Lors de son intervention télévisée du 23 juin 2017 sur l’ORTM, le ministre Kassoum Tapo qualifiait d’antidémocratique et d’antipatriotique la marche hautement historique du 17 juin 2017 contre son projet de Constitution. Et en même temps il a justifié le report du référendum par la saisine de la Cour constitutionnelle par l’opposition parlementaire. C’est triste ! Quel mensonge !
Les propos du ministre ont eu le mérite de renforcer en nous la conviction selon laquelle le sport favori du régime en place c’est le mensonge, la violation des lois et l’arrogance !
Venons-en aux faits :
Le président de la République a, par lettre en date du 13 mars 2017, saisi l’Assemblée nationale, convoquée en session extraordinaire, du projet de la loi portant révision de la Constitution du 25 février 1992, qu’il a initié en application des dispositions de ladite Constitution.
Renvoyé à la session ordinaire d’avril 2017, le projet a été adopté le 3 juin 2017. Le 5 juin 2017, le gouvernement saisit la Cour constitutionnelle pour avis conformément à l’article 41 de la Constitution. Le 6 juin 2017 la Cour constitutionnelle a émis son avis, soit dès le lendemain de sa saisine.
Le 7 juin 2017, le décret convoquant le peuple malien au scrutin référendaire prévu pour le 9 juillet 2017 a été adopté en conseil des ministres. Le même 7 juin 2017 ledit décret et l’avis de la Cour constitutionnelle ont été publiés au journal officiel n°22 du 7 juin 2017 respectivement aux pages 843 et 874.
Une Plateforme composée d’associations, de syndicats, de partis politiques, de leaders d’opinion, d’artistes et de simples citoyens, tous épris de paix et de justice, a été créée à partir d’une réunion tenue le 8 juin 2017 à la Pyramide du souvenir pour dire non à la révision constitutionnelle.
Le même jeudi 8 juin 2017, les deux groupes parlementaires de l’opposition ont animé conjointement une conférence de presse pour expliquer les raisons qui ont amené les 35 députés de l’opposition à voter Non lors de l’examen du projet à l’Assemblée nationale. Ils ont annoncé ce jour la saisine prochaine de la Cour constitutionnelle, ce qui fut fait le 16 juin 2017.
La marche historique pour le “non” au référendum a été organisée par la Plateforme le 17 juin 2017. La réussite de l’événement a ébranlé la majorité présidentielle. Pendant que l’aéronef CMP (Convention de la majorité présidentielle) laissait entrevoir des signes de détresse, le président de la République précipitait une sorte de consultation des institutions républicaines, religieuses et sociétales pour légitimer sa future décision de report du scrutin.
Au finish, le conseil des ministres du mercredi 21 juin 2017 annonce le report sans date du référendum prévu pour le 9 juillet en informant aussi que le gouvernement a reçu communication du recours déposé par l’opposition parlementaire.
Le ministre Kassoum Tapo, à la tête de son strapontin de département, au lieu de reconnaître l’échec cuisant de ses œuvres de tripatouillage de la Constitution du 25 février 1992, Constitution qu’il a vigoureusement défendue en 2012 après un court séjour à Kati, trouve les moyens d’insulter notre intelligence en arguant que le référendum est juste reporté en attendant que la Cour constitutionnelle ne vide sa saisine qui doit intervenir dans un délai d’un mois.
De deux choses l’une, soit le ministre Tapo Kassoum (je suis obligé d’écrire entièrement ses nom et prénoms pour ne pas me limiter à Me Tapo afin d’éviter de créer la confusion entre lui et cet éminent avocat et ancien ministre Me Abdoulaye Garba Tapo dont je suis le fier étudiant) ignore la procédure en la matière, soit il fait exprès de se moquer d’un peuple pour lequel il prétend pourtant s’investir.
Explications :
La procédure d’adoption du projet de loi, la saisine de la Cour constitutionnelle pour avis et la convocation du collège électoral ont battu tous les records de diligence jamais égalée dans notre pays.
Leur seul souci était de respecter le délai de 30 jours annoncé par l’article 140 de la loi électorale en son alinéa 1 et 2, je cite : “Les électeurs sont convoqués par décret pris en conseil des ministres. Le texte soumis au référendum est annexé au décret prévu à l’alinéa ci-dessus et publié au moins un (1) mois avant le scrutin”. Fin de citation.
