Le gouvernement de la RACE : Ne soyons pas dupes de ce qui nous arrive.

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Ne soyez pas surpris, mesdames et messieurs, d’entendre une fois, de voir un jour, d’apprendre dans un proche avenir, que ce grand athlète d’exception qui émerveille la Terre entière, éblouit et ravit les stades, l’homme volant, champion des records et des médailles, adulés par les enfants du monde, vous l’avez deviné, je parle d’Usain Bolt, ne soyez pas surpris, dis-je, qu’il tombe sous le coup de l’accusation fallacieuse de dopage, ou d’un stratagème ignominieux du genre à le compromettre, une combine machiavélique visant à le salir, à créer le doute sur son mérite, sa moralité, et en faire un vulgaire tricheur, un vil individu immoral, un minable qui nous a trompé. Pourquoi ?

La machination…

D’abord, parce que des rumeurs sourdes ont été propagées à ce propos, seulement quelques jours après la fin des derniers jeux olympiques de Londres. Et, tout observateur avisé aura compris, tout de suite, la machination qui se trame derrière ces allusions. Mais, la pilule était trop grosse à avaler sur l’heure. Il y a, à l’évidence, eu report, je vous le dis. Nous avons affaire, c’est certain, à une tentative scélérate de stopper nette, en plein vol, la course de l’étoile Noire qui brille au firmament des exploits de l’humain. En plus, au regard des faits, il ne s’agit pas là d’un soupçon fantaisiste.

Se payer la peau de Bolt…

La rumeur éclair a été supplantée, dans l’intervalle, par un scandale énorme, juste tombé à pic et médiatisé en la circonstance, et qui, pour être tout aussi terrible en décharge émotionnelle, est le parfait alibi (sans en avoir l’air) des conspirateurs pour contrer le tollé général d’indignation attendu d’un public conquis, qui verrait forcément un coup bas dans l’attaque contre le Jamaïcain. Lance Armstrong, pour ne pas le nommer, septuple champion du Tour de France, inamovible vainqueur, devenu un véritable mythe du cyclisme, vous avez suivi, est livré, déchu ainsi de tous ses titres, au bout d’une procédure judiciaire et de révélations navrantes pour des admirateurs et fans déchirés. Comprenez qu’il est la “blanche rançon” versée pour se payer la peau noire de Bolt, et fourvoyer les inéluctables cris au complot raciste. Oui !

Discrimination

L’argument est tout trouvé, je vous la livre : « Quand un Blanc, tout seigneur de sa discipline est dénoncé, présumé coupable, sans être pris sur les faits, sanctionné des années après son abandon de la compétition, on se tait, on admet, personne ne se plaint. Mais, quand Monsieur Bolt, grande vedette du moment, qui court toujours, que nous admirons tous, se fait épingler pour une faute, pas par présomption, mais par un contrôle tout à fait régulier, soumis à une contre expertise, il n’est pas compréhensible, parce qu’il est Noir, que l’on taxe des honnêtes gens, qui, d’ailleurs, ne sont pas tous Blancs, à tort et travers de discrimination, voire de racisme ; et tralali tralala. »

La messe est dite…

La messe est dite. On cloue le bec à tout le monde. Les injures et haros en attente suivront. Il se fera huer et insulter avec toute sa race, au propre comme au figuré. Ainsi, même s’il venait à être innocenté après, la fusée Bolt aura pris un sérieux coup de volan, de discrédit, avec des déçus, des enfants (blancs, jaunes, caféolés et noirs) en pleur, blessés par une injustice inqualifiable qui les dépasse ; et l’objectif serait largement atteint. Ce scénario, plus que vraisemblable, plausible, est loin d’être une fiction fortuite.

Une perle « de couleur » se retirer

On a rarement vu une perle “de couleur” se retirer tranquille, sans une casserole derrière, sans crise à dégât, sans défrayer la chronique d’une histoire déshonorante. Pelé et Carl Lewis sont parmi les rares miraculés, à se sortir encore sans salissures.

