Homosexualité et pratiques LGBT : les lois Maliennes dont la constitution de 1992 ET la proposition 2017 non promulguée de constitution révisée issue de cette dernière ne les autorisent pas ET ne les constitutionnalisent pas

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Dr ANASSER AG RHISSA Expert TIC, Gouvernance et Sécurité

Lettre ouverte en ligne adressée au Président du Mali, au Premier Ministre, au Président de l’assemblée nationale du Mali, au Haut Représentant du Président de la République pour la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali, au CSA, au Ministre de la cohésion sociale, de la paix et de la réconciliation nationale, au Ministre de la réforme de l’état et de la transparence de la vie publique, au Ministre de la décentralisation, au Ministre de l’administration territoriale au Ministre de la défense, au Ministre de la sécurité et de la protection civile, au CNCA, aux partis politiques, aux groupes armés et d’autodéfense, aux régions incluant le district de Bamako et aux communes du Mali, aux religieux (HCI, Ançardine, Catholiques, Soufis, …), aux autorités coutumières, à tous les Maliens, à tous les Partenaires (ONU/MINUSMA, BARKHANE, …), au G5 Sahel et aux médias.

Bon noël aux Catholiques (Chrétiens et Protestants) et Bonne année 2019 à tous/toutes.

En voie de conception par le groupe pivot avec l’appui des Pays Bas, le projet de manuel scolaire sur « Education Sexuelle Complète » suscite un tollé de certains religieux dont Mahmoud Dicko, Président du Haut Conseil Islamique du Mali, qui a été le premier à lancer des alertes concernant ce projet en lien avec l’homosexualité à travers un chapitre intitulé « orientation sexuelle ».

Une incompréhension est née entre le Ministère de l’éducation nationale du Mali (à travers ce projet du groupe pivot) et certains religieux au sujet de ce projet contenant un volet sur l’homosexualité : elle est due à la divergence d’interprétation des objectifs de ce projet qui est sensé fournir une éducation à nos enfants en les sensibilisant sur l’éducation sexuelle en n’oubliant pas l’homosexualité qu’il ne défend pas pour les promoteurs de ce projet OU qu’il ne doit pas défendre pour ceux qui pensent que c’est le cas.

D’une façon générale, il est important de préciser que concernant l’homosexualité et les pratiques des LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transsexuels), les lois Maliennes dont la constitution de 1992 ET la proposition 2017 non promulguée de constitution révisée issue de cette dernière ne les autorisent pas ET ne les constitutionnalisent pas.

CERTAINS, PENSENT, A TORT, que les lois Maliennes, la CONSTITUTION 1992 du Mali ET la PROPOSITION 2017, non encore promulguée (non encore validée pour être soumise au référendum), d’UNE NOUVELLE CONSTITUTION REVISEE, issue de cette dernière, AUTORISENT l’homosexualité au Mali.

L’homosexualité est illégale au Mali contrairement à ce que dit un rapport de l’ONG Américaine Freedom House, rappelé par l’AFP dans sa contribution, du 24 décembre 2018, intitulée « Mali : Manifestation contre un manuel évoquant l’homosexualité, pourtant abandonné ».

Que les citoyens Maliens, en particulier les religieux, soient tranquilles, les lois Maliennes, la CONSTITUTION de 1992 du Mali et la PROPOSITION 2017, non validée, de constitution révisée du Mali, n’autorisent pas l’homosexualité ni les pratiques LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transsexuels).

Sachant que les lois Maliennes n’autorisent pas l’homosexualité et les pratiques des LGBT, nous devons, donc, NOUS ENTENDRE (A TRAVERS UNE CONCERTATION INCLUSIVE intégrant tous les acteurs dont les religieux, la société civile, les politiques et les professionnels de l’éducation) EN DISSIPANT CES INCOMPREHENSIONS sur l’éducation sexuelle que nous donnons ou nous donnerons à nos enfants en tenant compte, entre autres, de nos coutumes, de nos croyances et de notre culture.

Comme l’a proposé, le 19 décembre 2018, le Premier Ministre, Soumeylou Boubèye MAIGA, lors de la rencontre avec les autorités coutumières et les religieux, une commission mixte intégrant ces acteurs doit être constituée pour ce faire afin de valider ou invalider définitivement ce projet qu’il a pour l’instant suspendu.

A la lumière du contenu de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples, en particulier de ses résolutions de 1981 et de 2014, nous verrons que la proposition 2017, non promulguée, de constitution révisée du Mali issue de la constitution de 1992 ne constitutionnalise pas et n’autorise pas l’homosexualité ni les pratiques des LGBT.

Nous verrons dans cette lettre ouverte :

– La Charte Africaine des droits de l’homme et des peuples et la défense des personnes homosexuelles et LGBT : qu’a fait le Mali ?,

– Le détail de la Résolution de 2014 sur la protection contre la violence et d’autres violations des droits humains de personnes sur la base de leur identité ou orientation sexuelle réelle ou supposée,

– Référendum en 2019 sur la révision de la constitution de 1992 du Mali et Perspectives
– Conclusion

1. La Charte Africaine des droits de l’homme et des peuples et la défense des personnes homosexuelles et LGBT : Qu’a fait le Mali ?

Comme cinquante trois pays africains, membres de l’union africaine, le Mali a ratifié la charte africaine des droits de l’homme le 21 décembre 1981.

A la demande de la commission africaine des droits de l’homme et des peuples, une résolution en 1981 (en avril 1981) a été adoptée pour l’intégration dans les droits nationaux (constitution, lois, …) des états membres des dispositions de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples.

En plus d’un préambule, cette résolution de 1981 de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples est structurée en soixante huit (68) articles dont, entre autres, les articles 2 à 6 sont liés aux droits, à la protection et à la sécurité des personnes, ce sont :

– article 2 : droit à la non discrimination,
– article 3 : égalité devant la loi,
– article 4 : droit à la vie,
– article 5 : interdiction à la torture et de traitements cruels, inhumains et dégradants,
– article 6 : droit à la liberté et à la sécurité de la personne.

La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, réunie en sa 55ème Session ordinaire tenue du 28 avril au 12 mai 2014, à Luanda, Angola, a adopté une autre résolution en 2014 sur la protection contre la violence et d’autres violations des droits humains de personnes sur la base de leur identité ou orientation sexuelle réelle ou supposée.

L’adoption de cette autre résolution de 2014 par les pays africains n’est pas obligatoire tout en reconnaissant le droit à la vie des personnes homosexuelles et, d’une façon générale, des personnes LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuelles et Transsexuelles) car certains pays commettent des violences et des abus envers ces personnes en voulant, des fois, les éliminer physiquement ou les emprisonner à vie.

Tout en priant les Etats parties (membres) qui pratiquent ces violences et ces abus envers les personnes homosexuelles, et d’une façon générale les personnes LGBT, d’y mettre un terme, la liberté est laissée à chaque pays d’adopter ou pas cette résolution de 2014 comme le laisse clairement apparaître, l’EXTRAIT, ci-dessous, de la résolution de 2014 (voir ci-dessous, au point 2, le détail de cette résolution de 2014) de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples adoptée par la commission africaine des droits de l’homme et des peuples, QUI :

– Invite les Etats parties à s’assurer que les défenseurs des droits de l’homme exercent leurs activités dans un environnement propice exempt de stigmatisation, de représailles ou de poursuites pénales en raison de leurs activités de défense des droits de l’homme y compris les droits des minorités sexuelles ; et

– Prie instamment les Etats de mettre un terme aux actes de violation et d’abus, qu’ils soient commis par des acteurs étatiques ou non étatiques, notamment en promulguant et en appliquant effectivement des lois appropriées interdisant et sanctionnant toutes les formes de violence, y compris celles ciblant des personnes sur la base de leur identité ou orientation sexuelle réelle ou supposée, en garantissant une enquête appropriée et la poursuite diligente des auteurs, ainsi que des procédures judiciaires adaptées aux besoins des victimes.

