«Que dire de la mentalité et de la pratique de traiter de «maudite», toute personne ayant la possibilité de détourner les deniers publics, et qui ne l’a pas fait ou n’en a pas abusé». Ces propos ne sont pas de moi, mais nous les entendons très souvent au Mali. Quelle honte! A retenir qu’il est tout simplement honteux d’être sans honte… Cependant, il reste une constance qui ne change pas: nous sommes tous Maliens, mais comprenez que nous n’avons pas tous les mêmes valeurs morales. Qu’est-ce qui caractérise la gouvernance au Mali? On peut répondre sans risque de se tromper qu’elle est marquée par l’influence de la politique et de la corruption.
Ce qui nous renvoie à la définition du concept de politique, Selon Wikipédia: «la politique, renvoie à la constitution et concerne donc la structure et le fonctionnement (méthodique, théorique et pratique) d’une communauté, d’une société, d’un groupe social. La politique porte sur les actions, l’équilibre, le développement interne ou externe de cette société, ses rapports internes et ses rapports à d’autres ensembles. La politique est donc principalement ce qui a trait au collectif, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. C’est dans cette optique que les études politiques ou la science politique s’élargissent à tous les domaines d’une société (économie, droit, sociologie, etc.) ».
Contrairement à cette définition, au Mali, la politique est devenue un moyen d’ascension et de réussite sociale à la disposition du premier venu et non de l’élite. Quant au second concept, la corruption, elle se définit «comme la perversion ou le détournement d’un processus ou d’une interaction avec une ou plusieurs personnes dans le dessein, pour le corrupteur, d’obtenir des avantages ou des prérogatives particulières ou, pour le corrompu, d’obtenir une rétribution en échange de sa bienveillance.
Elle conduit en général à l’enrichissement personnel du corrompu ou à l’enrichissement de l’organisation corruptrice (groupe mafieux, entreprise, club, etc.). C’est une pratique qui peut être tenue pour illicite selon le domaine considéré (commerce, affaires, politique…). Elle peut concerner toute personne bénéficiant d’un pouvoir de décision, que ce soit une personnalité politique, un fonctionnaire, un cadre d’une entreprise privée, un médecin, un arbitre ou un sportif, un syndicaliste ou l’organisation à laquelle ils appartiennent».
Cependant, la corruption est subjective mais elle transgresse toujours la frontière du droit et de la morale. Au Mali, la corruption s’est érigée en système. Elle est pernicieuse en raison du système de clientélisme «politique» qui la caractérise, et qui fait que les cadres de nominations ne sont pas très souvent objectifs. Les postes officiels sont attribués le plus souvent à ceux qui produisent des rentes pour leur patron, pour le parti politique, aux chefs religieux, au village, à la famille, au clan ou pour eux-mêmes.
A ce propos, du fait de la nomination d’un de ses membres à un poste stratégique, des partis politiques inaudibles et sans siège social deviennent brusquement visibles et s’implantent dans le pays sur fond de trafic d’influence et de détournements des deniers publics.
Par contre, de temps en temps, des cadres de valeur sont promus mais sont comme des agneaux dans une meute d’hyènes. Comme ce fut ce haut cadre valeureux du corps de la justice au Mali qui a été démis de ses fonctions du fait de son impartialité et de son intégrité. En effet, ces cadres valeureux sont contraints à se soumettre au système et les récalcitrants sont tout simplement démis de leur poste.
Très souvent, certains acteurs notamment des organisations de la société civile (ONG, Syndicats, etc.), sont contraints de vendre leur soutien politique aux partis en échange de concessions, d’emplois et de possibilités d’obtention de rentes.
Quant aux partis politiques dépourvus de tous motifs idéologiques, ils sont composés d’un nombre disproportionné de personnes à la recherche de rentes. Ils s’efforcent d’accaparer les postes dans l’administration publique et de profiter des projets, financés par les bailleurs de fonds, pour récompenser leurs membres, leur permettant ainsi d’acquérir ressources, postes et le pouvoir prédateur d’influer sur les marchés publics de biens et services, etc.
