Un an déjà !
Voici déjà l’an un de la disparition de l’épouse de notre Doyen et Directeur de publication du journal « Le Pouce », Mme Traoré Mariam Dembélé. Sur la pointe des pieds, et dans l’honneur et la dignité, elle s’en est allée. Sans crier gare. C’était, le samedi 02 février 2013.
En allant, elle emporta avec elle, sa bonne humeur contagieuse.
En allant, elle emporta avec elle, une partie de nous.
Ton départ sans fracas, ne nous a pas empêché de le ressentir avec fracas dans notre plus for intérieur.
Combien de fois, nous nous sommes surpris essuyant d’un revers de main, sur nos jougs, des larmes, rien qu’en passant à la dame de cœur que tu étais.
Battante, jusqu’au bout des ongles, tes collègues de l’Agence Centrale de la Comptabilité et du Trésor (ACCT) s’en souviennent et témoignent. Tu as perdu le combat que nous sommes tous appelés à perdre. Tel est le décret divin.
Généreuse, tes amies, voisins et parents s’en souviennent et témoignent.
Humaine, le personnel du journal « Le Pouce », s’en souvient et témoigne.
Confiante en la vie, heureuse aux côtés de ton très cher époux, avec des projets communs, qui, malheureusement, ne seront réalisés.
Car, il était écrit quelque part, qu’à ton 37ème hivernage, tu devais lui fausser compagnie. Lui et nous tous. Nous sommes tristes.
En réponse à nos chagrins, je t’entends dire :
« Je suis partie :
Vous qui me pleurez ; cessez d’être tristes.
Je ne vous ai pas quittés ;
Je serai toujours avec vous ;
Je serai dans vos cœurs.
Vous me garderez dans vos souvenirs.
Je vous accompagnerai tout au long de votre vie.
Moi, je ne suis pas triste.
Ne pleurez pas.
Je ne suis pas seule.
Dieu m’a accueilli dans son paradis.
Les anges veillent sur moi.
J’ai retrouvé ceux qui étaient partis.
Lorsque le jour viendra où vous me rejoindrez,
Je serai là pour vous tendre la main.
Et nous vivrons heureux.
Ne pleurez plus, priez pour moi.
Je vous entendrai »
Repose éternellement TANTIE Mariam, du repos des justes, car, tu étais juste.
Mohamed DAGNOKO Depuis DAKAR
Merci Madame tu me rappelle François de Malherbe dans Consolation à Monsieur DUPERIEUX
Que la terre leur soit legere
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