Le ministre Kassoum Tapo devait savoir que la loi référendaire est susceptible d’être déférée à la censure de la Cour constitutionnelle en application de l’article 88 de la Constitution. Le ministre Kassoum Tapo devait savoir qu’en application de l’article 89 de la Constitution, je cite : “La Cour constitutionnelle statue dans un délai d’un mois selon une procédure dont les modalités sont fixées par une loi organique. Toutefois, à la demande du gouvernement et en cas d’urgence, ce délai est ramené́ à huit jours…” Fin de citation.
La vitesse à laquelle le processus de référendum a été conduit et le caractère urgent clamé urbi et orbi ne pouvaient-ils pas amener le gouvernement à demander à la Cour de ramener le délai d’un mois qui lui est imparti à huit jours ? Pourquoi le gouvernement ne l’a-t-il pas fait ?
La Cour constitutionnelle qui a rendu son avis à la vitesse du son, suite à la saisine du gouvernement, connaissant d’ailleurs bien le dossier, ne pouvait-elle pas rendre son arrêt le lendemain de sa saisine pour être conforme à son record de diligence historique ? Pourquoi elle ne l’a pas fait ?
Le ministre Kassoum Tapo et son gouvernement avaient toutes les cartes légales en main pour faire examiner le recours de l’opposition et tenir le référendum le 9 juillet 2017. Son employeur n’a pas laissé certainement le gouvernement utiliser ces cartes, malgré la grande colère que lui aussi a laissé éclater dans cette affaire parce qu’il a su mesurer à la fois l’ampleur et la pertinence de la contestation portée devant la Cour constitutionnelle et surtout celle de la rue.
Evoquer que le scrutin pourrait se tenir le 23 ou le 30 juillet 2017 relève d’une incongruité. Il est important de rappeler à l’illustre ministre que notre loi électorale ne prévoit pas de report en matière référendaire une fois que le collège électoral est convoqué. Seulement lors des consultations électorales, l’alinéa 5 de l’article 88 de la loi électorale stipule clairement je cite : “En cas de force majeure empêchant le déroulement du scrutin, le vote est reporté de vingt-quatre (24) heures par arrêté́ du ministre chargé de l’Administration territoriale sur proposition :
– du représentant de l’Etat dans le cercle ou dans le district ;
– de l’ambassadeur ou du consul au niveau des ambassades et consulats”. Fin de citation.
De tout ce qui précède il devient évident que tout report du scrutin référendaire prévu pour le 9 juillet 2017 à une date ultérieure est synonyme d’abrogation du décret portant convocation du collège électoral, ouverture et clôture de la campagne électorale à l’occasion du référendum constitutionnel adopté par le conseil des ministres sous le numéro 2017-0448/P-RM du 7 juin 2017.
Le ministre Kassoum Tapo, seul, n’a aucune compétence pour reporter un scrutin du genre convoqué suivant un décret pris en conseil des ministres. Au demeurant, si le gouvernement n’a pas abrogé son décret après avoir reporté le scrutin ceci relèverait d’un amateurisme grave, toute chose qui confirme, hélas, que l’incompétence et l’impertinence se disputent la gouvernance de notre pays.
Toute reprise du processus doit obéir à une nouvelle convocation du collège électoral, au respect des termes et délais consacrés par l’article 140 de la loi électorale. Monsieur le ministre Kassoum Tapo veut-il amener le gouvernement a violé cette disposition légale ? En parlant des 23 et 30 juillet 2017 comme dates probables du référendum, Me Kassoum Tapo veut-il nous indiquer que les “9” Sages vont rejeter le recours de l’opposition parlementaire ? Quel mépris pour les membres de la Cour constitutionnelle !
A supposer que la Cour constitutionnelle rejette le recours de l’opposition parlementaire dans un arrêt rendu le 15 juillet 2017, soit un mois après sa saisine, Me Kassoum Tapo viendra-t-il annoncer à l’ORTM que les Maliens sont convoqués au référendum prévu pour le 23 ou le 30 juillet ? Qu’est-ce qu’il fera de la période de campagne électorale qui doit être normalement de 16 jours au terme de l’article 70 de la loi électorale ? Va-t-il la reporter après le scrutin ?
