas sûr d’aboutir, à court terme et même à moyen terme, à des résultats significatifs meilleurs que l’accord de paix qui a déjà été signé.

        C’est pourquoi, une conférence d’entente nationale a été retenue par l’accord de paix, déjà signé, pour échanger sur tout ce qui est relatif à la mise en œuvre de cet accord, comment rendre optimale l’inclusivité (utilisation d’une méthodologie inclusive pour une participation optimale de toutes les communautés Maliennes et dans toutes régions du Mali pas seulement celles du nord du Mali) et sur la validation éventuelle de l’appellation Azawad pour désigner les régions du nord du Mali.

        Bien cordialement
        Dr ANASSER AG RHISSA
        Expert TIC, Gouvernance et Sécurité

  5. UNE LETTRE OUVERTE QUI S’ADRESSE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE MAIS EN MÊME TEMPS EST UNE RÉPLIQUE À QUELQU’UN D’AUTRE? C’EST QUOI CETTE FOUTAISE?

    • Bonjour,
      Merci,DIAFAR, de votre contribution.

      Ces répliques aux critiques de Dr FOMBA Brahima, ne sont pas portées contre sa personne mais contre ses critiques voulant mettre à plat les efforts des Maliens et de la communauté internationale sur l’accord de paix et sa mise en œuvre.

      Cette lettre est adressée au Président, au Haut Représentant du Président pour la mise en œuvre de cet accord, au Premier Ministre, aux Maliens et aux partenaires car elle se focalise sur la légalité de l’accord de paix et de sa mise en œuvre or TOUS CES RÉCIPIENDAIRES TIENNENT A CET ACCORD qui est issu d’un consensus, à travers des pourparlers inclusifs inter-Maliens, et est signé par les parties Maliennes sous la supervision de la médiation internationale.

      La moindre des choses, c’est que ces récipiendaires soient informés des critiques de ceux qui tentent de remettre en cause sa mise en œuvre qui vient de connaître une avancée très importante à travers les autorités intérimaires que Dr FOMBA Brahima qualifie d’illégales et de bricolage juridique au sommet de l’État pour les décrets de nomination des membres des autorités intérimaires et des conseillers spéciaux auprès du Représentant de l’État dans les collectivités territoriales.

      Ce n’est pas de la foutaise d’agir de la sorte.

      Il y a bien un intérêt à ce qu’ils soient au courant des critiques qui tentent de bloquer la mise en œuvre de l’accord, en particulier, la mise en place des autorités intérimaires.

      Ce n’est pas sérieux ni respectueux de tous ceux qui ont un espoir sur cet accord et ceux qui ont pris le temps de le concevoir et de prendre les décisions idoines pour sa mise en œuvre pour le bonheur des Maliens.

      Que proposez-vous ?

      Qu’on arrête tout.

      Comme pour Dr FOMBA, mes répliques se basent sur la loi MAIS aussi sur la légitimité de l’accord et des autorités intérimaires dont il ne parle pas.

      Je rappelle que l’article 3 de l’accord protège ce dernier contre toute violation de la constitution. La mise en œuvre graduelle de l’accord tiendra compte de cela.

      Mes répliques se basent aussi sur la loi, qu’il cite, sur la mise en place des autorités intérimaires, son décret d’application et son lien avec le protocole d’entente pour rendre légal les autorités intérimaires, en plus, de leur légitimité.

      La légitimité du protocole d’entente se fonde sur l’aspect consensuel entre parties prenantes Maliennes de ce dernier et le choix des membres des autorités intérimaires parmi les membres de la société civile et des communautés des collectivités territoriales, des agents des services déconcentrés de l’État et des conseillers sortants.

      Étant plus d’être plus large que la légalité, la légitimité ne se fonde pas que sur le droit, elle peut être caractérisée par divers critères (consensus, appuis, tradition, …).

      La loi sur la mise en place des autorités intérimaires a été promulguée par le Président de la République, validée par l’assemblée nationale et la cour constitutionnelle.

      Cette dernière n’a pas pris en compte les amendements de ceux, comme Dr FOMBA et l’opposition, qui voulaient la rejeter.

      Ayant échoué devant la cour constitutionnelle qui est garante de la constitutionnalité de cette loi, on vient maintenant ramener le débat sur la place publique.

      Respectons les arrêts rendus par la cour constitutionnelle et la légitimité de notre accord de paix et de sa mise en œuvre.

      Bien Cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, Gouvernance et Sécurité

  6. VIVE LE MALI LIBRE, DANS UNE AFRIQUE LIBRE ! !

    NYAMANTO SOGODOGO
    JARDINIER ET BUCHERON Á TOMINIAN
    CERCLE DE SAN, RÉGION DE SÉGOU.

    • Bonsoir,
      Merci NYAMANTO DE TOMINIAN de votre souhait.

