Il doit être admis et compris par tous que l’histoire d’une nation ne se serait écrite sans un organe politique, de services spéciaux, d’une administration forte et un Etat souverain, il s’agit de sa puissance à l’intérieur qui n’est influencé par aucune puissance extérieure. Et enfin une justice libre et indépendante pour tous ses citoyens. Un coup d’Etat est une violation de la constitution.
La constitution donne à la nation une république dans une démocratie. Le pouvoir public a le droit et le devoir d’assurer à tout citoyen, protection, cela étant compris et connu de tous. La liberté de la presse étant un élément constituant l’un de ces principes cités doit même être consolidé, pour une bonne gouvernance. La presse libre et indépendante est un quatrième pouvoir, sans laquelle la démocratie ne s’aurait s’exercer. Pourquoi traquer, arrêter des journalistes qui exercent ce métier pour informer le peuple ? Que pour la diffusion des informations qu’on doit porter à la connaissance du peuple et des plus hauts autorités de la conduite de certaines personnes qui n’honorent point la fierté de notre pays. Ces gens se croient investi d’un pouvoir divin pour traquer notre Sory de Moti sans penser au lendemain. Le procès de Nuremberg n’a pas suffit pour arrêter la violation des droits de l’homme, à occuper inégalement le nord du Mali, à commettre des crimes contre l’humanité, du génocide, à menacer et terroriser la population. Si notre constitution donne droit à un plein exercice du journalisme, Sory de Moti écrira toujours ses colonnes pour informer le peuple. La nouvelle patrie à travers son Directeur Sory Haidara nous a toujours témoigné sa sympathie de bon voisinage et plus de 70 journaux sont distribués gratuitement à chaque apparition pour nous informer et nous donner le goût de la lecture. Pour quoi ne pas aimer le Mali plus tôt que ses intérêts du petit matin, ces hommes de tenue qui se donnent le droit de traquer, torturer et d’éliminer des journalistes. Qu’ils sachent que le peuple les connaît, qu’ils répondront de leur acte tôt ou tard, pour un Mali libre, pour une vraie démocratie, des patriotes convaincus et épris de paix et de justice. Debout Maliens patriotes, main dans la main, dénonçons les meurtres, les traitres, les voleurs et les antidémocrates pour un Mali qui avance dans le concert des nations développées.
Modibo Diakité, commerçant
Ah bon, ca continue toujours? Sanogo, en bamabra on dit que “ni ye i donko be ke, a to be toh i keyen ko ye”. Ce qui ce traduit comme, tu peux faire tout ce dont tu es capable jusqu’au jour ou il ne te resterait que ce que tu es incapable de faire.
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