LES ETATS PARTIES AFRICAINS NE SONT PAS OBLIGÉS D’AUTORISER L’HOMOSEXUALITÉ ET DES LGBT DANS LEURS PAYS MALGRÉ CETTE INVITATION ET CETTE SOLLICITATION DE LA COMMISSION DES DROITS DE L’HOMME ET DES PEUPLES DE METTRE UN TERME A TOUTES FORMES DE VIOLENCE, Y COMPRIS CELLES CIBLANT DES PERSONNES SUR LA BASE DE LEUR IDENTITÉ OU ORIENTATION SEXUELLE RÉELLE OU SUPPOSÉE.

Le Mali a fait référence à la résolution de 1981 de la charte des droits de l’homme et des peuples dans la constitution de 1992 et dans la proposition 2017 non promulguée de la constitution révisée.

Il est important de noter que la référence n’a pas été faite, dans la proposition 2017 de la constitution révisée du Mali, à la résolution de 2014, de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples, dédiée, en partie, à la défense des personnes homosexuelles et LGBT.

De ce fait, le Mali ne constitutionnalise pas et n’autorise pas l’homosexualité ni les pratiques LGBT.

Peut-on penser ou croire que les cinquante trois états Africains, dont le Mali, qui ont ratifié cette charte africaine des droits de l’Homme et des peuples, ont constitutionnalisé l’homosexualité sachant, en plus, que certains de ces pays sont à dominante musulmane ?

Non, l’homosexualité n’a pas été constitutionnalisée par tous ces pays africains et par le Mali. Seule l’Afrique du sud accepte l’homosexualité.

Certains pays Africains n’acceptent pas dans leurs pays l’homosexualité et les LGBT mais les condamnent.

Dans certains pays Africains, comme le Zimbabwé et l’Ouganda, l’homosexualité et les pratiques LGBT sont passibles de peine de prison. Dans le cas de l’Ouganda, elles induisent une peine de prison à perpétuité.

Dans certains pays, en particulier au Zimbabwé et en Ouganda, le viol correctif est infligé contre toute personne LGBT, principalement les lesbiennes, afin de la guérir et pour qu’elle change son orientation sexuelle.

L’ancien Président de l’Union Africaine Robert Mugabé disait en 2015 en parlant de la non acceptation de l’homosexualité en Afrique :

Le nouvel agenda des droits de l’Homme qui est imposé par l’occident, et plus spécifiquement la volonté de mettre fin à la criminalisation envers les homosexuels, cela ne marchera pas.

Puis il ajoute : Ces nouveaux droits de l’Homme sont contraires à nos valeurs, nos normes, nos traditions et nos croyances.

En plus, ne contenant ou ne faisant référence qu’à des principes généraux, comme ceux contenus dans la déclaration universelle des droits de l’Homme ou dans la charte africaine des droits de l’Homme et des peuples, la constitution révisée du Mali ne peut constitutionnaliser l’homosexualité.

D’autres lois, telle que celle liée au code de la famille, se préoccupent de tels aspects plus détaillés.

La constitution Malienne (de 1992 et la proposition 2017 non promulguée de la constitution révisée) et la loi liée au code Malien de la famille et du mariage n’acceptent pas et n’autorisent pas l’homosexualité.

Contraire à notre culture, à nos croyances et au vu de tout ce qui a été dit précédemment, l’homosexualité ne peut être acceptée, ni autorisée, n’est pas constitutionnalisée à travers la constitution 1992 du Mali ni la proposition 2017 non promulguée de la révision de cette dernière et ne sera pas constitutionnalisée à travers TOUTE AUTRE REVISION DE LA CONSTITUTION DE 1992 du Mali en particulier celle qui se fera en 2019.

Dans le cadre du nouveau processus de révision de la constitution de 1992 qui sera lancé dans un cadre consensuel et inclusif comme le propose le Président IBK, une attention particulière sera portée à cet aspect. Les incompréhensions actuelles préfigurent la nécessité de cette attention.

2. Le détail de la Résolution de 2014 sur la protection contre la violence et d’autres violations des droits humains de personnes sur la base de leur identité ou orientation sexuelle réelle ou supposée

La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples (la Commission), réunie en sa 55ème Session ordinaire tenue du 28 avril au 12 mai 2014, à Luanda, Angola ;

Rappelant l’Article 2 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples (la Charte africaine) qui interdit la discrimination sur la base notamment de la race, de l’ethnie, de la couleur, du sexe, de la langue, de la religion, de l’opinion politique ou de toute autre opinion, de l’origine nationale ou sociale, de la fortune de la naissance ou de toute autre situation ;

Rappelant, en outre, l’Article 3 de la Charte africaine qui stipule que toutes les personnes bénéficient d’une totale égalité devant la loi ;

Notant que les Articles 4 et 5 de la Charte africaine disposent que tout être humain a droit au respect de sa vie et à l’intégrité physique et morale de sa personne et que la torture physique ou morale, et les peines ou les traitements cruels, inhumains ou dégradants, sont interdites ;

Vivement préoccupée par les actes de violence et autres violations des droits humains qui continuent d’être commis contre des personnes dans plusieurs parties de l’Afrique du fait de leur identité ou orientation sexuelle réelle ou supposée ;

Notant que de telles violences comprennent le « viol correctif », les agressions physiques, la torture, le meurtre, les arrestations arbitraires, les détentions, les exécutions extrajudiciaires, les disparitions forcées, l’extorsion et le chantage ;

Egalement préoccupée par les cas de violence et les violations des droits de l’homme commises par les acteurs étatiques et non étatiques et ciblant les défenseurs des droits de l’homme et les organisations de la société civile intervenant sur les questions de l’orientation sexuelle ou de l’identité sexuelle en Afrique ;

Profondément préoccupée par l’incapacité des organes d’application de la loi à enquêter avec diligence et à poursuivre les auteurs de violence et d’autres violations des droits humains ciblant des personnes sur la base de leur identité ou orientation sexuelle réelle ou supposée ;

1. Condamne la violence croissante et les autres violations des droits de l’homme, notamment l’assassinat, le viol, l’agression, la détention arbitraire et d’autres formes de persécution de personnes sur la base de leur identité ou orientation sexuelle réelle ou supposée ;

2. Condamne spécifiquement les attaques systématiques perpétrées par des acteurs étatiques et non étatiques contre des personnes sur la base de leur identité ou orientation sexuelle réelle ou supposée ;

3. Invite les Etats parties à s’assurer que les défenseurs des droits de l’homme exercent leurs activités dans un environnement propice exempt de stigmatisation, de représailles ou de poursuites pénales en raison de leurs activités de défense des droits de l’homme y compris les droits des minorités sexuelles ; et

4. Prie instamment les Etats de mettre un terme aux actes de violation et d’abus, qu’ils soient commis par des acteurs étatiques ou non étatiques, notamment en promulguant et en appliquant effectivement des lois appropriées interdisant et sanctionnant toutes les formes de violence, y compris celles ciblant des personnes sur la base de leur identité ou orientation sexuelle réelle ou supposée, en garantissant une enquête appropriée et la poursuite diligente des auteurs, ainsi que des procédures judiciaires adaptées aux besoins des victimes.