Dans ma dernière livraison au sujet des dessous du complot des puissances (France, Etats-Unis et consort) contre le Mali, j’ai dit que le dénominateur commun de tant de crimes perpétrés par l’Occident à travers le monde (oriental) était le Racisme. J’ai juste fait, ici, un tableau des sournoiseries pressenties après levée de lièvre, qui doit servir de mise en garde à la Jamaïque et à ses athlètes, afin qu’ils ne se lassent de vigilance face à ce risque réel encouru de la tentation du diable, qui a toujours entrepris de souiller les célébrités du monde Noir, comme nous le verrons clairement, avec les différentes tragédies qui suivent.

Hitler, ce nabot n’a pas supporté la victoire d’un noir…

La rétrospective peut commencer, fort justement, avec Adolf Hitler, le chancelier allemand du 3è Reich, à qui le monde doit la deuxième guerre mondiale, le nazisme, les chambres à gaz, et tant d’horreurs, tels les camps de concentration ; j’y reviendrais. Ce nabot n’a pas supporté la victoire d’un Noir sur les muscles dopés de sa “race supérieure”. Il se débina, courroucé de honte, en quittant le stade berlinois noir de monde. Jesse Owen, l’athlète américain, qui avait le vilain défaut d’être un pur nègre, venait d’assener aux fesses une cuisante raclée olympique à la théorie de la suprématie raciale de ce psychopathe, dans son délire d’asservissement du monde, en remportant, irrévérencieux, une splendide victoire insolente au 100 m sur le robot humain des laboratoires prodigieux de ce régime mégalomaniaque cruel. En revanche, les nazis arrêtent et fusillent en France un jeune malien, militant des droits, apparenté communiste, Tiémoko Garan Kouyaté, sort subi par de nombreux autres résistants, défenseurs des libertés, morts pour la France.

Les racistes ne supportent pas la domination des athlètes noirs

Les racistes incurables ne supportent pas l’écrasante domination des athlètes Noirs aux jeux olympiques. Sur le sol américain, où la délégation cubaine avait infligé une humiliation mémorable aux pourfendeurs de sa Révolution, en venant faire le plein de médailles (13, dont 6 en or), l’avion de ligne cubain qui ramenait les gloires à la Havane explose en plein vol, tuant soixante-treize personnes. Ce forfait est imputé à deux terroristes anticastristes, qui jusqu’à ce jour vaquent libres aux Etats-Unis, avec la bénédiction de son gouvernement. A Munich, en Allemagne fédérale, en 1972, un autre acte terroriste endeuille le village olympique avec l’incursion d’un commando palestinien qui fera 11 morts israéliens.

Toujours dans la rubrique olympique, l’Afrique entière souscrit au boycott de l’Afrique du Sud de l’Apartheid dans les compétitions internationales. Il n’en sera rien pour les Européens et les Américains, qui les trouvent fréquentables. Ce n’est plus la même chose pour la Chine, lorsqu’un Nicholas Sarkozy, qui se voudra champion du boycott hasardeux des jeux de Pékin, pour des soi-disant problèmes de droit de l’homme, qui ne sont respectés ni par lui ni chez lui, avant que les Chinois et le monde des affaires ne lui remontent les bretelles et le fasse revenir à la raison, pour en en faire, du jour au lendemain, un bien fervent et spectaculaire soutien. Quittons le monde olympique, en restant dans le sport.

Mohamed Ali, le légendaire boxeur, « le plus beau, le plus fort », refusant d’aller combattre au Vietnam, fut stigmatisé, et sa première couronne des lourds retirée. A la fin de sa brillante et incomparable carrière, il écope de la maladie de Parkinson, en plein dans la gueule qui les avait tant nargués, et une image de déchéance. Le cogneur de tous les temps, Mike Tyson, victime d’une sordide machination, est éclaboussé par une accusation douteuse de viol qui le conduit en prison et aussi à la ruine. Il ne s’en est jamais remis. L’emblématique champion du golf, Tiger Woods, surfant sur son triomphe, un salaire inégalé et une popularité en sacrement, est rattrapé par une sulfureuse affaire de liaison extraconjugale, de divorce, qui lui fauche l’herbe et les sous sous le pied, et le ramène à raz de gazon sur terre, si ce n’est à terre. Qu’est-ce qui l’attend dans ses tentatives de se remettre ?