      Vous avez raison, mais, militons TOUS/TOUTES pour que le Mali soit toujours libre en gardant sa souveraineté.

      A travers la notre, nous devons tous/toutes contribuer à cette souveraineté.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
      TEL 00223 95 58 48 97

  7. IL EST TEMPS DE CONTRIBUTION POUR CERTAINS, DE CRITIQUES STERYLES POUR D’ AUTRES POUR NOUS ILEST TEMPS DE SE HISSER HAUT ET TOUS, QUI EST EN RETARD? LA BONNE VOLONTE EST HUMBLE.
    AUSSI TRES PEU DE MALIENS ONT ACCES A L’ INTERNET ET DERIVES QUI N’ EST POINT UN ESCALIER D’ ACCES PLUS HAUT QUE LA MARMITE INTERNET QUI NOUS ENTRETIENT NOTRE MINORITE INTELECTUELLE / PSEUDO

    • Bonsoir,
      Merci Rod de votre commentaire.

      Vous avez raison, nous devons tous/toutes prendre de la hauteur pour que, indépendamment des bords politiques, on puisse mettre le Mali en avant.

      Pour ce faire, militons pour la mise en place des autorités intérimaires afin d’aboutir à des autorités démocratiques pour gérer les collectivités territoriales du Mali.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, gouvernance et Sécurité
      TEL 00223 95 58 48 97

  8. Quelle foutaise tout ce Charabia sans queue ni tête !
    Continuez à nous entretenir de MOC de DDR d’inclusivité et de désinclusivité. Cela nous interesse fortement.
    Des hurluberlus rêveurs qui se disent Docteur, Expert spécialiste en TIC & TOC.
    Voulez vous nous épargner vos reflexions indigestes propre à assommer un éléphant ?
    Les accords de paix avec signature et ronflon sont du cinéma pour amuser la galérie . Depuis quand signte-t-on des documents avec des groupements de va-nu-pieds ?

    • Bonjour,
      Merci Fassakênê de votre message.

      Vous oubliez que l’accord de paix a une légitimité.

      Il est issu d’un compromis via les pourparlers inclusifs inter-Maliens structurés en regroupements ou parties Maliennes (CMA, Plateforme et État), sous la supervision de la médiation internationale.

      Vous qualifiez de va-nu-pieds tous ces Maliens, incluant, entre autres, des Ministres, des conseillers des institutions Maliennes, des citoyens de la société civile, des membres de partis politiques et des membres des mouvements armés et d’auto-défense ?

      Le respect s’impose devant ceux qui ont pris de leur temps pour concevoir cet accord de paix pour le bonheur des Maliens.

      Je vous rappelle comment ils ont procédé et comment ils procèdent actuellement :

      1. Une méthodologie inclusive a été utilisée à travers les pourparlers inclusifs et les rounds pour prendre en compte des recommandations des forces vives.

      Les millions des Maliens ne peuvent pas TOUS concevoir l’accord sachant qu’un référendum est trop lourd pour ça car exigera une proposition à soumettre aux Maliens à travers le référendum : on utilisera bien une méthodologie inclusive pour ce faire.

      Il existe trois sortes de méthodologies inclusives :

      – soit celle qu’à utiliser le gouvernement et les pourparlers inclusifs : qu’on peut appeler top-down,

      – soit celle que propose l’opposition de bas vers le haut (bottom-up),

      – soit le mélange des deux : celle que moi j’avais proposé au moment de la conception de l’accord de paix et que je propose pour la conférence d’entente nationale inclusive.

      Comme je l’avais répondu à l’opposition et au chercheur français, Joseph Brunet-Jailly, aucune des deux premières méthodologies n’a été jugée, scientifiquement, plus efficace que l’autre.

      D’où la proposition de ma méthodologie inclusive qui combine les deux approches en bénéficiant des avantages de l’une et de l’autre.

      VOUS TROUVEREZ, CI-DESSOUS, MES RÉPLIQUES AUX CRITIQUES DU CHERCHEUR, FRANçAIS, JOSEPH BRUNET-JAILLY ET DE L’OPPOSITION SUR LA MÉTHODOLOGIE ET L’INCLUSIVITÉ, QUE VOUS INSINUEZ A TRAVERS VOTRE CONTRIBUTION.

      http://www.maliweb.net/lettres-ouvertes/accord-dalger-pour-la-paix-et-la-reconciliation-au-mali-repliques-de-dr-anasser-ag-rhissa-a-un-changement-du-processus-et-de-methode-du-projet-daccord-943402.html

      2. Certaines dispositions de l’accord de paix peuvent être mises en œuvre avant la modification de la constitution et sa validation par référendum.

      LE RÉFÉRENDUM VIENDRA POUR VALIDER CETTE CONSTITUTION MODIFIÉE PAR LE GROUPE D’EXPERT CHOISI A CET EFFET : VOIR OU REVOIR CETTE LETTRE OUVERTE.