Monsieur le ministre Kassoum Tapo, à votre place, au lieu de soliloquer sur le plateau de l’ORTM, j’irai expliquer la pertinence et l’opportunité du projet, s’il en a, à Ténenkou, à Youwarou, à Macina, à Douentza, à Kidal… Je réunirais le peuple dans toutes ces localités pour les faire adhérer au projet.
Monsieur le ministre Kassoum Tapo, je ne suis pas surpris que vous ayez échoué dans votre tentative de tripatouiller notre Constitution.
Je me souviens encore comme si c’était hier, de l’arrêt n°97-046 CC-EL de la Cour constitutionnelle du Mali en date du 25 avril 1997 relatif à l’annulation totale des résultats du 1er tour des élections législatives du 25 avril 1997, surtout de son passage suivant : “… Considérant que les documents produits par la Commission électorale nationale indépendante sont dans leur grande majorité non conformes aux dispositions de la loi électorale…
Considérant que malgré sa lettre n°0022/P-CCM en date du 19 avril 1997, la Commission électorale nationale indépendante n’a pu mettre à la disposition de la Cour constitutionnelle aucun document électoral concernant les régions de Ségou, Koulikoro et les six communes du district de Bamako en vue de lui permettre de se prononcer sur la régularité des élections dans ces localités ; que pour l’ensemble des régions de Sikasso et Kayes, la Cour n’a pu disposer de documents que sur les cercles de Koutiala, Kayes et de Yélimané…
Considérant que sans qu’il soit nécessaire de statuer sur les requêtes présentées par les candidats et les partis politiques, la Cour ayant, conformément à l’article 86 de la Constitution, constaté de nombreuses irrégularités qui entachent de manière grave la régularité et la sincérité du scrutin du 13 avril 1997 ; doit en tirer les conséquences de droit ;
Par ces motifs :
Article 1er : Annule les opérations électorales du premier tour des élections législatives du 13 avril 1997 sur toute l’étendue du territoire national…” Fin de citation.
A cette époque Monsieur le ministre Kassoum Tapo, vous vous souvenez certainement que vous étiez le tout puissant président de la Commission électorale nationale indépendante et que Monsieur Ibrahim Boubacar Kéita était Premier ministre de la République du Mali. En jetant un simple regard dans le rétroviseur vous pourrez édifier vos compatriotes sur les conséquences juridiques de cette débâcle sur les missions de la Céni et sur ses conséquences financières pour notre fragile Etat.
Tirant les leçons du passé, vous devriez, à mon avis, conduire le processus de réforme, qui vous a été confié par le président de la République, avec humilité et respect de vos concitoyens et non avec arrogance et mépris. Oui Monsieur le ministre, ceux qui ont marché le 17 juin sont des patriotes, des démocrates et des républicains. Ils ne vous ont nullement intimidé, ils vous ont simplement dit la vérité selon laquelle ils ne sont pas d’accord avec vous sans peur ni crainte. Je demeure convaincu que si l’un d’entre eux était à votre place aujourd’hui, avec l’échec cuisant que vous avez essuyé, il allait démissionner, parce que c’est cela la posture républicaine. Le patriote reconnaît ses torts et tire les leçons.
Alors, Monsieur le ministre Kassoum Tapo, qu’attendez-vous pour tirer les leçons de votre énième échec ? Tous ceux qui ont voulu se comporter en digne héritier du Grand Badinter n’ont jamais fait souffrir leur peuple. Revenez sur terre Monsieur le ministre Kassoum Tapo, ne mettez pas de l’huile sur le feu et surtout sachez raison garder. La roue de l’Histoire tourne, elle ne s’arrête jamais, que l’on se croit venu de Jupiter ou de Mars, elle ne s’arrêtera jamais.
Profitez bien de la fête de l’Aïd el-Fitr pour demander au bon Dieu, et là avec humilité, de guider vos pas vers le bonheur de votre peuple. Vous en avez sérieusement besoin. Sur ce plan, je suis prêt à vous accompagner dans cette prière pour que vous soyez utile à vous-même et à votre peuple qui mérite mieux de vous que l’arrogance et le mépris.
Respectueusement
Maître Demba Traoré
J’ai failli écrire corbillard, mais ma question est la suivante: Pourquoi ce politicien tire-t-il sur une ambulance, surtout quand le malade s’appelle le Mali et non Tapo? Faut-il être spécialiste en droit pour comprendre cela?
