Le grand mal du Mali actuel c’est son Président : Le Vieux a atteint ses limites

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Maladresses politiques surmultipliées, récupération politicienne des chantiers structurants entamés bien avant Mars 2012,   pilotage à vue chaotique,  valse-hésitations ridicules et tâtonnements répétitifs  dans le choix des hommes, série hollywoodienne des scandales politico-financiers à mauvais enchaînements, déception généralisante des populations de plus en plus paupérisées, timide relance économique,  extravagance démonstrative de luxe insolent et étalage ostensible des signes extérieurs des nouvelles richesses cupidement amassées par des courtisans et mentors de “Ma Famille D’Abord” où l’on jubile les 5V : virements,  voitures, villas, vergers, voyages  : voilà les principales identités remarquables de la gestion désastreuse des affaires publiques au Mali depuis septembre 2013. Presqu’au milieu de son mandat quinquennal, le Président IBK étale toutes ses limites dans sa mal gouvernance. Il est sur la voie d’un échec lamentable. Le Président plébiscité règne  spectaculairement, mais ne gouverne pas  efficacement.

Impopulaire ! Impolitique ! Imprécis !  Immobile !  Immodeste !  Imprudent ! Impulsif ! Impitoyable ! Insensible ! Inattentif ! Indifférent ! Intolérant ! Inactuel ! Incohérent ! Instable !  Incapable ! Inefficace !  Incertain ! Indécis ! Inaccessible ! Infidèle ! Ingrat ! Insatisfaisant !  Inintelligent ! Inconséquent ! Infortuné ! Inquiétant ! et Incompétent !

Voilà alignés 28 épithètes triés sur le volet pour qualifier les 28 mois de gouvernance désastreuse du Mali d’aujourd’hui. Dans l’absolu, il en faut d’autres adjectifs avec les préfixes privatifs “im…” et “in…” pour bien caractériser les presque deux années et demie (moitié du mandat quinquennal) de la très mauvaise gestion des affaires publiques par le Président IBK, hissé au sommet de l’Etat en septembre 2013 suite à une élection présidentielle qui a quasiment tournée en un plébiscite (victoire avec plus de 77 pour cent de suffrages exprimés). Mais, cet élément ou soutien populaire vire progressivement en grogne générale, en désillusion massive, en déception patriotique et en récriminations citoyennes tant l’homme politicien choisi hier par voie démocratique est aujourd’hui un homme d’Etat décrié par les masses laborieuses, désapprouvé par ses compatriotes désabusés et dénoncé par ses concitoyens déçus.

Édifiée par la preuve des épreuves subies, la majorité naguère silencieuse parmi les populations traumatisées commence maintenant à pousser des cris d’orfraie à cause des coups de Jarnac à elle assénés par des mauvais tenants du pouvoir d’Etat à l’amateurisme éprouvé. Pour beaucoup de nos compatriotes, le plus grand mal du Mali actuel est sans nul doute son Chef de l’Etat. Et, pour dénoncer les principaux maux dont ils souffrent  de la piètre gouvernance du Président IBK, ces Maliens stoïques font recours aux mots tels que : désillusion, déception, désespoir, désappointement, découragement, démoralisation, démotivation, démobilisation, désenchantement, etc.

S’y ajoutent des expressions courantes pertinentes et très instructives : dérive autocratique, délitement des piliers de la gestion des affaires publiques, dénaturation des principes de la continuité de l’Etat, dévalorisation des vertus républicaines, dépréciation des acquis démocratiques, dépravation des mœurs sociopolitiques, délaissement des références de la bonne gouvernance  et détournements des deniers publics. Le tout soutenu par une complainte partagée : “hier vaut mieux qu’aujourd’hui !”.

Malgré tout, il  ne reste plus au grand nombre des Maliennes et des Maliens choqués qu’à se décider volontairement, à se mobiliser massivement pour sonner la charge de désapprobation populaire. En usant convenablement les moyens légaux adéquats. Et en utilisant rationnellement des méthodes démocratiques appropriées. “Vox populi, Vox dei”, (la voix du peuple, c’est la voix du dieu), les Anciens dixit.

La mère-patrie en danger

Au fil des jours, que de cris de douleur ! Que de motifs d’indignation! Que d’actes du déshonneur! La mère-patrie est en danger. Pour démontrer un tout petit peu que le Mali d’aujourd’hui est en de mauvaises mains, revisitons utilement deux écrits libérateurs, réflexions pertinentes de deux observateurs avertis.

Passons d’abord la plume corrosive à l’écrivain prolifique Doumbi-Fakoly dans son récent ouvrage  « Le Mali sous Ibrahim Boubacar Keita, après erreur sur la personne y-a-t-il quelqu’un pour sauver le Mali ? ». Publié aux éditions MENAIBUC (France), ce livre “est un véritable pamphlet sur les deux premières années de la gouvernance du Président IBK à la tête du Mali”, écrit un analyste de la scène publique qui a certainement parcouru l’ouvrage en question. Dès l’introduction, l’auteur étale sa déception : « Le souvenir de l’ancien Premier Ministre d’AOK, souvenir élogieux qui le présentait comme un homme de poigne, un homme de principe, un homme droit comme un sentier sans détour, un homme de parole, l’a fait considérer par ses électeurs comme le moindre mal parmi ses compétiteurs. Mais déjà, avant même la fin de sa première année au pouvoir, tout le Mali, …, sait qu’il y a eu erreur sur la personne ».

Doumby-Fakoly indique aussi que le Président “IBK, n’est pas l’homme de la situation », car, “Mois après mois, celle-ci (la gestion des affaires du pays) est ternie par les compromis et compromissions, certes connues du pays depuis AOK, mais qui ont atteint un niveau surdimensionné”. Pire, “La corruption a pris le large. Les discours officiels s’adossent sur le mensonge et la dissimulation. L’imposture, les faux semblants et les coups fourrés sont ouvertement souveraineticides”. Quel néologisme !

A cause de ses tares,  l’auteur voit en “IBK, une épine qui fait mal à l’honneur du Mali”.  Sa gouvernance est marquée  par “des malversations en cascades sur fond d’imposture” à travers des scandales qui ont secoué la République sous IBK : Le nouvel avion présidentiel, les survêtements sportifs et les tenues de parade pour une armé en guerre, les rapports du vérificateurs classés sans suite, l’importation de 40 000 tonnes d’engrais frelatés, la distribution opaque de 1552 logements sociaux, l’affaire des 1000 tracteurs et un nouveau scandale annoncé sur les engrais. Bien noté.

Remettons ensuite l’écritoire de récusation  à L’Inconnu Connu s’appelant Maliden, le chroniqueur de Mardi du célèbre quotidien privé Les Echos. Il observe le Mali dans un état de “Burn out”. Il s’explique et s’en explique  : “Le burn out, considéré comme un épuisement professionnel, est avant tout un terme générique désignant un état de fatigue émotionnel, mental et physique caractérisé par un manque de motivation et de performance après des mois, voire des années de surmenage, de surenchère […] Lorsqu’on observe le Mali ces dernières années, on a réellement  la sensation qu’il se trouve dans un état quasi-chronique de burn out. Là où il y  a besoin urgent d’appuyer sur l’accélérateur, c’est la pédale de frein qui est plus utilisée. […] A force de se hâter lentement, ne soyons pas surpris de voir les autres avancer sans nous. Car, burn out ou pas le développement ne se décrète pas, il n’est que le fruit d’un travail bien conçu et bien fait.”   (Les Echos quotidien N°4574 du 5 janvier 2016, P.5.)

