C’est là que nous, personnes morales de la société civile sommes pour la plupart ” personnes sources “ de ressources utiles auprès des autorités de décisions institutionnelles (constitutionnelles) circonspectes d’éthique et de déontologie.
Ici et là, il s’agit de redresser des erreurs et fautes qui nourrissent gravement la corruption et dégradent la société toute entière d’un peuple. C’est pourquoi notre devoir de volonté de foi est sans prix, sans fin nous anime ; nous oblige à la parole.
Ainsi ceci nous couronne de mérite de contribution continuellement réservée aux responsables souverains à compétence étendue de capacité de décisions ultimes.
Il s’agit pour nous d’agir promptement et dans le cas “ 24 heures chrono de Jacques Bauer “, car l’information (la communication) vaut son temps réel ; sinon elle n’a pas de sens et crée même le désordre surprenant*. Aujourd’hui comme à l’entame l’ordre de la nature vierge existentielle nous révèle la science cosmologique de son créateur ” Allah “régnant sur toutes les choses (vitales, matérielles, phénoménales sensibles et idéales). Transcrit dans le saint coran ” ilmoutaouhid s’explique de théologie “.
Et, selon le Coran recueil des écritures saintes ; les sciences humaines dues à l’humanité (l’homme) comprennent : l’histoire, le droit, l’art militaire et la politique. Elles sont telles, toutes consignées à enseigner en toute liberté indépendante des peuples épris de connaissance et d’intelligence (raison de voyager d’aller à travers le monde, en chine montrée pour l’application de leur science spécifiée, une inspiration au travail pour les musulmans) et voyager à Rome (Valtican) en Italie sur fond de religion biblique et autres pour les chrétiens.
C’est en tout cela certainement que les manuscrits de Tombouctou retiennent vision, intention manifestes de l’importante rencontre islamique à Doha au Qatar pour valoriser les sciences humaines spécialement à reconstitution enrichie pour le Mali et le monde de l’histoire.
Oui le Mali frappé de tous les bons exemples d’arts et culture scolaires, universitaires comme le Centre actuel (l’I.HE.R.I.A.B) à SANKORE (voire son emplacement d’antan, sis à Wangarakounda entre l’actuelle place de la mosquée de Sidi Yahia et la maison ayant habité l’explorateur Allemand Heinrich Barth en 1854).
- Dans tout ce contexte géo-historique j’invite notre collègue Pr Kalilou OUATTARA DE REVENIR avec nous pour faire valoir “le Mali indivisible d’abord” sans FORES d’opposition au COREN.
Le Mali d’abord de grands empires et des grands hommes de dialogue inclusif et impulsif comme de la bouche de son Excellence le Président de la République El hadj Khalil Ibrahim Boubacar KEITA (IBK). Comprenons le dans ce style de démarche fantastique ” Un Peuple – Un But – Une foi “ chanté dans l’hymne national “ le Mali “.
Bien sûr le Mali indivisible d’intégrité et laïc des religions secondaires naturellement reconnues de l’islam dans le monde.
- J’invite également le peuple (les Populations Maliennes) et le Gouvernement constitutionnel de plutôt se réconcilier à la faveur des paroles sacrées d’engagement individuel et collectif pour sauver et sauvegarder le Mali au prix de tous les sacrifices de morts pour l’histoire, le droit, l’art militaire et la politique aux souvenirs du vendredi noir au 26 mars 1991*.
N’est-ce pas ce qui a conduit certainement et très certainement le pays le pays sur la voie d’un peuple qui bouge actuellement pour se reformer à jamais (comme le décide manifestement le gouvernement actuel en cours de conclusion finale de pourparlers en Algérie).
Ainsi le bateau qui longtemps tanguait de la bouche de tous les Présidents de la république (chacun en commandant de bord) a fini par accoster à son port de débarquement.il est maintenant temps que les malfrats qui ne se seraient pas soumis à la force magique humaine du dialogue proposé par son Excellence le Président IBK, optent pour un réel débarquement pacifique et signe seulement à Bamako (d’accord partie de ses pourparlers d’Alger).
Enfin, il apparait pédagogiquement que tout ce long processus de constat a été discuté entre tous les partis prenants à faire valoir la décision souveraine du Mali indivisible. Cette pédagogie partagée avec tout le monde doit conclure l’idéal présidentiel (souverain) résumé : le Mali, son intégrité laïque pour uniquement le développement socio-économique de son peuple. Alors coopération Internationale, Êtes-vous prêt à aider ce peuple et son président constitutionnel sans passion (oui sans passion) face à toute autre chose d’invention hors du commun ?
L’administration du territoire et de collectivités reste toujours montrée à jouer son plein rôle de premier chef sous l’appui efficace de la présidence de la République et de la primature.
Il reste Gro-somodo le développement très poussé, (à très pousser au nord certainement, afin d’équilibrer les populations sur tout le territoire en faveur de sa décentralisation (l’occupation totale de son espace géographique).
Ce qui se complet avec l’ultime conviction du président souverain de la république du Mali, ajoute- t- il “ In chah Allah “ (s’il plait à dieu).
1) Je souhaite vivement que tout notre exemple soit miré dans les entreprises de l’agro-industrie-pastoral avec des plans indicatifs et même incitatifs dans les zones d’accès intégré comme l’office du Niger, l’OHVN, l’ADRS, OMF … à partir de 1966 à ce jour et suivant.
2) Je souhaite enfin l’adoption des sciences appliquées favorables à des résultats scientifiques débordants les limites de frontières du Mali totalement sécurisé d’autosuffisance alimentaire dans la paix, dans un pays de matières, de foi, de soleil et de ressources humaines (le tout jusqu’ici mal exploité de mal gouvernance).
Dès lors, Vive ! La coopération amicale internationale sincère*, très sincère de tous bords avec le Mali indépendant au gré de tous où il fera bon vivre hospitalier du Nord au Sud (le tout entièrement touristique).
Sur ce à bientôt Pour signer un OUF ! De fin de labeur. De si longue haleine et pour se dire merci amical (très amical) à Bamako après Alger de cette histoire de salut humanitaire pour le Mali.
Oumar HAIDARA, enseignant à la retraite