‘’Malmené́ par les oppositions religieuses, laïques et par la société́ civile, tributaire de forces militaires étrangères, confronté à des mouvements sociaux, l’État malien, en plein délitement, éprouve de sérieuses difficultés à créer les conditions d’un projet de sortie de crises qui n’ont cessé́ de s’approfondir’’. Cette réflexion de André Bourgeot, résume bien la crise malienne, dans la résolution de laquelle, estime Moussa MARA, la pensée doit jouer un rôle déterminant. L’ancien Premier ministre fait un diagnostic approfondi de la situation malienne à l’aune de différents paramètres. Lisez plutôt sa contribution.
Dans les collectivités humaines, la production de la pensée a toujours constitué le ferment du progrès. L’être humain se distingue du règne animal par le potentiel de son cerveau et c’est ce puissant vecteur qui lui a permis de dominer son espace et de le mettre à sa disposition.
Les nations qui sont situées à l’avant-garde des autres sont celles qui ont le plus utilisé les potentialités de la réflexion et de la connaissance pour développer des biens et services leur permettant de répondre aux défis auxquels elles font face, améliorer leur confort, mais aussi leur donner des capacités de dominer les autres par la force ou par l’influence. Ce n’est pas un hasard si les plus grandes universités, les lauréats du Nobel les plus nombreux ou encore le plus grand nombre de publications de savoir proviennent des pays les plus puissants. Les sciences et les technologies ont permis aux puissances occidentales de dominer le monde depuis plusieurs siècles. Elles ouvrent des perspectives notamment pour la Chine en vue de leur emboîter le pas.
L’avant-garde procurée par la connaissance scientifique est une évidence. Mais pas seulement ! Les capacités à penser et réfléchir sur les problèmes de société figurent également dans la catégorie des connaissances qui font avancer une nation. Les philosophes, les sociologues, les anthropologues, les hommes de lettres, les artistes sont tous utiles à une collectivité humaine et contribuent à l’améliorer par leurs recherches, leurs productions et leurs contributions intellectuelles.
A l’inverse, quand ce foisonnement intellectuel est absent, quand les élites intellectuelles abandonnent le sentier de la quête de connaissance et de la réflexion, c’est l’ensemble de la communauté qui s’enlise. Cela illustre la situation triste dans laquelle le Mali se trouve en matière de réflexion, de pensée et de quête de connaissance. C’est peu de dire que notre pays accorde peu, voire pas du tout d’importance aux savoirs et connaissances avec une tendance inquiétante à la stagnation voire au recul. Ce qui lui porte un tort significatif, au moins autant que les coups des terroristes.
La faiblesse de la pensée malienne fait d’abord écho aux pannes d’idées des politiques et des leaders. Le Mali est l’un des rares pays où on ne voit que très peu d’articles, de contributions et encore moins de livres écrits par ses leaders politiques. Pendant les campagnes électorales, les idées, si elles existent, sont souvent très générales et vagues. Les Hommes qui ont eu la chance d’occuper des fonctions majeures ne partagent pas leurs expériences par des écrits. Les principaux responsables n’ont presque jamais produit et publié. Parallèlement, les partis politiques ne cultivent que peu les idées et projets. Ils ont peu de lignes et d’identifiants idéologiques ou programmatiques. Quand ceux qui doivent guider la collectivité n’ont pas d’idée ou de vision, le sort de cette dernière est forcément peu enviable.
La presse malienne est en léthargie. Les journalistes ne maîtrisent pas les sujets de manière approfondie pour leur permettre d’acculer et de mettre en difficultés les politiques lors des interviews. En économie par exemple, un domaine clé pour la vie politique, mais peu abordée, peu de journalistes sont spécialisés et compétents. Il en est de même pour la justice, les questions de corruption, l’éducation, la formation professionnelle, l’agriculture ou encore la défense. En conséquence, notre vie publique se traduit par la faiblesse des débats, peu de confrontations, peu d’échanges, en français ou dans nos langues nationales, pour éclairer les populations et leur permettre de renforcer leur citoyenneté. Cela est valable dans nos localités et au niveau national.
Le déficit du monde universitaire sur les questions de réflexion et de la production des connaissances est encore plus patent et alarmant pour le pays. Les universitaires forment avec les élites politiques, ceux qui doivent être le plus présents sur le sentier de la réflexion et de la pensée.
