Dr ANASSER AG RHISSA, Expert TIC, Gouvernance, Sécurité et DD
Lettre ouverte en ligne adressée à son Excellence le Secrétaire Général des Nations Unies, à son Représentant au Mali, au Président Français, au Président du Mali, au Premier Ministre du Mali, au Président de l’assemblée nationale du Mali, au Haut Représentant du Président de la République pour la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali, au CSA (Comité de Suivi de l’Accord), au Ministre de la réconciliation nationale, de la paix et de la cohésion sociale, au Ministre de l’administration territoriale et décentralisation, au Ministre de la défense, au Ministre de la sécurité et de la protection civile, au CNCA, aux partis politiques, aux groupes armés et d’autodéfense, aux régions incluant le district de Bamako et aux communes du Mali, aux notabilités de Bamako, du Mali et aux religieux du Mali, à tous les Maliens, à tous les Partenaires (ONU/MINUSMA, BARKHANE, OIF, …), au G5 Sahel et aux médias.
L’accord pour la paix et la réconciliation au Mali est doté, depuis le 15 octobre 2018, d’un pacte pour la paix dont l’objectif est de garantir les engagements de ses parties prenantes et des acteurs pour sa mise en œuvre diligente, intégrale et inclusive.
Dr Anasser Ag Rhissa se félicite du fait que la stratégie multi-acteurs pour la garantie de ces engagements, qu’il avait proposée en 2015, voir ci-après, soit retenue par l’ONU en 2016 et validée en 2018 sous forme du pacte pour la paix au Mali.
Je remercie la France et l’ONU pour les résolutions ayant permis (1) de valider ce pacte pour la paix à partir de la proposition que j’avais faite en 2015 et (2) de garantir son application.
Comment est arrivée l’idée d’un tel pacte pour la paix au Mali ?
Ayant abouti à un consensus entre parties prenantes Maliennes sous la supervision de la médiation internationale à travers la signature en 2015 d’un accord pour la paix et la réconciliation issu des pourparlers inter-Maliens d’Alger, il était normal, pour les parties prenantes, la médiation (ONU, …) et les acteurs, de réfléchir à des stratégies pour garantir sa mise en œuvre diligente, intégrale et inclusive.
L’expert Malien, Dr Anasser Ag Rhissa, a proposé, dans une lettre ouverte en ligne, une telle stratégie multi-acteurs au Président Malien, aux Maliens et aux partenaires (ONU/Minusma, CEDEAO, UE, UA, …), le 21 SEPTEMBRE 2015 : voir cette proposition à l’adresse suivante :
Comment garantir le respect de l’accord de Bamako ET l’engagement des parties prenantes ?
Cette lettre ouverte publiée, le 21 SEPTEMBRE 2015, tente de donner des éléments de réponse à cette question.
Elle est le fruit des réponses que j’ai apportées, à des Maliens, à des partenaires, à des journalistes et à des internautes, à la suite de plusieurs lettres ouvertes, que j’ai adressées en ligne au Président du Mali, aux Maliens et aux Partenaires, au sujet de mes propositions pour la mise en œuvre et le suivi de l’accord de Bamako et de mes répliques à certaines critiques de cet accord.
Je les remercie pour leurs fructueuses contributions et leur amour du Mali.
Dr Anasser Ag Rhissa s’est félicité du fait que la stratégie multi-acteurs pour garantir l’engagement des parties prenantes et des acteurs concernés pour une mise en œuvre diligente, intégrale et inclusive de cet accord de paix, qu’il avait proposée en 2015 soit retenue par l’ONU en 2016 et validée en 2018 sous forme du pacte pour la paix au Mali.
- Garantie de l’engagement des parties prenantes, Sanctions et Viabilité du pacte pour la paix
Selon le bilan des trois ans et demi de la mise en œuvre de l’accord de paix depuis sa signature en 2015, publié en février 2019, par l’Observateur Indépendant de ce dernier, plus d’un quart (près de 25,64 %) des engagements de cet accord ont été réalisés soit vingt (20) engagements sur soixante dix huit (78).
Ce qui montre qu’une stratégie est indispensable pour garantir les engagements des parties prenantes et des acteurs, en particulier les engagements restants (moins des trois quarts (74,36 %)), d’où l’intérêt de ce pacte pour la paix.
La signature du pacte pour la paix entre les parties prenantes à l’accord de paix (accord de Bamako issu du processus d’Alger) est un tournant décisif et une stratégie pour garantir l’engagement des parties prenantes et des acteurs concernés pour une mise en œuvre diligente, intégrale et inclusive de cet accord.
Par manque d’une telle stratégie, l’accord de paix avait accusé des retards énormes et induit des mésententes entre parties prenantes.
Ce pacte permet d’accélérer la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation en fixant une vision et un objectif précis pour les acteurs (parties prenantes, médiation, …) assorti d’un chronogramme, de critères de suivi/évaluation pour valider, honnêtement et sans complaisance, le bon déroulement de la mise en œuvre de l’accord de paix et des sanctions, après des enquêtes sérieuses, si une partie prenante ou un acteur empêche le bon déroulement de cet accord.
La résolution 2423 (2018) de l’ONU a prolongé d’un an (jusqu’au 30 juin 2019) le mandat de la MINUSMA au Mali en attirant l’attention de la nécessité de progrès tangibles (voir les mesures prévues dans la résolution 2374 (2017) de l’ONU) dans la mise en œuvre de l’accord de paix : une période de six mois est accordée pour ce faire après l’investiture du Président élu en 2018.
