“La liberté d’expression ne s’use que si l’on ne s’en sert pas”
Mon avis ne compte pas, mais je vais le dire…
L’euphorie des victoires de nos sélections nationales de football s’est emparée certainement d’une bonne partie du pays et a de quoi raviver une éphémère flamme patriotique, celle des jours de victoire et les acteurs doivent être félicités pour leurs différentes prestations remarquables, particulièrement celle des Aigles du Mali U-20, vaillamment qualifiés pour les demies finales de la Coupe du monde de football de leur catégorie, bravo à ceux qui ont hissé haut le drapeau national vert jaune rouge devant le monde entier!
Venons-en à notre sujet car l’heure est grave pour la République; Dans le jargon sportif, lorsqu’une équipe vendange des occasions en or et de ce fait rate des opportunités inouïes pour marquer et prendre l’avantage sur l’adversaire, elle doit s’attendre à un retournement de situation qui peut lui coûter cher; la situation de la gouvernance du “Mali d’abord” ressemble bien à cette situation.
C’est la rébellion des bandits armés de la CMA qui, non content de se moquer de la République et de la communauté internationale en ne signant pas l’accord d’Alger le 15 mai dernier à Bamako, fixe désormais le tempo, impose son calendrier au gouvernement (engagement de signature de l’accord d’Alger le 20 juin à Bamako)
On aura tout vu et nous ne sommes pas au bout de nos peines!
Le pouvoir actuel donne l’impression de gérer le Mali comme une succursale où les bandits armés ont un chèque en blanc et viennent se servir dans une opération de grande braderie de la République; Non le Mali n’est un solde de tout compte de personne! Le destin du Mali se décide désormais en Algérie par des personnes en mission de désintégration et de liquidation de la République; des décisions qui violent la loi fondamentale, la constitution sont acceptées par le pouvoir actuel et imposées au peuple malien!
Dans aucun pays au monde on n’aura vu une telle forfaiture: au lieu de mettre en avant le cas de Kidal, partie intégrante de la République et qui est illégalement occupé par des bandits armés terroristes en violation de toutes les règles internes et internationales notamment les différentes résolutions des Nations Unies, le gouvernement fait une reculade de la honte devant la CMA en signant un document bidon d’arrangement sécuritaire sur Ménaka qui demanderait au GATIA de quitter cette localité et qui permettrait aux bandits armés de rester en périphérie de la ville dans un rayon de 20 kms, Ménaka devenant ainsi le rideau de fumée qui cache l’incendie de Kidal qui ampute une partie de la République, inimaginable dans un état souverain: un gouvernement légitime est mis sur le même pied d’égalité qu’une horde de bandits armés sans foi ni loi!
La quête des bandits armés pour une reconnaissance juridique et administrative de l’Azawad, c’est comme l’histoire de la grenouille qui voulait devenir plus grosse que le bœuf.
LE MALI DÉGRADÉ, RIDICULISÉ, LA RÉPUBLIQUE BAFOUÉE…
Les peuples ont leur histoire, elle est faite de soubresauts, de vicissitudes et s’écrit en lettres d’or dans les annales les jours de gloire, mais aussi en taches de déshonneur les jours sombres, qui affectent profondément la fierté nationale…
Le vendredi 15 mai 2015 l’histoire du Mali s’est écrite en lettres de capitulation sur une page sombre tachée du sang de plusieurs de nos compatriotes, victimes civiles et militaires, les vies des unes fauchées par les armes des forces barbares et rétrogrades, de l’obscurantisme des bandits armés terroristes du MNLA, HCUA et autres MAA réunis au sein de la CMA, celles des autres sur le champ de l’honneur dans la défense de la patrie.
Le 5 juin 2015 a consacré le coup de grâce donné à la République à travers la signature par le gouvernement d’un document intitulé: “ARRANGEMENTS SÉCURITAIRES POUR UNE CESSATION DES HOSTILITÉS”
document qui contient une série de dispositions qui constituent une violation flagrante de la loi fondamentale qu’est la constitution de la République, et qui consacrent une capitulation du gouvernement sur toute la ligne; s’il s’agit d’un marchandage pour gagner du temps afin d’avoir une paix précaire, ce serait grave; s’il s’agit d’un calcul politicien, ce serait jouer avec le feu.
Il y eut par le passé les accords de Tamanrasset, le Pacte National de Réconciliation, l’accord d’Alger de 2006 et le document intitulé: ACCORD POUR LA PAIX ET LA RÉCONCILIATION AU MALI ISSU DU PROCESSUS D’ALGER entre le gouvernement légitime de la République du Mali et les différents mouvements armés sans la CMA (qui a paraphé le document à Alger le jeudi 14 mai 2015), a été signé à Bamako devant les représentants de la médiation, de la communauté internationale et de plusieurs chefs d’Etat africains.
Que l’on ne s’y trompe pas, malgré le caractère solennel donné à cet événement, l’heure est grave pour la République:
La désespérance ronge le peuple, l’injustice le dévore; Ceux qui ont été choisis par le suffrage universel ont failli à leurs engagements par une gestion débridée des affaires publiques depuis 2 ans.
La signature de cet accord intervient sur fond de crise multidimensionnelle, de fracture sociale et morale entre les citoyens maliens et l’élite dirigeante;
Crises plutôt faudrait-il dire:
– Crise sécuritaire,
– Crise de Crédibilité du pouvoir,
– Crise sociale et énergétique à la veille du début du mois de ramadan…
Il ne s’agit pas de noircir le tableau ou de faire dans la sinistrose, mais les faits sont là, le constat est accablant.
Le Mali nouveau…
La profession de foi du candidat IBK lors de sa campagne pour l’élection du président de la République du Mali en 2013 était ainsi libellée:
“Chers Compatriotes, La situation actuelle du Mali est marquée par de sérieuses difficultés sociales, économiques et sécuritaires. Cette situation appelle des politiques nouvelles et des solutions fortes. Elle appelle un homme d’expérience, qui a un sens élevé de l’Etat, un homme honnête et libre, pour lequel la chose publique est sacrée. Un homme d’Etat capable de moderniser le Mali, de s’adresser à vous tous, Maliennes et Maliens de toutes les générations, de toutes les régions. Vous êtes nombreux, au Mali, comme à l’extérieur, à me faire l’honneur de penser que je peux être le prochain Président de la République. Ce grand mouvement m’a poussé à me déclarer candidat à l’élection présidentielle du 28 juillet 2013, porté par la “Coalition le Mali d’abord”. Le Mali d’abord, ce n’est pas qu’un slogan de campagne. C’est avant tout une philosophie, un état d’esprit, car je veux mettre le Mali au-dessus de tout. Pour affronter tous les défis, le Mali a besoin d’un grand rassemblement, et c’est tout le sens de ma candidature. Je l’ai voulue au-dessus des structures d’un seul parti, pour puiser ma force dans une alliance féconde de plusieurs formations et de nombreux mouvements de la société civile. J’invite d’autres partis, d’autres associations, d’autres citoyens, au Mali ou à l’extérieur, à nous rejoindre pour renforcer le puissant mouvement déjà en marche. Ensemble, avec mon « Projet présidentiel le Mali d’abord », mon énergie, ma détermination, votre participation et votre enthousiasme, nous allons amplifier la formidable dynamique qui nous porte déjà, et faire en sorte que demain nous puissions enfin faire le Mali de nos rêves. C’est tous ensemble, rassemblés, solidaires, que se construira le Mali de demain. Le Mali rayonnant, le Mali créateur de richesses et de valeurs au service de tous ses fils. C’est le combat auquel je vous convie dès maintenant, à la lecture de mon projet présidentiel. Mon projet, je l’ai voulu volontariste et ambitieux, mais réaliste. Réaliste, car je veux tenir un langage de vérité. C’est à l’image de la gouvernance que je mettrai en place si les maliens me donnent leur confiance. Mon projet est axé sur le retour de l’honneur du Mali, à travers le rétablissement de la paix et de la sécurité et la réconciliation entre maliens. Le deuxième axe est le bonheur des maliens, pour que chaque citoyen se sente heureux avec des services sociaux de base à leur portée. Le troisième axe concerne l’avenir du Mali, à travers des mesures qui permettront de bâtir une économie robuste et créatrice d’emplois dans de nombreux domaines. Enfin, mon projet propose de revisiter les institutions du Mali pour bâtir une réelle démocratie, à laquelle participeront tous les maliens. Je le dis, je le ferai, c’est mon engagement. Le Mali d’abord, pour l’honneur du Mali, pour le bonheur des maliens !”