L’université constitue par définition le lieu de production de savoir le plus important pour une nation. On y rédige des rapports, des mémoires et des thèses, mais également des publications dans les revues nationales et étrangères. Dans les faits, il y a peu de production dans nos universités et rarement nos universitaires sont réputés à l’extérieur du pays. Ils n’y sont que peu conviés pour participer à des colloques et des conférences et on ne leur confie qu’exceptionnellement des responsabilités scientifiques régionales ou continentales. Contrairement à d’autres nationalités comme le sénégalais Felwine SARR, mis en mission par le Président français. Comble de désaveu pour nos universitaires, c’est à un autre sénégalais, Alioune SALL, que le Président IBK a confié le mandat de l’aider dans la conduite de sa mission de champion africain pour les questions d’arts, de culture et de patrimoine. Notre pays n’a pas la côte sur les questions intellectuelles. Nous le devons aussi à l’inertie de nos universitaires qui sont ainsi interpellés.
Au niveau de la société civile et du secteur privé, peu d’acteurs sont présents dans le secteur de la pensée et de la réflexion. Les think tanks sont rares au Mali. Ceux qui en ont la capacité ne veulent s’en donner ni le temps ni les moyens.
En matière militaire et sur les questions de défense, nous déplorons là également un déficit criant de pensées. La recherche n’y est pas courante alors que notre contexte est favorable aux analyses militaires. Nous faisons face à une guerre asymétrique, avec des tactiques et approches des groupes armés qu’il convient d’étudier afin de concevoir des moyens pour les contrer. Cela permettra d’identifier les outils et équipements qui seraient plus efficaces pour supporter les stratégies adoptées ainsi que les aptitudes à inculquer aux soldats pour les appliquer. Dans la guerre, il faut savoir analyser minutieusement son adversaire pour trouver comment lui faire face. Surtout si celui-ci est d’un nouveau genre, sortant des standards enseignés dans les académies ! On ne perçoit pas cela au sein de l’armée ni au sein de l’État malien. Le centre d’études stratégiques logé aux affaires étrangères doit s’y essayer. Les responsables de nos États-majors, de nos écoles militaires, les officiers généraux dotés de capacités de réflexion devraient se saisir de ces questions et multiplier les thèses sur ce qui se passe dans le pays pour aider les décideurs.
Le constat de la faible production intellectuelle malienne est valable dans tous les segments de notre société. Les religieux n’y échappent pas. Parmi ces leaders spirituels, on n’identifie pas suffisamment de responsables ayant produit des écrits. Ils accomplissent de nombreuses prestations orales, d’exégèses des textes sacrés, mais guère de productions structurées, explicatives et formalisées qui éclairent sur la religion. Ce constat est valable pour les musulmans comme pour les chrétiens. Si les Maliens connaissent peu la religion au-delà des rites, c’est aussi parce que nos responsables religieux ne capitalisent pas leur connaissance et n’élaborent pas d’ouvrages formels destinés aux populations. L’impression que les leaders religieux n’y ont pas intérêt et ne veulent pas partager leurs savoirs afin de maintenir les populations dans l’ignorance qui permet de les manipuler, est ainsi devenue prégnante. Ce qui est dommageable pour la collectivité. L’élite doit guider, orienter, et faire en sorte que la population soit de plus en plus autonome. C’est ce qui fait de lui une élite, engagée à approfondir ses savoirs et à pousser les limites de la connaissance et de la maîtrise de son domaine. Seules la recherche, la réflexion, la rédaction d’ouvrages permettent de capitaliser les connaissances, améliorent le savoir et les compétences des savants et tirent une collectivité vers le meilleur.
Au Mali, on semble prendre un chemin différent. On ne réfléchit que peu, on ne propose que peu, on ne cherche que peu et on se contente de peu ! Avec un résultat en régression, car les autres avancent. Il est urgent de changer, si nous ne voulons pas continuer à être les objets des autres !
Moussa MARA
Sans enracinement un peuple est condamné à disparaître.