En Aout 2018, un régime général de sanctions, visant le Mali et les acteurs engagés dans l’accord de paix ou perturbant son fonctionnement, a été prorogé d’un an par l’ONU. Un rapport d’experts sur les sanctions a été produit en indexant certains acteurs (membres de mouvements armés ou d’auto-défense Maliens, …) qui nuisent à la mise en œuvre de l’accord de paix en se livrant à des activités terroristes ou criminelles.
Vu ces indexations, ces menaces et les craintes induites (mesures et sanctions), des résultats tangibles, sur l’engagement et l’implication des acteurs, sont visibles depuis quelques mois.
Par la suite trois acteurs, membres de trois mouvements armés et d’auto-défense Maliens, CPA, GATIA et HCUA, ont été frappés, le 20 Décembre 2018, par la sanction d’interdiction de voyager (cf la résolution 2374 (2017) définissant les sanctions possibles).
Ces derniers pensent avoir été frappés par cette sanction à tort.
C’est pourquoi, pour la viabilité de ce pacte pour la paix et pour renforcer la confiance en ce pacte par les parties prenantes et les acteurs, il serait souhaitable que des enquêtes sérieuses (associant les intéressés avant la publication des résultats de l’enquête) soient menées avant la validation, la publication et l’application de ces sanctions à un acteur donné ou à une entité donnée.
- Dr Anasser Ag Rhissa réclame la paternité du Pacte pour la paix et la reconnaissance associée
Comme vu précédemment et dans les lettres ouvertes (1) et (2) publiées en octobre 2018, voir les références, Dr Anasser Ag Rhissa s’est félicité et se félicite du fait que la stratégie multi-acteurs pour garantir l’engagement des parties prenantes et des acteurs concernés pour une mise en œuvre diligente, intégrale et inclusive de cet accord de paix, qu’il avait proposée en 2015 soit retenue par l’ONU en 2016 et validée en 2018 sous forme du pacte pour la paix au Mali.
L’Expert Dr Anasser Ag Rhissa, membre de la société civile, réclame la paternité de cette stratégie multi-acteurs qui est le cœur du pacte pour la paix au Mali et la reconnaissance associée.
Déjà le 01 septembre 2018, étant invité, en tant qu’expert, du journal sur MIKADO FM, Radio des Nations Unies et de la Minusma au Mali, j’avais parlé de ma paternité de ce pacte pour la paix au Mali. J’avais analysé les évènements de la semaine, au Mali et dans le monde, qui se sont produits du 24 aout au 01 septembre 2018 incluant l’arrivée au Mali de Jean-Pierre Lacroix, Secrétaire Général Adjoint aux opérations de maintien de la paix de l’ONU, pour lancer la dynamique autour de ce pacte pour la paix et pour sensibiliser les acteurs Maliens au plus haut niveau.
Lors de sa mission au Mali du 31 aout au 05 septembre 2018, accompagné par Mahamat saleh Annadif, Chef de la Minusma, Représentant au Mali du secrétaire général des Nations Unies, il a rencontré les autorités nationales, régionales et locales, les mouvements armés et d’autodéfense Maliens signataires de l’accord de paix et des membres de la société civile.
Cette mission commencée le 31 aout 2018 par une rencontre avec le Premier Ministre se termine le 05 septembre 2018 par un point de presse et par la rencontre avec le Président réélu, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), du Mali.
Les échanges ont porté, entre autres, sur la mise en œuvre de l’accord de paix et le pacte pour la paix au Mali.
Son message à tous se focalise sur la détermination de l’ONU à accompagner le Mali sur le chemin de la paix, de la concorde et de la stabilité.
Ce chemin exige l’application du pacte pour la paix afin de garantir les engagements des parties prenantes et des acteurs pour la mise en œuvre diligente, intégrale et inclusive de l’accord de paix.
Lors d’une conférence de presse à Bamako, le 05 Septembre 2018, Jean-Pierre Lacroix a dit : « Tout en renouvelant le mandat de la MINUSMA, le Conseil de sécurité a lancé un message d’urgence quant à la nécessité dans les six prochains mois de réaliser des progrès substantiels et concrets dans la mise en œuvre de l’accord de paix ». Il a encore ajouté que le conseil de sécurité de l’ONU a clairement stupilé que la MINUSMA « n’a de sens et de raison d’être que si elle s’appuie sur un processus politique qui avance, sur la volonté active des parties de le mettre en œuvre ».
Il a rappellé que le Président de la République, lors de son intervention, juste après sa prestation de serment, le 04 septembre 2018, auquel il a participé, a clairement indiqué que sa priorité numéro 1 allait à la mise en œuvre de l’Accord de paix et c’est aussi un message que nous entendons de la part des parties signataires et c’est aussi un message que nous entendons de la part de toutes les Maliennes et tous les Maliens que nous avons rencontré.
Autrement dit, ce message, ce sentiment d’urgence, ce sentiment qu’il y a un impératif à avancer très vite et de manière très concrète dans la mise en œuvre de cet accord, c’est une préoccupation que nous entendons de toute part.
Pour l’apaisement de la situation politique au Mali, dont dépend l’avancement du processus politique dont il a parlé, il a déclaré que pour relever les défis liés au retour à la paix au Mali, le rôle de l’opposition démocratique est important.
Ainsi, le contenu du pacte pour la paix, dont l’inclusivité est un facteur clé, a été résumé de façon concrète et didactique par Jean-Pierre Lacroix, accompagné par son infatigable avec son sens du détail et son sérieux, représentant du secrétaire général de l’ONU, Mahamat Saleh Annadif, Chef de la Minusma, en lançant cette dynamique de communication et de sensibilisation au plus haut niveau et en touchant toutes les couches et tous les acteurs.
Qu’ils en soient remerciés.