Il serait injuste de ne pas souligner le cas de Diego Maradona, ce prodige, dieu du ballon, entraîné (par qui ?) dans la toxicomanie jusqu’à le détruire, et finir par le renvoyer chez lui comme un vulgaire voyou. Un Indien, un Nègre, un Métis, c’est pareil pour ces gens là. Le football est un terrain de prédilection des zouaves. On a vu comment des supporters bons teints offensent les Nègres de leur propre équipe (en Espagne, France, Angleterre et Italie) ; comment ils sont traités par des sélectionneurs sournois. Comment ne pas rappeler l’épisode de la main de Thierry Henri, le capitaine des bleus, vilipendé par une presse avec ses chiens méchants mordants, qui s’est déchaîné contre le “Nègre tricheur”, sans pourtant refuser, ou remettre en cause, la qualification donnée à la France par la main noire. Quelle moralité !? On aurait cru que c’est la première fois qu’une faute de main pipait le jeu. L’excellent Zidane a dû sonner le tocsin : « Cela frise le racisme », pour que les ardeurs s’adoucissent. Et, ce n’était qu’une furie raciale, évidemment. Lui-même, Zidane, malgré son mérite, son palmarès inégalé, se fait récompenser, en lieu et place d’une statue gratifiante, comme pour Platini, par un moulage dédié à son fameux coup de tête d’exaspération. A tout seigneur, tout honneur. Quelle reconnaissance !? Cette histoire se poursuit jusque dans les coulisses de la Coupe du monde, où l’équipe française aura la déculottée que l’on sait, affectée par des bisbilles qui trahissaient les dessous racistes, faciles à deviner, qui expliquent le comportement des joueurs taxé d’indiscipline. Toute chose que Thierry Henri se proposait de déballer devant la presse. Il est aussitôt cueilli à l’arrivée, invité jusqu’à l’Elysée, pour le calmer, le faire taire, et étouffer le scandale. On collera après des sanctions à la “garde noire”, pour se donner bonne mine.

Les commentaires dégueulasses

Inutile de revenir sur les commentaires dégueulasses de certains reporters et commentateurs entendus sur les ondes, qui cachent mal leur hernie raciale baveuse. Ils parlent volontiers de l’athlète, du footballeur, du sportif – français, quand tout baigne, et hurlent dans le micro son succès. Le même devient subitement le franco-sénégalais, franco-camerounais, ou le Français d’origine togolaise, quand ça crame, et fait flop. Amusant. L’actualité nous donne du grain à moudre : “L’affaire Karabatic” est une illustration parfaite de ce propos. Voyez comment, par des combines, on s’est mis à salir de véritables héros nationaux, sacrifiés et accablés sans raison évidente, avec des supputations grotesques, parce que : pas Nègres, mais, tout comme, étrangers. On accuse le pauvre d’avoir truqué un match auquel il n’a même pas participé. C’est quand même inquiétant pour un joueur de ce rang. Et, la fable du loup et de l’agneau resurgit : « Si ce n’est pas toi, c’est donc ton frère ».

Changeons de registre. En musique, si le monde du jazz fait sa place incontestée aux virtuoses “mélaniennes”, ici adulées, respectées et honorées, le racisme dépasse l’anecdote sur la toile de quelques plaisantins, attribuant le mérite de cette musique de l’âme (soul, jazz, blues) aux Blancs qui, à force « de cravacher les Nègres », en ont tiré les gémissements et soupirs qui enchantent mélodieusement la Terre.