Il est toujours plus facile de détruire que de construire! Mais il est temps, il se fait urgent de dépassionner la question de la révision constitutionnelle au Mali, après tout ce à quoi nous avons assisté. Bravo à tous ceux qui ont fait barrage à la dérive, la légèreté et l’insolence concoctées pour nous. À présent il faut s’unir pour partir résolument de l’avant. Tapo est assurément le bon larron pour cette foire dont nous n’avons pas besoin, mais la question de la révision constitutionnelle demeure en l’état et il faut s’y atteler, dans l’unité et dans la responsabilité.
Le plus grand trait d’union entre nous est notre constitution.
Nous sommes tous ancien etudient de A TAPO et non de ce TIPO TIPO .”je suis obligé d’écrire entièrement ses nom et prénoms pour ne pas me limiter à Me Tapo afin d’éviter de créer la confusion entre lui et cet éminent avocat et ancien ministre Me Abdoulaye Garba Tapo dont je suis le fier étudiant”
SABALI, vous pouvez voir Guimba sur youtube ou’ il joue le role de Tapo! La phrase “…. IL NE FAUT PAS ME FAIRE CHIER…” doit retenir votre attention!
Le Mali fait face aux grands bandits du WILD WILD WEST!!!!
Le brûlage des feuilles séchées de neem permet de chasser les moustiques pas moi .Je suis un cole blanc j’ai pas froid aux yeux
Si vous demandez a’ un avocat si le mensonge est … UNE VERITE’. Il vous dira que cela depend des circonstances. LES MENSONGESQUI VIENNENT DU COTE’ OPPOSE’ SONT TOUJOURS DES… MENSONGES! LE ROLE DE L’AVOCAT EST DE CONVAINCRE LE JUGE ET/OU LE JURY QUE SES MENSONGES A’ LUI NE SONT PAS DES MENSONGES MAIS DES VERITE’S SOUTENUES PAR DES FAITS FICTIFS!!!!
TAPO A BIEN DEFENDU KAGNASSY EN DISANT QUE LA SURFACTURATION N’ETAIT PAS UN CRIME AU MALI! POURTANT IL N’A PAS MENTI CAR SI LE CRIME ICI, EST MORAL, IL N’EST PAS LEGAL. C’EST LA LEGALITE’ QUI COMPTE CHEZ TAPO. QUE FAIRE? SI ON CONFIE LE TIERS DU SENAT A’ DES VIEUX PEDOPHILES ET IGNORANTS DU DROIT MODERNE ET LES AUTRES DEUX TIERS AUX POLITICIENS OPPORTUNISTES ET CRIMINELS, LE CABINET DE MAITRE TAPO AURA TOUJOURS DES CLIENTS!
BATHILY ETAIT L’AVOCAT DU COLONEL GUINDO. LE JUGE KAREMBE’ EST DIPLOMATE EN CE MOMENT. BOUBEY MAIGA EST TOUJOURS UN BOULANGER DE PREMIERE CLASSE. Si on dit que l’horizon est la ligne ou’ le ciel semble toucher la terre; LA POLITIQUE MALIENNE EST LA LIGNE OU’ LA POLITIQUE DOMINE LA JUSTICE ET LE DROIT.
ANW KONI FASO BE’ ALLAH BOLO!
ON DIT S. Boubèye Maïga ET NON Boubey MAIGA
En effet dans un pays de 17 millions d’habitant ou la moitie est analphabete comment pensez vous que les lettres fonctionnent? Ca travail l’un pour l’autre.On a toujours dit qu’on veut du nouveau a la tete du pays .Qu en est t’il De Ibk aussi ancien que lui on meurt .
On avait tous une opposition commune comment faire ramener la paix au MALI maintenent il y a deux communes comment Chasser les detenteurs de la revision constitutionnelle. G.Tapo de son poste .Un vrai GTA
On ne dit pas S. Boubey Maiga. ON DIT SOUMEYLOU BOUBEY MAIGA.
S. est pour les grandes personnes comme SEYDOU BADIAN KOUYATE et non pour les petits Maiga!
J’espere qu’IBK nommera SEYDOU BADIAN KOUYATE’ AU SENAT. WHY NOT? Il est plus jeune que Robert Mugabe’!!!! J’aimerais egalement que notre MANDE’ MASSA reserve une place pour le vieux notable du Zimbabwe Mugabe’ et une deuxieme place pour le vieux notable du Cameroun Paul Biya. Nous aurons ainsi KOUROUKANFOUGA II ou’ les vieux notables declareront IBK EMPEREUR MANDE’ MASSA PREMIER DU MALI!!!!