À une époque où nationalisme et mondialisme s’affrontent dans l’arène de la guerre des communications, il importe de mettre de côté les idéologies mortifères qui nous empêchent de reprendre contact avec la réalité de toute citoyenneté qui se respecte.
Est citoyen celui ou celle qui fait partie d’une collectivité enracinée sur un territoire donné.
Penser la nation, par-delà les débats idéologiques, c’est poser la question incontournable de l’enracinement.
– UN MUSULMAN MALIEN DE PEAU NOIRE EST -IL ENRACINÉ?
RÉPONSE: IL EST DÉRACINÉ, LARBINISÉ, TRIMBALÉ SPIRITUELLEMENT, INTELLECTUELLEMENT, VOIRE BIOLOGIQUEMENT PUISQU’ IL TRAITÉ DE SINGE MEME Á LA MECQUE DES ARABES.
– UN LÉTTRÉ-FRANCISÉ DES “SCIENCES” SOCIALES VERSION FRANCAISE OU OCCIDENDALE, EST-IL ENRACINÉ?
RÉPONSE: IL EST DÉRACINÉ, LARBINISÉ, TRIMBALÉ SPIRITUELLEMENT, INTELLECTUELLEMENT, VOIRE BIOLOGIQUEMENT PUISQU’ IL TRAITÉ DE SINGE Á L’ ÉLYSÉE, Á BERLIN, Á WASHINGTON, BRUXESSELS. MADRID.
TOUTE INTÉLLECTUALITÉ UTILE DOIT ETRE ENRACINÉE AUTHENTIQUEMENT.
DE MEME, TOUTE INTÉLLECTUALITÉ UTILE DOIT ETRE ENRACINÉE AUTHENTIQUEMENT.
“la crise malienne est aussi une crise de la pensée’’😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
Voilà que le petit comptable-devenu-PM😆 vient ici nous jouer les “intellectuels de haute volée “😆
L’histoire ne dit pas si, quand il défendait à corps perdu pour son maître de l’époque la scandaleuse magouille du boeing, si sa “pensée” à lui😅 n’etait pas…..en crise!😂😂😂😂😂😂😂
Ou encore quand cet abruti, soucieux de jouer les Zorro, décida contre l’avis de TOUT LE MONDE sans exception de maintenir sa visite à kidal, alors que TOUT LE MONDE sans exception (a part lui !!!😆) le carnage militaire qui BIEN SUR s’est produit !…
Sa pensée 😂 alors était-elle “EN CRISE”, ou plus simplement. (Et plus probablement )….INEXISTANTE ?😂😂😂😂😂😂😂😂
kinguiranke’, j’ai relu les trois petites lignes que j’ai ecrites pour me rassurer que tu ne me confondais pas avec un autre participant de maliweb. JE T’INFORME QUE JE N’AI ECRIT NULLE PART QUE LA CORRUPTION ET L’EXCLUSION N’ETAIENT PAS DES PROBLEMES MAJEURS DANS NOS PAYS. J’ai ete’ personnellement victime des deux!
C’est bien triste de constater a’ travers ton post que tes enfants et tes petits-fils n’ont pas d’exemple a’ suivre. QUE PENSES-TU DE TOI MEME? Tu n’as pas besoin d’etre dans le palais presidentiel de Koulouba pour etre un LEADER et un exemple a’ suivre. TU ES LE LEADER POUR TA FAMILLE ! TU DOIS MONTRER LE BON CHEMIN A’ TES ENFANTS ET TES PETITS-FILS. CE N’EST PAS A’ L’ETAT ET/OU AU PRESIDENT DE JOUER CE ROLE POUR TOI ET TES ENFANTS! Mon pere etait pauvre mais digne et droit. Il avait un sens eleve’ de l’honneur et de la dignite’. A sa mort en 1996, j’ai fait le deplacement pour aller presenter mes condoleances a’ ma famille. Le seul objet que j’ai pris de ce qu’il a laisse’ derriere lui, etait ses verres correcteurs. Jusqu’aujourd’hui, lesdits verres correcteurs sont parmi les objets les plus precieux que j’ai. J’ai toujours aime’ la vision humble et eloigne’e des choses materielles que mon pere avait. Il etait mon leader et mon exemple a’ suivre. je tente toujours de faire plusieurs choses a’ sa maniere!
