Justice : après Simone Gbagbo, au tour d’Anna Walet Bicha ?

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La presse s’est récemment fait l’écho d’une subite attention pour la santé des femmes du nord du Mali, dont celles qui pourraient être amenées à séjourner en prison et, à la suite, nous avons été rappelés que la justice internationale a toute légitimité pour poursuivre les femmes de terroristes complices des crimes de leurs maris. Ces informations, qui semblent être passées presque inaperçues dans les informations maliennes, sont pourtant une preuve encourageante que l’heure est vraiment au changement au Mali !

 

La justice internationale n’a en effet pas uniquement vocation à juger les criminels de guerre, mais au à titre égal tous leur réseaux de complicité, à débuter par leur entourage proche et familial. Ce ne serait dans les faits pas une première, dans la mesure où une femme de criminel a déjà été condamnée à deux décennies de séjour tous frais compris derrière barreaux par la Cour pénale internationale quelques mois auparavant… La tristement célèbre Simone Gbagbo ne ressortira pas de sitôt.

 

Rassurons-nous donc, entre les défections dans les rangs des terroristes et la judiciarisassions de l’entourage complice de ces criminels, tout cela est un avertissement fort à l’attention des dégénérés qui infectent le Mali, à commencer par Iyad ag Ghaly, qualifié bien opportunément d’ennemi public numéro un du Mali.

 

Mon constat est que sa femme, Anna Walet Bicha, qu’on sait complice de son mari, ne serait-ce que parce qu’elle le cache et le soustrait donc au droit des Maliens victimes de cette bête avide de sang d’obtenir jugement et donc réparation, a du souci à se faire. La justice ne tardera pas à venir frapper à sa porte et à celle de tous ceux qui ont permis au chaos de s’installer dans notre pays pour lui demander des comptes.

 

Anna Walet Bicha, comme toutes les femmes de terroristes qui cachent leurs meurtriers de maris, leurs armes et leurs complices, traînent tout autant derrière elles l’ombre des cadavres que leurs époux ont semés à travers le pays. Elle est juste en tête d’une longue liste de traîtres au Mali qui doivent être contraints de payer le prix de leurs actes.

 

 

Auteur : ISMAILA DIARA

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3 COMMENTAIRES

  1. moi je voudrais qu on demande aussi des compte aux anciens qui ont conduit notre pays dans le mur en ouvrant la porte du mali aux salafistes terroristes étrangers nous les jeunes on a rien demandé de tout ça.

  2. Ismaila, vous oublier de parler de tous les corrompus qui les protègent, la on pourra parler de vrai justice.

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