Le jeune notable du Congo Dennis Sassou Nguessou peut attendre car il est relativement jeune par rapport aux hommes de l’Age de la Pierre Taille’e qui seront senateurs d’IBK!!!
AFORA KEITA LAKAW YE’ OUKA NIO DOLO DABILA! OUTE’ MOGO KOUMA ME’!
Comme dit l’autre, “on ne verra pas ses oreille si l’ane veut nous faire tomber de son dos” Seul le peuple est souverain et lui seul detient la legitimite. Enfin, la foule en colere est sourde et aveugle.
LE PEUPLE MALIEN A DROIT AU RESPECT DE LA PART DE SES DIRIGEANTS QU’IL LOGE, NOURRI, BLANCHI, VEHICULE.
“…Au demeurant, si le gouvernement n’a pas abrogé son décret après avoir reporté le scrutin ceci relèverait d’un amateurisme grave, toute chose qui confirme, hélas, que l’incompétence et l’impertinence se disputent la gouvernance de notre pays….”
“..La Cour constitutionnelle qui a rendu son avis à la vitesse du son, suite à la saisine du gouvernement, connaissant d’ailleurs bien le dossier, ne pouvait-elle pas rendre son arrêt le lendemain de sa saisine pour être conforme à son record de diligence historique ?…”
“…Toute reprise du processus doit obéir à une nouvelle convocation du collège électoral, au respect des termes et délais consacrés par l’article 140 de la loi électorale. Monsieur le ministre Kassoum Tapo veut-il amener le gouvernement a violé cette disposition légale ? En parlant des 23 et 30 juillet 2017 comme dates probables du référendum, Me Kassoum Tapo veut-il nous indiquer que les “9” Sages vont rejeter le recours de l’opposition parlementaire ?…”
“…Monsieur le ministre Kassoum Tapo, à votre place, au lieu de soliloquer sur le plateau de l’ORTM, j’irai expliquer la pertinence et l’opportunité du projet, s’il en a, à Ténenkou, à Youwarou, à Macina, à Douentza, à Kidal……”
QUELQUES EXTRAITS DE VOTRE LETTRE POUR MONTER LA PERTINANCE DE VOTRE ANALYSE
Bien écrit, bien dit bien correct et bien conseillé bien sage.
Malheureusement “on ne voit pas l’oreille de l’âne qui te fait bomber pour s’accrocher”. l’adage Bambara.
Merci Maitre Demba pour votre éclairage par rapport à la situation.
Si le président veut le bonheur du peuple malien il demande l’expertise des vrais constitutionnaliste comme DABA DIAWARA, BERTHE, et arrêté de travailler avec les ivrognes .
L’article est vraiment très édifiant. Par rapport au passage de Tapo à la tête de la CENI, no comment. J’ai l’impression que certains personnes ont la mémoire courte et pensent que tout est permis au Mali. Le peuple observe, tolère mais son réveil peut être brutal. On se connait tous au Mali. Souvenez vous des évènements survenus après la chute de Moussa TRAORE.
Mr Tapo, faites attention, votre bref passage à Kati entre les mains de la junte militaire ne vous a t-il pas servi de leçon? Le réveil du peuple peut être brutal envers les fossoyeurs de l’économie
MARCK
Merci Me Demba de ces commentaires.Vous savez Kassim Tapo a raison,comme en 1997 il a fait ses
tripatouillages et personne n’a levé le petit doigt,raison pour laquelle IBK lui fait appel pour la même chose.Attention Tapo le Malien est tolérant mais n’oublie jamais.
Tapo un jour viendra tu IRAS en prison sinon à ta mort tu ira en enfer.
Signé un Predicateur
J ‘ai écris 1000 fois ici à Kassoum Tapo de se cacher tout simplement car il a un passé très très pourri , il le sait pourtant, mais vraiment souvent il y a des questions qu il faut poser sur l ‘originalité ou la pureté de certaines personne dont tapo.