Jean-Pierre Lacroix a résumé sa mission en disant que « le message fondamental, que nous avons voulu exprimer auprès de nos interlocuteurs Maliens c’est : oui, il y a cette urgence exprimée et ressentie par tous et les Maliens au premier chef mais il y a aussi de notre côté une détermination à vous aider, vous les Maliens, pour retrouver la paix, la concorde, la stabilité ».
Ce pacte pour la paix a été signé, le 15 octobre 2018, entre les Nations Unies (ONU), le gouvernement Malien représenté par le Ministre de la réconciliation nationale, de la paix et de la cohésion sociale et plus tard entre le gouvernement et les mouvements armés et d’autodéfense Maliens signataires de l’accord de paix.
J’avais sollicité une collaboration, sur la base de ce pacte pour la paix et de cet accord de paix, avec la Présidence au Mali, la Primature et le Ministère de la réconciliation nationale, de la paix et de la cohésion sociale du Mali.
Suite à un rendez-vous en septembre 2018 avec le Ministre de la réconciliation nationale, de la paix et de la cohésion sociale concernant une telle collaboration, j’ai échangé avec lui au sujet de ce pacte pour la paix et du type de collaboration souhaité.
Je lui ai fait part du fait que c’était moi qui avais proposé en 2015, à l’ONU/Minusma, aux partenaires (France/G5 Sahel, UE, UA, CEDEAO, …), au Président Malien, à son Premier Ministre, au Ministre de la réconciliation nationale, de la paix et de la cohésion sociale du Mali, une stratégie multi-acteurs, pour la garantie de l’engagement des parties prenantes et des acteurs pour la mise en œuvre de l’accord de paix au Mali, devenue le pacte pour la paix au Mali.
Directement, le Ministre m’a posé la question : Est-ce que je souhaite, pour ce faire, recevoir des doits d’auteur ou des royalties ?
Je lui ai répondu : NON, car je l’ai fait par patriotisme, par amour pour le Mali et pour le bien-être et le bonheur des Maliens et des Maliennes.
Cependant, je souhaite :
(1) qu’il y ait une reconnaissance des Nations Unies et du Mali de ma paternité de cette stratégie multi-acteurs et, donc, du pacte pour la paix au Mali, ET
(2) que je sois utile au Mali en m’intégrant, au Mali ou aux Nations Unies ou à la Minusma, pour contribuer à la mise en œuvre ou au suivi de l’accord de paix au Mali ou à la gestion du pacte pour la paix.
Le Ministre m’a félicité et remercié pour ce geste patriotique pour reprendre ses termes.
En réponse à ma sollicitation de collaboration, le Ministre m’a demandé de voir avec ses services, d’établir deux choix de postes correspondant à mes souhaits (en liaison avec la mise en œuvre ou le suivi de l’accord de paix au Mali ou la gestion du pacte pour la paix) et il en retiendra un pour commencer la collaboration ensemble. Ces choix ont été faits en liaison avec ses services et lui ont été remis par son secrétaire général.
En somme, je souhaite au Mali, un poste de Ministre ou de Conseiller spécial avec rang de Ministre en liaison avec mon expertise, la mise en œuvre ou le suivi de l’accord de paix au Mali ou la gestion du pacte pour la paix.
Je pourrai aussi travailler en collaboration avec les Nations Unies ou la Minusma en liaison, comme précédemment, avec mon expertise, la mise en œuvre ou le suivi de l’accord de paix au Mali ou la gestion du pacte pour la paix.
A travers cette collaboration, au Mali ou aux Nations Unies ou à la Minusma, je souhaite être utile au Mali, mon expérience, ma compétence et mon expertise aidant. Je suis Expert TIC (Technologies d’Information et Communication), Gouvernance, Sécurité et Développement Durable.
En 2017, j’avais reçu l’appel des services du commandant de la force Barkhane pour un rendez-vous à l’Hôtel AMOMO de Bamako car souhaitant me connaitre plus compte-tenu de mes propositions de sortie de crise Malienne, en particulier sur la sécurité, le MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination) et le DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion). A l’époque j’avais proposé, entre autres, que les partenaires (les différentes forces en présence au Mali, en particulier Barkhane) et les défenseurs de la paix au Mali, sans oublier les citoyens, puissent constituer un front sécuritaire uni proactif et inclusif pour lutter contre le terrorisme et l’insécurité.
J’ai publié, voir les références en fin de cette lettre ouverte, la spécification et la façon dont ce front sécuritaire uni proactif et inclusif doit être organisé et doit fonctionner.
Comme je l’ai dit, je ne souhaite pas recevoir des droits d’auteur ni des royalties pour ce pacte pour la paix au Mali mais je suis prêt à mettre mon expérience, ma compétence et mon expertise au service du Mali à travers mon intégration à un des postes vus précédemment ou ma collaboration avec les Nations Unies ou la Minusma dans les mêmes domaines en particulier en liaison avec la sécurité ou la gouvernance ou l’apport des TIC à ces domaines.
Je sais que tout est une question de volonté et d’expertise : on peut être utile au Mali même si on n’est pas dans le gouvernement ou dans une institution internationale : la preuve, j’ai fait la proposition de ce pacte pour la paix en tant que membre de la société civile et Président de l’ONG Tilwat International.
.
L’essentiel, c’est d’être utile au Mali en contribuant à le servir.
- Conclusion
Je souhaite que le Ministre de la réconciliation nationale, de la paix et de la cohésion nationale ou ses services ou les services de la Présidence ou de la Primature et les Nations Unies (ONU) me contactent pour la reconnaissance de ma paternité de ce pacte pour la paix au Mali et pour établir un consensus sur le type de collaboration souhaité.