Ibrahim Boubacar Keïta.
Il y eut entre temps trois premiers ministres en 16 mois d’exercice du pouvoir, les affaires de l’aéronef présidentiel et des surfacturations liées aux différents marchés de fournitures d’équipements aux forces armées et de sécurité; le fiasco de Kidal et tout récemment la remise de rapports du VEGAL sur les exercices 2013-2014, 153 milliards de FCFA de manque à gagner au trésor public du fait de détournements ou de mauvaise gestion!
Détournez, spoliez, accaparez les fonds publics, surtout n’ayez aucune crainte et ne prenez pas de peine car l’argent public ne manque pas…
Tel semble avoir été le message subliminal lancé par le “Mali d’abord” pour l’honneur du Mali et le bonheur des maliens lorsque l’autorité suprême a affirmé publiquement lors de la remise de ces rapports que le VEGAL n’est pas un père fouettard et que son rôle n’est pas de poursuivre les délinquants financiers…
Où sont passés les discours volontaristes de début du mandat qui faisaient de la lutte contre la corruption et la délinquance financière le cheval de bataille des pouvoirs publics afin de mener véritablement une croisade contre ces fléaux qui gangrènent l’économie nationale et qui faisaient de la justice le premier ministère dans l’ordre de préséance après la primature, avec une affirmation nette de la volonté affichée par le président de la République d’incarner ce Mali nouveau?
153 milliards de FCFA volatilisés du fait de détournements ou de mauvaise gestion en seulement 2 années (2013-2014) sur le dos de l’honnête et pauvre contribuable malien en ces temps de crise multidimensionnelle d’une gravité sans précédent qui a frappé le pays, ébranlé les institutions, la cohésion nationale…
Combien d’écoles, de centres de santé, d’infrastructures routières, d’équipements pour les forces armées et de sécurité, voire même une augmentation des salaires auraient pu être pris en charge par un tel montant bien géré?
D’ailleurs, les 77% d’électeurs maliens qui ont massivement porté leur choix sur le candidat IBK, n’avaient- ils pas l’espoir qu’une fois devenu président, il y aurait un changement notoire sur le front de la lutte contre la délinquance financière et la corruption? Que nenni! Les pratiques ont la vie dure et la faramineuse somme de 153 milliards vaporisés donne l’impression qu’elles ont été amplifiées car au bout du compte, il y a une impunité comme seule sanction, du moins véritable consolation pour les détourneurs d’argent public, curieuse conception de la gestion des affaires publiques!
Pour en revenir au document intitulé : “ACCORD POUR LA PAIX ET LA RÉCONCILIATION AU MALI ISSU DU PROCESSUS D’ALGER”,
Il était une fois la “République très rebelle et illusionniste de l’Azawad”, une structure dirigeante d’à peu près 300 personnes, une population de 30000 habitants à peine; des bandits armés qui prétendent revendiquer les trois régions du Nord du Mali (Gao, Kidal, Tombouctou)
En fait qu’est-ce l’Azawad?
Il ne correspond à aucune réalité historique, tout au plus, il s’agit d’une dénomination géographique signifiant une zone de pâturage, de transhumance de 380 km2 comprise Araouane et Tombouctou…
Plusieurs soldats tués ces dernières semaines, des populations meurtries vivant dans la psychose des attaques des bandits armés terroristes du MNLA, malgré la signature par le gouvernement de l’accord de la capitulation du 15 mai 2015, accord qui, signé ou pas par les forces de régression de la CMA, ne sera pas respecté par eux car ils ont d’autres objectifs:
Défier la République, porter atteinte à l’autorité de l’Etat par des attaques quasi-quotidiennes en semant la mort et le désarroi, et les attaques continuent toujours, mieux ils ont gagné le sud du Mali maintenant!
Le drapeau malien a été piétiné le lundi 6 avril à Kidal par des jeunes embrigadés par ceux-là même qui étaient aux pourparlers inter maliens à Alger, il n’y eut aucune condamnation officielle du gouvernement, eh oui, il ne fallait pas protester ou condamner ces actes de défiance pour ne pas gêner le processus de paix, chuut!
La mobilisation du samedi 02 mai 2015 a donné la nette impression que le pouvoir est sérieusement affaibli et dépassé par les événements au point de laisser le soin aux organisations religieuses et à la société civile de convaincre les populations du bien-fondé de l’accord d’Alger et de sa signature qui eut lieu le vendredi 15 mai 2015 à Bamako. La perception de l’immense majorité de la population, c’est une sorte de léthargie de gestion des affaires courantes, aucune initiative forte pour mobiliser et galvaniser le peuple malien face à tant d’humiliations, de défiance vis à vis de l’autorité de l’état qui est foulée aux pieds tous les jours!!!
AZAWAD, AZAWAD…Il n’y a qu’à voir sur le terrain les réactions des populations, leurs aspirations profondes, leur attachement sans faille à la République du Mali pour comprendre que le combat des ennemis, des forces rétrogrades est voué à l’échec! Ils revendiquent un territoire qui ne correspond à aucune réalité historique, comme évoqué ci-dessus…
Alors pourquoi on ne prend pas en compte les 15 millions de maliens qui ont toujours vécu dans l’harmonie, la paix?
Pourquoi vouloir tout ramener aux caprices, surenchères, illusions d’une toute petite minorité de bandits armés terroristes, alliés de djihadistes, obscurantistes, criminels, narco trafiquants, barbares, voleurs, pilleurs et violeurs d’Aqmi, d’Ansar dine et du Mujao?
Lorsque le MNLA à travers la CMA a refusé de parapher l’accord tant décrié d’Alger sous le prétexte de consulter la base, c’est à Kidal que cette mascarade de consultation eut lieu et par là même, les bandits armés étaient en porte à faux avec leurs propres revendications sur les trois régions septentrionales!
Le MNLA, mouvement de bandits armés, associé au HCUA, qui a recyclé des djihadistes du Mujao et d’Ansar dine sont des coquilles vides, véritables bras armés d’un complot avec des ramifications internationales visant à déstabiliser la République du Mali, une et indivisible.
Les ressortissants de Gao, Tombouctou et certains de Kidal ne se sont jamais reconnus dans un quelconque mouvement sécessionniste ou indépendantiste et il est clair que si la République organisait un référendum local limité aux trois régions du Nord du Mali, le résultat serait sans appel, défavorable aux mouvements de bandits armés!
