Le projet de découpage administratif que certains par malice enrobent dans un emballage de marketing sous le nom de « réorganisation administrative des collectivités », est une supercherie maligne et inavouée de l’application de l’article 6 et suite de « l’Accord pour la paix et la réconciliation du Mali issu du processus d’Alger » signé en 2015 à Bamako.
Nous invitons le premier ministre Ismaïl Boubeye Maïga à se ressaisir en retirant ce projet de découpage taillé sur mesure pour une ethnie au détriment de la majorité des populations du Mali.
Le premier ministre doit chercher à rassembler toutes les forces vives de la nation au lieu de tenter le dogme de « diviser pour mieux régner ». Il doit arrêter ces propos vexatoires ou désobligeants à l’encontre de l’opposition et chercher plutôt à rassembler les forces politiques au-delà de la majorité présidentielle pour mieux traiter les questions essentielles de la vie de la nation.
Les propos du genre « nous n’avons pas d’offre politique à faire à l’opposition » sont inutiles et non constructifs, voire démagogiques d’autant plus, le lendemain le même premier ministre regrette « les chaises vides » de l’opposition pour une soit disant concertation sur le découpage administratif du Mali.
Le BRDM, Bloc pour le redressement et le développement du Mali, et les partis politiques alliés qui partagent la même convergence de vue sur les risques néfastes d’émiettement du pays à l’application d’une telle mesure, rejettent toute formule évidente ou masquée dont l’objectif serait la répartition du Mali.
Le BRDM et ses alliés politiques n’ont pas besoin « d’offre politique » et ils ne prêteront jamais le flanc à des procédures dilatatoires pour casser l’unité nationale et porter atteinte à l’intégrité territoriale.
Nous demandons au premier ministre de retirer ce projet discriminatoire établi de façon unilatérale sans consultation de la population et des forces vives et qui va à l’encontre de la Constitution du 25 février 1992.
Le Président du BRDM
Oumar MC KONÉ
Composée d’entités hétérogène, l’opposition malienne, dont une partie reconnait le président de la République (La COFOP), et une autre (FSD), pas du tout, travaille, pour déstabiliser le régime d’IBK, l’empêcher de dérouler son programme, intitulé : « Notre grand Mali avance ». Pendant qu’IBK veut aller de l’avant, l’opposition essaie de le tirer vers le bas, empêcher SBM de travailler, créer le désordre en comptant sur un hypothétique coup d’état militaire. Examen de Bougouni, que Bougouni me pardonne.
Mais les militaires savent que les temps ont changé et que c’est dangereux et même suicidaire de suivre des assoiffés comme Soumaila et TIEBLE qui pensent détenir le monopole de l’intégrité morale et que eux seuls méritent de diriger le Mali.
Mais inch’Allah Soumaila, encore moins TIEBLE, ne sera jamais président du Mali.
Bonsoir
Ce sont les chevaux de Troie occidentaux bourreaux, qu’ils veulent la partition et diviser pour régner comme aux siècles derniers !
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