Entre herbes d’un pré dans ton pré carré, président François,
Le poète des poètes sommeillait, il s’éveille seul aïeul ;
Il n’est pas hollandais, il est ivoirien, seul Je qui conçois,
C’est lui qui conçoit aux troupeaux au berger peul.
Alors si tu me lis, si tu me relis,
Cours m’apporter en son nom un grand colis ;
Qu’il s’y trouve de douze royales juives douze colas :
Quatre pour ressusciter le monde par la France,
Quatre pour célébrer à sa tête le revenant Nicolas,
Quatre pour la symbolique de la toute autorité de référence.
Ô toi bienheureuse France ! Par ce nom à jour mon cri retentit,
Cri pour un grand jour de beaux jours français,
Jour jamais démenti, c’est un jour prédit,
Par une lance fourchue que j’annonçais,
Au ciel rabattu, planquée loin à l’horizon.
En feu, l’orient nous donne raison.
Ciel sombre, l’orient brûle à ton feu,
Feu qui n’est que petit feu d’artifice.
Or ton feu a grandi peu à peu
Comme Paris a grandi après l’armistice.
Priez ! Prions pour Paris ! Levez-vous pour célébrer Paris !
Ma prière allait pour Paris à Le Kremlin Bicêtre,
Comme la prière de Senghor depuis la porte d’Italie.
Encore ma prière fonce sur Paris sous aura de ma lettre.
Que Paris se rassure ! Par Mali, Paris tu vas te refaire,
Par Mali, bien sûr que ton mal de vie va se défaire,
Par d’heureuses circonstances du temps,
Temps promis à la France auréolée à jamais,
Temps de l’Esprit Saint rajeuni pour longtemps,
Esprit savant débout pour toi, plus que jamais en ce mois de Mai.
Docteur SANOGO Mamadou
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