Pour conforter ces deux avis bien argumentés,  il n’est pas exagéré d’affirmer ici que la situation d’ensemble du Mali d’aujourd’hui n’est point reluisante : timide relance économique ; vie très chère dans les villes, centres urbains et périurbains ; survie très angoissante dans les campagnes et agglomérations rurales; instabilité gouvernementale ; administration publique brouillonne ;  insécurité ambiante généralisée  et grandissante ;  succession ininterrompue des scandales politico-financiers digne d’une série hollywoodienne  ; corruption galopante impunie ; népotisme anachronique dans les nominations aux hautes fonctions administratives ; favoritisme persistant (cas des logements sociaux -destinés aux pauvres revenus) honteusement attribués à des très proches  du PM) ;  grèves multiples sur plusieurs fronts socioprofessionnels ; confusion laxiste dans les relations État-leaders spirituels musulmans et, sans épuiser la liste, discrédit diplomatique retentissant. Le tout emballé dans une soporifique communication étatique cacophonique, amplifiée par des discours présidentiels monotones et inaudibles, au propre comme au figuré.

Pendant que les pauvres hères ploient sous le fardeau quotidien de la vie chère, les courtisans de “Ma Famille D’Abord” et leurs mentors font étalage de luxe insolent ou exhibent ostensiblement des signes extérieurs de nouvelles richesses cupidement amassées. Et vive les 5V : virements,  voitures, villas, vergers, voyages. Comme pour narguer les populations majoritairement désargentées, arrivant péniblement à satisfaire leurs besoins vitaux, les mauvais dirigeants étatiques excellent dans les ISMES de mauvais aloi : amateurisme, immobilisme, clanisme, néo-paternalisme, favoritisme, népotisme, laxisme, populisme, sensationnalisme, narcissisme, etc. Ce sont là  quelques-unes des facettes du système d’identification visuelle d’un leadership dépassé par les événements ne s’appuyant abusivement que sur une surexposition télévisuelle dégoûtante.

La déplorable situation d’ensemble du Mali d’aujourd’hui s’est révélée, ces deux dernières semaines, à travers deux événements nationalement décevants et internationalement honteux : le récent réaménagement gouvernemental et la sanction onusienne qui suspend le droit de vote du Mali suite au non-paiement de ses cotisations d’Etat membre.

Remaniement ministériel décevant

Après plusieurs jours de supputations médiatiques relayant des fuites officieuses, le Chef de l’Etat et son Chef du Gouvernement ont opéré, le 15 janvier,  un remaniement ministériel qui s’est avéré de déception nationale. Peu de commentaires de notre part sur cette autre maladresse politique. Nous faisons miennes, sans part pris, les observations, remarques, critiques (voir autocritique d’un Parti de la Majorité présidentielle) formulées par les partis de l’opposition démocratique et républicaine (URD, PARENA).

Au compte de l’URD, parti dirigé par l’Honorable Soumaïla Cissé, chef de file de l’Opposition, son Secrétaire à la Communication, Me Demba Traoré signe : “[…] L’URD constate que les espoirs suscités par l’annonce du remaniement ont été une fois de plus déçus dans la mesure où le changement en profondeur tant attendu et annoncé a laissé place à un simple réaménagement. Loin de répondre aux aspirations légitimes du Peuple malien, ce réaménagement a consisté à augmenter inopportunément le nombre des départements ministériels […]”. L’ancien ministre ajoute :  “L’URD reconnaît avec humilité que le Président de la République a fini une fois de plus par donner raison à l’opposition en limogeant des membres du Gouvernement cités dans les affaires de mal gouvernance et de mauvaise gestion de ces derniers mois. L’URD espère que la justice aura les mains libres pour situer  les responsabilités afin de laver l’honneur du Mali et restaurer la confiance auprès de nos partenaires”.

En outre, “L’URD déplore une fois de plus la marginalisation des femmes et la violation de l’article 1er de la loi n°052 du 18 décembre 2015 portant mesures de promotion du genre dans les fonctions nominatives et électives, qui précise : “à l’occasion des nominations dans les institutions de la république ou dans les différentes catégories des services publics au Mali, par décret, arrêté ou décision, la proportion des personnes de l’un ou de l’autre sexe ne peut pas être inférieure à 30%”. Les femmes ne sont que 6 (18,75%) sur un effectif pléthorique de 32 membres ayant enregistré l’arrivée de 4 nouvelles personnalités et 3 départs”.

Me Demba Traore persiste et signe : “L’URD  rappelle que face à la situation catastrophique du pays, le Gouvernement doit s’atteler sans délai à redonner espoir au Peuple malien en engageant le véritable combat tant attendu : contre l’insécurité, contre l’impunité, contre la corruption, contre la mal gouvernance, contre le favoritisme dans l’administration d’Etat,  contre la discrimination dans l’accès aux médias d’Etat Et aussi contre la marginalisation des femmes. L’URD continuera à être vigilant et critique dans le respect des lois républicaines.”

(Cf. Me Demba TRAORÉ : Communiqué de l’URD sur le Décret n°2016-0022 / P-RM du 15 janvier 2016 portant nomination des membres du Gouvernement le17 janvier 2016).

Trois PM et six Gouvernements en 28 mois

Pour sa part de critiques constructives, le Comité  Directoire du PARENA a rendu public un communiqué dense dans lequel il observe : “Troisième chef de gouvernement du Président Ibrahim Boubacar Keïta en 16 mois d’exercice du pouvoir, le Premier ministre Modibo Keita, nommé le 9 janvier 2015, a formé le 15 janvier dernier son 3ème gouvernement en 12 mois! Avec trois Premiers ministres et six gouvernements en 28 mois, le Mali sous IBK bat tous les records de l’instabilité gouvernementale. Les tâtonnements et les improvisations sont parmi les caractéristiques principales de la gouvernance instaurée par le Président depuis son accession au pouvoir le 4 septembre 2013 […]”.

La direction du Parti du Bélier blanc indique également que “Le remaniement du 15 janvier ne résout en rien les graves questions auxquelles le pays est confronté et qui ont pour noms: insécurité grandissante, enlisement du processus de paix, mauvaise gouvernance, crise du foncier, chômage des jeunes, démobilisation, désespoir et lassitude du peuple. Les Maliens se posent des questions et s’aperçoivent peu à peu que le remaniement ministériel du 15 janvier n’est qu’un règlement de comptes sur fond d’histoires d’argent de la corruption et de pots de vins arrosant des pans entiers des cercles du pouvoir. Pendant que le peuple attend les suites des enquêtes sur les scandales de l’engrais frelaté, des 1000 tracteurs du Président, bien d’autres histoires d’argent sale inondent à nouveau la scène publique”.