En réalité, la communauté internationale doit savoir que le MNLA, HCUA et autres MAA réunis au sein de la CMA n’est autre:
– Qu’une association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, 2% d’individus égarés qui prétendent représenter 10 % de la population globale du septentrion malien, en ce sens que ces mouvements de bandits armés se sont alliés avec des terroristes, narcotrafiquants et des djihadistes dans le but de déstabiliser le Mali par des attaques des forces gouvernementales au nord en portant atteinte à la sécurité extérieure et intérieure de la République;
« Touareg land » fondé sur des bases ethniques
– S’en est suivi: crimes de guerre, destructions de biens publics, de mausolées sacrés classés dans le patrimoine mondial par l’UNESCO, assassinats, viols, vols, lapidations, violences et humiliations en tous genres envers de paisibles citoyens maliens;
Depuis des temps immémoriaux, toutes les communautés ont vécu ensemble en harmonie et dans la paix, il est indéniable à partir de ce constat que la frange irréductible des bandits armés a un autre calendrier avec d’autres objectifs et poursuit la création d’une entité, une sorte de “Touareg Land” fondée sur des bases ethniques, îlot d’impunité et de trafics en tous genres au sein de la République.
La CMA veut un état dans l’état et que chaque citoyen juge en âme et conscience les revendications ci-dessous:
Coordination des Mouvements de I’Azawad (CMA)
Points essentiels à introduire dans le projet
d’accord produit par la médiation
1. Aspects politico-institutionnels
– Reconnaissance officielle de I’Azawad comme
une entité géographique, politique et juridique;
– Création d’une assemblée interrégionale
regroupant les régions de Gao, Tombouctou,
Kidal, Ménaka et Taoudéni, dont les prérogatives
relèvent des domaines spécifiques à l’Azawad
– Surseoir à l’organisation de toute élection
jusqu’au retour des réfugiés et jusqu’à la mise en
œuvre du nouveau découpage;
– Prévoir et déterminer le quota qui sera affecté à
l’Azawad pour les Départements de souveraineté,
les grands services de l’Etat, les représentations
diplomatiques et les organisations
internationales.
2. Aspects de défense et de sécurité
– Les forces de défense et de sécurité à l’intérieur
de I’Azawad seront composées à 80% de
ressortissants de I’Azawad, ainsi qu’au niveau des
postes de commandement;
– Pendant la période intérimaire, mettre en place
des unités spéciales mixtes comprenant 80% de
ressortissants de I’Azawad;
– La CMA définit elle-même la liste des
combattants et détermine leurs grades.
– Le Mécanisme opérationnel de Coordination
(MOC) sera présidé par la MINUSMA et co-présidé
par les deux parties
– Retenir le casernement pour les combattants qui
feront partie des forces armées et de sécurité
reconstituée et le cantonnement pour ceux à
réinsérer
– Les zones de défense et de sécurité seront sous
le commandement d’un ressortissant de I’Azawad
– Considérer la création et l’utilisation de milices
comme un acte criminel
3. Développement
– Affectation d’un fonds spécial pour I’Azawad sur
le budget de L’Etat à hauteur de 40% sur une
période de 20 ans en vue de résorber un retard
de plus de 50 ans;
– Exploitation des ressources minières et
énergétiques de l’Azawad soumise à I’autorisation
préalable de l’Assemblée interrégionale après avis
de l’Assemblée régionale. Un quota de 20 % de la
production sera affecté à l’Azawad, avec priorité à
Ia Région concernée.
4. mécanismes de mise en œuvre
– Parité entre les deux parties belligérantes dans
toutes les commissions et structures prévues
dans l’accord
– Mise en place d’une commission conjointe
(Gouvernement du Mali- CMA, la Médiation)
chargée de la préparation des textes législatifs et
réglementaires prévus dans l’accord; la
composition de cette commission sera à part
égale entre les parties belligérantes;
Alors, nous aurions voulu du Président de la République du Mali, reconnue dans son intégralité territoriale, son unité nationale, sa laïcité par l’ensemble de la communauté internationale, par les différentes résolutions des Nations Unies, pour l’honneur du Mali et le bonheur des maliens:
– Qu’il s’adressât solennellement à la nation malienne avant cette date du 15 mai 2015 prévue pour la signature de l’accord qui concrétise la faiblesse de l’Etat, en rappelant ce qui a été accordé aux bandits armés par le texte issu d’Alger;
– Qu’il eût rappelé la loi fondamentale tout en lançant une vaste offensive diplomatique à l’échelle internationale au niveau des différentes chancelleries pour démontrer aux yeux de la communauté internationale que les bandits armés ne veulent pas la paix;
– Qu’il appelât à la mobilisation nationale autour de ce qui est essentiel: l’unité nationale tout en rappelant que la crise multidimensionnelle d’une gravité sans précédent qui a frappé notre pays est encore là dans son aspect sécuritaire et demander la vigilance de tous;
RAPPEL!
Tout n’est pas mauvais…
L’effort et l’honnêteté intellectuelle exigent de parcourir le texte dans son intégralité afin de pouvoir apporter des observations sur ce document de 30 pages, du préambule aux dispositions finales à la page 16 et des annexes de la page 17 à la page 30.
Inutile de refaire l’histoire, la crise multidimensionnelle d’une gravité sans précédent qui a frappé notre pays et ébranlé les fondements de la République est passée par là et si nous en sommes là, c’est parce qu’il y eut une faillite de nos dirigeants à certains moments clés de notre histoire en ayant commis des erreurs d’appréciation (le démantèlement de l’outil de défense avec comme conséquences, les forces militaires restant incapables, sur les plans technique, logistique et humain de faire face seuls à une offensive au Nord); en ayant été faibles dans le traitement du problème des différentes rebellions touareg et en ayant concédé ce qui était inconcevable dans l’esprit des pères fondateurs; Aussi, le sens de l’anticipation et l’esprit de prévision ont manqué aux plus hautes autorités maliennes face à la menace de l’irrédentisme touareg depuis l’indépendance, mais nous n’allons pas refaire l’histoire et entrons dans l’ACCORD POUR LA PAIX ET LA RÉCONCILIATION AU MALI ISSU DU PROCESSUS D’ALGER!
Disons-le, tout n’est pas mauvais dans le document et personne ne peut s’opposer au développement des régions du Nord comme étant une partie intégrante de la République et d’ailleurs, il est bien précisé que certaines mesures concernent l’ensemble des régions administratives du Mali (article 4, chapitre 1 principes et engagements).
Mais, pour tout démocrate empreint des principes et vertus républicains, certaines dispositions font sursauter et constituent tout simplement des violations flagrantes et inadmissibles de la loi fondamentale qu’est la constitution de la République du Mali:
– Dans l’article 5, chapitre 2 fondements pour un règlement durable du conflit à propos de l’appellation Azawad, il est précisé que “l’appellation Azawad recouvre une réalité socio-culturelle, mémorielle et symbolique (sic! ) Partagée par différentes populations du nord Mali, constituant des composantes de la communauté nationale. Une compréhension commune de cette appellation qui reflète également une réalité humaine, devra constituer la base du consensus nécessaire, dans le respect du caractère unitaire de l’Etat malien et de son intégrité territoriale.”
Faux! Toutes les populations du nord du Mali ne se reconnaissent pas dans cette appellation Azawad, car, il n’est pas sûr que les Songhoïs de Gao ou les arabes de Tombouctou profondément républicains partagent cette réalité, je dirais plutôt pure faveur accordée aux mouvements armés dans des termes aussi fumeux et l’impression donnée, c’est de limiter le nord du Mali à la seule région de Kidal en rébellion!
