Dans une contribution qu’il nous a fait parvenir, le président de la Convergence africaine pour le renouveau (CARE Afriki Lakuraya), Cheick Boucadry Traoré estime que l’un des obstacles auxquels font face ceux qui mènent la lutte pour la libération de notre pays est l’absence d’unité. La principale raison de ce manque d’unité n’est pas les différences dans les objectifs officiels affichés, mais plutôt dans les objectifs immédiats liés aux agendas officieux des uns et des autres. Le peuple malien en est conscient.
Nous sommes la nation malienne, une nation qui se veut moderne, mais qui se vit à travers des symboles de nos valeurs et de notre culture tels que voulus par nos aïeux et pères fondateurs comme Kaya Makan Cissé, Sundiata Keita, et Sonny Aliber.
Et comme toutes les nations, la nation malienne possède son caractère bien à elle. C’est ce même caractère qui a toujours façonné notre volonté de vivre ensemble, de bâtir une destinée commune. Nous devons tout faire pour préserver ce caractère unique et consolider ensemble notre avenir.
La dynamique unitaire doit constituer incontestablement notre cheval de bataille en vue d’atteindre nos objectifs, car sans une vraie unité, il ne peut y avoir ni victoire sur les forces du mal, ni une vraie alternance politique tant voulue et attendue par le peuple malien. Cependant, pour mériter la confiance de l’ensemble du peuple malien nous devons prendre en considération ses attentes pour un changement en profondeur.
Aujourd’hui, il est tout à fait clair que l’un des grands obstacles auxquels font face ceux qui mènent la lutte pour la libération de notre pays est l’absence d’unité, et la principale raison à ce manque d’unité n’est pas les différences dans les objectifs officiels affichés, mais plutôt dans les objectifs immédiats liés aux agendas officieux des uns et des autres. Le peuple malien en est conscient.
Nous devons donc avoir la grandeur d’esprit de se conformer aux espoirs de l’ensemble de notre peuple. Nous ne pouvons y parvenir qu’en conjuguant nos efforts dans un esprit patriotique d’unité et de concorde nationale, et montrer à l’opinion nationale et internationale que les Maliens sont capables de s’entendre dans l’intérêt suprême de leur nation.
Nous avons le devoir patriotique et l’obligation morale de rappeler à tous les politiques que l’alternance que les Maliens cherchent désespérément se trouve au niveau des points suivants : l’intégrité morale, la conscience politique, le sentiment patriotique, et une clairvoyance politique digne du temps.
Nous avons l’obligation morale et le devoir patriotique d’élaborer une stratégie commune basée sur des objectifs réellement nationaux prenant en considération les espoirs de l’ensemble de notre peuple qui sont : une paix réelle et définitive, une vraie démocratie, une justice égale pour tous, un développement économique, un progrès social et surtout des dirigeants intègres et dignes de confiance.
Aujourd’hui, notre nation a besoin d’un gouvernement de transition qui a la confiance du peuple. Un gouvernement qui est le seul maître d’œuvre, guidé par les seuls intérêts du Mali, et assurant la cohérence des politiques. Aussi, souverain, le Mali doit-il faire ses propres choix et devenir le gestionnaire unique de son destin.
La Convergence Africaine pour le Renouveau (CARE) réaffirme sa volonté pour la consolidation de l’unité nationale et la préservation des acquis nationaux en contribuant activement et en collaborant avec toutes les forces vives de la nation pour la réalisation de ces objectifs avec l’aide de Dieu et du peuple malien. Que Dieu bénisse notre Nation dans une Afrique unie et en paix.
Cheick Bougadry TRAORE
Votre critique manque un peu en pertinence. Compte tenu de la situation ne devriez vous pas nous faire un analyse qui fixe votre parti dans la vie nationale. j’ai l’impression que vous avez un souci d’exister.Que pensez vous de l’agression barbare contre Dioncounda?de la sortie de crise? Sans faire trop de détails sachez que l’échec de CMD sera aussi votre échec dans l’avenir. c’est trop tôt pour vous tous de rebondir
Mr. Traore le Mali vous appartient,je vous encourage a continuer votre combat politique ,je vous prefere Premier Ministre que ce ignorant faut navigateur De Modibo Diarra tout court FILS de Moussa Diarra de Segou .vous etes intelligeant et bien patient ,continuer votre lutte ,la verite triomphera inchallah ,le Mali vous adore et vous aime bien mon frere bien aime .
tais toi sinon la deuxième révolution arrive!!!!
les gens de mars 91 sont là
Tout se sait, tout se saura.