Même si la meilleure promotion, c’est d’avoir plus de résultats tangibles générant des dividendes pour la population, il serait judicieux, pour la promotion du pacte pour la paix et de l’accord de paix au Mali, qu’une vaste sensibilisation se fasse à la télévision et à la radio et que tous les acteurs (CSA, CNCA, … et les partenaires) et les parties prenantes à l’accord s’impliquent, en particulier que les plus hautes autorités s’impliquent davantage comme l’avait fait IBK dans son interview à DW (en Allemagne) le 08 février 2019 ou à France 24 en marge du sommet de l’Union Africaine le 02 juillet 2018 ainsi que Jean-Pierre Lacroix et Mahamat Saleh Annadif (Chef de la Minusma au Mali) en aout/septembre 2018.
Je lance un appel aux hautes autorités (Président du Mali, Premier Ministre, Ministre de la réconciliation nationale, de la paix et de la cohésion sociale, Haut représentant du Président de la République pour la mise en œuvre de l’accord de paix … ainsi que celles des partenaires), aux hauts responsables et aux volontaires potentiels pour qu’ils participent à des émissions ou à des contributions pour la sensibilisation et la promotion de l’accord de paix et du pacte pour la paix entourés d’experts techniques sur cet accord et ce pacte.
En plus de ce que je fais déjà pour une telle promotion, je suis partant pour participer à ce type d’émissions ou de contributions.
L’implication de tous est indispensable.
Impliquons-nous TOUS pour l’application, avec confiance et honnêteté, du pacte pour la paix pour une mise en œuvre diligente, intégrale, inclusive et sans complaisance de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali.
Ensemble, aidés par nos partenaires (pour ce faire, l’engagement et la détermination de l’ONU sont rappelés dans cette lettre ouverte), nous pouvons retrouver la paix, la concorde, la stabilité, la tranquillité et la sécurité au Mali pour le bien-être de TOUS.
- Mon contact :
Dr Anasser Ag Rhissa
Expert TIC, Gouvernance, sécurité et Développement Durable
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL au Mali : 00223 78 73 14 61
- Références
(1) Dr Anasser Ag Rhissa, Pacte pour la paix au Mali : L’Expert, Dr Anasser Ag Rhissa, explique sa pertinence pour garantir l’engagement des parties prenantes et des acteurs pour la mise en œuvre diligente, intégrale et inclusive de l’Accord de paix, Publiée le 22 octobre 2018 sur plusieurs médias dont le journal Le Combat et son site Web, voir à l’adresse :
(2) Dr Anasser Ag Rhissa, Au Mali, l’Accord de paix et le Pacte pour la paix ne sont pas synonymes de partition du pays ni de perte de sa souveraineté et de son intégrité territoriale, Publiée le 29 Octobre 2018 sur plusieurs médias, Voir à l’adresse :
(3) Dr Anasser Ag Rhissa, Amour pour le Mali : Et si tous les Maliens s’inspirent du patriotisme, de l’unité et de la cohésion des Aiglons à la CAN U20 de 2019 ET de la dynamique induite ?, Publiée le 19 février 2019 sur plusieurs médias dont facebook, Voir à l’adresse :
(4) Dr Anasser Ag Rhissa, Au Mali, seul un FRONT Sécuritaire Uni PROACTIF et INCLUSIF sera efficace contre le terrorisme et l’Insécurité Généralisée, Publiée le 28 février 2019 sur plusieurs médias dont le journal Le Combat et son site Web, voir à l’adresse :
Merci Docteur, pour votre contribution inestimable à l’instauration de la paix dans notre pays. Vos idées sont bonnes et vous savez écrire car je sais ce que je dis en tant que littéraire. Cependant, Docteur, vos contributions sont longues alors que le lecteur en ligne n’a pas souvent assez de temps. Je vous précise que cela ne ternit en rien la qualité de vos lettres.
Anasser Ag Rhissa, VA TE FAIRE SOIGNER.
NOUS PRIONS POUR TON RETABLISSEMENT…
JE ME SOUVIENS QUE QUELQU’ UN, UN FÉTICHEUR TERRIBLE, AVAIT AFFIRMÉ AVOIR PRIÉ, PAS POUR, MAIS SUR NOTRE “DOKOTORO”.
ÉHH BAN-MAWH…!!! ÉHH BAN-NAH MAWH…!!! ÉHH BANMANAWH…!!!
IL SEMBLE QUE LE FÉTICHE TIRÉ SUR LE “DOKOTORO” A EU RAISON DE LUI….
LE “DOKOTORO” NE CESSE DE DESCENDRE, DEPUIS. Á CHAQUE SORTIE IL PERFORME ET PERFORE DE PLUS EN PLUS BAS.
LE “DOKOTORO” EST EN COMPAGNIE INSÉPARABLE DE SATAN-SITANÉ…
LE FÉTICHEUR L’ A EU.
C’ EST FAIT..!
Bonjour,
Merci le Zoologue de votre contribution et des conseils que vous me prodiguez.
Je vous invite à lire attentivement ma réponse ci-dessous.
Vous avez raison, le miel ne se dit pas doux mais c’est bien sa douceur qui fait qu’on l’achète et qu’on contribue ainsi à rémunérer son propriétaire ou le propriétaire de la ruche d’où il provient afin qu’il entretienne, entre autres, cette ruche et les abeilles pour qu’il conserve ou améliore la qualité de son miel. Donc, son propriétaire fait tout pour qu’il conserve ses propriétés naturelles contribuant à le rendre doux afin qu’il puisse en vivre.