KINGUIRANKE’, BE A LEADER FOR YOUR KIDS!
N’FA TOGOMA (Youba), I agree! Je tends a’ croire que l’incompetence de la classe intellectuelle malienne est UNE INCOMPETENCE VOULUE! CETTE CLASSE DONT NOUS PARLONS, EST VOLONTAIREMENT INCOMPETENTE POUR DETOURNER LES BIENS DU PEUPLE MALIEN ET DETRUIRE CELLES ET CEUX QU’ELLE QUALIFIE D’ENNEMIS! L’INTELLECTUEL MALIEN A UN AMOUR FOU POUR L’ARGENT! IL/ELLE EST CAPABLE DE VENDRE TOUTE SA FAMILLE POUR UNE MISERABLE SOMME D’ARGENT! IL/ELLE NE COMPREND PAS QU’IL Y A DES CHOSES QU’ON NE VEND PAS! Je salue les quelques intellectuels competents et honnetes qui existent toujours au Mali. On n’entend pas parler d’eux. Ils sont eloigne’s et rendus silencieux parce qu’ils refusent de jouer le jeu des destructeurs de notre faso!
QUE FAIRE? LE GRAND FRERE TIEBILEN DRAME’ A CESSE’ DE COMPTER LES MORTS ET LE JEUNE FRERE RASBATH A DIT: OULOU MA FARA BOUA KAN, BOUA DE’ FARA LA OULOU KAN!!!!!!! Just think about it!!!!
Please believe me I am a leader for my children but I would like to see my beloved country led by people like me indeed, as I do not believe in corruption, marginalisation and lack of respect of human rights. When in Mali I was working at Care-Mali, UNICEF, UNFPA and the World Bank projects my colleagues were thinking that I am not a Malian because as Team leader I was not involved in corrupt practices. I have to say it and repeat it, we do not have examples in Mali and that is very much painful as a reality. I know many of these leaders including Tieblen from Diakacounda and the UNEEM, I know AOK, I know ATT, I know Madiassa Maguiraga, I know Modibo Diarra, I know Moussa Mara, I know IBK from France, I know Boubou from the World Bank in Nigeria, I know SBM, I know Kalil Ouatara, I know AIM, I know Cisse, etc. but they are not leaders in real terms and not examples for my children or the Malian children in general. Thank you the “roi MAUDIT de segou”
POLI¢€ F€D€RATL(AM€RICAIN)€
https://www.lemonde.fr/international/article/2020/07/22/a-portland-la-police-federale-objet-de-toutes-les-critiques_6047003_3210.html
Une fois de plus ces ATLANTI$T€$ vont €NCOR€ MAQUILL€R leurs B€VU€$ …
€RR€UR$ ¢OMMI$€NT par MANQU€ de réflexion…
M Mara
Merci pour avoir eu le courage de dire ces choses. En effet une Nation fébrile en pensée, ne peut que subir la pensée des autres. Espérons que les lecteurs de cette reflexion puissent développer un comportement conséquent pour enrichir la pensée et non seulement dénoncer une personne.
Le professeur Mamadou Lamine disait : « Face à l’Europe et avec ses canons, sa terrible soif de pouvoir et sa pensée fortement structurée, la civilisation africaine s’est écroulée, vaincue et fascinée. A la conquête par les armes succéda la conquête par les idées : les Noirs instruits mirent des masques blancs et la nouvelle pensée africaine se détourna de l’Afrique pour ne considérer que les idées de l’Europe sur l’Afrique… L’intellectuel africain, fasciné par tout ce qui venait d’Europe, a laissé couler sa pensée dans les formes, images, représentations et théories élaborées sur l’Afrique par les penseurs européens… La pensée africaine cessa d’être une forme historique autonome de culture pour ne devenir qu’une métamorphose, une forme dégradée, un avatar de la pensée européenne »
Bon courage!