Je me méfie des faiseurs de systèmes et m’écarte de leur chemin. L’esprit de système est un manque de probité. Alors que dire de ce système d’incitations, en cours au Mali, qui se renforcent les unes les autres et fait qu’il est difficile pour un acteur isolé de modifier les règles du jeu. Les partis et les politiciens qui s’y aventurent risquent de perdre leurs appuis politiques, les employés de l’État risquent de perdre leur poste, et les opérateurs économiques privés risquent de ne pas pouvoir concurrencer ceux qui continuent à bénéficier d’un traitement favorable de la part de l’administration.
Dans ce contexte d’une gouvernance mal inspirée et abandonnée par l’élite, au motif de fuir la confrontation pour préserver ses maigres acquis sociaux, comment les maliens pourront atteindre le bonheur et l’honneur tant chanté?
Ce qui est sûr: nous ne pouvons pas «monter»! C’est-à-dire que toute personne, hors du système, est «bloquée» et ne peut bénéficier d’un «ascenseur social mérité» pour les raisons suivantes:
– Toutes les sollicitations des citoyens, auprès de l’administration publique, doivent être motivées pour qu’elles aboutissent. Bien entendu, il ne s’agit pas de lettre de motivation mais plutôt d’espèces sonnantes et trébuchantes, (mêmes les timbres fiscaux sont transformés en marchandises, celui estampé 200 FCFA est vendu à 300 FCFA.)
– Des femmes de ministres et de Directeurs deviennent fournisseurs dans le département ministériel tenu par leur mari, voire commerçantes ou intermédiaires dans le choix des bénéficiaires des marchés publics. Je me souviens de cet ancien Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali (CCIM) qui déplorait la concurrence déloyale des cadres des Direction des finances et du matériel (DFM), qui exécutent des marchés parallèles.
– Les programmes de logements sociaux destinés à assurer un toit décent au plus grand nombre de citoyens sont détournés de leur objectif. Un nombre important de ces logements sont occupés par des locataires ou sont en cours de transformations exubérantes par leur bénéficiaire.
– Que dire de la collusion entre les cadres véreux, les fournisseurs et prestataires de biens et services, collusion encouragée par la politique de budgétisation au Mali basée sur le principe des services votés. L’ordonnancement de 90% des dépenses est juste faite pour rentrer en possession des fonds des lignes de crédits et ne correspond en rien à des fournitures et acquisitions réelles de biens.
Souvent, les fournisseurs de biens et services deviennent des marchands de liquidités, qui amènent de l’espèce sonnante dans les départements, moyennant un paiement sur présentation d’une surfacture, majorée d’un taux d’intérêt en moyenne de 20% et de la documentation pour justifier la sortie des fonds sans aucune livraison de biens et services. Sans oublier qu’au Mali les factures pro forma sont payantes et cet autre outil de contrôle qui s’appelle la Mercuriale des Prix n’est qu’une catastrophe orchestrée depuis le Dibida.
– Quid de l’absence de traçabilité de toutes ces dépenses et détournements au sein de l’administration qui se caractérise par l’absence de comptabilité matière, la tenue manuelle des outils de gestion sur des registres mal renseignés et mal archivés (souvent des pages sont utilisées pour faire du thé quand ce n’est pas un incendie qui a tout emporté, etc.), l’instabilité des agents au poste pour faire disparaitre la mémoire des activités, l’absentéisme des agents, le nombre croissant des agents payés sans poste ni fonction, le clientélisme, etc.
Sans oublier la grande motivation de certains agents qui sont prêts à vendre le pays au premier venu, les licences d’exploitation de nos richesses (dont les seuls retombées pour l’économie malienne s’apparentent à la fiscalité), les titres fonciers, et pire, (au point d’atteindre les profondeurs des ténèbres) sont prompts à délivrer à des terroristes étrangers des pièces d’identité nationale, dans un délai très court, sans l’obligation de faire le rang à 4 heures du matin devant un commissariat.