Le Parti de  Tiébilé Dramé ne s’arrête pas en si bon chemin de dénonciations. Il martèle que “ce remaniement conforte la mainmise de la famille du Président sur l’appareil d’État. Depuis deux ans, le PARENA dénonce régulièrement l’accaparement de l’État par la famille du Président. Depuis deux ans, nous appelons à desserrer l’étau de la famille sur l’État. Le 19 janvier, lors du premier conseil des ministres du 3ème gouvernement Modibo Keita, le président de la République a encouragé ses ministres à résister à sa famille comme s’il était, lui-même, impuissant à tenir les siens à l’écart de l’État et à contenir leurs assauts et leurs trafics d’influence. Le président IBK a instauré une gouvernance patrimoniale, chaotique, sans ambition pour le Mali et sans compassion pour son peuple. […]”

Pire, regrette le PARENA, “Cette gouvernance a plongé le pays dans une grave impasse et dans une crise politique qui s’aggrave chaque jour. La solution de cette crise ne réside pas dans les replâtrages sans fin de gouvernements, dans les promotions et récompenses de membres de la famille et d’alliés politiques. Elle réside dans un changement radical de cap et la rupture avec la mauvaise gouvernance. Sans bonne gouvernance, il n’y a pas d’État viable. Sans bonne gouvernance, il n’y a pas d’État capable de combattre le terrorisme. Sans bonne gouvernance, il n’est pas possible de reconstruire l’armée et les services de sécurité. Sans bonne gouvernance, il n’est pas possible d’appliquer l’Accord d’Alger et faire face aux nombreux dangers qui menacent notre pays. Le PARENA invite le président de la République et le Gouvernement à avoir pitié du peuple malien en mettant fin à la République des affaires, aux scandales et aux atteintes quotidiennes à la morale publique. ” Bien dit. (cf. Communiqué sur le Troisième gouvernement Modibo Keita. Adopté par le Comité Directeur du PARENA lors de sa réunion hebdomadaire du lundi 25 janvier 2016).

L’opposition, réellement plus médiatique que territorialement implantée, n’a pas, loin s’en faut, l’apanage de remontrances républicaines. Au sein de la très enflée Majorité présidentielle, le parti  ADP a courageusement livré un message intéressant : “[… ] L’ADP-Maliba invite les membres de ce Gouvernement à s’atteler sans délai à la tâche pour répondre aux nombreux défis sur le chemin de la paix et de la prospérité du Mali. Il s’agit notamment de l’insécurité grandissante, des difficultés dans la mise en œuvre de l’Accord de paix, de la situation économique difficile qui en découle et son corollaire de chômage et de précarité pour nombres de jeunes et de femmes. Enfin, il s’agit, également, de la corruption et de la délinquance financière, fléaux dont l’éradication ne se fera qu’à travers une réforme en profondeur de la Justice et de l’administration publique. L’ADP-Maliba continuera à jouer pleinement son rôle de force de proposition et à porter la voix de ceux de cette majorité présidentielle qui n’hésitent pas à faire preuve de franchise dans l’intérêt supérieur du Mali et de son Peuple”. Comprendra qui le voudra. (cf. COMMUNIQUE DE PRESSE DE ADP-MALIBA SUITE A LA FORMATION DU GOUVERNEMENT MODIBO KEITA, Bamako, le 17 janvier 2016. Signé Le Comité Exécutif, Le Président L’Honorable Amadou Thiam).

Coup de massue de l’ONU

Le second et récent événement honteux pour le Mali est l’implacable décision des Nations Unies suspendant le droit de vote de notre pays à l’Assemblée Générale de l’ONU, la plus grande tribune mondiale et le plus symbolique auditoire universel. Le Mali est lourdement frappé et justement sanctionné à cause de non-paiement de ses cotisations ces deux dernières années, c’est à dire que depuis qu’est aux affaires (voire dans les Affaire) le Président IBK,  diplômé sorbonnard en Histoire des Relations Internationales. Le coup de massue onusien a obligé le Premier ministre Modibo Keita, pourtant très avare en interviewes sollicitées, à se confier à l’ORTM, l’audiovisuel public. Le Chef du Gouvernement (réputé comme l’un des meilleurs locuteurs du français facile bien parlé) a su vider son sac d’indignation mesurée. Pour une Nation dont le Premier Citoyen a verbalement “l’honneur et la dignité” à fleur de …. bouche, cette sanction de l’ONU, un véritable scandale diplomatique sur fond de  “laxisme” administratif,  est bel et bien une “situation injustifiable pour notre pays”. En  le disant le PM a humblement présenté des excuses sincères au peuple malien. Il a assuré ce Peuple (encore et une fois de plus humilié par la faute de ses dirigeants maladroits) que tous les enseignements seront tirés de cette nouvelle ‘´Affaire” du Mali sous IBK. Attendons donc de voir la suite.

D’ores et déjà, à presque mi – parcours poussif de son quinquennat mal entamé, le Président IBK règne spectaculairement mais ne gouverne pas efficacement. Il a atteint ses limites et toutes ses limites (comme l’avait dit, il y a 26 ans, mon homonyme – sans aucun lien de parenté – à propos du régime chancelant de l’UDPM du GMT). En toutes circonstances et devant n’importe quel interlocuteur, le Président IBK prononce des propos comminatoires sans lendemain. D’où son seul et unique point fort faiblement noté par les observateurs : des menaces éculées, répétitives, verbales et gestuelles. Présentement, le Mali va mal. Le Grand Mali va très  bien mal à cause de l’incurie notoire et de l’incompétence avérée de ses dirigeants hésitants, menant de maladroites politiques hasardeuses à la petite semaine. Puisque ces impopulaires gouvernants ne cessent de faire montre de leur incapacité criarde dans une mal gouvernance  régressive, ils vont certainement faire passer le Mali de mal en pis. Plongeant vertigineusement notre Beau Pays dans une incertitude grandissante.

Si l’on y prend garde, le chaos n’est pas loin des bords du majestueux  Djoliba sur lequel tangue dangereusement le bateau-Mali commandé par des ivresses multiformes. Causant un pilotage à vue avec des incantations programmatiques rébarbatives. Le Châtelain de Sébénicoro est engagé sur la voie d’un échec lamentable. Grand  dommage national en vue !  Que Dieu sauve notre Grand Mali malmené !

Dr Djibril Kaou Diallo dit Barbu

Politologue et Polémologue à ZERNI-Kalabambougou  (Bamako)

E-mail : Djibdachiba66@yahoo.fr

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94 COMMENTAIRES

  1. Le président IBK est un homme de parole, il a dit et il le fera. IBK est un président qui se soucis e énormément de la jeunesse, tout récemment l’INPS vient de de recruter 2000 jeunes, et l’EDEM a recruté une centaine de jeunes sans compter ne nombre des recrutés à la police, à la gendarmerie, a la garde nationale, à la protection des eaux et forêts, la protection civile.

  2. Monsieur le journaliste, je ne suis pas d’accord avec vous car, ces différentes attaques survenues ne sont pas l’œuvre des terroristes, mais des individus mal intentionnés, qui cherchent à rendre la situation plus difficile.
    Le gouvernement Malien fait tous ceux qui sont à leurs pouvoirs pour renforcer la sécurité et la défense de l’Etat.