– “Une plus grande représentation des populations du nord au sein des institutions nationales”
Ceci constitue une violation de l’article 2 de la constitution de la République 2 Mali qui stipule: “tous les Maliens naissent et demeurent libres et égaux en droits et en devoirs. Toute discrimination fondée sur l’origine sociale, la couleur, la langue, la race, le sexe, la religion et l’opinion politique est prohibée” et l’on se demande en vertu de quoi, les populations du nord auraient ces droits ou privilèges par rapport aux ressortissants des autres régions du Mali???
Pour qui connaît bien Kidal, la ville a été métamorphosée. Du point de vue de l’étranger, le constat c’est toujours le même dénuement, mais la réalité est connue et l’opinion malienne a toujours eu du mal à accepter de voir tant de fonds, de milliards de francs CFA se déverser sur les trois régions du Nord, alors que le sous-équipement est partout. En exemple, la région de Kayes [sud-ouest du pays] a changé de visage, certes, mais pas grâce à l’Etat, grâce aux ressources des travailleurs émigrés!
– dans le Titre II, questions politiques et institutionnelles, chapitre 3, cadre institutionnel et réorganisation territoriale, il est précisé une disposition: “les populations maliennes et en particulier celles des régions du nord auront à gérer leurs propres affaires sur la base du principe de la libre administration”
Cela soulève une série d’interrogations: Quel sera le rôle de l’état central, quelle place et quel regard sur cette gestion?
La contradiction, c’est qu’il est précisé dans le chapitre 5 la Représentation de l’Etat et le contrôle de légalité…
De même, “il est reconnu à chaque région le droit d’adopter la dénomination officielle de son choix dans le cadre des dispositions relatives au statut juridique et fonctionnement des régions”
Ceci constitue un abandon total de l’expression de la prérogative de puissance publique et il faudrait s’attendre à ce que Kidal s’appelle Azawad ou Touareg Land!
Les questions de défense et de sécurité sont traitées dans le titre III et on y parle de forces armées et de sécurité reconstituées qui devront inclure un nombre significatif de personnes originaires des régions du nord, y compris dans le commandement…
on ne sait pas exactement sur quelles bases; il faudrait prendre garde à ne pas commettre les mêmes erreurs qui ont consisté par le passé à y réintégrer des bandits armés qui n’hésiteront pas à prendre armes et bagages dès que l’opportunité se présente pour attaquer les forces loyalistes!
Il est également précisé dans l’annexe 2 de l’accord, traitant des questions de défense et de sécurité et l’intégration des ex combattants: …”Les membres des mouvements anciennement officiers des forces armées et de sécurité seront réintégrés au moins aux mêmes grades”…dans une totale impunité!!!
– Dans le Titre IV, développement socio-économique et culturel, chapitre 13, article 39, il est précisé que ” les parties conviennent, s’agissant des domaines de l’éducation et de la culture, de prendre les mesures suivantes:
– adaptation des programmes d’enseignement aux réalités socioculturelles des régions”…
C’est le risque de créer les germes d’une éducation à plusieurs vitesses et il appartient à l’appareil éducatif d’Etat de fixer un programme national d’éducation applicable sur l’ensemble du territoire de la République;
Lorsque de telles incertitudes comme de gros nuages s’amoncellent au-dessus du ciel malien, il devient impérieux que le peuple du Mali, s’assume et n’accepte pas que s’éteigne en lui la flamme du patriotisme et que se dissipe et s’estompe l’effort gigantesque qui sous-tend la prise en mains de son destin collectif afin de mettre en échec les sombres projets nauséabonds aux ramifications internationales, non, non et non, le pays ne doit pas être pris en otage par des bandits sans foi ni loi, il s’agit d’un combat de dignité pour l’unité nationale, pour l’indivisibilité de la République, pour l’intégrité du territoire, pour les valeurs de liberté, de paix, de vivre ensemble depuis des temps immémoriaux, n’acceptons pas l’injustice et vous gouvernants, vous avez la lourde responsabilité de faire face à l’histoire pour sauvegarder l’intérêt supérieur de la nation malienne;
Le MALI n’appartient pas à des groupes bandits armés, et ne doit pas être sous la coupe réglée de mouvements illégitimes, car ils ne sont ni élus de la République, et n’ont aucun commandement de l’autorité légitime, pas plus aux gouvernants qui décident sans tenir compte des aspirations profondes du peuple.
Oui pour la paix, mais quelle paix voulons nous pour notre pays, pour les générations futures?
– Celle qui portera en elle les germes de futures frustrations et divisions, donc sources de conflits en gestation?
– Celle qui crée 2 catégories de citoyens au sein de la République en raison de leur appartenance géographique?
– Celle qui fera la part belle à 2% d’individus égarés alliés de djihadistes, terroristes qui prétendent représenter 10 % de la population globale du septentrion malien parce qu’ils ont pris des armes contre leur pays si tant est que certains se reconnaissent en son sein et imposé une guerre stupide à notre pays et qui a fait autant de victimes entre les fonctionnaires froidement assassinés, de soldats tombés sur le champ de l’honneur fauchés par les balles de l’ignominie, de l’obscurantisme et du complot, bilan tristement lourd en pertes de vies humaines hélas!
– Celle qui accepte l’impunité de ceux qui ont fait d’une partie du territoire un no man’s land où les services publics sont absents, où les enfants ne vont pas à l’école, un îlot d’impunité, de trafics en tous genres?
L’Etat reste pris en otage par une minorité
Une paix sans situer les responsabilités de ceux qui ont poussé des milliers de maliens à l’exil dans les pays voisins depuis plus de deux ans en raison d’une guerre stupide imposée à l’état?
Oui aux droits des minorités, mais alors de toutes les minorités dans le respect des valeurs républicaines, de la loi fondamentale. Les droits de la minorité touarègue s’arrêtent là où commence le déni de la République, là où la partition menace l’unité et l’indivisibilité de la République, la cohésion nationale.
Nous sommes écœurés lorsque l’état reste pris en otage par une minorité, 2% d’individus égarés qui prétendent représenter à peine 10% de la population du nord de notre pays et demeure impuissant pour régler ce problème depuis l’indépendance;
Nous refusons qu’une partie du territoire devienne un no man’s land où les services publics sont absents, où les enfants ne vont pas à l’école, un îlot d’impunité, de trafics en tous genres;
Notre indignation est sans limites lorsque des milliers de maliens sont contraints à l’exil dans les pays voisins depuis plus de deux ans en raison d’une guerre stupide imposée à l’état;
Face à cette situation, nous devons rester debout; nous pouvons tomber mais il faudrait que nous nous relevions à chaque fois pour prendre en mains notre destin collectif et national, héritage de grands empires, de grands hommes et de grandes valeurs sociales et morales que nous devons perpétuer pour les générations futures, convaincus que personne ne viendra bâtir notre pays à notre place.