Adoptée lors de la 55ème Session ordinaire de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples tenue du 28 avril au 12 mai 2014, à Luanda, Angola

3. Référendum en 2019 sur la révision de la constitution de 1992 du Mali et Perspectives

Pour préparer le référendum de 2019 sur la révision de la constitution de 1992 du Mali, un nouveau processus de révision de la constitution de 1992 sera lancé dans un cadre consensuel et inclusif comme le propose le Président IBK.

En tenant compte (1) de nos coutumes et de notre culture, une attention particulière sera portée à ces aspects de l’homosexualité et des pratiques LGBT au Mali ET (2) de tout ce qui précède, ces aspects ne seront pas autorisés et ne seront pas constitutionnalisés comme dans la constitution 1992 et la proposition 2017 non promulguée de la révision de cette dernière.

Les incompréhensions actuelles entre certains religieux et le ministère de l’éducation nationale préfigurent la nécessité de cette attention et l’indispensable concertation inclusive sur ces aspects.

4. Conclusion

Tout en priant les Etats parties (membres) Africains qui pratiquent des violences et des abus envers les personnes homosexuelles, et d’une façon générale les personnes LGBT, d’y mettre un terme, la liberté est laissée à chaque pays d’adopter ou pas la résolution de 2014 comme le laisse clairement apparaitre, l’EXTRAIT, ci-dessous, de cette résolution (voir au point 2 le détail de cette résolution de 2014) de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples adoptée par la commission africaine des droits de l’homme et des peuples, QUI :

– Invite les Etats parties à s’assurer que les défenseurs des droits de l’homme exercent leurs activités dans un environnement propice exempt de stigmatisation, de représailles ou de poursuites pénales en raison de leurs activités de défense des droits de l’homme y compris les droits des minorités sexuelles ; et

– Prie instamment les Etats de mettre un terme aux actes de violation et d’abus, qu’ils soient commis par des acteurs étatiques ou non étatiques, notamment en promulguant et en appliquant effectivement des lois appropriées interdisant et sanctionnant toutes les formes de violence, y compris celles ciblant des personnes sur la base de leur identité ou orientation sexuelle réelle ou supposée, en garantissant une enquête appropriée et la poursuite diligente des auteurs, ainsi que des procédures judiciaires adaptées aux besoins des victimes.

LES ETATS PARTIES NE SONT PAS OBLIGÉS D’AUTORISER L’HOMOSEXUALITÉ ET DES LGBT DANS LEURS PAYS MALGRÉ CETTE INVITATION ET CETTE SOLLICITATION DE LA COMMISSION DES DROITS DE L’HOMME ET DES PEUPLES DE METTRE UN TERME A TOUTES FORMES DE VIOLENCE, Y COMPRIS CELLES CIBLANT DES PERSONNES SUR LA BASE DE LEUR IDENTITÉ OU ORIENTATION SEXUELLE RÉELLE OU SUPPOSÉE.

A la lumière du contenu de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples, en particulier de ses résolutions de 1981 et de 2014, nous avons vu que la nouvelle proposition de constitution révisée du Mali issue de la constitution de 1992 ne constitutionnalise pas et n’autorise pas l’homosexualité ni les pratiques des LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transsexuels).

En effet :
– Le Mali a fait référence à la résolution de 1981 de la charte des droits de l’homme et des peuples dans la constitution de 1992 et dans la nouvelle constitution révisée.

– Il est important de noter que la référence n’a pas été faite dans la nouvelle constitution révisée du Mali à la résolution de 2014, de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples, dédiée, en partie, à la défense des personnes homosexuelles et LGBT.

La constitution Malienne (de 1992 et la proposition 2017 non promulguée de la constitution révisée) et la loi liée au code Malien de la famille et du mariage n’acceptent pas et n’autorisent pas l’homosexualité.

Contraire à notre culture, à nos croyances et au vu de tout ce qui a été dit précédemment, l’homosexualité ne peut être acceptée, ni autorisée, n’est pas constitutionnalisée à travers la constitution 1992 du Mali ni la proposition 2017 non promulguée de la révision de cette dernière et ne sera pas constitutionnalisée à travers TOUTE AUTRE REVISION DE LA CONSTITUTION DE 1992 du Mali en particulier celle qui se fera en 2019.

5. Contact
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance, Sécurité et DD
Président de l’ONG TILWAT International
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL (00223) 78 73 14 61

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34 COMMENTAIRES

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  2. Anassar a ecrit “Après tous ces messages et les conseils que je t’ai prodigués, en partant du fait que IBK n’est pas le Mali” Tu es un veritable hypocrite qui ne sait pas ce qu’il veut, IBK le soulard dispose des biens du Mali, de sa politique et de son future, arretes d’etre idiot et commences a comprendre que Boua IBK est en charge et est en train de detruire ce pays!

  3. Bonjour Monsieur Anasser. Juste une correction. Il y a trois grandes dénominations chrétiennes: les catholiques, les évangéliques protestants et les orthodoxes.

    • Bonjour,
      MERCI Gladis DE TROUVER QUE CETTE LETTRE OUVERTE, portant sur “Homosexualité et pratiques LGBT : les lois Maliennes dont la constitution de 1992 ET la proposition 2017 non promulguée de constitution révisée issue de cette dernière ne les autorisent pas ET ne les constitutionnalisent pas”, EST PERTINENTE ET VOUS A APPORTÉE UNE AIDE PRÉCIEUSE.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
      TEL 00223 78 73 14 61

  4. Le pauvre Dr Anassar, m’impliquer dans une discussion avec quelqu’un qui ne reflechit pas comme IBK?sinon comment dans un pays deja divise peut-il amener des sujets sociaux qui divisent plus? Boua IBK ne comprend rien en ce qui se passe autour de lui c’est pourquoi je ne perds pas mon temps sur un homme tres detache et tres insouciant comme Boua, un president illegitime qui a vole les elections avec le bourrage des urnes. Le jour ou tu auras l’occasion de rencontrer Boua et de parler avec lui tu sauras de quoi je parle. Mais entre temps tu peux utiliser ton temps a ecrire des lettres ouverte kilometriques qui ne servirons a rien, tout comme les discours creux et surrealistes de Boua IBK le president illegitime, vaurien et incompetant.

    • Bonjour,
      Merci Kinguiranke de vos nombreux messages.

      Après tous ces messages et les conseils que je t’ai prodigués, en partant du fait que IBK n’est pas le Mali, comment tu n’arrives pas à t’impliquer ET à contribuer pour le Mali et pour le bonheur des Maliens ?

      POUR L’INTÉRÊT GÉNÉRAL ET POUR LE MALI, ENGAGEONS-NOUS ET ASSUMONS NOS RESPONSABILITÉS.

      On peut collaborer en étant différents en se rapprochant sur la base du Mali.

      Ne sous-estimons pas notre apport et notre contribution.

      Chacun(e) peut être utile aux autres ET au Mali.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
      TEL 00223 78 73 14 61

  5. Bonjour,
    Merci Kinguiranke de votre commentaire.

    Le traitre n’est-il pas (1) celui qui observe des dérives dans l’indifférence en voulant les résoudre par des menaces ou sans réagir adéquatement ou (2) celui qui d’auto-satisfait d’insultes et d’indexations sans fondements et sans adresser les vrais problèmes avec l’approche requise ?