Elvis Presley, fut une histoire de change du Nègre…

Mais, les gens de ma génération se souviennent qu’Elvis Presley, cette rock star américaine, que nous avons tous admiré, fut, à l’origine, une histoire de change du Nègre, un produit Blanc, lancé spécialement, qui devait avec une voix de Nègre, savoir chanter et danser comme ces singes endiablés qui monopolisaient la scène. Il a fallu, pour ce faire, le jeu de résonance du show-biz à la talentueuse doublure, avec les feux de la rampe des médias, au détriment de l’immortel et imbattable Chuck Berry, le roi, passé à l’ombre des projecteurs de la race. C’est, avant tout, dans ces milieux que sera entrepris le coup bas ignoble du complexe de la peau cultivé chez les petites gens. Une firme aux USA s’emploiera à fabriquer des produits pour la dépigmentation, invitant les Noirs à préférer une peau moins brune, plus claire. Une image qu’ils vont vouloir véhiculer par les célébrités du monde Noir, et la publicité. Les fortes personnalités ne succomberont jamais à cette tentation de la vermine. Mais, le mal va néanmoins se répandre, comme on le voit, jusqu’en Afrique, le théâtre de tous les pantomimes, du sublime aux dégoûtants. Les Négresses et quelques zèbres, cocos écervelés, voudront se débarrasser de cette peau suspecte, méprisée, encombrante, lourde à porter, à assumer. Désireux de ressembler à l’affiche glamour des journaux et de l’écran, gavés de la salivante image du Blanc : coton, neige, douceur et sucre roux, plus en valeur, ils restent candides, piégés par une croustillante communication intense et agressive qui les pousse au reniement avilissant de leur épiderme, captivés et subjugués par des photos de magazines, des posters de vedettes, des publicités alléchantes de cosmétiques, des mannequins sexy, dorés et a-dorés comme rôtis, des comédiens de films excitants, des personnages jouissifs, qui se paient les dindons grisés, et achèvent la pauvre “négraille” en agonie, perdant son âme.

Le comble de l’ignominie

Le comble de cette ignominie sera au finish la magie de la chirurgie plastique, transformatrice à souhait des personnes mal dans leur peau, réparatrice des erreurs et ratés du divin, qui vous dépouille de votre noirceur insolente, “cléopâtrise” votre nez épaté, assouplit vos cheveux crépus, ébouriffé, raffine votre identité religieusement scandaleuse, en vous en procurant une nouvelle, désirée et désirable.

Michael Jackson, jadis beau petit garçon adorable, nature et texture de talent d’un « Jackson Five » auréolé de leur “afro”, comme l’icône Angela Davis et les « Black Panthers » (Panthères noires), aussi brillant dans sa tête, qu’éclatant dans sa peau, sa voix et tout son art, se fait pêché dans le panier de crabes du show-biz mégalo et de ses fantasmes pervers. Nous aurons, au bout, la sublime voix de Michael dans une créature dépersonnalisée, un androïde, un affreux mutant dans l’atroce douleur de sa mue cauchemardesque. Les chasseurs de célébrités Noires jubilent du point marqué contre le « I am black and proud » militant (“Je suis Noir et en suis fier”) de James Brown. Le génie de Michael n’en prend pourtant aucun pli. Il sera toujours adulé par des millions d’enfants, vierges, sans couleur. Alors, on trouvera, à le salir, le vice de pédophilie, que réfuteront, outrés, ses jeunes fans en pleur aux Etats-Unis et à travers le monde, au cri de « Je t’aime Michael ». Il se fera arnaqué, escroqué, fauché et livré à son tour à la faux de l’endettement, malgré les colossales recettes d’un business sans pareil. Le Ku Klux Klan n’est pas que des encagoulés. Michael a l’idée “extravagante” de se convertir à l’islam, au moment où la campagne à Bush contre cette religion bat son plein. Et, plus encore, cette coqueluche de la planète qui fait ombrage aux plus puissants des sombres élus dans les palais de la république aux frais des contribuables, chante une louange au prophète Muhammad (PSL). La chanson fait le tour de la Terre et crée l’émoi. C’est alors que se décide sa série de 50 concerts à Londres, qu’il prépare ardemment, comme les vidéos l’attestent. Il ne sait pas que tout est entrepris pour l’en empêcher, car il n’est pas question d’aller chanter à la gloire du messager d’Allah ni à l’O2 Arena ni ailleurs à Londres. Dans un premier temps les dates sont repoussées pour décourager le public. On murmure sur son état de santé pour préparer l’opinion au pire, parlant de cancer (de la peau). Il n’en sera rien, la fièvre ne descend guère. Ses fans l’attendent ferme. Tandis que tout semble au point pour la première décade de juillet, le 25 juin 2009 tombe la nouvelle de son décès brutal. Ce coup là est parfaitement réussi, car c’est le médecin personnel qui se fera accuser de prescription fatale, une overdose. Tiens !. On ne pouvait pas trouver mieux. Et, puisque ce généreux docteur a l’extrême obligeance d’être lui aussi un Noir, personne n’aura à l’idée de chercher ailleurs, dans un complot ourdi par des racistes, des croisés anti-mahométans. Une histoire entre Nègres, assurément, rien à ajouter. Le médecin est-il coupable ou innocent ? Peu importe, le doute sur sa moralité et sa compétence suffira ; on aura un « homicide involontaire » pour clore l’affaire et la classer, et les assassins se frottent les mains. Ainsi finit le génie le plus populaire de la musique et le plus couronné de succès de tous les temps. Les Nègres, fatalistes, comme d’habitude, préfèrent ne pas réfléchir. A quoi bon ?

