La Cour pénale internationale de La Haye s’intéresserait-elle aussi à la complicité des épouses de terroristes au Mali, comme cela est déjà le cas en Côte d’Ivoire ? Cette juridiction internationale, qui a pour rôle de juger et de punir les responsables de crimes de guerre, enquête depuis 2013 sur les exactions, meurtres, mutilations, viols et pillages, qui ont été commis par les terroristes sur la population malienne, notre pays ayant adhéré dès l’année 2000 au Traité de Rome créant la CPI.
A l’heure d’aujourd’hui, seul un Malien a été arrêté. Il s’agit du Touareg lié à AQMI Ahmad Al Faqi Al Mahdi, dit Abou Tourab, qui a été transféré en Hollande (Pays-Bas) et emprisonné, le 26 septembre, pour être jugé de la destruction de nos célèbres et historiques mausolées, à Tombouctou, classés au patrimoine de l’Humanité (reconstruits depuis par la Communauté internationale). Mais l’enquête ouverte par la procureure de la CPI, Fatou Bensouda, se poursuit et d’autres salafistes du nord du Mali, accusés d’exécutions publiques, de mutilations et de mains coupées, sont dans le viseur de la procureure connue pour sa ténacité.
Selon des avis concordants, un rebondissement pourrait en surprendre plus d’un,… ou plus d’une en l’occurrence. En plus des terroristes, certaines femmes maliennes pourraient avoir à répondre des actes de leurs époux. Ayant connaissance des activités meurtrières de leurs maris ou de leurs frères, elles en deviennent complices et elles seront plus faciles à attraper que leurs hommes, qui se savent bien se cacher à l’abri après avoir commis leurs crimes.
Cette éventualité apparaît d’autant plus plausible et réaliste qu’il existe un précédent. Simone Gbagbo (l’épouse de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo) est la première femme à avoir officiellement été reconnue complice et donc responsable pénalement suite aux violences postélectorales survenues entre décembre 2010 et avril 2011 : vols, meurtres, violences sexuelles et viols, persécutions et autres actes inhumains… Après avoir fait l’objet d’un mandat d’arrêt international et avoir été emprisonnée dans la froide prison de Scheveningen, bien loin de sa terre natale et de sa famille, Madame Gbagbo a été poursuivie et jugée pour ses crimes et complicité de crimes contre l’Humanité.
A l’issue de son procès, qui s’est déroulé au début de cette année à Abidjan, la cour a reconnu la culpabilité de Madame Gbagbo et le jury l’a condamnée à une peine lourde mais justifiée : 20 ans de prison ferme. Finie la liberté, elle mourra en cellule sans revoir sa famille.
De tous temps, en tous lieux, l’entourage des criminels a payé un jour le prix fort et ce n’est finalement que justice rendue. Bien trop aisé de dire « ce n’est pas moi qui tue c’est mon mari, c’est mon frère » et de lui offrir la couche et le couvert en échange de quelques cadeaux quand il rentre d’une expédition meurtrière, en espérant se faire passer pour un héros. Bien trop aisé pour les maris de faire croire à leurs femmes qu’elles ne risquent rien, que c’est eux que la justice traque et non elles.
Pour le Mali et les Maliens, qui ont subi les mêmes horreurs et sévices durant des années, juger la complicité de l’entourage des terroristes, qu’elle soit passive ou active, serait un signal fort d’une fin de l’impunité pour tout ceux et toutes celles qui ont et continuent de faciliter les atrocités commises ces dernières années. Il leur faudra répondre de leurs actes, et c’est une bonne nouvelle pour toutes les victimes qui souffrent dans leur chair et en hommage à la mémoire de celles qui ont été massacrées…
Auteur : MAMADOU MAIGA
Evidemment qu'elles auront des comptes à rendre les femmes terroristes au Mali. Je ne vois pas pourquoi parceque ce sont des femmes, ce serait différent. Femmes terroristes ou femmes de terroristes, ce sont des criminelles. Il n'y aura pas que Wallet Bicha, Ag Ghali n'est pas le seul djihadiste malien recherché par la cours pénale internationale. Les kouffa et autres ont aussi du souci à se faire. D'ailleurs son principal lieutenant vient d'être capturé par les forces armées maliennes. Autant dire que la prochaine fois se sera lui. Djihadistes, terroristes maliens, femmes de terroristes maliens, le mieux pour eux serait encore une exécution sinon se sera la prison … au Mali.
Il n’y a pas de raison que la cours pénale internationale soit plus sévère avec les femmes terroristes maliennes mais en tous cas la CPI ne sera pas plus clémente. Un terroriste ou une terroriste, quelle est la différence? Sous couvert de djihadisme ces dégénérés commettent des atrocités sur les enfants du Mali. Il faut exterminer ces djiadistes pervers ou les capturer et les juger sévèrement au MALI comme l’est Simone Gbagbo en RCI.
Les femmes terroristes qui auront soutenus les exactions de ces djihadistes pervers seront poursuivies par la CPI. Que ces femmes criminelles du Mali sachent qu'elles seront traitées comme ceux qu'elles aident. Les Anna Wallet Bicha etc. subiront la sentence de la Cours Pénale Internationale comme la famille Gbagbo il y a quelques mois. Eh oui, vous aussi, madame Ag Ghali vous ne serez plus protégée quand votre criminel et dégénéré de mari aura été exécuté.
livrons nous même ces femmes complices à la justice et occupons nous enfin de leurs maris
Tous ceux qui auront participé aux exactions commises sur le territoire malien seront poursuivis. Les femmes de terroristes complices seront trainées devant la justice de la cours pénale internationale. Elles seront jetées en prison pour avoir agi ou pour ne s'être pas opposées aux horreurs commises par leur maris. Les enquêtes de la CPI doivent avoir démarré et ceux qui auront participé de près ou de loin aux activités de groupes djihadistes seront poursuivis. Être une femme ne protège pas de la justice internationale et encore moins quand elle est femme de djihadiste. Simone Gbagbo en RCI est surement la première d'une longue liste.
La CPI ne s'intéresse pas qu'aux criminels djihadistes. Les femmes qui collaborent ou qui apportent leur soutien aux groupes armés, aux terroristes ont aussi du souci à se faire. Leur tour viendra. Les femmes maliennes demandent aux combattants de rentrer dans leur familles mais elles oublient les femmes criminelles, complice des atrocités de leurs maris. La femme de Ag Ghali, Anna wallet Bicha et les autres auront des comptes à rendre comme Simone Gbago chez elle.
nous savons que leurs femmes cachent les armes qui tuent des terroristes
elles feraient bien de réfléchir, les prisons froides de l’autre côté de la terre c’est pire que la mort
Que la justice s’en occupe avant que nous tombions dessus
QUE LA JUSTICE CONDANNE A MORT IYAD AG GHALI ET CES COMPLICES
Il faut se charger de TOUS les coupables sans oublier AUCUN car c’est un devoir pour TOUTES les victimes des terroristes et des salafistes !
Avant d’aller voir l’entourage, il faut d’abord se charger des terroristes eux-mêmes !
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