La gravité de la situation ne doit plus laisser la place à du bling- bling de la part de nos gouvernants et l’heure doit être à l’union sacrée et au recueillement, aux prières et par-dessus tout au travail bien fait. Il ne faut pas se leurrer, notre armée est à l’image de notre pays qui s’est effrité petit à petit:
Effritement au niveau de la famille, effritement au niveau de l’école de la république, le plus gros scandale de ces 20 dernières années, du niveau de l’élève malien; effritement lorsque les plus méritants ne sont pas récompensés de leurs efforts, effritement lorsque la médiocrité a pris le pas sur la compétence et la rigueur morale et a été érigée en modèle;
scandale lorsque l’exception devient la règle et lorsque la corruption, le népotisme, l’affairisme, le clientélisme, les détournements de fonds publics, le vol organisé, la délinquance foncière, la facilité et l’impunité ne sont plus un problème et ont gangrené les esprits…
Seul un État fort avec des institutions fortes, une armée républicaine forte dotée de moyens efficaces pour défendre et sauvegarder l’intégrité territoriale, pourront nous sortir de cette nasse, de cette mise sous tutelle, qu’on se le dise, et cela passe par un leadership fort; la triste réalité est que ces conditions ne sont actuellement pas réunies pour que nous puissions retrouver ce Mali auquel tous les patriotes aspirent!
L’espérance ne doit pas être un concept, mais une réalité qui puisse être tangible et vous devez incarner cet espoir!
Vive le Mali un et indivisible, oui au compromis dans l’intérêt supérieur de la nation dans la paix, la justice et non dans la compromission, le bradage et l’impunité!
Sory Ibrahim Sakho,
Titulaire d’un troisième cycle en Droit de l’université de Paris XIII
(Publié dans L’Aube 718 du jeudi 18 juin 2015)
L’avenir du Mali n’est pas hypothéqué et ne le sera pas car les personnes qui ont en main son destin de nos savent où elles mettent les pieds. Tant que nous ne mettrons pas derrière l’autorité pour lui témoigner notre soutien dans le processus de pacification de notre pays. Pays sans laquelle rien de grand ne peut se construire; il est tout à fait indéniable que nous ne nous en sortirons pas.
Une paix sans situer les responsabilités de ceux qui ont poussé des milliers de maliens à l’exil dans les pays voisins depuis plus de deux ans en raison d’une guerre stupide imposée à l’état? 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄
L’accord d’Alger ne reste rien en suspens. Il n’est certes pas parfait mais les éléments essentiels pour le rendre bon ne manquent pas. Il est stipulé dans les textes de l’accord que toutes les personnes qui auront posé des actes répréhensibles dans cette crise devront répondre de leurs actions car les autorités sont conscientes que sans justice; il ne peut pas avoir de paix véritable.
Au vu de certains articles; on est réellement en droit de se demander quelle est l’intention de nos journaux en publiant ce genre de réactions donc nous n’avons guère besoin.
La CMA ne peut pas prendre en otage le gouvernement. Dans tout accord il faut faire des concessions. Le gouvernement en fait donc afin que la paix puisse être obtenue.
Ce n’est là ni plus ni moins qu’un vieux torchon qu’on doit plier et mettre à la poubelle. Vous allez beau publier ce genre d’énormités; elles ne changeront absolument rien à la mise en application des accords de paix signé entre le gouvernement et la CMA.
Les accords sont signés; ils seront appliqués que vous le vouliez ou pas.
Donc vous pensez que cet article est d’actualité et qu’il est important que vous jugez bon de le publier à nouveau et nous polluer l’air avec.
Les autorités sont engagés avec ceux qui ont pris les armes contre leur pays parce que mécontent; ils sont sur la voix de trouver des solutions nous devons les accompagner au lieu de sortir des réflexions du moyen-âge pour nous distraire de l’essentiel.
De nombreux sacrifices ont été consentis pour obtenir cet accord de paix donc toutes actions qui peuvent faciliter son application sont la bienvenue.
Le président IBK travaille dans ce sens et à besoin du soutien du peuple
Aussi faut-il que la CMA s’engage pleinement pour mettre en œuvre l’accord de paix.
Chers acteurs politiques faisons de telles sortes que les acquis obtenus à travers ces accords de paix ne soient pas remis en cause.
Tous derrière nos autorités pour la paix au pays…
Tous les partis signataires de l’accord de paix et la réconciliation du 20 juin dernier doivent se donner la main pour le bonheur des Maliens. La paix viendra au Mali si et seulement si les maliens sont au cœur de l’accord et prennent part chacun à son niveau à l’application de l’accord. C’est là que la paix définitive viendra !
Le président de la république ne s’engagerait pas dans un accord qui mettrait en mal l’intégrité de notre pays à quelques niveaux que ce soit. Ces personnes qui débitent de telles sottises ont maintes fois rejetées du revers de la main les accords de paix. Ils veulent donc trouver toutes les voies et moyens pour y faire obstructions mais ils seront surpris par la paix dans notre pays.
Il faut vraiment que nos journalistes et ce genre de personnes qui pensent qu’elles ont le monopole du savoir arrêtent de nous exposer leurs sentiments et de nous mentir!
Il y a eu compromis entre la CMA et le gouvernement mais où est l’élément qui nous montre que la CMA dicte sa loi si l’article n’évoque pas ce que les accords disent et que le gouvernement dit?
Les accords de paix seront mis en œuvre conformément aux textes des accords de paix.
La lenteur dans la mise en œuvre de l’accord de paix nous a guère surpris parce que c est toujours pareille quand il faut aller a la guerre c est très facile et rapide aussi mais pour revenir à la paix c est toujours difficile et ça demande beaucoup trop de temps.
Depuis que le monde est monde, tout conflit, interne ou international s’achève toujours par un compromis. Et le document qu’à signé nos autorités mettra fin à notre désastre.Nous avons pas signé ce document pour être un etat fédéral.
Nous arriverons à restaure la paix sur l’étendue du territoire nationale sans virer dans fédéralisme ni question de la quatrième le gouvernement travaille toujours sur cet accord pour que nous pussions atteindre vos objectifs.
Le Mali a besoin d’une grande réconciliation nationale pour que la paix revient dans ce pays pour cela nous avons besoin de l’apport de les fils de ce pays qui peuvent nous apporte une aide dans la gestion cette crise.
Vous n’avez pas le droit de faire ceci au peuple malien et à notre gouvernement qui travaillent jour et nuit ,qui remue ciel et terre pour pouvoir réinstaurer la paix et la réconciliation nationale pour le bien de tous.
Je crois que il faut aller doucement avec ses groupes armes même nous sommes tous pressés pour le retour de la paix et de la réconciliation. Le gouvernement doit continuer à doubler d’effort pour que nous puissions atteindre nos objectifs.
Nous somme déjà a une année de la signature de l’accord de paix et réconciliation nous pouvons dire que le bilan n’est aussi mauvais que ça parce qu’ après la signature de cet accord les choses se sont calme un peu même si tous les problèmes ne sont pas réglés je pense que c’est sur une bonne voie.
Ramener la paix et la réconciliation nationale dans un pays n’est pas quelque chose de facile du tout donc admettons que le gouvernement est entrain de fait tout son possible pour pouvoir ramener la paix au pays.
je crois que ceci n’est le souhait de personne dans ce pays mais nous avons pas le choix.Notre pays en crise c’est la raison pour laquelle l état malien est en train d’explorer toute cible possible pour le retour de la paix et la stabilité.
Nous savons tous très bien combien de temps les maliens ont passé avec ses ex rebelles pour pouvoir trouver un accord pour que la paix et la réconciliation puisse revenir sur nos terres.Chaque partie a été oblige revoir ou de sacrifier certains de ses principes auxquels ils tenaient beaucoup.