    Comme je te l’avais déjà dit dans certaines de mes réponses à tes contributions précédentes, sans implication et sans une approche globale s’appliquant, en particulier à l’éducation, pour faire face aux défis auxquels est confronté le Mali, tu n’aboutiras à aucune solution pour résorber la (les) crise(s).

    Tu parles de l’échec à l’école comme honte nationale, qu’en est-il de ceux qui ne sont pas scolarisés, qui n’arrivent pas à se soigner, qui n’arrivent pas à avoir les trois repas, … ?

    Une approche globale est nécessaire pour venir à bout de tous ces problèmes, figurant parmi les priorités, sans oublier l’éducation sexuelle.

    Continue à te plaindre sans t’impliquer, tu récolteras une insatisfaction permanente.

    Sois pratique, impliques-toi et agis en contribuant à sortir le Mali de la (des) crise(s).

    Nous sommes tous (toutes) concerné(e)s.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    TEL 00223 78 73 14 61

    • M’impliquer dans une discussion avec quelqu’un qui ne reflechit pas comme IBK sinon comment dans un pays deja divise peut-il amener des sujets sociaux qui divisent plus? Boua IBK ne comprend rien en ce qui se passes autour de lui c’est pourquoi je ne perds pas mon temps sur un homme tres detache et tres insouciant comme Boua, un president illegitime qui a vole les elections avec le bourrage des urnes. Le jour ou tu auras l’occasion de rencontrer Boua et de parler avec lui tu sauras de quoi je parle. Mais entre temps tu peux utiliser ton temps a ecrire des lettres ouverte kilometriques qui ne servirons a rien, tout comme les discours creux et surrealistes de Boua IBK.

      • Bonjour,
        Bonne année 2019, qu’elle nous apporte la concorde entre Maliens.

        Merci Kinguiranke de vos nombreux messages.

        Après tous ces messages et les conseils que je t’ai prodigués, en partant du fait que IBK n’est pas le Mali, comment tu n’arrives pas à t’impliquer ET à contribuer pour le Mali et pour le bonheur des Maliens ?

        POUR L’INTÉRÊT GÉNÉRAL ET POUR LE MALI, ENGAGEONS-NOUS ET ASSUMONS NOS RESPONSABILITÉS.

        On peut collaborer en étant différents en se rapprochant sur la base du Mali.

        Ne sous-estimons pas notre apport et notre contribution.

        Chacun(e) peut être utile aux autres ET au Mali.

        Bien cordialement
        Dr ANASSER AG RHISSA
        Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
        TEL 00223 78 73 14 61

  6. Anassar tu sais tres bien que le taux d’echec au Bac 2018 etait de 76% alors c’est l’ediucation sexuelle et l’homosexualite qui vont corriger cet eche? Soyons honnetes, je vous condamne de haute trahison e nos enfants toi, Boua, et son Ministre de l’Education Nationale, vous etres des traitres pour nos enfants et pour notre nation,

      • Bonjour,
        Merci Kinguiranke de votre commentaire.

        Tu traites de traitre et tu condamnes, alors mets en application.

        Le traitre n’est-il pas (1) celui qui observe des dérives dans l’indifférence en voulant les résoudre par des menaces ou sans réagir adéquatement ou (2) celui qui d’auto-satisfait d’insultes et d’indexations sans fondements et sans adresser les vrais problèmes avec l’approche requise ?

        Comme je te l’avais déjà dit dans certaines de mes réponses à tes contributions précédentes, sans implication et sans une approche globale s’appliquant, en particulier à l’éducation, pour faire face aux défis auxquels est confronté le Mali, tu n’aboutiras à aucune solution pour résorber la (les) crise(s).

        Tu parles de l’échec à l’école comme honte nationale, qu’en est-il de ceux qui ne sont pas scolarisés, qui n’arrivent pas à se soigner, qui n’arrivent pas à avoir les trois repas, … ?

        Pour éviter la honte, une approche globale est nécessaire pour venir à bout de tous ces problèmes et défis, figurant parmi les priorités, sans oublier l’éducation sexuelle.

        Continue à te plaindre sans t’impliquer, tu récolteras une insatisfaction permanente.

        Sois pratique, impliques-toi et agis en contribuant à sortir le Mali de la (des) crise(s).

        Nous sommes tous (toutes) concerné(e)s.

        Soyons responsables.

        Bien cordialement
        Dr ANASSER AG RHISSA
        Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
        TEL 00223 78 73 14 61

  7. Bonjour,
    Merci Kinguiranke pour ton message précédent que tu as déjà posté comme première réponse à cette lettre ouverte.

    Je te renvoie la réponse que je t’avais envoyée. J’espère que tu seras attentif et tu prendras des dispositions adaptées pour ce faire.

    Compte-tenu du contexte Malien, même s’il peut y avoir des sujets plus prioritaires que celui qu’on traite, un tel sujet lié à l’éducation sexuelle de nos enfants ne devait pas et ne doit pas être sous-estimé ni traité à la légère sachant, qu’en plus, il impacte sérieusement ET profondément sur la société et sur le comportement de certains de ses membres.

    Malgré le tabou et le déficit d’informations fiables qui entourent l’homosexualité, nous devons, sans en avoir honte, contrairement à ce que tu dis, frère Kinguiranke, prendre très au sérieux et parmi les problèmes prioritaires (même s’il y a une hiérarchie dans les priorités), ce sujet qui génère des collisions avec nos croyances, nos mœurs et notre culture.

    Si comme certains, tu ne te reconnais pas dans le Mali d’aujourd’hui, fais/faites des propositions de sortie de crises et créer une dynamique pour leur prise en compte.

    POUR LE MALI, FAITES CES PROPOSITIONS AU LIEU DE RESTER AVEC CETTE GRANDE DÉCEPTION QUI VOUS RONGE.

    N’attendez pas les autres, proposez.

    POUR LE MALI, MÊME SI VOUS NE LES RECONNAISSEZ PAS, IBK, SON GOUVERNEMENT ET SON MINISTRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE SERONT, PROBABLEMENT, HEUREUX DE VOTRE PARTICIPATION A TRAVERS CES PROPOSITIONS.

    Prenez de la hauteur, pour l’intérêt général, contribuez à l’apaisement général et à la recherche des solutions idoines pour nos enfants.

    J’ajoute :

    ENCORE UNE FOIS, SI VOUS NE VOUS RECONNAISSEZ PAS DANS LE MALIEN D’AUJOURD’HUI, AGISSEZ AUTREMENT ET FAITES PARTICIPER LES MALIENS A VOS ACTIONS SI ELLES PEUVENT AIDER A SORTIR LE MALI DE LA CRISE (DES CRISES). L’APPORT DE CHACUN (E) EST INDISPENSABLE.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, gouvernance et sécurité
    TEL 00223 78 73 14 61

  8. @Anassar. Encore une opportunite d’amuser la galerie, est-ce qu’au Mali ou le citoyen lamda ne parvient a avoir ses 3 repas par jour ou les Cheminots sont en greve de faim et les travailleurs de l’UNTM de meme, c’est le Manuel l’enseignement de la sexualite et de l’ homosexualite notre probleme? Vraiment! Dans un pays tres divise faisant face a une guerre sans pitie des Jihadistes et des rebelles du MNLA, un pays avec un president illegitime IBK, une assemblee nationale illegitime, une cour constitutionnelle illegitime et une cour suppreme illegitime, n’a rien a se preoccuper que de la sexualite et de l’homosexualite? Ou sont nos priorites? Ou sont nos preoccupations? Honte a tous, a commencer par Boua IBK et son Ministre de l’Education Nationale. Je ne me reconnais plus dans le Malien d’aujourd’hui, dommage?