  3. La population Malienne sait réellement qu’IBK est l’homme de la situation, un homme de parole un vrai patriote, un reflet de la paix et de bonheur.
    Depuis son arrivé au pouvoir, l’économie du Mali est en train d’accéléré a haut niveau.

  4. Comme il a dit toujours que « LE MALI D4ABORD, LE BONHEUR DE MALIENS », avant son arrivé au pouvoir, le Mali était sur le point de faiblesse, le Mali était dans une situation plus pire due au régime précédent, c’est-à-dire sous ATT le pays vivait dans une situation plus difficile, mais avec l’arrivé d’IBK, le pays marche maintenant à deux pieds sur tous les plans.

  5. La signature de ces accords permet le développement de toutes les activités que le Mali entreprendra. C’est une nouvelle démarche que la Mali va enfin vivre infiniment.

  6. L’accord vise à instaurer une paix durable dans le nord du Mali, qui a connu une série de rébellions touareg depuis les premières années d’indépendance du pays, en 1960. En 2012, cette vaste région a été transformée en sanctuaire et en base d’opérations jihadiste, jusqu’au lancement par la France de l’opération Serval en janvier 2013.Enfin on est à nouveau réconcilié.

  7. Cet accord qui a été signé aujourd’hui renforce la capacité et garanti l’unité nationale. Le peuple Malien a n’est vraiment conscient, car on est au début de la fin de crise.

  8. Rappelons aussi qu’avant l’arrivée d’IBK au pouvoir, plusieurs accords ont été signés, les résultats sont nuls, ces accords n’ont pas été appliqués convenablement, contrairement à qui a celui d’IBK qui a été le meilleur. On demande à la CMA de garder le calme pour le bonheur de tous.

  9. La population Malienne est consciente pour tout acte faite par le président de la république et son gouvernement.
    Alors monsieur le journaliste, je suis complètement d’accord avec vous car tous ceux que vous disent sont vrai et fondés sur la réalité. IBK est un homme de parole digne et responsable car toutes les promesses qu’il a tenues avant d’arriver au pouvoir ont été mises en épreuves.
    ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗

  10. Il faut que les différentes forces qui se trouvent au nord du Mali, se donnent la main pour renforcer la paix et la sécurité de l’Etat. Comme dit un célèbre adage que « l’union fait la force ».
    On leurs demandent d’arrêter des affrontements inutiles, il faut que chacun joue pleinement leurs rôles et faire de toute en sorte que le pays puisse avoir la paix et sécurité.

  11. Pour ma part, je pense que le défi de la paix et de la réconciliation nationale n’est pas la seule affaire du président de la république. A quoi serviraient les efforts du président en faveur de la paix et la réconciliation si nous populations sommes pas préparées à celles-ci ? Donc à mon avis, ce challenge est l’affaire de tous.

  12. Contrairement à d’autres opinions avancées concernant la gestion du président durant les deux ans , je pense qu’il est satisfaisant. Certes, beaucoup d’efforts ont été consenti pour le retour de la paix et de la sécurité, mais de nombreux défis nous attendent notamment l’application intégrale de l’accord d’Alger. Et, j’ai foi car les parties signataires ont toujours montré leur bonne volonté pour son application.

  13. Le président IBK a fait confiance au premier ministre Modibo Kéïta et nous savons très bien que c’est en connaissance de causes.
    Nous savons aussi que cet homme et son gouvernement sont capables des relever tous le défis qui les attendent.

  14. Je pense que la population en a bien conscience que nous revenons d’une crise militaro-politique qui a fragilisé le pays. Donc, les choses peuvent pas aller comme sur des roulettes. Il faut faire confiance au président IBK et son gouvernement. Ils ont conscience de l’immensité des défis qui les attendent. Par conséquent, ils ont besoin de nos soutiens pour sortir le pays dans sa léthargie.

  15. Dans tous les cas nous savons que les opposants véreux ne cesseront jamais de critiquer la politique du président IBK et de sont Premier Ministre.
    Mais les maliens qui ont un peu de bon sens savent que c’est une équipe qui fera tout pour donner une meilleure vie aux maliens.

  16. Le président IBK a et sont chef de gouvernement ont procédé à un réaménagement au sein du gouvernement.
    Ils ont choisi de renouveler leur confiance en certaines personnes et ont aussi choisi de se séparer d’autres.
    Je pense que ces choix sont judicieux pour le développement de notre pays et je vois pas pourquoi certains journalistes veulent créer autour de ces choix.

  17. L’Etat sous l’impulsion du président est à pieds d’oeuvre malgré la crise que nous traversons, à remettre le pays sur les rails. D’ailleurs, le président a été élu pour un mandat de cinq et c’est au bout de celui-ci que les uns et les autres pourront donner un bilan de cette gestion. Pour l’heure, le président mène bien la mission qui lui est assigné.

  18. Je pense que pour la question sécuritaire, le président a été toujours soucieux de la sécurité des personnes et de leurs biens. Et à cela, il a promis d’équiper les forces armées. L’adoption de la loi de programmation militaire en est une preuve de cette volonté à doter nos forces de moyens efficaces contre le terrorisme. Pour joindre l’acte à la parole, il leur a offert des véhicules tout terrain en vue de renforcer leur mobilité sur le théâtre des opérations.

  19. L’heure n’est pas aux critiques stériles mais au travail. Je pense qu’il faut accompagner le président dans sa mission celle de nous ramener la paix et la cohésion sociale. Chose qu’il s’attelle à faire.

  20. Le véritable problème du Mali est un problème de mentalité et cela ne fait que s’accroitre.
    Mais les maliens doivent savoir que le seul souci du président IBK est le bien être de ses concitoyens et il prendra toutes les mesures nécessaires pour cela.
    Ses détracteurs peuvent continuer de vociférer mais lui il travaille…

  21. C’est vraiment regrettable que pour négligence l’honneur de notre pays soit bafoué. Certes nous avons des difficultés mais nous ne manquons pas de 200.000 pour nous acquitter de cette cotisation à l’ONU qui au final ne nous sert à rien. Il faut que le ou les responsables puissent payer pour cet acte qui n’honore pas notre pays.

  22. ” Le Vieux a atteint ses limites ”
    C’est grotesque ça ! ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗
    Le président a été élu démocratiquement par le peuple Malien. C’est à ce peuple de décider de son sort et ce en 2018. Pour l’heure, il est là pour servir sa nation et on se doit de l’accompagner dans sa cette mission.

  23. Pour ma part, il faut que nous comprenions que le président a hérité d’un pays presqu’au bout du gouffre à cause de la crise que nous avions connue. Ce fait n’est pas à exclure, mais tant bien que mal, il a su tirer son épingle de jeu. J’appelle mes concitoyens à croire au président et l’accompagner dans toutes ses entreprises en faveur de la paix et de la réconciliation de toutes les filles et fils de cette nation. Le faisant, c’est le MALI qui gagnerait.