Le Mali a un seul problème: l’incompétence de l’élite intellectuelle. Cette incompétence explique le manque de patriotisme chez les dirigeants et donc la mauvaise gouvernance…
On ne pas être intellectuel et ne pas vouloir le meilleur pour sa nation…
Tous nos dirigeants qui s’habillent tout le temps en blanc ou en costunes sont tous des fougaridens … qui ne savent que se soumettre, toujours mendier alors que nos pays produit de l’or et du fer qu’il faut taxer normalement, des terres cultivables, une jeneusse qui ne demadne qu’à travailler… au lieu d’aller ballayer les rues de beelgique, France … alros que le mali est un pays, une vraie poubelle …
Le mali un pays francofou pourri, où l’elite est pourri et sale inccapable de mettre en palce des lignes de bus dans les villes, fermers les caniveaux à ciel-ouverts …
Si vous regardez le mot deception ans le dictionnaire, à côté il y a la photo de moussa marasme …
ce type est une occasion ratée …
Le roi MAUDIT de segou, le digne fils de wuruwaye, une fois de plus tu as passe a cote de la verite, tu peux nous dire que l’exclusion et la corruption ne sont pas la cause de nos problemes? Tu as aussi oublie que le poisson pourrit par sa tete malheureusement nous n’avons pas de leaders au Mali, le Mali manqué d’examples et de facon tres aigue, nos enfants et nos petits-fils n’ont aucun model a regarder, les meilleurs sont ceux qui volent le dernier publique et s’enrichissent de facon illicite et tres vite, alors demandons a Mara comment il est devenu riche, n’a t-il pas un pere Joseph qui lui a laisse de l’argent pourri et des connections corrompues dont les dernires membres du CMLN? Quand un pays est par terre a cause de la grande corruption, de l’exclusison sociale et du manqué de patriotisme, les idees ne sont pas la solution mais les principes fondamentaux de citoyennete comme le patriotisme, le respect des droits de l’Homme et la vertu. Que les leaders Maliens a tous les niveaux (Gouvernement, Justice, et Assemblee Nationale) montrent l’exemple. Arretons l’hypocrisie!
La seule pensée des politichiens maliens, mara le 1er :
-se soumettre à la franSS
-laisser nos affaires internes êtres jugé par l’algerie, la franSS, l’onul
-laisser les armées oxydentales transformer notre pays en terrain d’essai d’armement
-Se soumettre aux institutions de prédations oxydentales
Désolé mais pour bien penser, il faut en avoir dans la cervelle…… Or au Mali, on a accumulé tellement de tare en matière d’éducation au sens large qu’on est mal barré !!!!!!!!
OK, Moussa MARA UNE BELLE ÉCRITURE, MAIS TOI AUSSI TU PASSES Á COTÉ DE LA PLAQUE EN NE DISANT PAS TOUTE LA VÉRITÉ.
ICI AU MALI, IL NE RESTE PLUS DE TEMPS POUR FAIRE DE LA DÉMAGOGIE : IL EST TRES TEMPS DE DIRE LA VÉRITÉ CRUE, SINON CE SERAIT LE “MEDECIN APRÈS LA MORT” .
LE PROBLEME DU MALI N’ EST PAS SIMPLEMENT UNE “CRISE DE LA PENSÉE” , MAIS EFFECTIVEMENT UNE “CRISE DE LA SPIRITUALITÉ”.
C’ EST BIEN LA SPIRITUALITÉ AUTHENTIQUEMENT ET NATURELLEMENT PROPRE Á UNE SOCIÉTÉ, QUI EST L’ USINE MERE DE SES PENSÉES, DE SES MOTIVATIONS, DE SES RAPPORTS AVEC LA BIOSPHERE ENTIERE, INCLUANT TOUTES LES NOTIONS CONNUES ET ENCORE INCONNUES DES NOS JOURS.
Moussa MARA, TOUT CE QUE TU VIENS DE DÉCRIRE DANS LE COMPORTEMENT EXISTENCIEL DU MALIEN SURTOUT DES “ÉLITES” A UN NOM.
OUI, Moussa MARA, TU DOIS SAVOIR CE NOM EN TANT QU’ INTELLECTUEL, PRENANT LE COURAGE ET LA FIERTÉ DE DÉNONCER CE MAL EXISTENTIEL GÉNÉRALISÉ.
Moussa MARA, CE NOM N’ EST AUTRE QUE LE LARBINISME.
OUI, Moussa MARA , LE LARBINISME EST LE COMPORTEMENT EXISTENTIEL DU LARBIN.