    • Bonjour,
      Merci Kinguiranke pour ton message précédent que tu as déjà posté comme première réponse à cette lettre ouverte.

      Je te renvoie la réponse que je t’avais envoyée. J’espère que tu seras attentif et tu prendras des dispositions adaptées pour ce faire.

      Compte-tenu du contexte Malien, même s’il peut y avoir des sujets plus prioritaires que celui qu’on traite, un tel sujet lié à l’éducation sexuelle de nos enfants ne devait pas et ne doit pas être sous-estimé ni traité à la légère sachant, qu’en plus, il impacte sérieusement ET profondément sur la société et sur le comportement de certains de ses membres.

      Malgré le tabou et le déficit d’informations fiables qui entourent l’homosexualité, nous devons, sans en avoir honte, contrairement à ce que vous dites, frère Kinguiranke, prendre très au sérieux et parmi les problèmes prioritaires (même s’il y a une hiérarchie dans les priorités), ce sujet qui génère des collisions avec nos croyances, nos mœurs et notre culture.

      Si comme certains, tu ne te reconnais pas dans le Mali d’aujourd’hui, fais/faites des propositions de sortie de crises et créer une dynamique pour leur prise en compte.

      POUR LE MALI, FAITES CES PROPOSITIONS AU LIEU DE RESTER AVEC CETTE GRANDE DÉCEPTION QUI VOUS RONGE.

      N’attendez pas les autres, proposez.

      POUR LE MALI, MÊME SI VOUS NE LES RECONNAISSEZ PAS, IBK, SON GOUVERNEMENT ET SON MINISTRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE SERONT, PROBABLEMENT, HEUREUX DE VOTRE PARTICIPATION A TRAVERS CES PROPOSITIONS.

      Prenez de la hauteur, pour l’intérêt général, contribuez à l’apaisement général et à la recherche des solutions idoines pour nos enfants.

      J’ajoute :

      SI VOUS NE VOUS RECONNAISSEZ PAS DANS LE MALIEN D’AUJOURD’HUI, AGISSEZ AUTREMENT ET FAITES PARTICIPER LES MALIENS A VOS ACTIONS SI ELLES PEUVENT AIDER A SORTIR LE MALI DE LA CRISE (DES CRISES). L’APPORT DE CHACUN (E) EST INDISPENSABLE.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, gouvernance et sécurité
      TEL 00223 78 73 14 61

  9. Bonjour,
    Merci à tous/toutes pour vos contributions.

    Merci Kinguiranke pour vos messages.

    Vous continuez votre stratégie basée sur les insultes et les amalgames au lieu d’argumenter.

    Si vous répondez à mes contributions par des insultes et amalgames, je ne vous répondrai plus.

    Par le passé, vous aviez utilisé une telle stratégie et je vous ai répondu que c’est contre productif et je ne vous répondrai plus si vous persistez.

    Vous vous trompez amèrement si vous croyez que comprendre la société Malienne et le développement humain c’est insulter tous ceux qui contribuent au développement et à la cohésion de cette société.

    Apportez des arguments au lieu d’insulter ou critiquer sans fondements.

    Sachez que la problématique de l’éducation, en particulier l’éducation sexuelle, doit être prise au sérieux car elle influe sur le devenir de nos enfants et permettra d’éviter les travers, par exemple, en évitant de promouvoir l’homosexualité qui est incompatible avec nos principes, nos mœurs, nos coutumes, nos valeurs et notre culture.

    Comme je disais prenez de la hauteur, contribuez à l’apaisement général et à la recherche de solutions idoines pour nos enfants.

    Contribuez aussi à la cohésion sociale et au vivre ensemble pour une paix durable.

    CE QUI DIVISE PLUS LA SOCIÉTÉ MALIENNE, C’EST DE FAIRE L’INDIFFÉRENT, DE CROIRE QUE C’EST AUX AUTRES D’APPORTER LES SOLUTIONS ET DE NE PAS CONTRIBUER A FAIRE FACE AUX DÉFIS AUXQUELS ELLE EST CONFRONTÉE, EN PARTICULIER, CEUX DE LA COHÉSION SOCIALE, DU VIVRE ENSEMBLE, DE LA PAIX ET D’UNE JUSTICE ÉQUITABLE.

    Compte-tenu des diverses crises (politique, social, sécuritaire, …) auxquelles est confronté le Mali, nous devons organiser une concertation et un dialogue inclusifs prenant en compte les défis auxquels fait face le Mali dont celui d’une éducation complète (incluant l’éducation sexuelle) adaptée au contexte Malien et au contexte économique.

    Vous qui pensez comprendre quelque chose de la société Malienne et de son développement humain, au lieu de contribuer et faire des propositions dans ce sens ou pour aider à résorber ces crises, vous préférez indexez, à tort, les autres et les insulter au lieu d’argumenter.

    Le sujet qui nous préoccupe est d’intérêt général et peut avoir des répercussions sur les générations actuelle et futures, il doit nous interpeller tous.

    En tenant compte de nos principes, valeurs et coutumes, être insensible à ce sujet d’éducation sexuelle complète ou lui accorder peu d’importance, c’est être insensible au devenir de nos enfants que nous devons sensibiliser pour comprendre et se protéger.

    Un tel sujet doit être traité avec précaution et sérieux.

    Ne pas y contribuer, en tenant compte de notre culture, de nos principes (religieux, sociaux, …) et de nos valeurs, c’est fuir nos responsabilités.

    Chacun(e) est mis devant ses responsabilités.

    Évitons au Mali d’aller à la dérive, engageons-nous pour le développement humain de nos enfants.

    Un tel sujet y contribue en l’adaptant à notre contexte.

    Bien cordialement
    Dr Anasser Ag Rhissa
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
    TEL 00223 78 73 14 61

  10. Anassar a ecrit “Prenez de la hauteur, pour l’intérêt général, contribuez à l’apaisement général et à la recherche des solutions pour nos enfants”. Une telle assertion doit te faire honte sinon tu ne reflechies pas avec un cerveau humain. C’est a IBK et a son Ministre de prendre de la hauteur pour contribuer a l’apiaisement general et preserver l’interet general et rechercher des solutions pour nos enfants, ce n’est pas en choisissant le theme de la sexualite et de l’educations sexuelle dans le contexte socio-economique et politique actuel qu’ils parviendront a ces objectifs la. Il faut etre ignare pour ne pas comprendre ce qui divise la societe Malienne, et insensible pour savoir que nous n’avons pas besoin des sujets inutiles quand le taux de success au Bac 2018 etait de 24% inutile d’ajouter que le taux d’echec etait de 76%, nous parlons de nos enfants, de leur education et leur avenir!. Anassar c’est l’enseignement de la sexualite qui va ameliorer cette situation catastrophique? Anassar il faut arreter de reflechir comme un idiot, I am sorry, j’ai suivi tes ecrits depuis longtemps et je dois conclure que tu ne comprends absolument rien de la societe Malienne et au developpement humain Malien. C’est tres dommage qu’il ya des Maliens comme IBK, son Ministre de l’Education et Anassar car avec des gens comme vous, le Mali continuera d’aller a la derive et restera parmi les derniers de ce monde.

    • Bonjour,
      Merci Kinguiranke de vos messages.

      Vous continuez votre stratégie basée sur les insultes et les amalgames au lieu d’argumenter.

      Si vous répondez à mes contributions par des insultes et amalgames, je ne vous répondrai plus.

