Pas de prime à l''impunité pour Oumar Mariko

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Pour avoir écrit, noir sur blanc, que l”assassinat du soi-disant secrétaire général de Sadi à Niono, relève purement et simplement d”un règlement de compte familial et non d’un complot politique, le docteur Oumar Mariko, tel un chien enragé, continue de déverser sa bile sur votre quotidien préféré et sur son directeur. Chaque jour que Dieu fait Radio Kayira, la radio du diable, qui n”a rien à envier à "Radio Mille Collines" au temps du génocide de 1994 au Rwanda, dégoise des insanités sur les ondes, abreuvant les auditeurs de mensonges sur cette affaire pourtant claire comme une eau de roche.

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Contre vents et marées, Mariko veut politiser une affaire qui relève de la simple police. Parce que tout simplement, la politique c”est son fonds de commerce et c”est sa raison de vivre. De Moussa à ATT en passant par Alpha Oumar Konaré, ça lui permet d”insulter tous les régimes et de bafouer toutes les institutions de la République. Depuis que ce grand gosse a trôné au CTSP, on savait que plus tard le diable surgirait de sa boîte.

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Aujourd”hui encore plus qu”hier au temps des barricades, tel un enfant maudit par ses parents, il continue d”insulter ses pères et ses mères, ses oncles et ses tantes. Ne parlons pas de ses grands-frères et grandes-sœurs. Le docteur Choguel Maïga garde les pires souvenirs de ce sinistre individu lorsqu”au temps du Coppo, Mariko le traitait de tous les noms d”oiseau parce qu”il revendiquait l”héritage de l”UDPM. Mais, entre Choguel et Mariko, c”est comme la distance entre le ciel et la terre. Si le tigre en chef a changé, s”étant rendu compte que Moussa ne fait plus recette, il n”en va pas de même du secrétaire général de Sadi. Et pour cause : c”est parce qu”en politique, seuls les imbéciles ne changent pas.

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A cet âge et en toute immaturité, Mariko continue de tirer sur tout ce qui bouge. Même sur les cadavres. Et pour assouvir ses fantasmes, il n”hésite pas à employer des méthodes dignes de Goebbels au temps du règne nazi : l”intox et la manipulation, le faux et l”usage du faux. Ce faisant, il se présente aux hommes sous les traits de Zorro, le justicier masqué qui défend les causes justes alors que derrière l”ange qu’il veut paraître dissimule cache la bête immonde.

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En fait Mariko n”est ni Trinita, ni Zapata qui a défendu au prix de sa vie les intérêts des paysans mexicains. Les six députés qu”il a eus à Koutiala l”ont lâché parce qu”ils savent que l”homme ne vaut pas un clou. En désespoir de cause, il s”est rabattu sur son fief natal de Kolondiéba, pour se faire élire à l”Assemblée nationale. Mais Mariko à Bagadadji, c”est comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Déjà, il a envoyé ses premières salves, en bon nihiliste disciple de Bakounine, comme pour se signaler à l”attention de cette auguste assemblée.

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Ses vociférations et ses imprécations iront encore plus loin parce que Mariko, trop imbu de sa personne, ne souffre pas la contradiction. Il ne comprend surtout pas qu”à l”heure de la démocratie et de la liberté d”expression, un journal a le devoir d”informer vrai et d”informer juste ses lecteurs. Ce combat va continuer. Quel qu”en soit le prix. Pour la crédibilité de votre quotidien préféré, pour la simple raison que nous sommes la voix des sans voix. Certains lecteurs nous ont demandé de ne pas répondre à Mariko parce que, disent-ils, ””répondre à un âne c”est se mettre à son niveau””.

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Mais si nous adoptons la maxime qui dit que ””le chien aboie, la caravane passe””, n”est-ce pas accorder une prime à l”impunité dont Mariko a toujours bénéficié au Mali ? Surtout que celui qui se prend pour le seul tombeur de Moussa, l”éternel étudiant, continue de foncer, tête baissée, dans les errements et turpitudes. Or persévérer dans l”erreur, c”est, dit-on, le fait du diable. Ne veut-il pas entraîner dans le même gouffre et par désir paranoïaque les membres de l”opposition constructive regroupés au sein du FDR en tenant un meeting prochainement à Niono ? Que dira l”homme au cours de ce meeting ? Rien de nouveau sauf ce qu”il a toujours ressassé à savoir que l”assassinat du soi-disant secrétaire général de son parti dans cette localité obéit à des motifs purement politiques. Ce faisant, il veut incriminer, vaille que vaille, le régime ATT à travers les politiciens locaux.

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Fort heureusement, votre journal, à travers son envoyé spécial sur le terrain, a fait toute la lumière sur cette affaire. Et tous les témoignages recueillis auprès de la police, de la gendarmerie, du Préfet du Cercle, de la mairie de Niono que nous avons déjà publiés indiquent qu”il s”agit d”un cas de parricide. Ni plus ni moins. Et jusqu”à plus ample informés, nous nous en tenons à cette version. Mariko perd donc son temps à aboyer.                                         Kélétigui TRAORE

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