Madona, elle, très liée à l’artiste, prévoit de l’évoquer, lui rendre l’hommage, et sans doute de l’interpréter dans son prochain concert prévu en France, dans deux semaines, au même mois de juillet. Le podium du spectacle au stade vélodrome de Marseille s’écroule bizarrement, et son show est annulé. Depuis, Madona aussi se retrouve dans des tourmentes. On veut ici et là lui intenter des procès. Mais, quoiqu’ils fassent, Michael vaincra ses lâches meurtriers, car sa mémoire leur survivra, surtout lorsque le monde saura la vérité. On se souvient que Jimmy Hendrix, le meilleur guitariste de tous les temps a, lui aussi, trouvé la mort, a-t-on dit, par overdose !? Bob Marley, Nesta Robert, qui n’arrêtait pas non plus d’engranger des succès, et d’appeler le peuple de Jah au « Get up, stand up », à la révolte, à la révolution, à la rédemption, à la libération du Zimbabwe, à l’unité africaine, au retour de la diaspora, après une cure d’intoxication, est victime curieusement d’un cancer, qui met fin à son combat pour l’Afrique et les siens, comme tous les autres “Wailers” abattus avant lui. Je me souviens qu’une grande étoile de la musique Noire, Otis Redding, avait été victime avec son orchestre d’un crash d’avion, et qu’il avait été question d’un coup (imaginaire ?) commandité par un rival. Simple accident, ou sabotage, où est la vérité ?

Lucky Dube se fait descendre

Plus près de nous en Afrique du Sud, Lucky Dube, rasta coté, au sommet de son art, remplissant une partie du vide de Marley, se fait descendre à Johannesburg dans un braquage simulé par des soi-disant voleurs de voiture. Il professait également un reggae militant, très engagé. Et, comment passer sur le cas nébuleux de Whitney Houston, retrouvée morte ce 11 fevrier 2012 dans sa chambre d’hôtel, sans témoin, juste la veille de la cérémonie de proclamation des Grammy Awards qu’elle venait assister ? Morte par noyade, par overdose !? avec des conclusions d’enquête que semblent contredire le témoignage de sa mère, les convictions et allégations d’autres proches, invités au silence. L’allusion à ses cures de désintoxication est un pur alibi. Qu’elle soit ruinée, après la vente de 200 millions d’albums, voilà qui sent le souffre. Une autre étoile Noire, Katoucha Niane, mannequin gracieuse, disparaît aussi de façon mystérieuse, à Paris, retrouvée morte sous un pont, avec une simulation de noyade qui fait croire à un crime maquillé.

Sur un tout autre plan, faut-il ignorer dans cet éventail la mort terrible de la princesse Diana, qui connaît une fin tragique avec son compagnon Dodi Al-fayed, un basané jugé mauvais prince, et les révélations sur les raisons et moyens du meurtre ?