      Par le passé, vous aviez utilisé une telle stratégie et je vous ai répondu que c’est contre productif et je ne vous répondrai plus si vous persistez.

      Vous vous trompez amèrement si vous croyez que comprendre la société Malienne et le développement humain c’est insulter tous ceux qui contribuent au développement et à la cohésion de cette société.

      Apportez des arguments au lieu d’insulter ou critiquer sans fondements.

      Sachez que la problématique de l’éducation, en particulier l’éducation sexuelle, doit être prise au sérieux car elle influe sur le devenir de nos enfants et permettra d’éviter les travers, par exemple, en évitant de promouvoir l’homosexualité qui est incompatible avec nos principes, nos mœurs, nos coutumes, nos valeurs et notre culture.

      Comme je disais prenez de la hauteur, contribuez à l’apaisement général et à la recherche de solutions idoines pour nos enfants.

      Ainsi, compte-tenu des diverses crises (politique, social, sécuritaire, …) auxquelles est confronté le Mali, nous devons organiser une concertation et un dialogue inclusifs prenant en compte les défis auxquels fait face le Mali dont celui d’une éducation complète (incluant l’éducation sexuelle) adaptée au contexte Malien et au contexte économique.

      Vous qui pensez comprendre quelque chose de la société Malienne et de son développement humain, au lieu de contribuer et faire des propositions dans ce sens ou pour aider à résorber ces crises, vous préférez indexez, à tort, les autres et les insulter au lieu d’argumenter.

      Le sujet qui nous préoccupe est d’intérêt général et peut avoir des répercussions sur les générations actuelle et futures, il doit nous interpeller tous.

      En tenant compte de nos principes, valeurs et coutumes, être insensible à ce sujet d’éducation sexuelle complète ou lui accorder peu d’importance, c’est être insensible au devenir de nos enfants que nous devons sensibiliser pour comprendre et se protéger.

      Un tel sujet doit être traité avec précaution et sérieux.

      Ne pas y contribuer, en tenant compte de notre culture, de nos principes (religieux, sociaux, …) et de nos valeurs, c’est fuir nos responsabilités.

      Chacun(e) est mis devant ses responsabilités.

      Évitons au Mali d’aller à la dérive, engageons-nous pour le développement humain de nos enfants.

      Un tel sujet y contribue en l’adaptant à notre contexte.

      Bien cordialement
      Dr Anasser Ag Rhissa
      Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
      E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
      TEL 00223 78 73 14 61

  11. Bonjour,
    Merci pour les contributions des uns et des autres.

    Un tel sujet lié à l’éducation sexuelle de nos enfants ne devaient pas et ne doit pas être sous-estimé ni traité à la légère sachant, qu’en plus, il impacte sérieusement ET profondément sur la société et sur le comportement de certains de ses membres.

    Malgré le tabou et le déficit d’informations fiables qui entourent l’homosexualité, nous devons prendre très au sérieux ce problème qui génère des collisions avec nos croyances, nos mœurs et notre culture.
    C’EST POURQUOI, LA CONTRIBUTION DE NOS INTELLECTUELS EST SOUHAITÉE, DE MÊME QUE CELLE DE TOUS LES ACTEURS.

    Ce débat que certains, comme Yugubané, sous estiment doit être de très haut niveau en faisant participer des intellectuels qui doivent sensibiliser et apporter la lumière sur les zones d’ombre qui méritent des explications en tenant compte de nos lois en particulier de notre constitution.

    A travers un tel sujet, nous devons, expliquer, conscientiser, rapprocher les Maliens les uns aux autres, cultiver le vivre ensemble et la cohésion dont l’école doit être le symbole.

    En tenant compte de nos principes sociaux, culturels, religieux, agissons pour une école unificatrice, sans exclusion, symbole de nos valeurs, de la solidarité, de ce vivre ensemble et de cette cohésion.

    Tout en respectant les droits de l’homme, nous devons expliquer, comme l’a fait le Sénégal, à travers son ministre de la justice, le 03 Novembre 2018 à Génève, devant le groupe de travail d’examen périodique universel du comité des droits de l’homme des nations unies, que nos principes et nos valeurs sont incompatibles avec l’homosexualité, qui ne peut être légalisée ni constitutionnalisée au Mali.

    L’homosexualité n’est pas autorisée par la constitution de 1992 du Mali ni par la proposition 2017 de révision de cette dernière, comme vu dans cette lettre ouverte.

    Vu, entre autres, comme un outrage public à la pudeur, l’homosexualité est punie à travers l’article 224 du code pénal Malien.

    Tenant compte de tous ces éléments, une concertation inclusive intégrant tous les acteurs (religieux, politiques, société civile, professionnels de l’éducation, partenaires, …) doit être organisée pour dissiper tous les malentendus et permettre l’unification et la cohésion des Maliens.

    Tous ensemble, autour de nos valeurs, coutumes, principes et culture, à travers l’éducation créons cette unité autour de nos enfants en évitant les stigmatisations et l’exclusion.

    C’est possible, engageons-nous pour cette unité et pour une école laïque.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER A RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance, Sécurité et Développement durable
    TEL 00223 78 73 14 61

      • Bonsoir,
        Merci Kinguiranke pour votre question.

        Vous pouvez contribuer sur les principes et les valeurs de la laïcité en liaison avec une éducation sexuelle complète.

        Soyez utile aux autres au lieu de critiquer ou poser des questions sans fondement.

        Bien cordialement
        Dr ANASSER A RHISSA
        Expert TIC, Gouvernance, Sécurité et Développement durable
        TEL 00223 78 73 14 61

    • Bonjour,
      Merci Diakité de votre contribution.

      VOUS SOUTENEZ MAHMOUD DICKO, LUI, IL SOUTIENT LE MALI.

      TOUS LES MALIENS DOIVENT TOUS AVANCER ENSEMBLE DANS L’UNITÉ SURTOUT SUR DES SUJETS SENSIBLES COMME L’EDUCATION.

      Une incompréhension était née entre le Ministère de l’éducation nationale du Mali (à travers le projet sur l’éducation sexuelle complète du groupe pivot) et certains religieux au sujet de ce projet contenant un volet sur l’homosexualité : elle est due à la divergence d’interprétation des objectifs de ce projet qui est sensé fournir une éducation à nos enfants en les sensibilisant sur l’éducation sexuelle en n’oubliant pas l’homosexualité qu’il ne défend pas pour les promoteurs de ce projet OU qu’il ne doit pas défendre pour ceux qui pensent que c’est le cas.

      Maintenant, sachant que les lois Maliennes n’autorisent pas l’homosexualité et les pratiques des LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transsexuels), nous devons, donc, NOUS ENTENDRE (A TRAVERS UNE CONCERTATION INCLUSIVE intégrant tous les acteurs dont les religieux, la société civile, les politiques et les professionnels de l’éducation) EN DISSIPANT CES INCOMPRÉHENSIONS sur l’éducation sexuelle que nous donnons ou nous donnerons à nos enfants en tenant compte, entre autres, de nos coutumes, de nos croyances et de notre culture.

      Comme l’a proposé, le 19 décembre 2018, le Premier Ministre, Soumeylou Boubèye MAIGA, lors de la rencontre avec les autorités coutumières et les religieux, une commission mixte intégrant ces acteurs doit être constituée pour ce faire afin de valider ou invalider définitivement ce projet qu’il a pour l’instant suspendu.

      Retrouvons-nous, TOUS/TOUTES ENSEMBLE, autour de cette concertation inclusive pour dissiper tout malentendu.