  24. ” Le grand mal du Mali actuel c’est son Président : Le Vieux a atteint ses limites ”
    Je pense que les vrais ennemis de ce pays sont les journalistes. Pendant que le président met les bouchés doubles pour nous sortir de cette crise, ces journalistes incitent la population à une révolte. C’est dommage !
    Parce que si un tel titre ne voudrait pas inciter à la révolte, je ne vois ce qu’il pouvait signifier ? ❓ ❓

  25. Notre pays a accumulé des difficultés de tous ordres pendant plusieurs années mais des personnes à l’expérience et à la sagesse reconnue de tous comme le président IBK et le premier ministre Modibo sont les mieux indiquées pour pour nous sortir de cette situation. Il sont sur la bonne voie. Nous devons être patient et attendre qu’ils finissent le travail qu’ils ont commencé. 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄

  26. A mon avis, le Mali revient d’une crise militaro-politique qui a fragilisé le tissu social. Pour recoudre ce tissu social, il faut de la part de tout un chacun une volonté ferme car on ne peut avoir la paix et la réconciliation que si nous nous donnions les moyens pour y parvenir. Et cela réside dans note état d’esprit et l’acceptation de l’autre tel qu’il est sans distinction de race et d’ethnie.

  27. « Nous avons l’ambition d’offrir de l’emploi aux jeunes » dixit le président IBK lors de la célébration de la journée nationale de l’industrie.
    En plus des 14 116 emplois du 1er janvier au 31 juillet 2015, 71 652 emplois durables ont été générés par les activités économiques sur l’étendue du territoire national, soit 36% de la promesse du Président de la République. Et du 1er juillet au 30 septembre 2015; 5795 emplois dont 3684 sont des contrats à durée déterminée et 2111 à durée indéterminée.
    Ces chiffres démontrent que la volonté est là il faut donc croire en IBK.

  28. Je crois que les prérogatives pour qu’un pays puisse se développer sont d’abord la paix et la stabilité politique et je crois que nos autorités en sont conscientes et feront tout pour mettre en œuvre l’accord de paix pour que le pays soit réunifié, sécurisé dans son ensemble afin que le développement réel puisse être amorcé.
    Cependant, je dirai que des avancées ont été notées malgré tous les problèmes que le pays à connu.

  29. IBK et son gouvernement ont créé des emplois pour diminué le taux du chômage, commandé des matériels de combat pour nos forces armées. IBK a beaucoup fait pour le Mali durant ces 2ans, grâce à lui que l’énorme dette intérieure a été totalement apurée. Le taux de croissance est l’un des plus rayonnants de l’espace communautaire. Il était à 7, 2% en 2014.
    Et on dit toujours qu’il ne fait rien. A te sabali té sah!

  30. Je constate qu’il y de moins en moins de gens qui sont dotés d’objectivité dans ce pays. Même si toutes les promesses du gouvernement n’ont pas encore été tenues du fait des certaines réalités qu’aucun malien n’est censé ignoré. C’est pourquoi je salue personnellement les progrès du président et de son équipe.

  31. Les Maliens devraient se donner la main pour bâtir ensemble le Mali.
    Comme dit un célèbre adage que l’union fait la force.
    Compte tenu de la devise du Mali, un peuple, un but ; une foi, les Maliens sont tous les mêmes alors donnons-nous la main pour renforcer cette devise et faire renaître le pays qui a trop souffert.
    Vive le développement, Vive le peuple malien; Vive le président IBK

  32. Je pense que tout n’est pas encore perdu car le président de la république est un homme de vision et il sait ce que le peuple attends de lui. Nous devons donc le soutenir en cette nouvelle année et je pense que nous ne serions pas déçu car malgré la crise qu’a connu le pays avant son accession au pouvoir et à laquelle des solutions sont en train d’être trouvées; il y a eu quelques avancées dans plusieurs domaines et cela va se poursuivre.

  33. Que le président IBK ait eu 3 premiers ministres depuis sa prise du pouvoir ne soit pas interpréter dans le mauvais sens car une institution qui veut atteindre des objectifs doit toujours adapter ses hommes à mesure de la tâche souhaitée. Le plus important c’est que notre pays puisse profiter des actions de ces personnes pour aller de l’avant!

  34. Nous ne devons pas être un pays où le désordre règne. Nous avons connu un coup d’état en 2012 aux nombreuses conséquences que nul n’est censé ignorer.
    Nous devons laisser les gens aller au bout de leur travail, faire un bilan et nous déciderons de la démarche à suivre mais pour le moment nous devons accompagner le président de la république et le nouveau gouvernement afin qu’ils puissent sortir de cette situation de crise et nous ramener la paix.

  35. Payer son droit pour ne rien dire. Alors que chaque jour je vois mes parents tuer sous mes yeux. Quelle est la mission de l’ONU?
    C’est pour le profit des cinq puissances mondiales donc qu’elles paient ces droits afin de continuer à prendre les décisions qui les arrangent.

  36. A ma connaissance le Mali n’est pas le premier pays dans le non paiement de cette cotisation. Pour rappel, les USA devaient plus 456 millions ainsi que la grande France. Je pense que le ciel s’était effondré sur leur pays.
    Rien que des idioties. Certes qu’il y a eu un manquement et cela ne nous fera pas douter de l’efficacité du président

  37. Si des administrateurs ont failli à leur devoir, ce n’est pas au président d’en payer le prix. Le PM lui ne peut pas se trouver partout et donc il a besoin des autres. Toute administration fonctionne ainsi donc faites travailler vos têtes au lieu de vous en prendre au président

  38. Nous avons toujours eu confiance en IBK et nous continuerons d’avoir confiance en lui car les actes qu’il pose prouvent une qu’il est une personne digne de confiance.
    Il ne cesse de se battre pour améliorer les conditions de vie de ses compatriotes.
    Nous pensons qu’il est vraiment l’homme qu’il faut à la tête du Mali.

  39. Pour la lutte contre la corruption, le président et son équipe dynamique ont procédé à la création de structure adéquate et mandater les magistrats d’agir sans pitié contre ce fléau qui empêche l’envol de notre économie.
    A cela s’ajoute la volonté de la société civile à travers la structure AJCAD qui mène une lutte farouche au coté du gouvernement

  40. IBK LE LOOSER
    JE PARIE QUE CE TEXTE NE RESTERA PAS LONGTEMPS..IL VA ÊTRE SUPPRIMÉ, PARCE QUE JE PARLE CONTRE IBK ET CEUX QUI LUI MENTENT..
    MAIS LES PERSONNAGES DE RACINE THIAM RESTERONT AUSSI LONGTEMPS QUE CE PEUT.

    ALLEZ SAVOIR POURQUOI…

    L’AUTEUR DJIBRIL KAOU, N’A FAIT QUE RELATER CE QUE TOUT LE MONDE ENTIER SAIT SUR LA GESTION DE IBK..IL N’A RIEN INVENTÉ, DONC TOUT CE QU’IL DIT EST VRAI. N’EN DÉPLAISE À RACINE THIAM

    LE RIDICULE NE TUE PAS.