Les grandes nations ne se sont pas construites en seul jour. Au lieu se jeter la faute sur IBK demande toi ce que les autres ont fait pour ne pas qu’on soit dans cette situation. On ne peut pas lui demander tout à la fois mon cher journaleux corrompu et vendu pour la cause des opposants véreux.
Depuis qu’IBK est là l’économie se porte bien grâce à son équipe dynamique, très dévouée au travail. Il ont sure trouver la confiance des partenaires financiers et des financements des projets pour notre pays.
Lorsqu’il prenait le règne du pouvoir en 2013, notre économie était à 2% mais 2016 nous sommes à 6 % un effort très bien apprécié par tous.
Nous avons toujours eu confiance en IBK et nous continuerons d’avoir confiance en lui car les actes qu’il pose prouvent une qu’il est une personne digne de confiance.
Il ne cesse de se battre pour améliorer les conditions de vie de ses compatriotes.
Nous pensons qu’il est vraiment l’homme qu’il faut à la tête du Mali.
Il faut que la société civile accepte d’accompagner l’état malien. Si l’accord de paix a été adoptée c’est pour le bien être de notre pays. C’est vrai qu’il y a des non dits dans cet accord mais nous demandons l’accompagnement de tous acteurs politiques pour que le Mali renoue avec la paix.
La cour constitutionnelle est le garant de la constitution malienne alors elle doit comprendre que l’accord doit s’adapter au moment que vit le pays. La révision de notre constitution s’impose pour la mise en place effective de l’accord de paix.
La signature de l’accord de paix était une étape à franchir et la mise en application de l’accord est aussi une autre étape très différente de la signature de l’accord de paix et de réconciliation. Je soutiens le gouvernement dans sa politique de mise en œuvre de l’accord de paix.
Les autorités intérimaires sont des prescriptions de l’accord d’Alger et le président doit le faire si nous voulons la paix dans le nord. Ces opposants nous disent ce que nous devons faire pour aller à la paix car on ne peut pas dire qu’un remède n’est pas bon et ne rien proposer.
Monsieur le journaleux, il faut attendre à la fin du mandat du président avant de l’accuser de quoique ce soit. Si ce pays a accusé un tel c’est bel et bien la faute à ses prédécesseurs. Ce sont qui ont occasionné cette situation donc on ne peut pas en vouloir à celui qui tente d’apporter des solutions. Nous sommes cela combien d’années et tu en veux au président. Espèce de minable
Je ne prends pas partie pour IBK, mais depuis son arriver le pays commence légèrement à se développer, délicatement mais assurément, il est en train de redresser le pays. Il est vraiment l’homme de la situation soyons honnête. Il peut gérer le Mali comme il se doit, il a la compétence nécessaire. Sa politique de gouvernance reste la meilleur mode gérance approprié pour sortir notre pays de cette crise.
Depuis l’arrivée d’IBK, il est en train de redresser lentement mais surement toutes secteurs Etatiques. Le pays malgré, la crise multidimensionnelle, il a su repartie sur de nouvelle base. L’économie, l’agriculture, l’éducation, la mine, la sécurité et tant d’autre domaine commence à se rétablir durablement.
Le réarmement moral et logistique de nos forces armées et de sécurité, les performances économiques obtenues, malgré le contexte difficile, l’évolution du processus de paix, le retour des investisseurs étrangers, la confiance retrouvée auprès des partenaires financiers, l’amélioration progressive de la gouvernance sociale, l’efficacité des forces spéciales du Mali dans la lutte contre le terrorisme, les perspectives économiques reluisantes, la préservations de l’honneur et de la dignité des Maliens, font de Ibrahim Boubacar Kéita, un président serein. Les agitations de quelques excités n’y changeront rien….
L’accord est sur de bonne voix et nous saluons le gouvernement et les groupes armés pour leur engagement. c’est le résultat d’une parfaite collaboration de part et d’autre et aujourd’hui nous sommes heureux pour cette rencontre. Merci le président
IBK depuis son élection à la tête du pays a engagé une lutte sans replie contre la délinquance financier, c’est sous le régime d’IBK que le Mali a connu la bonne gouvernance et la vraie lutte contre la délinquance financière et l’enrichissement illicite.
Le seul frein possible à la repartions est la réconciliation avec l’Éternel, Dieu. Se repentir, s’humilier devant Dieu et vivre selon ses commandements. Il me l’a dit, Il ne revient pas sur sa décision. C’est valable pour le Mali, comme pour tant d’autres nations.
http://www.josephguindeba.com/fr/prophetie-pour-le-mali-le-royaume-uni-et-lamerique-du-sud/
M. Guindeba
Je pense que c’est ensemble qu’on pourra lutter efficacement contre l’insécurité. Cet accord montre à quel point les signataires ont à cœur d’aller à la paix. La mise en place de la patrouille mixte vient à point nommer surtout au moment où les attaques font rage.
La nation a rendu les honneurs les plus nobles aux aiglons pour qu’ils ont fait. Si cela a été possible c’est parce que nous étions en paix à Bamako. Donc il faut pas être borné d’oublier que la population souffre au nord car elle n’a pas d’eau, de courant ni accès aux soins et là l’éducation. Donc arrête de fermer l’amalgame sur ce qui ne vaut pas la peine.
.Nous en sommes très heureux.Nous fiers du président IBK et son gouvernement pour tout ce qu’ils font pour le retour d’une paix définitive dans notre pays.Je pense que tous ceux qui trouvent des choses à dire concernant cet accord sont les ennemis de notre pays.
Cette entente entre l’Etat et les ex-rebelles est salutaire dans la crise du septentrion malien. Les détracteurs tentent de faire croire à la population des propos vulgaire sur la gouvernance du président IBK afin de souiller son régime, sinon plus ou moins le plus va bien et avance bien.
La région de kidal, est toujours sur le contrôle de l’Etat malien jusqu’à preuve de contraire, Après la mise en place des autorités intérimaires les services de l’Etat seront à kidal sans exception.
Dès son arrivée au pouvoir le Président de la République a trouvé plus de 200 dossiers, mais il n’a retenu aucun. Ils ont tous été transmis à la justice. Donc tous les fonctionnaires ou autres cadres de ce pays qui ont volés les deniers publics, la délinquance financière, les enrichissements illicites, qui se soit se verra trimballer devant la justice malienne pour répondre de ses actes. Comme IBK l’a dit « nul n’est, et ne sera au-dessus de la loi »
Apres tout e qu’on voit et entend, que pourrait – on reprocher aux régimes passés !
La corruption en générale est l’un des luttes que le président IBK et son PM ont engagés une lutte acharné pour éradiquer ceux fléaux, qui touchent toute les différentes étapes de la société malienne, mais la population doit être aussi active car c’est la population qui est le plus concerner. En 2013 dès son n’investiture IBK a décrété cet année « l’année de la lutte contre la corruption ».
Les blocages ainsi levés, il faut donc espérer que les parties auront le sens du compromis pour la suite d’un processus qui accuse du retard. Ce, pour le bonheur des populations du Nord, des milliers de réfugiés, des Maliens tout court. Une chose est claire beaucoup de gens vont donner la vérité à IBK j’en suis sur.
La signature de cet accord est favorable pourvu que la paix revienne au Mali. Le gouvernement est actif pour la mise en œuvre effective de cet accord. Cet accord de paix est très favorable pour notre pays car la paix, sécurité, l’intégrité territoriale et la constitution reste toujours à préserver. Certes le défi est énorme mais le gouvernement sait comment s’y prendre.