      Cette fois, communiquons autour de cette concertation inclusive pour éviter ce qui s’était passé.

      Je suis sûr que notre frère Mahmoud Dicko, grand patriote, qui avait répondu favorablement à l’invitation que je lui avais faite ainsi qu’au haut conseil Islamique pour participer à la médiation entre IBK et Soumaïla Cissé, ne sera pas contre une telle concertation inclusive.

      Il m’a même dit qu’il n’a rien contre IBK qu’il est prêt à le rencontrer.

      Il m’avait dit que lui ou le Chérif Ousmane Madani HAIDARA sera à la tête du sous-groupe des musulmans qui fera partie de la délégation qui assurera la médiation entre IBK et Soumaïla Cissé.

      Ce qui s’est réellement passé à travers la participation du Chérif Ousmane Madani HAIDARA et de certains musulmans dans cette médiation.

      Pour l’intérêt général et pour le Mali, Mahmoud Dicko agira positivement.

      C’est sûr qu’il participera à cette concertation inclusive.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, gouvernance et sécurité
      TEL 00223 78 73 14 61

  12. Je pouvais imaginer un seul instant qu’un homme aussi sérieux que le Dr puisse prendre part à ce débat de poubelle que les religieux et les Politiques en mal d’inspirations cherchent à nous imposer. Je mets au défi quiconque peut me trouver un homosexuel par région du Mali. On peut peut-être trouver des centaines à BAMAKO mais nul ne peut amener un homosexuel de chacune des 10 régions administratives du MALI. Je ne vois pas comm l’homosexualité peut devenir aujourd’hui un débat de société au MALI. Le Docteur AG RHISSA ne peut ignorer que ce débat a pour conséquence la préparation des esprits à accepter l’homosexualité. C’est pourquoi les homosexuels eux-mêmes ne manquent aucune occasion de grandes attentions pour ramener le débat sur la table. Ainsi il sont parvenus à banaliser la chose au point de la faire accepter de tous. Aujourd’hui en Occident beaucoup ne voient aucun mal dans l’homosexualité alors que parler de polygamie leur donne envie de vomir. Simplement parce qu’on est parvenu à banaliser le débat sur l’homosexualité.

    Pour ce qui du manuel scolaire, je ne vois pas comment la seule évocation de l’homosexualité peut être considérée comme un programme d’enseignement de l’homosexualité au MALI. Je ne vois pas non plus pourquoi l’État trouve opportun de mettre l’accent sur l’enseignement de la sexualité quand il ne fait presque rien pour plus de 800 écoles qui sont fermées pour cause d’insécurité.

    Que certains religieux bondissent sur l’occasion pour faire comme si le MALI était le pays puritain dans lequel le mot homosexuel ne doit pas être prononcé, je les comprends. Que des politiques en mal élus et en mal de légitimité répondent à cela pour amener sur scène un autre débat que la contestation politique, je les comprends. Qu’un analyste sérieux comme le Dr ANASSER descende dans ce débat de poubelle me laisse sans mots.

    • …..”C’est pourquoi les homosexuels eux-mêmes ne manquent aucune occasion de grandes attentions pour ramener le débat sur la table.” vous voulez dire que c’est des sales homosexuels qui sont à l’origine de ce dossier?

      De toute façon, bientôt nous chasserons ce maudit régime avec des incapables et ses traitres!

      • Bonsoir,
        Merci El Hadjj N de votre message.

        Cette problématique autour de l”éducation sexuelle de nos enfants, même si elle est liée à l’homosexualité, nous interpelle tous/toutes indépendamment des bords politiques.

        Nous devons prendre du recul pour la traiter à travers une concertation inclusive comme expliquée dans cette lettre ouverte.

        Bien cordialement
        Dr ANASSER AG RHISSA
        Expert TIC, Gouvernance et sécurité
        TEL 00223 78 73 14 61

        • Le prédicateur qui se prétend imam de la mosquée Arrahma de Roubaix qui porte des accusations aveugles dont il n’est même pas certains que se soit vrai
          Il bagaye bêtement mots pour mots, des ragots Atlantistes en réemployant même plusieurs fois le même terme “Blockbuster”, signe de sont aliénation à ces “ManipulateurAtlantistes”! Ecœurant !
          Par ce qu’il appel ses preches, entend t-il inciter à provoquer, des attaques, des homicides contre ceux qu’il désignerait comme coupable, (allant même jusqu’a leur demander si ils sont Vietnamiens ou chinois) ressemblant de près ou de loin à un chinois afin de bien les identifiers pour les discriminer afin de formenter et de suciter des agressions ou des attaques portant des atteintes physiques contre les personnes qu’il vise et désigne ?

          Par ce qu’il appel ses preches, veut-il menacer les asiatiques, par ses appels (au meurtre?) ? Et bien moi je considère un peu comme … de l’incitation et de la provocation pas du tout pacifiste dans ces cas là

          Parce qu’il faut que ces religieux sachent qu’il y a eu des antécédents que se sont ces gens de cette religion qui sont les AGRESSEURS et qui ont commencé ces agressions, comme les agresseurs du couturier d’Aubervilliers n’a eu que 2 ans de prison pour un crime! Par cela, la justice française “encourage” ces agresseurs en leur dévlivrant un certains permis de tuer des asiatiques aisément en punissant de peine légère et symboliques sous quelconques excuse (minorité, victimisation ect!)
          Le plus souvent sollicité et incité par des faux reportages et fausses accusations dénigrant et contre ces asiatiques, comme l’a fait Mohamed Sifaoui!
          comme l’en attestent les multiples agressions ou ceux qui repèrent et suivent ces personnes ayant pour un certains trait physique en vue de comettre des harcellements, racketts, intimidations et agressions racistes de ce genre :

          http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/vitry-les-agressions-contre-les-asiatiques-se-multiplient-a-nouveau-16-05-2019-8073537.php

          Comme si ça suffiait pas

          Netflix a sorti un film à la “gloire” de ce ¢rimin€l afin d’encore plus “encourager” à ces meurtres racistes !
          lefigaro.fr/international/2012/12/26/01003-20121226ARTFIG00351-canada-le-depeceur-elu-personnalite-de-l-annee-2012.php

          Avec tout ça, aujourd’hui ils ont (encore) ressorti leur sujet!

    • Bonjour,
      Merci Yugubané de votre réaction.

      De la même façon que vous avez été surpris, je l’ai été aussi car un tel sujet lié à l’éducation sexuelle de nos enfants ne devaient pas et ne doit pas être sous-estimé sachant, qu’en plus, il impacte sérieusement ET profondément sur la société et sur le comportement de certains de ses membres.

      Malgré le tabou et le déficit d’informations fiables qui entourent l’homosexualité, nous devons prendre très au sérieux ce problème qui génère des collisions avec nos croyances, nos mœurs et notre culture.
      C’EST POURQUOI, LA CONTRIBUTION DE NOS INTELLECTUELS EST SOUHAITÉE, DE MÊME QUE CELLE DE TOUS LES ACTEURS.

      Ce débat que vous sous estimez doit être de très haut niveau en faisant participer des intellectuels qui doivent sensibiliser et apporter la lumière sur les zones d’ombre qui méritent des explications en tenant compte de nos lois en particulier de notre constitution.

      A travers un tel sujet, nous devons, expliquer, conscientiser, rapprocher les Maliens les uns aux autres, cultiver le vivre ensemble et la cohésion dont l’école doit être le symbole.