IBK et entourage aillez pitié de votre peuple qui ne demande qu’à être respecté quant il s’agit de la mise en place d’une autre loi fondamentale à la place de celle de 1992 qui a été obtenue dans le sang de centaines de maliens tombés sous les balles du régime dictatorial de Moussa TRAORE. La loi fondamentale de 1992 est le résultat de la mort de nombreux maliens, c’est le sang de centaines de maliens qu’il ne faut pas omettre, sinon ce serait le chaos. Un document obtenu dans le sang humain, mérite d’être respecté sinon le courroux de Dieu se manifeste tout de suite comme pour dire aux tripatouilleurs non au tripatouillage en se rendant roi ou empereur, le mandé mansa.
Comment peut-on accepter que seul le Président aura lui seul la possibilité de concocter un référendum constitutionnel? Cela est aberrant et inacceptable d’une démocratie obtenue dans le sang de nombreux maliens. J’espère que IBK et entourage auraient le sens de la mesure en procédant autrement pour le bonheur de l’ensemble du peuple malien. Nous sommes de toutes les façons dans l’œil du cyclone. Chers IBK et entourage laissez vos orgueils mal placés et mettez vos pieds à terre pour comprendre ce peuple que vous détestiez trop, trop et trop depuis toujours, mais sans lui sur qui alliez vous exercez votre pouvoir?
le sport favori du régime en place c’est le mensonge, la violation des lois et l’arrogance ! Merci Me ce régime ne connaisse pas honte.
La question que je me pose tout le temps est ce que se sont des maliens ?
merci jeune frère. Qu’Allah te bénisse.
Maître a tellement bien dit et tout dit qu’on ne peut dire mieux que ce qu’il a dit sur ce sujet. Tapo n’a jamais été un homme propre. Il nommé à ce département parce qu’il est expert en fraude. M. Demba a rappelé les fameuses élections de 97 qu’il a tripatouillées sens dessus-dessous, et se taper des milliards. Allez-y son domicile à Titibougou et vous saurez que Tapo a investi ses milliards dans çà. Au lieu de la prison on lui fait la promotion. Oh le Mali jus qu’ où continueras- tu de nous éberluer. Il y a une logique de l’absurdité dans ce pays.Franchement
Ne faisons pas des amalgames.
Sa maison de titibougou a été réalisée avant qu’ il ne soit dans les activités politiques.
L’homme est rentré au MALI avec sa richesse.
Il fait parti des avocats brillants qui s’enrichissent en défendant des hommes riches à échapper aux forces publiques.
Cette compétence,il est entrain de la mettre à la disposition d’Ibk à tripatouiller notre constitution.
Il montre là que sa cupidité n’a pas de limites,même s’il faut participer à aider Ibk et famille à humilier ce pays.
En face de lui des hommes brillants qui ont fait le choix du MALI sans contre partie tel maître demba traoré qui a éclairé ses compatriotes sur les contrevérités de son homologue.
Mon cher Sangare c’est faux et archi faux
Je suis de la même promotion que Kassoum
Et quand il venait au mali il n’avait rien. Il a acheté son terrain après son passage à la CNI grâce à Alpha Oumar Konare car la grande sœur de Kassoum dénommée Kalifa Tapo est l’intime amie de Adam Ba Konare.
Le terrain de Titibougou à son histoire que je vais taire alors Mr Sangare n’essayez pas de noyer le poisson car Kassoum est indéfendable.
C’est le seul malien qui n’a pas d’amis
Peut-être qu’ on ne parle pas de la même maison.
En 1995,un ami agent de transit est allé prendre la voiture de maître TAPO dans sa concession à titibougou pour effectuer les formalités à la douane,il est venu au grin commenter cette maison.
Il n’était pas encore membre de la CNI.
Je suis tellement sûr que quand il y a eu le fiasco de 1997,les gens ont commencé à parler de sa maison,les membres du grin ont démenti car ayant été informé de la maison avant les élections.
Vous pouvez être son promotionnaire sans être au courant de toutes ses activités.
Je ne suis pas entrain de dire qu’ il n’est pas mouillé dans le scandale des élections de 1997.
Mais que sa maison de titibougou n’est pas construite avec cet argent.
Vous avez des milliers de maliens qui construisent ce genre de bâtiment sans travailler avec l’ÉTAT.
Un avocat aussi éminent que TAPO c’est tout à fait possible.