    PAS PLUS TARD QUE LA SEMAINE DERNIÈRE, J’INVOQUAIT LE FAIT QUE IBK A GONFFLÉ LE BUDGET DE LA PRÉSIDENCE POUR FINANCER LES IDIOTIES DE RACINE THIAM. RACINE A CRÉÉ DES PSEUDOS INTERNAUTES SUR MALIWEB POUR LOUANGER IBK..JE DIS BIEN LOUANGER IBK..
    DONC, IBK EST TRÈS AU COURANT DE CE QUI SE PASSE SUR LE WEB..BREF CELA N’ ENGAGE QUE LUI.
    TOUTES LES FOIS QUE QUELQU’UN SE MET À CRITIQUER CE FAINÉANT, RACINE SE MET AU CLAVIER AVEC SES PERSONNAGES.
    IBK EST UN HOMME QUI AIME QU’ON LE LOUANGE.. RAISON POUR LAQUELLE LES GRIOTS JOURNALISTES SONT RÉMUNÉRÉS POUR NE FAIRE QUE ÇA.

    IBK N’A RIEN À FOUTRE DU MALI. IL S’EN MOQUE ÉPERDUMMENT..IL N’A DE SOUCI QUE POUR SA FAMILLE, LA FAMILLE DE SA FEMME ET POINT.

    TOUT CE QUE IBK TOUCHE SE TRANSFORME EN ENFER..MÊME UN SIMPLE DISCOURS DEVIENT UNE CALAMITÉ. IL DÉFORME TOUT **LA BAMAKOISE **EN PARLANT DE L’HYMNE NATIONAL DU MALI…** LE 20 JANVIER 1960** EN PARLANT DE LA CRÉATION DE L’ARMÉE MALIENNE.
    **LE GRAND RÉPUBLICAIN** EN PARLANT DE MOUSSA SANGUINAIRE TRAORÉ.
    IBK A MENTI AU MALIENS ET AU MONDE ENTIER..
    IBK N’A PAS DE PROGRAMME, IL N’A AUCUNE VISION..

    IL SE COMPORTE COMME BONGO QUI A FAIT DU GABON UNE PROPRIÉTÉ FAMILIALE..
    TOUS LES POSTES CLÉS ÉTAIENT OCCUPÉS PAR LES MEMBRES DE LA FAMILLE.
    IL A FAIT DE SON FILS ALI, LE MINISTRE DE LA DÉFENSE AVANT DE LE BOMBARDER SUCCESSEUR..BIEN SÛR AVEC LA BÉNÉDICTION DE LA FRANCE..

    COPIE COLLÉE POUR LE MALI.
    IBK N’A DE RÉFÉRENCE QUE BONGO ET LES ROIS DU MOYEN ORIENT…ON SE SOUVIENT DE SA VISITE ROYALE AVEC TOUS LES MINISTRES ET LA DÉLÉGATION DE SA FEMME AU QATAR, AU MAROC..

    KARIM SE FAIT ÉLIRE DÉPUTÉ AVEC LA PRESSION DE SA MÈRE..IL EST BOMBARDÉ PRÉSIDENT DE LA COMMISSION DÉFENSE À L’ASSEMBLÉE NATIONALE..AU SU ET AU VU DE TOUS..MÊME MALGRÉ LA CANDIDATURE DE GNAMÈ KEITA INSPECTEUR GÉNÉRAL DE POLICE.

    IBK VIENT DE SE DÉBARASSER DE TÉRÉTA. IL FAIT DE HAMADOU KONATÉ LE NUMÉERO 2 DU GOUVERNEMENT..HAMADOU KONATÉ EST LE BEAU-FRÈRE DE LA FEMME DE IBK..

    IBK A ÉCARTÉ IGOR DES FINANCES POUR INSTALLER SON FILS ADOPTIF BOUBOU CISSÉ.. QUI DIT MIEUX…
    LE RPM , AVEC NANKOMAN KEITA EST EN TRAIN DE PRÉPARER L’ARRIVÉE DE KARIM COMME PRÉSIDENT DU RPM..
    ISSAC SIDIBÉ LE BEAU-PÈRE SE RETIRERA ET LAISSERA LE PERCHOIR À KARIM. SELON LA CONSTITUTION DU MALI, LE PRÉSIDENT DE L’ASSEMBLÉE ASSURE L’INTÉRIM EN CAS D’INCAPACITÉ DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

    J’AI UNE MAUVAISE NOUVELLE POUR RACINE THIAM.. LE MALI N’EST PAS LE GABON..
    NOUS OBSERVONS TOUT ET NOTONS TOUT..

    IBK FERAIT MIEUX DE RENDRE À L’ÉVIDENCE QU’IL SE TROMPE..QU’IL EST ENTOURÉ DE COLLABORATEURS QUI FONCTIONNENT COMME LUI..C’EST À DIRE **PENSER À EUX ET LEUR FAMILLE**.

    LE REVEIL POUR IBK SERA TRÊS BRUTAL…TOUS LES PARTIS DITS DE LA MAJORITÉ VONT LE LÂCHER, À COMMENCER PAR L’ADEMA.

    LE NIGER A TROUVÉ LA SOLUTION ..LES PARTIS D’OPPOSITION ONT SIGNÉ LE PACTE DE S’UNIR POUR BOUTER ISSOUFOU DEHORS.

    CONTINUEZ À VOUS EN PRENDRE À TOUS CEUX QUI CRITIQUENT IBK..VOUS FAITES DU BIEN À VOUS MÊMES PARCE QUE VOUS ÊTES PAYÉS POUR ÇA.

    MAIS VOUS FAITES MAL AU MALI NOTRE PATRIE..LES MALIENS SONT AUJOURD’HUI VICTIMES DE L’INCOMPÉTENCE DE IBK, DE SON MANQUE DE VISION ET DE PROGRAMME.
    **j’EUSSE ÉTÉ, NOUS FÛMES.. QUE IBK NE **TARISSASSE** D’ÉLOGE DE LA PART DE RACINE THIAM..PENDANT QUE LE MALI S’EFFONDRASSE **.. C’EST ÇA VOTRE IBK.

    QUI VIVRA VERA.

  41. Le premier ministre est un travailleur infatigable donc lui donner une autre chance pour achever sa mission était une obligation pour le président IBK. nous lui souhaitons bon vent pour la suite de son travail

  42. La population malienne doit rester confiante car le gouvernement met tout en place pour instaurer une paix et une stabilité durable et maintenir la véracité et la crédibilité de l’accord de paix.
    Depuis son arrivée de la France, le président a révélé qu’une partie de ce fond servir à mettre en place les accords de paix. Surtout le cantonnement, le désarmement et autres demandent assez de fonds pour être mis en place

  43. En effet le PM Modibo est celui qui a conduit les accords de paix afin que nous soyons à ce stade donc je pense qu’il doit continuer cette mission afin de trouver définitivement une issue parfaite avec tous les partis signataires.

  44. C’est au peuple que le président rendra compte à la fin de son quinquennat donc il n’acceptera pas des individus mettent son notoriété à mal à travers leur mauvaise gestion. Il met l’accent sur la rigueur, la compétence et le dévouement des ministres car il cette année 2016 est une année de tous les défis.
    Ainsi les défis qui attendent le PM et son équipe est grand mais connaissant la compétence et le dévouement de cet homme, je pense que rien pourra l’empêcher d’atteindre son objectif. Le Mali vous porte une confiance aveugle.

  45. C’est parce qu’on a supprimé un ministère qu’on se dit de faire des critiques d’aucune utilité pour le pays.
    Il ne s’agit pas de parler Mr Tiébilé mais d’apporter une solution importante pour une sortie de crise.