Aussi, sans gêne aucune, ces fonds volés sont dépensés ostentatoirement au vu et au su de tout le monde et servent dans les meilleurs cas, d’une part, à construire des immeubles, à envoyer des parents à la Mecque, les enfants dans de grandes écoles occidentales, s’offrir des villas sur les différentes rives du fleuve Niger et d’autre part à s’offrir des véhicules de luxe de grandes marques dont le nombre n’est visible dans aucune capitale occidentale et des voyages d’exhibitions à travers le monde, etc.
Pour se convaincre que nous n’avons pas atteint le fond, tout cela est couronné par le titre honorifique que la prison est faite pour les hommes. A cet effet, faire de la prison au Mali ne fait plus honte, cela est une fierté. Je me souviens de cette histoire que l’on m’a racontée sur la vie d’une société importante du Mali: les complices des activités de corruption désignaient, à l’avance, celui qui devrait faire de la prison en cas de découverte de leur forfait et les autres complices interviendraient, si besoin, pour le faire libérer, grâce aux fonds mis de côté à cet effet. Quelle perte d’énergie et d’intelligence au service de sa propre destruction!
Après tout, nous croyons au bonheur car nous avons foi en Dieu, mais avec une politique de l’Autruche. Le bonheur pour moi peut se définir comme une société sans corruption ou le peuple peut s’éduquer par lui-même, se nourrir, se soigner facilement et non que la santé soit un luxe accessible qu’à vol d’oiseau sur d’autres continents.
Pour ne rien arranger, nos autorités ont fait le choix d’investir nos maigres ressources au profit d’activités sans valeur ajoutée, notamment la construction de sièges et de bâtiments à coup de milliards avec leurs lots d’avenants et tout cela pour des structures qui n’apportent aucune contribution au bonheur des Maliens, ni visibilité, ni ressources pour le pays, au lieu d’activités contribuant au bien-être du peuple.
Quel gâchis! Quel paradoxe quand, au même moment, nous souhaitons atteindre le bonheur et l’honneur. La mauvaise nouvelle c’est que nous ne pouvons pas «monter», j’en suis sûr car depuis belle lurette nous occupons jalousement le Ministère de la parole au lieu de celui des actions. Par contre, avec un peu de chance et de remise en cause, nous pouvons «grimper». D’aucuns me diront quelle différence entre «monter et grimper»? D’où l’intérêt de la nuance, car pour grimper nous allons nous accrocher pour y arriver. Alors! Maliens, à quoi s’accrocher?
La bonne nouvelle: nous pouvons «grimper»!
Avec de l’optimisme, nous allons y arriver. A ce propos Nelson Mandela a dit: «Je suis fondamentalement optimiste. Je ne saurais dire si c’est dans ma nature ou si je l’ai cultivé. Une partie de ce qui fait un optimiste, c’est de garder la tête tournée vers le soleil en mettant un pied devant l’autre».
– Grimpons en nous accrochant aux valeurs sociétales d’antan de notre grande nation malienne.
– Commençons par la lutte contre la corruption et, comme premier acte de lutte contre la corruption, arrêtons de donner des bonbons ou des pièces de monnaies aux enfants pour qu’ils nous sourient.
– Formons notre jeunesse dans les familles, dans les champs, au village, dans les hameaux, pâturages, à l’école et surtout à la culture et à l’enseignement de la morale ainsi que l’instruction civique pour éviter la compromission avec le mal. Une fois ces besoins fondamentaux satisfaits, l’individu “éduqué” pourra faire valoir ses ambitions au sein de la communauté à travers un emploi notamment et mettre ses compétences au service de cette même communauté
– Mettons aux destinées du pays des dirigeants qui répondent aux qualités d’honnêteté, de patriotisme, de bravoure, de probité, etc. Comme ces grands hommes qui ont fait l’histoire du Mali, la fierté du Mali, la gloire du Mali (il y en a eu c’est sûr). Il nous faut des dirigeants animés de patriotisme, de vision pour le pays, de rigueur, de responsabilité, bref tout ce qui peut amener à «grimper» pour atteindre l’Honneur, le Bonheur et la Justice sociale au Mali.
