Tel est pris qui croyait prendre. Oumar Mariko, le célébrissime piètre politique qui se prend pour le centre de la terre doit être mal à l’aise. Du moins s’il lui reste un peu de dignité après les révélations fracassantes parues dans le journal l’Indépendant. Celui qu’on présente comme le justicier des faibles n’est donc qu’une vulgaire sangsue, sans morale et dont la ceinture se trouve toujours au niveau des cuisses.
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Pauvre Mariko, dont la lecture du journal la semaine dernière, m’amène à me demander si les chefs d’accusation d’homicide volontaire (avortement), adultère et menaces de mort ne sont pas suffisantes pour qu’on le jette en prison malgré une immunité qui ne lui sera d’aucun bénéfice d’ici à la fin de son mandat car Dieu merci, les Maliens commencent à découvrir le vrai visage de l’homme. Un homme qui pensait se faire un nom avec l’Office du Niger.
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Malhonnête jusqu’à la moelle des os, on découvre heureusement aujourd’hui qu’Oumar Mariko a voulu récupérer politiquement la mort d’un Youssouf Dembélé présenté faussement comme SG de
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Oumar Mariko, qui intenta un procès contre l’Office du Niger, jurait partout qu’il avait commis gratuitement un avocat (Maître Diarra) pour une centaine de paysans évincés de leur champ. Le pot-aux-roses sera découvert après le procès perdu lorsque des paysans réclamèrent leurs sous cotisés (
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Les histoires de fesses d’un candidat qui voulait être Président de
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A l’Office du Niger et dans ce monde, nous souhaitons détourner l’argent que de détourner les femmes d’autrui et tuer d’innocentes victimes ! Oumar Mariko est simplement proche du châtiment de Dieu. Comme le disent les bambaras «Gnougnou dé bi nani gnagna ye» ! Autrement dit, tel est pris qui croyait prendre.
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Mamadou Kéïta
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Agent Technique Agricole
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