Le gouvernement malien a toujours dénoncé que le Nord du Mali est devenu le fief du narcoterroriste dont les auteurs se sont solidement implantés sur le territoire malien et dans certains pays voisins.
A l’époque personne ne voulait entendre la cause malienne mais aujourd’hui avec les interminables investiguassions des pseudo-responsables politiques de la CMA (coordination des mouvements de l’Azawad) tout le monde est édifié.
De sources proches de négociations d’Alger, le Ministre Algérien des Affaires Etrangères et les autres membres de la médiation internationale y compris l’Union Européenne, l’Union Africaine et les Nations-Unies tout comme le représentant de la Mauritanie, du Niger, du Burkina, du Tchad, du Nigéria, ont finalement découvert le jeu de la CMA. Cette dernière, avance toujours des arguments fallacieux pour retarder le paraphe de l’Alger afin de permettre à leur commanditaire de poursuivre le trafic juteux de la drogue. Les barons de la drogue ont recruté des jeunes sans emploi qu’ils paient mensuellement en devise et dont l’unique mission est faire tourner en rond les négociations et retarder au tant que possible le processus de paix. L’Algérie a été très patiente et a fini par découvrir ce jeu des narcotrafiquants. Au cours des négociations hier, toute la médiation internationale par la voie du Ministre des Affaires Etrangères de l’Algérie a notifié aux neuf délégués de la CMA que la récréation est terminée soit ils paraphent le document ou ils dégagent de leur territoire ou ils n’auront plus accès ni eux ni leurs narcotrafiquants installés royalement dans les villes de Borges, Adrar et dans d’autres villes.
Les représentants de la Mauritanie membres de la médiation internationale, ont également notifié que son pays s’aligne sur la même position que l’Algérie. La France et les Etats-Unis Us ont également dépêchés des émissaires à Alger pour notifier aux délégués de la CMA que leurs pays soutiennent le paraphe de l’accord d’Alger sans condition conformément aux résolutions du conseil de sécurité et du conseil de paix de l’Union Africaine. Quand au Burkina Faso, le Président Kafado soutient le Mali sans réserve contrairement à son prédécesseur Blaise qui était le mentor de tous ces narcotrafiquants et les azawadiens et qui a fait Ouagadougou la capitale de la subversion contre le Mail .Maintenant tout le monde parle des sanctions contre les ennemis de la paix et de la stabilité dans la sous-région.
Les langues commencent à se diluer et l’on parle déjà d’une liste dans les coulisses des nations-Unies, qui ont fait appelle à Interpol pour la vérification de certaines informations concernant certains acteurs de la déstabilisation de la sous-région. Qui sont ces Gens ?
1. MNLA ;
2. Nina Walet Intalou, qui habite une grosse villa dans la capitale mauritanienne qui change de voiture à son gré et qui finance les études de ses trois enfants en France et qui prend en charge une vingtaine de jeunes chômeurs activistes dans les camps de refugiés en Mauritanie et au Burkina Faso. Madame extrémiste qui parle de l’indépendance de l’Azawad ou rien est financée par les narcotrafiquants Deyti Ag de la fraction Idnane et le fameux Colonel Mohamed Najime et son petit frère Moussa Najime qui assurent l’escorte des convois de drogue entre la frontière marocaine et la Lybie ;
3. Moussa Ag Acharetmane et Moussa Ag Assarid les soit disants intellectuels du MNLA chargés de lobby auprès des européens sont payés chacun par les narco-djihadistes à raison de 5 000 euros par mois, ils bénéficient de l’appui de certaines vielles retraités françaises auxquels ils sont soi-disant mariés afin de bénéficier de la résidence en France ;
4. Bilal Ag Acherif en plus de son salaire garantit par les narcotrafiquants, il bénéficie d’un budget pour entretenir la subversion au Mali avec des fonds dit-on provenant des pays hostiles à l’Algérie et qui veulent régler leur différend avec celle-ci sur le dos du Mali dont ils se disent paradoxalement amis ;
5. Almou Ag Mohamed ce petit chômeur émarge sur le budget de la nébuleuse de la cocaïne est chargé de l’activisme azawadien dans les camps de réfugiés au Burkina Faso ;
6. MAA tendance belligérante
Mohamed Ould Sidati ancien maire de Ber, qui a des véhicules qui transportent la drogue et qui font partie du cartel de certains arabes de Tombouctou ;
7. Dina Oud Daya et son cousin Oumar Ould Ahmed l’un est installé à Adrar et l’autre en Mauritanie. Ces deux hommes sont les vrais chefs de la drogue et les représentants politiques de MAA et ne sont en fait des employés chez eux qu’ils payent mensuellement 5 000 euros par mois. Ces pseudo responsables politiques sont Mohamed Maouloud Ramdane dit Likheil un stagiaire magistrat malien qui a été renvoyé du corps des magistrats pour incompétence notoire ? il est l’un des plus extrémistes contre la paix et croit à l’indépendance de la république fictive de l’Azawad ;
8. Le reste de la liste suivra car des vérifications sont en cours sur les activités criminelles des acteurs.
La communauté internationale a finalement copris que les soi-disant revendications politiques de ces activistes ne sont en fait que la couverture politique de narcotrafic. Elle est convaincue que ces pseudo responsables politiques ne roulent que pour eux-mêmes, ils voyagent de capitale en capitale en classe affaire et habitent des hôtels de cinq étoiles dont les factures sont réglées en devises caches et qu’ils se moquent des pauvres populations innocentes de Kidal et des camps de refugiés qui soufrent du manque de paix, d’éducation et de santé et des autres services de base. D’où proviennent ces fonds pour des gens qui ne n’ont aucune activité répertoriée et encore moins des emplois rémunérés ?
Affaire à suivre…
Une contribution de Mr. Isaac Sawodogo
Expert en Crime Organisée dans le Sahel
Burkina Faso