Que Dieu bénisse le MALIBA
Tais toi c est mieux pour toi
“Nous avons le devoir patriotique et l’obligation morale de rappeler à tous les politiques que l’alternance que les Maliens cherchent désespérément se trouve au niveau des points suivants”. Monsieur TRAORE, j’ai beau faire la part des choses, je ne trouve dans votre monologue nvitation, ni dialogue, ni à l’échange. Votre monologue montre comment, enfermé dans une vision frivole et exotique du Mali, vous prétendez jeter un éclairage sur des réalités dont vous faites votre hantise, mais dont, à la vérité,vous ne ma^trisez rien. Ainsi, pour s’adresser aux maliens, vous vous contentez de reprendre, presque mot à mot, des passages des chapitres du discours cartésien. Vous estimez désormais que l’on ne peut rendre compte aux maliens qu’en s’exprimant sans frein, dans une sorte de vierge énergie. Et c’est bien ce que vous avez à l’idée lorsque, désormais, vous défendez tout haut l’idée d’une alternance. Quand vous parlez d’alternance, on sent que c’est par rapport à l’histoire du Mali d’après 26 mars 1991. Vous savez, Monsieur TRAORE, la diférence entre vos idées et celles des millions de maliens, c’est qu’eux ils mettent en cause soit l’histoire des regimes du Mali de l’indépendance à nos jours, soit celle des regimes du Mali de 1968 à nos jours. À vos yeux, on ne peut parler du Mali qu’en suivant, en sens inverse, le chemin du sens et de la raison, peu importe que cela se fasse dans un cadre où chaque mot prononcé l’est dans un contexte d’ignorance. D’où la tendance à saturer les mots, à recourir à une sorte de pléthore verbale, à procéder par la suffocation des images – toutes choses qui octroient à votre monologue son caractère heurté et bégayant. Dans votre monologue, je ne trouve que rhétorique. Derrière les mots se cachent surtout des injonctions, des prescriptions, des appels au silence, voire à la censure, une insupportable suffisance dont, je l’imagine, ne peuvent faire preuve que des nostalgiques et revenchards.Dès lors, comment s’étonner qu’au bout du compte, votre définition de la situation du Mali d’après 26 mars 1991 soit une définition purement négative ? Monsieur TRAORE, nous n’avons pas besoin de te le faire avouer, car il s’agit sans nul doute de la définition des hommes politiques d’après 26 mars 1991, notamment de ATT. En effet, “ l’homme ATT ” de vous et de baecoup d’autres Maliens, est aujourd’hui surtout reconnaissable soit par ce qu’il n’a pas, ce qu’il n’est pas ou ce qu’il n’est jamais parvenu à accomplir (la dialectique du manque et de l’inachèvement. Mais à qui fera-t-on croire qu’il n’existe pas de responsabilité morale pour des actes perpétrés par un regime au long de son existence ? À qui fera-t-on croire que pour créer un Mali nouveau, il faut évacuer la morale et l’éthique par la fenêtre puisque dans ce pays, il n’existe ni justice des plaintes, ni justice des causes ? Afin de dédouaner un système inique, comme celui de la 2ème République, la tentation est aujourd’hui de remmtre en cause les acquis du 26 mars 1991, de réécrire l’histoire du Mali. En traitant ainsi des mouvements politiques, on prétend s’autoriser, comme d’une sincérité intime, d’une authenticité de départ afin de mieux trouver des alibis – auxquels on est les seuls à croire – à un passé passablement cruel, abjecte et infâme.Si donc vous voulez jouer un rôle positif dans l’avènement du Mali multipartiste, il faut renoncer à votre esprit de nostalgie et de revanche. De toutes façons, les maliens ne regardent plus derrière eux, c’est compris?
Surtout un bref ,sinon ton texte si important aurait du etre publié
Les conditions (nombre de mots), m’ont obligé de le réduire.
IBRAHIM BOUBAKAR KAITA REFUS.MOHAMMED AG.HAMANI.POST .DE PREMIER MINISTRE .UNITE. CE .CA
vou. bal.bal pour.tue .de.genet. unite. quoi de.unite.vou.conaiss bien que moi je vuet que tu me.dit. unite. vous que parle. de. unite. qui .que.ne.vuet.pas. de.mali 1980et .1991.tamp de.mousa traore.et amadou toumani toure alpha oumar kounare att2 et.genet.politique .que.tuen de mali
Comments are closed.