Dans le domaine des œuvres littéraires et des œuvres intellectuelles (exemple, proposition d’un projet ou d’une stratégie donnant lieu à un pacte, cas du pacte pour la paix au Mali dont j’ai proposé la stratégie multi-acteurs qui est au cœur de ce pacte).
La propriété intellectuelle (PI) protège les droits des propriétaires de ces œuvres.
Ces droits sont des droits de l’auteur (ou des auteurs) de cette (ces) œuvre(s) permettant de protéger ces œuvres contre le piratage ou la falsification ou le fait de nier qu’elles appartiennent à telles ou telles personnes physiques et/ou morales.
Contrairement à ce que vous dites, on est plus pris au sérieux lorsqu’on protège ses droits, ses œuvres.
Que deviendrait le Propriétaire de facebook s’il n’y avait pas de droits qui protègent facebook et qui garantissent qu’il est sa propriété ?
Regarder en Afrique, les artistes ont du mal à vivre de leurs œuvres, car ces dernières ne sont pas protégées ou le sont de façon limitée.
Communiquez avec les bureaux des droits d’auteurs et de la propriété intellectuelle, ils vous en diront plus.
Poussé par mon patriotisme, j’avais proposé la stratégie multi-acteurs, cœur du pacte pour la paix au Mali dont je réclame la paternité et la reconnaissance associée, au Président Malien, aux Maliens et aux partenaires (ONU/Minusma, CEDEAO, UE, UA, …), depuis le 21 SEPTEMBRE 2015.
Ce pacte pour la paix est adossé à l’accord de paix et lui garantit les engagements des parties prenantes et des acteurs pour une mise en œuvre diligente, intégrale, inclusive, franche et sans complaisance.
Ainsi, ensemble, unis, indépendamment des bords politiques, autour de ce pacte pour la paix pour une mise en œuvre inclusive de l’accord de paix et aidés par nos partenaires (l’engagement et la détermination de l’ONU sont rappelés dans cette lettre ouverte), nous retrouverons avec une impulsion et l’intelligence collectives, la paix, la concorde, la stabilité, la tranquillité et la sécurité au Mali pour le bien-être et le bonheur de TOUS les Maliens.
Le pacte pour la paix met en avant l’intérêt général, le bonheur, le bien-être pour tous/toutes et les dividendes de la paix, de la sécurité et du développement pour TOUS.
Donc, contrairement à ce que vous insinuez, vous et le frère Touré A, le pacte pour la paix privilégie l’intérêt général, la paix, le développement et la sécurité pour tous/toutes.
S’appuyant sur une stratégie multi-acteurs, faire la promotion de ce pacte pour la paix, c’est mettre en avant le Mali et les Maliens ET non un ou des intérêts partisans.
L’obligation d’une gestion multi-acteurs de ce pacte pour la paix évite et évitera de privilégier les intérêts partisans.
Réclamer la paternité d’un tel pacte pour la paix au Mali ne signifie pas penser uniquement à soi mais avoir l’obligation de travailler en toute intelligence avec tous les Maliens, tous les acteurs et tous les partenaires de l’accord de paix.
Être utile aux autres, à ses sœurs et frères Maliens, en proposant ce pacte pour la paix, ne signifie pas être contre ses propres intérêts ou être obligé d’oublier ses droits : la propriété intellectuelle, comme nous l’avons vu précédemment, est un droit.
Contrairement à ce que vous dites, ce n’est pas un manque de sagesse et de sérieux de réclamer ce droit.
Changeons de comportements en protégeant nos œuvres, nos droits (d’auteurs), on nous prendra plus au sérieux.
Adaptons-nous, ouvrons-nous, exigeons plus de sérieux.
En ce qui me concerne, comme je l’ai dit dans cette lettre ouverte, je ne souhaite pas recevoir des droits d’auteur liés à cette propriété intellectuelle ni des royalties pour ce pacte pour la paix au Mali mais je suis prêt à mettre mon expérience, ma compétence et mon expertise au service du Mali comme pourrait le faire tout Malien.
Vous voyez, chers frères, Le Zoologue et Touré A que je ne fais pas ma promotion mais celle du Mali, des Maliens et des Maliennes auxquels ce pacte pour la paix induira des dividendes , tant attendus dans tous les domaines, à travers la mise en œuvre franche, sans complaisance, diligente, intégrale et inclusive de l’accord de paix.
Impliquons-nous TOUS/TOUTES et Unissons-nous, indépendamment des bords politiques, autour de ce pacte pour la paix pour offrir à nos populations, à TOUS les Maliens et à TOUTES les Maliennes ces dividendes.
Normalement, vous devez saluer et accompagner cet acte, cette réclamation de ma paternité du pacte pour la paix au Mali, visant à protéger nos (Maliens, Africains) œuvres intellectuelles et littéraires et notre patrimoine culturel.
Nous (Maliens) devons être heureux du fait que notre Président IBK ait été choisi lors du 32 ième sommet de l’union africaine comme coordonnateur de l’union africaine pour les arts, la culture et le patrimoine.
En tant que tel, une partie importante du travail consistera après un inventaire de cette richesse constituée par les arts, la culture et le patrimoine (physique et immatériel) Africains, à trouver des stratégies idoines de protection durables des droits d’auteurs et de la propriété intellectuelle associés.
L’impact de cette richesse et des droits d’auteurs et de la propriété intellectuelle induits, sur la dignité, la liberté et la paix seront importants à étudier.
Pensons-y.
Nous attendons beaucoup du leadership de notre Président IBK, en tant que coordinateur de l’union africaine pour les arts, la culture et le patrimoine, afin d’impulser cette dynamique en particulier en protégeant nos œuvres intellectuelles et littéraires.