LE LARBIN AGIT, EXISTE SEULEMENT EN “SECONDE MAIN”, EN “SOUS-MAIN”, JAMAIS DE SON PROPRE CHEF DANS LE DOMAINE DE LA SPIRITUALITÉ, DONC DE LA PENSÉE ET DE LA PRISE DE DÉCISION, DE LA RECHERCHE ET DE L’ EXPRESSION.
PUISQUE NOTRE JOURNAL EN LIGNE, ICI SUR CETTE PAGE, NE PERMET PAS LE COLLAGE DES “HYPERLINK”, OU LIENS INTERNET, JE COLLE Á LA FIN DE MON COMMENTAIRE UN TEXTE DE AGORAVOX SUR LE SYNDROME DU LARBIN.
Moussa MARA, TU NE ME DIRAS PAS QUE LA DESTRUCTION DE LA SPIRITUALITÉ AUTHENTIQUEMENT ET NATURELLEMENT PROPRE Á UNE SOCIÉTÉ NE GÉNÉRE PAS LE SYNDROME DU LARBIN CHEZ LES INDIVIDUS COMPOSANT LADITE POPULATION…!!!
OUI Moussa MARA, UN HOMME DE VALEUR PEUT BIEN APPRENDRE, ACQUERIR DES CONNAISSANCES SANS AVOIR BESOIN DE SINGER LES AUTRES.
TOUTE L’ ACTION POLITIQUE DE L’ HOMME POLITIQUE MALIEN PATRIOTE , DOIT S’ ORIENTER :
1 – VERS LA DESTRUCTION TOTALE DE L’ HYPNOSIE SPIRITUELLE IMPORTÉE
AVEC L’ ISLAM QUI EU UN EFFET LARBINISANT, ET FUT LA PLUS GRANDE
CATASTROPHE HUMANITAIRE DE TOUS LES TEMPS.
2 – VERS UNE INDÉPENDANCE MONÉTAIRE RÉELLE, AVEC UNE MONNAIE NATIONALE
ET UNE POLITIQUE MONÉTAIRE NATIONALE, UNE BANQUE NATIONALE.
EN SOMME LIBÉRER NOS PEUPLES DES GRIFFES DU DARWINISME SOCIAL INVENTÉ AILLEURS ET IMPOSÉ Á NOS SOCIÉTÉS, ET MALHEUREUSEMENT AVEC L’ AIDE DE NOS “DIRIGEANTS” POLITIQUES VÉRITABLES VRP (Vendeur, Représentant et Placier) DE LA FRANCE, DE L’ OCCIDENT.
ENFIN J’ AIMERAIS VOIR Moussa MARA RÉAGIR Á MON POST ICI EN LIGNE, SELON L’ ESPRIT EXPRIMÉ DANS CE ARTICLE: LA COMMUNICATION INTELLECTUELLE OUVERTE ET TRANSPARENTE.
Mr l’avion a été acheté a une telle et telle somme inconnu !
il faut te taire Mr l’avion !
Le mensonge est le père de tout le Mal.
Menteur !!!
Exact le roi Biton. C’est en fait une tare.
La politique même est la confrontation D’IDEES afin d’aider le pays à atteindre un certain niveau de développement.
Le parti politique sert à rassembler ceux qui partagent les mêmes IDÉES pour aider le pays.
En dehors de partage D’IDÉES la politique devient un jeu d’intérêt.
AU MALI LES INTÉRÊTS ONT PRIS LE DESSUS SUR LES IDÉES.
MOUSSA MARA se trompe quand il dit que l’université malienne ne produit pas D’IDÉES.
CE SONT NOS HOMMES POLITIQUES QUI NE SE SERVENT PAS DES IDÉES PRODUITES CAR ILS NE LE TROUVENT PAS NÉCESSAIRES.
On préfère manipuler l’électorat au lieu de le convaincre par les IDÉES.
Il faut dire que cette tendance à manipuler l’électoral que de le convaincre par des arguments a commencé quant IBK a pris la tête du parti pouvoir.
Il s’est servi des derniers publics pour attirer les militants, neutraliser ses adversaires.
QUI NE SE RAPPELLE PAS DE LA MOBILISATION DES HAUTS FONCTIONNAIRES DE LA RÉGION DE SEGOU POUR EMPÊCHER MOUNTAGA TALL D’ÊTRE DÉPUTÉ ?