C’est une question de temps seulement pour que nous nous rendions compte de ce que cela implique. Les autorités maliennes savent que l’honneur du Mali n’est pas seulement la ville de Bamako mais la totalité du territoire national.
IBK et son gouvernement sont à féliciter de leur détermination pour la quête de la paix et la réconciliation au Mali. La paix n’est pas un vain mot mais un comportement, le grand mérite revient à IBK et son gouvernement.
Mon pauvre journaliste, la lutte contre la corruption et l’impunité sont et resteront les priorités du chef suprême des armées. Il lui est impossible d’entamer cette lutte, tant que la paix n’est pas au rendez-vous. Plus vite que la musique, on danse mal.
L’Etat malien sera partout ou il doit sur son territoire sans exception, le seul soucie d’IBK, c’est ça, l’accord tant vers sa mise en oeuvre, la première des choses est que les autorités intérimaires seront installées du 15 juillet au 15 août 2016, avec ça les services déconcentrés de l’Etat seront redéployer, et le DDR verra le jour.
Le Mali est un ensemble de régions et un district qui forment un Etat unitaire. Kidal fait partie des régions de ce pays. Cette région est occupée par des rebelles depuis plus de 3 ans. Les autorités maliennes par leur engagement à défendre la patrie ont pu signer un accord de paix avec ces rebelles pour maintenir le caractère unitaire de notre Etat.
L’application de l’accord sans discernement annonce la faillite du régime IBK : Les avantages octroyés aux groupes armés seront l’étincelle qui fera exploser la montagne de frustration du peuple malien. Le gouvernement est décidé à ramener la paix et la réconciliation au Mali.
Jusqu’à preuve de contraire, le Mali est un Etat unitaire. La partition n’est pas et ne sera pas au rendez-vous. Ceux qui pensent que les rebelles fassent leur loi dans le septentrion, il se trouve qu’ils se trompent car les rebelles sont en train de violer leur engagement de l’accord. Ce qui fait appel à des sanctions. Cela relève de la compétence de la médiation internationale et de la communauté internationale.
Le seul soucie d’Ibrahim Boubacar Keita c’est de sauver le Mali, qui allait vers la chute, l’accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger en est un exemple, il fallait un accord pour sauver le pays, et petit à petit l’accord va vers la mise en application même si cela a mis un peu de temps.
Les blocages ainsi levés, il faut donc espérer que les parties auront le sens du compromis pour la suite d’un processus qui accuse du retard. Ce, pour le bonheur des populations du Nord, des milliers de réfugiés, des Maliens tout court.
Ce sont les ennemis de notre pays qui trouvent des choses à dire à ce sujet.
De Kayes à Kidal en passant par le district de Bamako, le Mali est un et indivisible. Les actes des groupes rebelles ne prouvent en aucune manière que Kidal ne fasse plus partie du Mali. C’est une question de temps seulement pour que nous nous rendions compte de ce que cela implique. Les autorités maliennes savent que l’honneur du Mali n’est pas seulement la vile de Bamako mais la totalité du territoire national.
Le président de la république, Ibrahim Boubacar Keïta est engagée à sauver cette nation. Le Mali n’a pas encore été reparti et ne le sera pas non plus. L’autorité de l’Etat sera établie dans la région de Kidal sur toute l’étendue du pays.
Les maliens doivent sauver leur pays. IBK est le mandataire de la nation. Mais cela ne peut pas être utilisé pour que les maliens indexent tous le seul président de la république. La défense de la patrie est un devoir pour tous les maliens. Si la situation sécuritaire de notre s’est dégradée de la sorte c’est parce que la communauté internationale et la France ne veulent pas du retour de la paix au Mali.
La région de Kidal, à ce que je sache, est jusqu’à preuve de contraire une partie du Mali et le restera Les groupes armés séparatistes savent que l’accord de paix et de réconciliation nation n’est pas à la hauteur de leur attente première d’autant plus que qu’il ne consacre pas la partition.
La région de Kidal n’est pas sortie du giron malien. Cette région est et sera toujours une partie du Mali. Que le journaliste fasse preuve de patriotisme en arrêtant de publier un article bidon de ce genre pour ne pas semer de panique ou de révolution au sein de la population.
IBK a déjà évité la partition de la nation malienne. Les combattants de la CMA sont les obstacles au retour de la paix et de la réconciliation nationale. L’autorité de l’Etat serra établir dans la région de Kidal et toutes les autres régions du nord. Les maliens ont choisi la bonne personne en 2013. IBK est l’homme de la situation.
dans un document officiel dénommé ‘’Entente’’, le Gouvernement et les mouvements armés, en l’occurrence la Plateforme et la CMA, ont consigné les modalités pratiques de la mise en place des autorités intérimaires, du redéploiement des services déconcentrés de l’Etat.Nous sommes très contents de cette de cet accord qui constitue un coup d’accélérateur pour le processus de paix.
Avec IBK rien n’est impossible et tout est possible. L’une des priorités de son régime est de conquérir le nord du pays et d’établir l’autorité de l’Etat au septentrion. La CMA se verra dans l’obligation de céder d’ici la fin de cette année.
Je me demande ce que certains journalistes pensent de la situation du nord. Le Mali est un et indivisible, de Kayes à Kidal en passant par le district de Bamako. Le nord du Mali est secoué par la rébellion mais cela ne veut pas dire que le pays est disloqué. L’accord d’Alger est acceptable.
Sacko avec ce texte long comme ça tu as parlé pour ne rien dire, le gouvernement et les groupes ont trouvé un terrain d’entente pour la mise en application de l’accord, il faut que tu te retiens un peu.
Cela constitue d’autant plus une avancée majeure dans le processus de sortie de crise que le fossé s’était creusé, depuis quelque temps, entre le Gouvernement et les mouvements armés, partagés sur la voie à suivre pour l’ouverture de la période intérimaire, prévue à l’annexe I de l’Accord.Je pense qu’il faut saluer tous les acteurs pour cette avancée notable.
L’autorité intérimaire est composée des représentants du gouvernement et de la plateforme et ses membres seront désignés de façon consensuelle. Une fois en place, elle choisira un président et deux vice-présidents en son sein. Le président sera provisoirement le chef de l’exécutif local.Qu’est ce que les idiots ne comprennent pas en cela et dise du n’importe quoi.
Coup d’accélérateur au processus de paix. Le gouvernement malien, la Coordination des Mouvements de l’Azawad (CMA) et la Plateforme ont trouvé un accord sur la mise en place des autorités intérimaires.Nous en sommes très heureux.Nous fiers du président IBK et son gouvernement pour tout ce qu’ils font pour le retour d’une paix définitive dans notre pays.Je pense que tous ceux qui trouvent des choses à dire concernant cet accord sont les ennemis de notre pays.
Sory Ibrahim Sacko, les parties se sont aussi engagées à assurer la sécurité et le redéploiement des services sociaux de base.C’est le retour de l’administration à Kidal.Les ennemis de notre pays peuvent dire ce qu’ils veulent.Cela ne nous empêche pas d’avancer sur la route de la paix.