  46. Mr l’auteur de cet article soyez poli, un chef d’Etat mérite respect et considération. Si vous ne l’aimez pas, c’est votre droit, il n’a pas parachuté, c’est des maliens qui l’admirent, qui croient en lui qui l’ont élu, il a eu 77% des voix des maliens. Le Mali était occupé au 2/3, on était sous le règne terroriste, il a hérité d’un Mali mort, c’est un Mali qui vient de renaitre, n’eut été son intelligence, tu n’allait pas t’asseoir à dire des conneries, imbécile, salaud, vaurien

  47. IBK est du Mali le Mande Massa, est totalement différent de ce que vous pouviez imaginer. IBK devrais être président des maliens il y’à longtemps de cela, mais comme on le dit chaque chose en son temps et chaque temps en sa chose.

    Quand même nous maliens nous sommes fiers de lui et de ce qu’il est pour le Mali.

  48. Mr. le journaliste n’oublie pas d’y ajouter que même s’il faut une prochaine nous maliens nous choisirons le président IBK.

  49. Et pourtant nous voyons de loin voir même invisible ce que tu raconte sur IBK.
    ce président est un président pas comme les autres, il a su convaincre les maliens par ses services apporter à la nation depuis la nuit des temps.
    Je suis fier de mon président IBK est celui qu’il faut pour les maliens. IL mérite cette position à vie.

  50. Quoi que vous dites sur IBK, il reste le préféré des maliens. IBK est un politique pas comme les autres, avec sa leadership, il a pu séduire les maliens de loin, voilà que par cette séduction il a apporté un suffrage universelle pendant son élection.
    IBK est une fierté.

  51. Le Kankelin tigui, voici un homme qui a su convaincre tout un peuple, le Mali est fier de vous et de ce que vous êtes.
    Nous restons des maliens fidèle au président IBK…

  52. Parmis les meilleurs nous pouvons faire sortir un meilleur, IBK fait résultat de meilleur des meilleurs.
    Il est mon président et je suis fier de lui.

  53. Nous ne pouvons pas comparaitre le président IBK au anciens du Mali, IBK est différent de tous ses autres, comme on entend dire souvent, un être est considérer par son statut mental et physique. IBK fait acte d’une grande personnalité des maliens.

  54. Cette fois ci Mr. le journaliste vous êtes partis loin, IBK a bravé vent et marré pour servir son peuple, nous ne cesserons pas de le remercier.
    Vivement le deuxième mandat d’où les maliens sortirons plus massive que la première.

  55. Pendant les élections de 2013 au Mali, tout le monde se sont lever envers un seul vois pour une seule personne, même dans la bouche des petits enfants nous pouvons entendre « IBK président ».
    Nous avons choisie IBK pour sa bonne fois au Mali, nous restons confiant qu’il est celui qu’il faut à la place qu’il faut.

  56. Toute personne gagne ce qu’il mérite, IBK mérite plus que cela, il mérite la position de président des Africains.
    Vive IBK.

  57. Monsieur le journaliste, vous croyez impressionner les gens peut-être avec ces informations venues du grand marché, là où on dit tout et n’importe quoi à la fois !!! Vous rêvez en plein midi !!!

  58. Laissez-nous tranquille avec les bêtises qui vous servent d’article, trouvez-vous une autre occupation et laissez le journalisme, ce n’est pas votre métier mon cher !!!

  59. Il est temps que nous prenons conscience de la gravité de la situation et que nous arrêtons de faire de la diffamation cher journaliste, il est temps que nous nous donnons la main, que nous allons dans le même sens que ça soit les journalistes, l’opposition et le régime en place, et que vous arrêtez de nous emmerder !!!

  60. Nous n’avons absolument pas besoin de vos conneries en ce moment précis, la population n’a pas besoin d’être plus agitée que cela !!! Donc s’il vous plait, gardez vos remarques pour vous même !!!

  61. Ces journalistes de merde nous portent la poissent à chaque fois, nous ne pouvons jamais être tranquille dans ce pays !!! Tous les maliens cherchent une porte de sortie, pourquoi voulez-vous faire perdre espoir aux gens ?

  62. Ces journalistes de con ne vont jamais nous laisser tranquille dans ce pays, ils sont toujours là à envenimer les situations et à dire du n’importe quoi !!!

  63. Les journalistes maliens ne se lasseront jamais de vouloir créer une sorte de tension entre le gouvernement et la population tous les jours !!! Ce qui m’étonne le plus, est qu’ils font cela sans raison valable !!!

  64. Ces journalistes sont un vrai tas de merdes dans ce pays, des journalistes qui ne sont même pas capable de nous donner de bonnes informations en temps réel, ils ne savent que dire du mal du régime et de son entourage !!!

  65. Nous avons cru en lui, plus de 77% des maliens l’ont choisi pour leur sortir de la merde dans laquelle ils étaient plongé depuis plus de 20ans, il l’a fait !!! Nous le voulions pour mettre le pays sur la bonne voie de développement, il est en train de mettre en place une solide base de développement pour notre pays, de quoi avons besoin encore !!!

  66. IBK est celui dont le MALI avait besoin pour se relancer économiquement, sur la scène internationale, pour entamer un procédure de développement durable, pour permettre au MALI de préserver son intégrité territoriale et de faire régner la paix et la sécurité dans notre pays !!! Et il est en train d’accomplir ces différentes tâches à merveille !!!

  67. C’est vrai que beaucoup de personne ont qualifié le bilan de l’année dernière comme négatif. Quand même nous devons comprendre que nos gouvernants ont aussi mouillés le maillot d’une part. Quand même tout ce que je sais ce qu’on ne peut pas prétendre être le président de la République et en même tant être contre son propre pays.

  68. Chers compatriotes comprenons juste que chaque chose à son temps, on ne peut pas forcer le destin. Pour des précisions, je dirais juste que nos dirigeants ont fournis des efforts, mais le moment que nous attendons tous n’est pas encore venu.

  69. Je convie les maliens à la patiente, en tout cas si nous voyons constatons ces dernières années passées par IBK au pouvoir ont porté fruit d’une part. Sur le plan économique il y’a eu une croissance. De toutes les façons, le Fond Monétaire Internationale ne présenterait pas des félicitations fictives.

  70. En tant que citoyen lambda, laissez-moi vous dire une chose chers compatriotes, personne n’est détenteur de son destin. En venant au pouvoir ce monsieur a tenu plusieurs promesses, parmi celles-ci, il y’en a qui ont déjà vus le jour. Nous savons tous que notre pays fut aussi basculer par le coup d’Etat du 22 mars nous a mis dans un contexte embrassant.

  71. Soyons reconnaissant envers nos dirigeants, quoi qu’il en soit ils ont aussi travaillé. Nous ne pouvons pas dire le contraire, en croisant les bras. Peut-être que la situation de notre pays allait s’empiré plus d’avantage.

  72. Le régime IBK a trouvé le pays dans cette période difficile, comme nous ne le savons tous. Par contre, la situation de notre pays ne peut uniquement être considérée comme sa faute même s’ils ont aussi commis des failles.