Alors posez la question à Dembele au génie rural du cercle de Kati et à Hamboye Cisse au galbal du cimetière de Sotuba
Mes sources me disent que l’argent de Tapo vient de ses propres travaux en tant qu’avocat. Ajoutons que son passage a’ la CENI n’a pas porter atteinte a’ sa fortune. Tapo comprends le sale jeu des politiciens. Il n’hesite pas a’ tirer son epingle du jeu! Est-ce qu’une telle attitude est normale? a’ vous d’arriver a’ vos propres conclusions. JE ME CENSURE! RIRE!!!
IBK a les deux dangers suivants dans son entourage immediat:
1- Celui qui a toujours reve’ d’etre LE PM et qui n’a pas eu le poste. SOUMEYLOU BOUBEY MAIGA MOGO CHI MA ITOGO FO. RIRE!!!
2- Certains ressortissants de Mopti qui le blament pour le coup d’état de Sanogo et pour avoir laisse’ Mopti tomber dans l’anarchie!
LE PRESIDENT DOIT FAIRE TRES ATTENTION CAR LE PROCHE N’EST PAS NECESSAIREMENT LE PROCHE!!!! C’EST UN JEU D’INTERETS ET DE STRATEGIES POUR SE POSITIONNER ET PRENDRE LE POUVOIR AU MOMENT OPPORTUN!
EST-CE QUE L’OPPOSITION EST CLEAN? J’EN DOUTE! NOUS AVONS DES ANCIENS DIRIGEANTS QUI VEULENT REVENIR AU POUVOIR ET DES JEUNES AUX DENTS LONGUES QUI ONT UNE AUDIENCE AUPRES D’UNE PARTIE DE LA JEUNESSE MAIS QUI SONT TOUJOURS NAIFS.
RASBATH, JE LIS TOUJOURS ENTRE LES LIGNES. NE TENTEZ PAS D’ETRE CANDIDAT A’ LA PROCHAINE ELECTION PRESIDENTIELLE. VOUS NE PASSEREZ PAS ET VOUS PERDREZ L’AUDIENCE QUE VOUS AVEZ EN CE MOMENT. VOUS ETES UN LEADER D’OPINION. CONTINUEZ A’ DEVELOPPER CETTE CAPACITE’ MAIS NE CHERCHEZ PAS A’ OCCUPER UN QUELCONQUE POSTE POLITIQUE. NOT YET!!!!!
JE DIS AU JEUNE FRERE KARIM DE SE RECONVERTIR DANS LE SECTEUR PRIVE’ ET S’ELOIGNER DE LA POLITIQUE.
PRESIDENT IBK, TERMINEZ TRANQUILLEMENT VOTRE MANDAT. SI LE PEUPLE VOUS DONNE UN DEUXIEME MANDAT, REMPLISSEZ LE! NE CHERCHEZ NI A TRANSMETTRE LE POUVOIR A’ UN PROCHE NI A’ VOUS ETERNISER AU POUVOIR! Notre faso est toujours fragile. Il n’a nullement besoin de nouvelles crises fabrique’es par les tenants du pouvoir!
BAMANANW KO: NI BA DEGOUNA ABE’ KINI KE’!!!
FAISONS ATTENTION ET ECOUTONS LA MAJORITE’ SILENCIEUSE QUI EST EN COLERE!!! FAISONS TOUT POUR QUE CETTE COLERE N’ARRIVE PAS DANS LES CAMPS MILITAIRES. N’OUBLIONS PAS QUE SOUS NOS TROPIQUES, QUELQUES SOLDATS EN COLERE, PEUVENT DESTABILISER TOUT UN REGIME. EUX ILS DISENT MERDE A’ LA DEMOCRATIE ET AUX FARFELUS QUI SE CROIENT PLUS FORTS ET PLUS INTELLIGENTS QUE LES AUTRES!
ALLAH KA BE’ SON HAKILI GNOUMAN NA!!!
C’est propre, no comment
Merci Me Demba pour tes vérités sans équivoques. Des dossiers suivront relatifs à son manque de dignité
a bas kassim topo
Merci bien Me Demba tes vérité au monsieur ho! autant pour moi pour sa grade Me Kassoum Tapon ho! Tapo il fait honte a sa profession a cause de l’argent sale. Vraiment il est pitoyable ce gros requin de la république du mali
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