IBK savait qu’il ne faisait pas poids à côté du chef de fil de l’opposition d’alors, s’il devrait se contenter de produire des IDÉES.
Et pourtant ALPHA OUMAR KONARE a mobilisé l’électorat malien en 1992 par des IDÉES pour être élu car il était le candidat le plus pauvre.
L’ADEMA PASJ d’IBK a mis l’argent au centre de la conquête des militants entrainant tous les partis politiques.
Ceux qui produisent des IDÉES ont vu leurs partis perdre du terrain.
Qui peut contester que le PARENA est le parti qui mobilise les IDÉES pour l’amélioration de la situation du Mali pendant que ses adversaires procédaient à des manipulations sur le terrain ?
Les manipulations ont tellement marché que la masse populaire, y compris celle intellectuelle, pense que la politique c’est de participer ou ne pas participer au gouvernement car c’est la participation qui permet de procéder à des manipulations par les moyens de l’État.
L’élection d’ATT en 2002 a encore accentué le phénomène car la participation au gouvernement n’était basée sur aucune idée.
Ça a permis à IBK de continuer à manipuler les religieux, les militaires pour s’implanter au sommet de l’État.
Sur quelle BASE D’IDÉES MARA s’est ALIGNÉ dans le camp d’IBK ?
Sur quelle BASE D’IDÉES MARA n’arrive pas à s’aligner du côté de SOUMAILA CISSE malgré qu’il ait été déçu par IBK ?
N’est ce pas que MARA ne fait pas la politique sur la base des IDÉES quand on constate qu’ils s’engagent avec des personnalités politiques sans consulter le comité exécutif du parti provoquant une scission ?
Le Mali ne manque pas d’intellectuels produisant des IDÉES à l’intérieur et à l’extérieur du Mali.
Qu’Ibk choisisse un intellectuel sénégalais alors que AMINATA DRAMANE TRAORÉ et autres sont sollicités partout dans le monde ne prouve pas que le Mali manque d’intellectuels, mais que c’est un choix propre à IBK.
C’est le politique malien après génération ALPHA OUMAR KONARE, MOHAMED LAMINE TRAORÉ, ALI NOUHOÛN DIALLO …qui est médiocre à commercer par MOUSSA MARA.
Seuls les intérêts motivent cette nouvelle génération qui pense dégager un SOUMAILA CISSE qui est le seul gage de redonner du sens à la politique s’il arrive à s’installer au sommet de l’État.
Cette nouvelle génération a besoin d’un guide autre qu’Ibk pour s’affirmer.
Elle a été manipulée par IBK et ses semblables.
Elle a été entraînée pour penser que la politique c’est de participer ou ne pas participer au gouvernement quant on constate une majorité d’entre elle critiquée la présence de TIEBILE DRAME dans le gouvernement au lieu de critiquer les idées pour lesquelles il a fait le choix de collaborer avec le pouvoir.
Elle n’a pas compris que LA POLITIQUE EST LA CONFRONTATION DES IDÉES POUR FAIRE AVANCER LE PAYS, que le gouvernement sert à exécuter les idées, pas à les produire;que la production c’est au sein des groupes parlementaires;que ce sont les IDÉES qui déterminent la position politique, pas la participation dans le gouvernement.
Le gouvernement sert à appliquer la synthèse des IDÉES, pas les IDÉES d’un seul parti, si le président accepte de travailler avec d’autres sensibilités.
C’est à l’issue de la confrontation D’IDÉES au sein des formations politiques qu’une synthèse des IDÉES est tirée.
Donc si TIEBILE DRAME dit qu’il s’en tient à la position du gouvernement et des partenaires du Mali concernant la négociation avec les jihadistes maliens, ça n’étonne que ceux qui ne font pas la politique sur la base des IDÉES.
OSER LUTTER, C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue
Oui!!! Une triste réalité !
I agree!!!!!! On dirait qu’il n’ y a pas d’intellectuel dans notre faso!!! Au lieu de developper des strategies qui peuvent sauver le Mali, on prefere voir tout sous l’angle de comment ecraser son semblable accuse’ d’etre l’ennemi!!!!!
Comments are closed.