L’accord prévoit un calendrier de mise en œuvre et du retour de l’administration dans les cinq régions du nord du Mali. Ainsi, dès le 30 septembre, on assistera au retour effectif de certains services de l’État à Kidal, actuellement hors de son contrôle. Il s’agit notamment des services techniques de l’éducation, la santé, l’énergie et l’eau et la justice.C’est cette avancée qui gène l’opposition malienne et qui paye ces journalistes pour dire du n’importe quoi.
le mali a toujours été un pays dans lequel rien va comme le peuple veut une fine minorité de la population s’empare du bien commun de l’état depuis 20 ans c’est le même slogan qui plane dans nos rue a travers le pays mais le problème qui se pose aujourd’hui engage tout les maliens a prendre part de sa responsabilité oui c’est vrai le pays va mal et ce mal ne se guérit pas par les soulèvement mais plutôt par un soutient aux hommes que nous avons élu a la tète du pays et contrôler les actions qu’ils mènent le vrai pouvoir c’est le peuple le reste est représentatif.
En trouvant un consensus sur La mise en place des autorités intérimaires et d’autres points saillants de l’Accord de paix, les parties signataires posent ainsi un pas important dans la mise en œuvre du document issu du processus d’Alger.Les maliens,les vrais en sont satisfaits.Les autres pseudos maliens peuvent dire ce qu’ils veulent mais le pays avance.
Ne soit pas un imposteur, Mr Sacko, quand on fait du fait au moins, on a droit à des mots d’encouragement, les sélections nationales on fait du bien au nom du Mali, il faut être un ingrat pour ne pas saluer, alors qu’IBK est un homme qui reconnait le travail de son prochain.
Voici un monsieur qui n’a rien apporté au Mali se plaint d’une quelconque cherté de la vie. Le président a tout fait pour que le malien soit à l’aise dans son programme.
L’accord entre le gouvernent malien et la CMA indique que les préfets, sous-préfets et gouverneurs seront secondés de représentants de la CMA et de la Plateforme. Les trois parties se sont aussi engagées à assurer la sécurité et le redéploiement des services sociaux de base.C’est le retour de l’administration à Kidal.Les ennemis de notre pays peuvent dire ce qu’ils veulent.Cela ne nous empêche pas d’avancer sur la route de la paix.
Prévue par l’accord de paix, la mise en place des autorités constituait un blocage dans le processus de paix. Les groupes armés l’avaient posée comme condition pour poursuivre leur participation aux travaux du comité de suivi de l’accord.Un accord a été trouvé pour avancer.C’est le plus important.L’opposition malienne peut dire ce qu’elle veut le pays avance sur le chemin de la paix.
Assez de tes bavardages sur la toile….Mets toi au travail! L’écriture de cet article t’a coûté combien de temps et d’énergies gaspillées?
Si tu es intelligent, prouve ton intelligence-là dans votre assemblée là-bas…Et ici, s’il te plaît laisse nous tranquille…Sinon, hum hum hum.
Tu as raison, certes la signature et le paraphe a été faite à deux dates différentes, mais le important reste la signature de l’accord. Ce sont les avantages de l’accord et le processus de la mise en œuvre qui doit être en perceptif.
Mon cher monsieur, l’heure n’est pas à la leçon de morale.
Tu parles de patriotisme…..Saches que l’homme n’est pas dans ses paroles mais dans ses actes. Si tu es autant patriote que tu le prétendes, prouve nous cela à traves tes actes….En plus, ton statut te le permet non?
Sory Ibrahim Sakho, Toi tu es là jusqu’à présent on avance, l’accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger tire vers sa mise en application, les autorités intérimaires seront installées le 15 juillet 2016, et après ça il y aura le patrouille mixte, et le DDR.
Pour moi, je pense que le plus important reste la signature de l’accord de paix et de réconciliation. Du faite que l’accord a été signé le 15 Mai et paraphé le 20 Juin ne doit pas susciter de polémique. C’est la véracité et les avantages de l’accord de paix issu du processus d’Alger que nous devrions prendre en considération.
Monsieur Sory Ibrahim Sakho, ton avis ne compte pas,pourquoi nous emmerder avec ce texte kilométriques qui n'a aucun contenu.Mais on vous connait déjà dans ce pays.voilà des personnes qui prétendent être maliens mais qui n'aiment pas quand le pays avance.Comment comprendre que des individus soient contre un accord de paix qui vise la stabilité du pays et le retour de l'administration dans le nord du Mali?Ce sont les ennemis du pays.Mais le pays avance et arrivera à la paix malgré votre volonté satanique de faire échouer cette démarche noble.
Monsieur Sory Ibrahim Sakho, ton avis ne compte pas,pourquoi nous emmerder avec ce texte kilométriques qui n'a aucun contenu.Mais on vous connait déjà dans ce pays.voilà des personnes qui prétendent être maliens mais qui n'aiment pas quand le pays avance.Comment comprendre que des individus soient contre un accord de paix qui vise la stabilité du pays et le retour de l'administration dans le nord du Mali?Ce sont les ennemis du pays.Mais le pays avance et arrivera à la paix malgré votre volonté satanique de faire échouer cette démarche noble.
Un pays qui a temps souffert comme le Mali, a besoin de tous ces fils pour la sortir de cette crise, il ne faut pas tout coller au président de la république et au gouvernement quant on veut calomnier son chien on l’accuse de rage, il faut qu’on fait preuve de retenu. Si nous nous donnons la main pour soutenir ce régime je pense que ca ira inchallahou………
On ne peut pas dire que le président et son gouvernement sont parfaitent et irreprochables puis que les oeuvres parfaites sont signés du bon Dieu. Mais cet accord a été signé dans le seul but de creer la paix entre malien.
si le mali va mal les elections sont presque la proposez votre programme au peuple.on verra au lieu de continuer a faire des discours partisans qu on veut faire passer pour des analyses.mr sangaré vous etes malien vous avez le droit de vous presenter aux elections avec un programme.
Bonjour à tous!
Je suis navré pour ce pays.
Comme le dit katigrin le tableau est plus que noir, noir à ne pas pouvoir regarder dans sa main ce qui se passe sous son nez. Ce qui se passe aujourd’hui chez n a même pas de qualificatifs. Un peuple ignorant avec à sa tête des dirigeants comme du sable mouvant qui n ont aucune crainte de ni de ce peuple ni du tout puissant. Bien-sûr le blanc est blanc et le restera toujours. J ai pas encore vu un blanc de depigmenter pour une autre couleur. Et moi le pauvre noir qui cherche toujours a devenir et vivre blanc. Haaa qui fait quoi? A quand notre réveil? Si pas de réveil laissez moi continuer mon sommeil et rêver autrement. Gros negre là entrain de confondre évolution et civilisation. Ca fait mal mal mal. Je veux rien savoir mais veux tout avoir. Haha
Qui est fou? Mr Sacko je salue ton chef d oeuvre de publication et préfère m arrêter là puisque c est de notre habitude de nous retirer très tôt pour mieux voler
Vous ne noircissez pas le tableau, M. Sacko.
Il est déjà noir, noir du fait de notre ignorance du blanc qui, comme le félin
n’abandonne jamais sa proie.
Il est déjà noir, noir de notre ignorance de l’enjeu géostratégique et géo-économique
que nous sommes.
Il est déjà noir, noir de l’égo des politiques qui ne respirent que par l’espèce sonnante et trébuchante.
Oui, il est déjà noir, noir notre manque de patriotisme.
Lorsqu’un peuple est à 90% incapable de se prendre en charge intellectuellement,il
devient la proie facile des félins qui prennent tout le temps qu’il faut pour l’asservir.
Comment accepter de changer une constitution pour faire plaisir à des bandits? à qui le peuple a déjà tout donner par des accords qui sont tout frais?
Comment comprendre qu’un accord ignore d’autres accords précédents?
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