Cette réclamation de ma paternité du pacte pour la paix au Mali doit pousser tous les Maliens à réfléchir et les pousser à contribuer à la protection de leurs œuvres et de notre patrimoine (matériel et immatériel).
Ouvrons-nous les uns aux autres, protégeons notre patrimoine et nos œuvres, soyons tolérants, cultivons le vivre ensemble et le respect, pour faire du Mali, TOUS/TOUTES, un havre de paix et un pays dans lequel la dignité et la liberté prendront tout leur sens.
Bien cordialement
Dr Anasser Ag Rhissa
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité et Développement Durable
Président de l’ONG TILWAT International
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 00223 78 73 14 61
Bonjour,
Merci Banconi fato de votre message intégré dans ma contribution située plus bas, postée ce jour, 05 mars 2019 à 17H05.
En dessous de ce message se trouve ma réponse datée du 26 mars 2017 qui était aussi publiée sur mali jet.
Tous ces messages avaient été publiés en 2017 suite à ma lettre ouverte intitulée :
Répliques de Dr ANASSER AG RHISSA à la contribution de l’opposition Malienne aux TDRs de la conférence d’entente nationale inclusive
On y pointe sur mali jet à l’adresse suivante :
http://mali jet.com/les_faits_divers_au_mali/lettres_ouvertes_mali/181071-r%C3%A9pliques-de-dr-anasser-ag-rhissa-%C3%A0-la-contribution-de-l%E2%80%99opposit.html
Il est souhaitable que vous lisiez ma réponse du 26 mars 2017 intégrée ci-dessous à cette contribution.
TOUTE CETTE POLÉMIQUE EST MALSAINE : Il convient entre frères Maliens que vous évitiez vos comportements malsains et insultants, voir votre contribution du 25 mars 2017 et celle du 04 mars 2019, et que vous optiez pour la coexistence pacifique et l’ouverture aux autres.
Le pacte pour la paix nous invite au respect mutuel et au respect de l’accord de paix et de nos (les parties prenantes et les acteurs) engagements dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord de paix.
Seule la coexistence pacifique et le vivre ensemble, nous permettrons de nous accepter entre frères et sœurs Maliens afin d’aboutir à l’exécution complète et inclusive de l’accord de paix, à la réconciliation et à une paix durables.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 78 73 14 61
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
MA RÉPONSE A BANCONI FATO LE 26 MARS 2017 SUR MALI JET
Dr ANASSER AG RHISSA 26 Mars 2017
Bonjour,
…
Merci BANCONI FATO, c’est la première fois que vous signez sur mali jet en utilisant votre pseudo à la fin de votre contribution.
Je pense que le site maliweb vous bloque certaines de vos contributions (comme vous l’insinuez parce que vous essayez dans vos messages de faire du forcing (agir par la force) mais aussi vous utilisez, souvent, des amalgames et des insultes.
Contrairement à ce que vous dites la scène politique n’est pas la seule scène au Mali.
VOUS TRAITEZ D’INVERTEBRES CEUX QUI SONT SUR CETTE SCENE.
En tant que militaire, vous êtes sur une autre scène.
Concernant les statistiques sur le nombre de morts, les statistiques que nous détenons, nous, civils, sont celles qui sont publiques : elles sont sur internet.
Ce n’est pas un devoir juridique de les donner car elles sont connues de tous, comme celles qu’avait donné dans une de ces dernières publications, Tiébilé Dramé.
Cherchez-les sur internet si vous souhaitez les connaître.
NE ME DONNER PAS DES ORDRES : TACHE DE LE FAIRE, VOUS DITES.
Ce n’est pas une insulte à la nation de vous dire que vous voulez qu’on vous donne nos statistiques, celles qui sont connues publiquement, elles sont sur internet.
Par contre, les informations, sur le nombre exact de morts que vous dites connaitre, intéressent tous les Maliens : vous dites qu’elles sont fiables.
Nous souhaitons les connaître.
N’est-ce pas un devoir juridique (droit à l’information) que de nous les faire connaitre ?
Effectivement, comment voulez-vous que je vous réponde à des questions OR vous n’avez pas répondu aux miennes, en particulier, celle vous demandant de donner votre matricule pour voir, entre autres, avec votre hiérarchie si vos agissements sont normaux : me traiter d’agent de France, du Gouvernement et d’agent secret.
QUEL DROIT VOUS PERMET DE ME TRAITER D’AGENT DE FRANCE, DU GOUVERNEMENT ET D’AGENT SECRET SANS DONNER DES PREUVES ?
Votre matricule n’est pas public mais sous couvert d’anonymat vous m’indexez ET vous m’insultez sans preuves.
Donnez-nous votre nom et prénom si vous ne voulez pas donner votre matricule.
De toute les façons, avez-vous le droit en tant que militaire, sous couvert d’anonymat OU sous un pseudo, de m’indexer sans preuves et de m’insulter ?
Si vous pensez avoir le droit, donnez-nous votre nom et prénom.
Seule la coexistence pacifique et le vivre ensemble, nous permettrons de nous accepter entre frères et sœurs Maliens afin d’aboutir à la réconciliation et à une paix durables.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 78 73 14 61
Bonjour,
Merci Banconi Fato de votre message. Vous m’insultez et vous m’indexez sans preuves.
Vous m’aviez déjà dit que vous êtes militaire. Vous vous cachez sous un pseudonyme pour m’insulter, insulter les politiciens et indexer sans preuves.
Constatez que vous avez le même comportement insultant dans votre réponse à cette lettre ouverte portant sur ma réclamation de la paternité du pacte pour la paix au Mali.