  73. Le Bateau Mali peut beau tanguer mais ne chavira jamais, le président IBK et son gouvernement sont à pied d’œuvre. Ayons juste le courage de se patienter et attendre la fin du quinquennat d’IBK enfin de le juger.

  74. Je juge que la gouvernance des 2 ans et quelque mois passés résulte à bilan très positif, parce que lentement et surement, commençant par la base étape par étape IBK mène un travail très remarquable. Les détracteurs essayent de tromper la conscience et l’opinion publique en leur faveur dans le seul but de nuire au régime en place.

  75. Mais pourquoi toutes les actions gouvernementales sont toujours vue en mal par certains personnes ? Le plus bizarre est qu’il ne dispose même pas d’arguments raisonnables et convaincants. Les arguments dont dispose le journaliste n’est pas véridique.

  76. La gouvernance d’IBK quoi qu’on dise reste la meilleure. Malgré la charge de son programme de la campagne présidentielle de 2013, il est encore confronté à d’autres problèmes plus colossaux que prévus. Le Président de République est déterminé et attentif pour redresser le pays. Les détracteurs essaient de tromper l’opinion publique, pour en tirer profit, mais le peuple reste indifférent face à cela.

  77. La presse malienne a perdue toute sa crédibilité et sa dignité, parce que le manque de professionnalisme manque le plus dans ce milieu. Les journalistes maliens racontent toujours des balivernes.

  78. Tu as raison, « Il n’y a pas plus aveugle que celui qui refuse de voir ». IBK et son staff son au four et au moulin pour sortie notre pays de cette crise qui persiste depuis des années. IBK n’est pas le fautif, non loin de là. IBK est le sauveur. Sa politique de gouvernance et de sortie de crise est et restera la meilleure si toute la population malienne s’engage pour soutenir tous les actions gouvernementales et être en complicité parfaite avec le régime en place.

  79. Je ne prends pas partie pour IBK, mais depuis son arriver le pays commence légèrement à se développer, délicatement mais assurément, il est en train de redresser le pays. Il est vraiment l’homme de la situation soyons honnête. Il peut gérer le Mali comme il se doit, il a la compétence nécessaire. Sa politique de gouvernance reste la meilleur mode gérance approprié à notre pays. 💡 💡

  80. Quel que soit les propos sataniques des détracteurs, IBK reste toujours véridique puisque par ses compétences, il demeure toujours l’homme de la situation. L’homme qui vaut à la place qu’il faut. Il a seulement besoin du soutien de la population qui l’a élu avec plus 78% de voix, ainsi ensemble nous pourrons sortie notre pays de cette crise existentielle. Le président n’est pas le seul malgré qu’il soit le chef de l’Etat, toute les souches de la société sans exception ont leurs mots à dans reconstruction du pays.

  81. Depuis bien avant même l’investiture d’IBK tous les maliens savaient que c’était lui qui pouvait sortie le Mali de cette crise multidimensionnelle. Depuis lors IBK reste de bonne foi dans la gouvernance du pays car malgré les prévus et les imprévus il arrive lentement mais surement à redresser le Mali. En 2016, le pays sera encore plus diriger vers l’émergence que les autres années passées.

  82. Ce n’est pas une question de famille, sous le régime d’IBK le système qui prévaut est de « donner à César ce qui appartient à César », c’est-à-dire l’homme qui faut à la place qu’il faut et cela est loin de cette vision et différent de ma famille d’abord.

  83. IBK est un bon président, il a amélioré plusieurs secteurs notamment l’augmentation des salaires, le classement des cadres et l’adoption d’un budget pour les armements et équipements des militaires qui étaient déposés à l’assemblée nationale depuis 2002 sans être adopté lors des régimes précédents et aussi le changement des conditions de vie des forces armées maliennes.

  84. Quand on parle de famille dans la gestion d’Ibrahim Boubacar Keïta, je me demande à qui et qui on fait référence ? A part son fils, Karim Keïta, IBK n’a pas un seul membre de sa famille dans son gouvernement et dans le parlement. S’agissant aussi de Karim, il a été élu. Le choix de sa commune a porté sur lui.

  85. Les critiques dans ce pays sont devenues des compliments des opposants contre la bonne gouvernance. Je suis sans doute perdu de cette dans cette histoire de famille. Est-ce à la majorité présidentielle que cette histoire est attribuée ? Ou s’agit-il du parti présidentiel, le RPM ? Ce qui est sûr dans les deux (2) cas, il n’y a pas question de famille, à ce que nous savons de la famille de cette dernière.

  86. Les membres de la famille du chef suprême des armées qui sont au pouvoir ne doit pas être vu en mal, pas du tout. Car ce n’est pas du hasard qu’ils occupent les postes dans ce pays. Ils sont des citoyens maliens comme bous et au même titre. Ils ne sont ni privilégiés ni défavorisés. Nous sommes tous soumis au même règlement. Donc on a intérêt à ne pas faire d’amalgame. Nous devons, au lieu de s’attarder sur cette histoire de famille, tous s’impliqués dans la lutte contre la corruption. Car on aussi constaté que ce sont nous qui sommes à la base de ce fléau, à cause des pots-de-vin que nous versons sur les agents.

  87. Vous n’êtes qu’un sale journaliste, Barbu. Ibrahim Boubacar a toujours fait et continuera de faire la gloire des citoyens maliens. Ce n’est pas à cause de votre article de con que nous allons laisser tomber cet homme qui ne ménage aucun effort pour notre bonheur.

  88. Au lieu de pondre ce communiqué, le Parena devrait plutôt accorder son soutien à ce nouveau gouvernement pour qu’il puisse relever les défis qui l’attendent dans ce pays secoué par l’insécurité grandissante et le manque de volonté pour une bonne application de l’accord de paix.

  89. Aucun membre de la famille du chef de l’Etat ne figure parmi les ministres qui forment le tout nouveau gouvernement III de Modibo Keïta, à ce que je sache. Mais si le Parena en connait, il peut en faire aussi un communiqué, comme il aime le faire tout le temps.

  90. Peu importe le nombre de gouvernement depuis son accession au pouvoir à aujourd’hui. Nous attendons de la part des membres du gouvernement des résultats. Si ceux-ci ne sont pas atteints, on procédera à un remaniement. Donc que le Parena aille au diable avec ses communiqués.

  91. Je me demande réellement ce que ce journaliste entend par Etat ? Parce que je ne peux pas et je ne pourrais pas non plus comprendre qu’un homme censé informer toute une population entière réagit de la sorte face à ce remaniement ministériel. Et pourtant tout le peuple attendait du président de la république, SEM Ibrahim Boubacar Keïta et de son PM, Modibo Keïta ce remaniement.

  92. C’est vraiment de la poésie, cela. Je ne savais pas tu étais aussi doué en poésie, cher journaliste. Je pense que tu seras bien dans la poésie que dans le journalisme, notamment en littérature qu’en journalisme.

  93. Si c'est ce que vous appelez atteindre ses limites, je crois que vous n'avez aucune raison de continuer à exercer ce métier. Un bon journaliste n'est pas celui qui se contente d'employer de jolies expressions de critiques.

  94. Je crois que le grand mal du Mali c’est certains fils même du pays. Au moment où le pays souffre gravement partout, ils se mettent uniquement à critiquer avec de jolie plume à la con.

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