La rage de la race explique ces drames

Que penser du cas de ces jeunes Français, morts à la fleur de l’âge, venus pour se marier au Niger, une union d’amour avec une Noire, abattus après leur enlèvement à Niamey dans des circonstances équivoques, non élucidées, malgré que l’opération de “sauvetage” ait été entièrement filmée ? Qui cache quoi ? C’est la rage de la race qui explique ces drames. Ce qui fait penser inévitablement au cas Mohamed Merah, qui a tout d’une ratatouille indigeste, mal cuisinée. On ne s’invente pas djihadiste en se baladant sur un itinéraire commode de prosélyte. Qui paie ce tourisme gratuit de l’indic ? On a jamais vu un djihadiste aussi gai et badin que ce jeune, partout souriant, ou presque, pour qui des jeunes filles voilées osent marcher… de douleur, et dont les copains, qui viennent à peine de le quitter, n’ont rien remarqué de sa soudaine conversion hystérique. Et puis, ne trouvez vous pas curieux qu’un djihadiste amateur, tueur de série policière, n’ait d’autres victimes choisies que des gens de couleurs, pas un seul Blanc : 3 jeunes d’origine maghrébine, dont un Mohamed, 2 musulmans comme lui, un chrétien et des juifs israéliens , et un Noir guadeloupéen : tous ceux que certains puristes de « l’identité nationale », en cette période de campagne, destinent allègrement à la poubelle, à renvoyer “chez eux”, morts ou vifs. A croire que les Afghans lui ont donné une fatwa en pain béni : “la France aux Français”, volant au secours d’une Droite en difficulté. Bizarre ! La nouvelle équipe gouvernementale ferait mieux de se démarquer de ce ténébreux “couscous arabe” à la sauce immigrée. Pourquoi une famille d’un des soldats n’a-t-elle pas droit au capital décès du fils ? Est-ce étonnant, quand on sait comment nos anciens combattants ont été spoliés de leurs droits, certains morts sans jamais toucher leur pension, malgré les implications de leurs camarades de tranchées de Verdun, et ceux de Falaise de la seconde guerre. Pourquoi le livre du Professeur Bakary Kamian : « Des tranchées de Verdun à l’église Saint Bernard », documenté, fouillé, témoignant de cette injustice avec des preuves, des archives, a-t-il donné lieu à des menaces non voilées ? Qui en veut tant au Mali et aux Maliens ?

Sarkozy déclare la guerre à « AQMI » pour nous charger…

Je rappelle, ici, avoir eu à dire que si Sarkozy déclare la guerre au fameux AQMI, c’est pour nous charger de payer la note de frais de notre sang, de nos édifices bombés, comme si l’ennemi ne savait pas où sont la France, Paris, les Champs Elysées, le Président belligérant, les intérêts français dans le monde. On fait semblant de s’engager, pour nous exposer. J’ai également fait remarquer que les victimes des prétendus djihadistes sont invariablement des musulmans, en majorité, et dans des pays d’islam, et non ailleurs, contre toute logique. Si des mythomanes aux affaires ont eu la bêtise de faire sauter des tours aux Etats-Unis, et d’autres un train en Espagne, par des calculs et des manipulations politiciennes pour accréditer leurs thèses terroristes, vous ne verrez jamais en France ni en Angleterre pareilles absurdités, car les peuples français et anglais sont vigilants, et ne laisseront pas passer ces montages. Et, si jamais il y avait un dégât quelconque dans les pays phares d’Europe, faites le compte des victimes voir, en termes de nationaux et d’étrangers, et vous comprendrez. Si c’est à leurs ambassades et autres dépendances hors des frontières, ce ne sera que des demandeurs de visa, des employés de couleur, et de très rares Blancs, qui savent et connaissent leurs droits, et dont les familles n’abandonneront jamais la mémoire des leurs au secret, ou à la raison d’Etat.

Le fait racial est patent

Le fait racial est patent lorsque des jeunes filles d’origine maghrébine se font violer par des jeunes garçons purs sangs, et que la justice décharge le crime de sa gravité. Vous avez suivi le verdict et les insinuations. Le comble, c’est le cas de cette policière qui a été violée dans le Bois de Boulogne (comment est-ce possible ?) qu’elle traverse pour rejoindre son domicile. Pas besoin de photo pour comprendre que la victime est une personne de couleur, ou alliée.

La note finale est celle du récent rebondissement, toujours en France, dans l’affaire des deux gamins de banlieue, qui sont pourchassés, coincés et électrocutés dans un transformateur d’EDF (comment ?), au prétexte qu’ils ont pris peur, des policiers à leur trousse, sans aucune raison… La justice vient, 7 ans après les faits, de donner un espoir aux parents des victimes, après le lamentable non lieu déclaré antérieurement en faveur des agents auteurs de cet odieux homicide, et qui sait…, peut-être pire ?

La gouvernance de la race s’impute à la mécréance. Et comme l’écrit un ancien agent des services secrets israéliens : « Le racisme n’est pas un défaut, c’est une maladie ».

Nous en reparlerons.

A suivre.

 

Mohamed Coulibaly,

Ingénieur

 

 

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