Ci-après un message, dans lequel vous me disiez que vous êtes militaire. Vous m’aviez posté ce message le 25 mars 2017 sur mali jet.
En dessous de ce message (votre message) se trouve ma réponse datée du 26 mars 2017 qui était aussi publiée sur mali jet. Avant cette réponse, d’autres messages avaient été échangés entre nous sur maliweb.
Il convient entre frères Maliens qu’on évite ces comportements malsains et qu’on opte pour la coexistence pacifique et l’ouverture aux autres.
Le pacte pour la paix nous invite au respect mutuel et au respect de l’accord de paix et de nos (les parties prenantes et les acteurs) engagements dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord de paix.
Seule la coexistence pacifique et le vivre ensemble, nous permettrons de nous accepter entre frères et sœurs Maliens afin d’aboutir à l’exécution complète et inclusive de l’accord de paix, à la réconciliation et à une paix durables.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 78 73 14 61
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
MESSAGE CI-DESSOUS SIGNE PAR BANCONI FATO
25 Mars 2017
JE CONTINUE ICI. L’ AUTRE SITE ME BLOQUE…! C’ EST CURIEUX …. ?
……………
“Vous voulez qu’on vous donne nos statistiques or vous dites détenir les vraies informations.”
OUAIS! ÉCOUTE ANASSER AG RHISSA, LA SCENE POLITIQUE EST LA SEULE SCENE ICI AU MALI. COMPRIS? TOUTE LE MONDE LE SAIT. C’ EST LES INVERTÉBRÉS QUI SONT SUR LA SCENE.
LE CHAMP DE BATAILLE ASYMÉTRIQUE, QU’ EST LA NOTRE, N’ EST PAS UNE SCENE POUR LES BLA-BLA-BLA POLITIQUES MENSONGERS.
NOUS, LES MILITAIRES , SOMMES SOUMIS AU MASSACRE QUOTIDIEN.
“Vous voulez qu’on vous donne nos statistiques or vous dites détenir les vraies informations.”
SEULEMENT AVEC CETTE PHRASE, ANASSER AG RHISSA EST TOMBÉ PLUS BAS, MORALEMENT, QUE NOUS PUISSIONS L’ ENVISAGER : VOUS DEVEZ DONNER VOS ” STATISTIQUES ” DANS LE PLUS BREF DÉLAI. C’ EST UN DEVOIR JURIDIQUE DE LE FAIRE. LE PEUPLE MALIEN A CE DROIT, ET LES DIRIGEANTS ET DÉCIDEURS POLITIQUES DOIVENT RÉPONDRE Á CETTE DEMANDE.
ANASSER AG RHISSA, CES “nos statistiques ” NE SONT PAS VOS DONNÉES PERSONELLES : C’ EST POUR LE PEUPLE MALIEN.
QUE VOTRE PROCHAINE MANIFESTATION COMMUNIQUE CES “nos statistiques ” ! TACHE DE LE FAIRE !
PENDANT 5 ANS DE DÉCIMATION CONTINUELLE DE L’ ARMÉE NATIONALE, LE PEUPLE DOIT “PRIER” LES DIRIGEANTS POLITIQUES POUR ENFIN AVOIR UNE INSULTE DE CETTE GRANDEUR : “Vous voulez qu’on vous donne nos statistiques or vous dites détenir les vraies informations.”
OÚ , AU MONDE ENCORE, CELA SE FAIT : “Vous voulez qu’on vous donne nos statistiques or vous dites détenir les vraies informations.”
NOUS, NOUS NE SOMMES PAS DES DÉCIDEURS DE LA SCENE, OUI L’ UNIQUE SCENE, DONC LA RÉPONSE “Vous voulez qu’on vous donne nos statistiques or vous dites détenir les vraies informations.” NOUS INSULTE, INSULTE LA NATION MALIENNE.
QUEL AFFRONT..!
” Comment voulez-vous que je vous réponde à des questions OR vous n’avez pas répondu aux miennes, en particulier, celle vous demandant de donner votre matricule pour voir, entre autres, avec votre hiérarchie si vos agissements sont normaux : me traiter d’agent de France, du Gouvernement et d’agent secret.”
AH, LÁ CA VA LOIN… !
– MA MATRICULE EST DANS LE REGISTRE, ELLE CONSTITUE PAS UN INTÉRET PUBLIC.
– ” … pour voir, entre autres, avec votre hiérarchie si vos agissements sont normaux ….”
ENFIN , HEUREUX DE LIRE CELA. TOUT EST BIEN RÉSUMÉ … !
BANCONI FATO
Quand la promotion du sois va a ce point, c’est difficile de te prendre au serieux… Le miel ne se dit pas doux, selon l’adage. Les reactions de Mr Toure et Banconi Fatoh sont bien partages de mon cote. Un fleuve profond fait moins de bruit. Trop de bruit est signe de manque de sagesse. Des p’tit conseils de la part de ton grand frere et compatriote! Un peu de retenue, mon cher Dr Ag Rhissa. Hali Banconi Fatoh ma fatokan fo nin ye! Ka su here caya!
L’ INFLATION “Dr ANASSER AG RHISSA” EST DÉJÁ DERRIERE NOUS, PEUPLE MALIEN.
LES SIMULACRES DE PATRIOTES COMME LE “Dr” ANASSER AG RHISSA, Á LA PSYCHOLOGIE DÉSTRUCTURÉE-ENTROPISÉE ET Á LA CONVICTION DISSOUTE DANS LE LARBINISME-FRANCAIS, VÉRITABLES KLEPTOCRATES-KAKISTOCRATES, NE PEUVENT PLUS TROMPER LES PEUPLES DU MALI.