      En tenant compte de nos principes sociaux, culturels, religieux, agissons pour une école unificatrice, sans exclusion, symbole de nos valeurs, de la solidarité, de ce vivre ensemble et de cette cohésion.

      Tout en respectant les droits de l’homme, nous devons expliquer, comme l’a fait le Sénégal, à travers son ministre de la justice, le 03 Novembre 2018 à Génève, devant le groupe de travail d’examen périodique universel du comité des droits de l’homme des nations unies, que nos principes et nos valeurs sont incompatibles avec l’homosexualité, qui ne peut être légalisée ni constitutionnalisée au Mali.

      L’homosexualité n’est pas autorisée par la constitution de 1992 du Mali ni par la proposition 2017 de révision de cette dernière, comme vu dans cette lettre ouverte.

      Vu, entre autres, comme un outrage public à la pudeur, l’homosexualité est punie à travers l’article 224 du code pénal Malien.

      Tenant compte de tous ces éléments, une concertation inclusive intégrant tous les acteurs (religieux, politiques, société civile, professionnels de l’éducation, partenaires, …) doit être organisée pour dissiper tous les malentendus et permettre l’unification et la cohésion des Maliens.

      Tous ensemble, autour de nos valeurs, coutumes, principes et culture, à travers l’éducation créons cette unité autour de nos enfants en évitant les stigmatisations et l’exclusion.

      C’est possible, engageons-nous pour cette unité et pour une école laïque.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER A RHISSA
      Expert TIC, Gouvernance, Sécurité et Développement durable
      TEL 00223 78 73 14 61

  13. mais pourquoi le gouvernement voulais adopter ces genre de projet en discrétion ? est ce que c’est sans savoir que les maliens dans sa grande majorité n’allait pas accepter ? pourquoi quand imam dicko à commencer le gouvernement est sorti nous dire que imam dicko ment ? c’est responsable ça ? eh tout ce que blanc vous apporte vous faites passé sans consulter votre peuple alors que le blanc il consulte son peuple d’abord c’est normal ça ? DIEU aime encore le Mali grâce à lui imam dicko à été informé pendant que les autres dormais ou vaquait à leurs occupations . gloire à DIEU et merci à imam dicko s’il n’avait pas parler ce projet allais comme letre à la poste

    • Bonjour,
      Merci Solobeton de votre contribution.

      C’est vrai qu’une incompréhension était née entre le Ministère de l’éducation nationale du Mali (à travers le projet sur l’éducation sexuelle complète du groupe pivot) et certains religieux au sujet de ce projet contenant un volet sur l’homosexualité : elle est due à la divergence d’interprétation des objectifs de ce projet qui est sensé fournir une éducation à nos enfants en les sensibilisant sur l’éducation sexuelle en n’oubliant pas l’homosexualité qu’il ne défend pas pour les promoteurs de ce projet OU qu’il ne doit pas défendre pour ceux qui pensent que c’est le cas.

      Maintenant, sachant que les lois Maliennes n’autorisent pas l’homosexualité et les pratiques des LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transsexuels), nous devons, donc, NOUS ENTENDRE (A TRAVERS UNE CONCERTATION INCLUSIVE intégrant tous les acteurs dont les religieux, la société civile, les politiques et les professionnels de l’éducation) EN DISSIPANT CES INCOMPRÉHENSIONS sur l’éducation sexuelle que nous donnons ou nous donnerons à nos enfants en tenant compte, entre autres, de nos coutumes, de nos croyances et de notre culture.

      Comme l’a proposé, le 19 décembre 2018, le Premier Ministre, Soumeylou Boubèye MAIGA, lors de la rencontre avec les autorités coutumières et les religieux, une commission mixte intégrant ces acteurs doit être constituée pour ce faire afin de valider ou invalider définitivement ce projet qu’il a pour l’instant suspendu.

      Retrouvons-nous, TOUS/TOUTES ENSEMBLE, autour de cette concertation inclusive pour dissiper tout malentendu.

      Cette fois, communiquons autour de cette concertation inclusive pour éviter ce qui s’était passé.

      Je suis sûr que notre frère Mahmoud Dicko, grand patriote, qui avait répondu favorablement à l’invitation que je lui avais faite ainsi qu’au haut conseil Islamique pour participer à la médiation entre IBK et Soumaïla Cissé, ne sera pas contre une telle concertation inclusive.

      Il m’a même dit qu’il n’a rien contre IBK qu’il est prêt à le rencontrer.

      Il m’avait dit que lui ou le Chérif Ousmane Madani HAIDARA sera à la tête du sous-groupe des musulmans qui fera partie de la délégation qui assurera la médiation entre IBK et Soumaïla Cissé.

      Ce qui s’est réellement passé.

      Pour l’intérêt général et pour le Mali, Mahmoud Dicko agira positivement.

      C’est sûr qu’il participera à cette cooncertation inclusive.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, gouvernance et sécurité
      TEL 00223 78 73 14 61

  14. Encore une opportunite d’amuser la galerie, est-ce qu’au Mali ou le citoyen lamda ne parvient a avoir ses 3 repas par jour ou les Cheminots sont en greve de faim et les travailleurs de l’UNTM de meme, c’est le Manuel l’enseignement de la sexualite et de l’ homosexualite notre probleme? Vraiment! Dans un pays tres divise faisant face a une guerre sans pitie des Jihadistes et des rebelles du MNLA, un pays avec un president illegitime IBK, une assemblee nationale illegitime, une cour constitutionnelle illegitime et une cour suppreme illegitime, n’a rien a se preoccuper que de la sexualite et de l’homosexualite? Ou sont nos priorites? Ou sont nos preoccupations? Honte a tous, a commencer par Boua IBK et son Ministre de l’Education Nationale. Je ne me reconnais plus dans le Malien d’aujourd’hui, dommage?

    • Bonjour,
      Merci Kinguiranke pour votre message.

      Compte-tenu du contexte Malien, même s’il peut y avoir des sujets plus prioritaires que celui qu’on traite, un tel sujet lié à l’éducation sexuelle de nos enfants ne devaient pas et ne doit pas être sous-estimé ni traité à la légère sachant, qu’en plus, il impacte sérieusement ET profondément sur la société et sur le comportement de certains de ses membres.

      Malgré le tabou et le déficit d’informations fiables qui entourent l’homosexualité, nous devons, sans en avoir honte, contrairement à ce que vous dites, frère Kinguiranke, prendre très au sérieux et parmi les problèmes prioritaires (même s’il y a une hiérarchie dans les priorités), ce sujet qui génère des collisions avec nos croyances, nos mœurs et notre culture.

      Si comme certains, tu ne te reconnais pas dans le Mali d’aujourd’hui, fais/faites des propositions de sortie de crises et créer une dynamique pour leur prise en compte.

      POUR LE MALI, FAITES CES PROPOSITIONS AU LIEU DE RESTER AVEC CETTE GRANDE DÉCEPTION QUI VOUS RONGE.

      N’attendez pas les autres, proposez.

      POUR LE MALI, MÊME SI VOUS NE LES RECONNAISSEZ PAS, IBK, SON GOUVERNEMENT ET SON MINISTRE DE L’EDUCATION NATIONALE SERONT, PROBABLEMENT, HEUREUX DE VOTRE PARTICIPATION A TRAVERS CES PROPOSITIONS.

      Prenez de la hauteur, pour l’intérêt général, contribuez à l’apaisement général et à la recherche des solutions pour nos enfants.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      Expert TIC, gouvernance et sécurité
      TEL 00223 78 73 14 61

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