      Nous ne sommes plus à l’étape de conception de l’accord, ni à celle du référendum (qui viendra plus tard), entendons-nous sur la mise en œuvre de l’accord de paix et avançons en harmonie.

      La mise en œuvre de l’accord intègre l’organisation d’une conférence nationale inclusive et d’un référendum pour la validation de la constitution modifiée.

      Vous voyez, donc, qu’en plus de la légitimité dès la conception de l’accord et sa signature, cette légitimité s’étendra via la conférence nationale inclusive et le référendum.

      En plus, la légalité des autorités intérimaires et des décrets de nomination de leurs membres est assurée à travers le lien entre le protocole d’entente et le décret d’application de la loi sur les autorités intérimaires.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
      TEL 00223 95 58 48 97

  9. Les malveillances sont des obscurités sur le passage des paisibles citoyens que la réplique et la bienveillances des bonnes volontés éclaireront à chaque fois que besoin sera. Plus jamais un Dr Fomba et ses semblables ne noieront notre poisson dans son eau car il y aura toujours des lumières comme Dr Ag Rhissa pour édifier les citoyens.

    • Bonjour,
      Merci Balantigui de votre contribution et du fait de reconnaitre ma bienveillance et la lumière que j’apporte pour éclairer les citoyens à travers la vérité sur les autorités intérimaires et les décrets de nomination associés.

      Que la lumière de DIEU éclaire nos cœurs et nous guide sur le bon chemin. Le chemin de la vérité.

      AMINE.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, Gouvernance et sécurité
      E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
      TEL 00223 95 58 48 97

      • AS-TU LA POSSIBILITE D’ ETRE PARMI EUX? DOC,VAS-Y!
        DIEU?
        AMEN?
        VOUS ALEZ COMENCER A NOUS PRECHER?
        NEXT WILLBE TAKING WEAPONS?
        ….COOL DOWN DOC

        • Bonjour,
          Merci Rod de votre commentaire.

          Rod, je suis un musulman modéré comme la plupart des Maliens mais je ne suis pas un islamiste.

          Ce dernier s’appuie sur une charia dévastatrice pour agir.

          La religion musulmane est, contrairement à ce que vous croyez, une religion de tolérance et de respect de l’autre (même s’il est d’une autre confession).

          Ses adhérents ne forcent personne à y adhérer.

          Le fait de souhaiter que DIEU nous guide vers le bon chemin ne veut pas dire que je prêche pour quiconque.

          Vous croyez que tout croyant OU tout musulman prendra des armes ?

          Détrompez-vous.

          Le Mali est un pays à dominante musulmane mais cette majorité ne prendra pas les armes.

          Notre religion est modérée, ce n’est pas comme les islamistes qui utilisent la charia dévastatrice.

          Ouvrons-nous les uns aux autres et ne faisons pas d’amalgames.

          Bien cordialement
          Dr ANASSER AG RHISSA
          Expert TIC, Gouvernance et sécurité
          TEL 00223 95 58 48 97

          • Bonjour,
            Ce que j’ai dit plus haut est aussi valable pour la religion chrétienne.

            Bien cordialement
            Dr ANASSER AG RHISSA
            Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
            TEL 00223 95 58 48 97

          • Dr Nasser, ce vous dites ici n’est supporté ni par le présent ni par l’histoire de cette religion. C’est ridicule de dire cela aujourd’hui. Qu’est ce vous appelez musulman modéré?

          • Bonjour,
            Merci Tienkafo de votre message.

            Un musulman modéré est un musulman qui pratique normalement (avec tolérance, sans déranger les autres, respect mutuel, …) sa religion en n’acceptant pas les mutilations comme l’exige la charia dévastatrice.

            CONTRAIREMENT A CE QUE VOUS CROYEZ, LA RELIGION MUSULMANE EST TOLÉRANTE ET EXIGE LE RESPECT DE SON PROCHAIN.

            Bien cordialement
            Dr ANASSER AG RHISSA
            Expert TIC, Gouvernance et sécurité
            TEL 00223 95 58 48 97

          • peut-on pratique normalement la religion musulmane tout en reniant la charia ?
            La réponse est non

          • Bonjour,
            Vous avez raison, la religion musulmane intègre sa loi qui est la charia, qui est modérée : la charia de base, celle qui est dans le coran.

            Mais, certains acteurs (islamistes, …) ont transformé cette charia en une sorte de charia dévastatrice, c’est-à-dire une charia qui accepte des mutilations (en cas de fornication, par exemple, main et jambe opposés sont coupés au lieu de coups de fouets en public comme le stipule la charia modérée de base), des flagellations, …

            Bien cordialement
            Dr ANASSER AG RHISSA
            Expert TIC, Gouvernance et sécurité
            TEL 00223 95 58 48 97

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