LEUR TEMPS EST RÉVOLU Á JAMAIS.
PAUVRE “Dr” ANASSER AG RHISSA NE FAIT PLUS LA DIVA+STAR DE LA DIARRHÉE VERBALE MIXTÉE Á LA HAUTE TRAHISON RÉLIGIEUSEMENT ROULÉE DANS UN MACHIAVELISME ARTICULÉ “INCLUSIF ET PACIFIQUE”, MAIS TOUJOURS ABRAHAMIQUE
“Dr” ANASSER AG RHISSA, TU ES FINI.
Bonjour,
Merci Touré A de votre message insultant à l’endroit de toute la communauté Touarègue.
Le non évènement, c’est plutôt votre réaction qui est la même depuis des années et qui tend à faire des amalgames en généralisant et en indexant toute une communauté, les Touaregs.
Je vous rappelle que ce n’est pas tous les Touaregs qui ont généré depuis 2012 le désordre dont vous parlez.
Pour la plupart des Touaregs, c’est même une contre-vérité et ils refuseraient d’être dans ce soleil, qui automatiquement est ARDENT, au péril des vies innocentes de leurs frères.
Ne généralisez pas et n’insultez pas l’ensemble des Touaregs : moi, je ne me reconnais pas dans votre affirmation insultante, dangereuse et dans cette vision réductrice qui n’est sûrement pas celle de la plupart des Touaregs du nord du Mali et d’ailleurs.
Poussé par mon patriotisme, j’avais proposé la stratégie multi-acteurs, cœur du pacte pour la paix au Mali dont je réclame la paternité et la reconnaissance associée, au Président Malien, aux Maliens et aux partenaires (ONU/Minusma, CEDEAO, UE, UA, …), depuis le 21 SEPTEMBRE 2015.
Ce pacte pour la paix est adossé à l’accord de paix et lui garantit les engagements des parties prenantes et des acteurs pour une mise en œuvre diligente, intégrale, inclusive, franche et sans complaisance.
Ainsi, ensemble, unis, indépendamment des bords politiques, autour de ce pacte pour la paix pour une mise en œuvre inclusive de l’accord de paix et aidés par nos partenaires (l’engagement et la détermination de l’ONU sont rappelés dans cette lettre ouverte), nous retrouverons avec une impulsion et l’intelligence collectives, la paix, la concorde, la stabilité, la tranquillité et la sécurité au Mali pour le bien-être et le bonheur de TOUS les Maliens.
Le pacte pour la paix met en avant l’intérêt général, le bonheur, le bien-être pour tous/toutes et les dividendes de la paix, de la sécurité et du développement pour TOUS.
Donc, contrairement à ce que vous insinuez, le pacte pour la paix privilégie l’intérêt général, la paix, le développement et la sécurité pour tous/toutes.
S’appuyant sur une stratégie multi-acteurs, faire la promotion de ce pacte pour la paix, c’est mettre en avant le Mali et les Maliens ET non un ou des intérêts partisans.
L’obligation d’une gestion multi-acteurs de ce pacte pour la paix évite et évitera de privilégier les intérêts partisans.
Réclamer la paternité d’un tel pacte pour la paix au Mali ne signifie pas penser uniquement à soi mais avoir l’obligation de travailler en toute intelligence avec tous les Maliens, tous les acteurs et tous les partenaires de l’accord de paix.
Être utile aux autres, à ses sœurs et frères Maliens, en proposant ce pacte pour la paix, ne signifie pas être contre ses propres intérêts ou être obligé d’oublier ses droits : la propriété intellectuelle est un droit. Ce n’est pas être minable de réclamer ce droit.
Mais en ce qui me concerne, comme je l’ai dit dans cette lettre ouverte, je ne souhaite pas recevoir des droits d’auteur liés à cette propriété intellectuelle ni des royalties pour ce pacte pour la paix au Mali mais je suis prêt à mettre mon expérience, ma compétence et mon expertise au service du Mali comme pourrait le faire tout Malien.
Vous voyez, cher frère, Touré A que je ne fais pas ma promotion mais celle du Mali, des Maliens et des Maliennes auxquels ce pacte pour la paix induira des dividendes , tant attendus dans tous les domaines, à travers la mise en œuvre franche, sans complaisance, diligente, intégrale et inclusive de l’accord de paix.
Impliquons-nous TOUS/TOUTES et Unissons-nous, indépendamment des bords politiques, autour de ce pacte pour la paix pour offrir à nos populations, à TOUS les Maliens et à TOUTES les Maliennes ces dividendes.
Normalement vous devez, par respect, vous excuser auprès de la communauté Touarègue pour cette généralisation et pour votre message insultant.
Ceux qui, par leurs comportements, ont versé sciemment et sans raison le sang de leurs frères innocents doivent aussi s’excuser et avoir recours au repentir.
Après un tort reconnu, le pardon et les « réparations idoines» sont nécessaires pour avancer ensemble.
Ouvrons-nous les uns aux autres, soyons tolérants, cultivons le vivre ensemble et le respect, pour faire du Mali, TOUS/TOUTES, un havre de paix.
Bien cordialement
Dr Anasser Ag Rhissa
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité et Développement Durable
Président de l’ONG TILWAT International
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 00223 78 73 14 61
Non évènement. Quand on est valeureux on n’a pas besoin de faire sa propre publicité! Pensez uniquement à sa propre petite personne en faisant sa promotion est tout simplement minable. C’est cette vision des touaregs du Nord du Mali qui a amené cette chienlit au Mali depuis 2012, des gens qui veulent être au soleil au péril des vies innocentes de leurs frères.
Comments are closed.