– Restructurons et réorganisons la Société civile malienne afin qu’elle puisse pleinement jouer son rôle. Il est urgent que la société civile prenne en main sa destinée, qu’elle ne soit plus actrice des événements qui se déroulent sous ses yeux mais qu’au contraire qu’elle s’implique dans la vie de la communauté, qu’elle développe son libre arbitre à chaque fois que cela sera nécessaire, qu’elle fasse valoir ses droits et ses ambitions notamment le droit de tout être humain à pouvoir manger “à sa faim”, à avoir un toit, à accéder à l’enseignement, aux soins. Pour moi, le politique est redevable de cela envers son peuple et se doit d’être au service du plus grand nombre;
– Assurons aux chefs religieux un rôle neutre dans la vie politique afin qu’ils garantissent l’apaisement social, la bonne conduite, la spiritualité et l’équilibre dans la société.
– Enfin, faisons nôtres les quatre points cardinaux que sont la Probité, la Bonté, la Dignité, la Justice.
Une chose est sûre, parmi les 16 millions d’habitants du Mali, il y a eu, il y a et il y aura toujours des hommes honnêtes, braves, intègres, justes, patriotes, dévoués, sur qui le Peuple pourra compter, afin de retrouver ses vraies valeurs d’antan avant qu’il ne soit trop tard.
C’est pour toutes ces raisons, indignons-nous (Peuple du Mali), à la fois victime, complice, observateur sans broncher ou souvent même quelque peu admiratif de la gestion de la rente volée. Cela est visible comme le ciel qui n’a point besoin qu’on le montre. Indignez-vous, les sangsues des pauvres et des sans défense, aux voleurs de la république, aux assassins des enfants, des femmes et des vieux, destructeurs de l’avenir des enfants et du peuple, Indignez-vous tout simplement de la rente entachée du sang des pauvres et de la misère visible aux feux tricolores et sur la place de la République.
Je finis par ces propos de Yvan Castanou: «Hier est mort et ne reviendra jamais plus, demain n’est qu’une espérance et vous récoltez aujourd’hui le fruit de ce que vous avez semé ou laissé semé en vous hier. Si vous voulez que demain soit meilleur à aujourd’hui vous devez vous engager dès aujourd’hui à semer ce que vous voulez récolter demain».
Abdramane MAÏGA
M.MAIGA c’est à dessein qu’on a etouffé la révolution de 1991 dans l’œuf.Le mal ne date pas d’aujourd’hui et l’histoire doit très vite rattraper Alpha Oumar KONARE pour tout le tort qu’il a causé à ce beau pays le Mali.En fait ATT et IBK ne sont pour rien dans ce que nous connaissons aujourd’hui.le vrai coupable n’est ni moins ni plus que AOK
Vue l’ampleur et la proportion qu’ont pris le vol et la corruption sous ce régime, il ne sert à rien de nous, le peuple Malien doit se soulever comme un seul homme et envoyer toute la classe politique en Enfer !
VOYEZ-VOUS ? TRÉTA EST DE RETOUR !
Le régime en place est à saluer car la mauvaise gestion et la corruption ont été les premières luttes de ce régime. Félicitation à vous car nous voulons un vrai développement. Nous maliens devons aider ce régime car c’est nous qui sommes à la base de la corruption.
pour lutter contre la corruption il faut que le peuple malien se lève ensemble pour pour soutenir le gouvernement car il ne peut pas faire cela seul. pour qu’il est le développement économique pays il faut bien lutter contre la corruption unir nous sommes fort.
en Afrique la lutte contre la corruption sévère très difficile car tous sommes corrupteurs je comprends ce journaliste car il plus que corrompu un président doit avoir un minimum de luxe.
Contrairement aux autres présidents je pense qu’avec le régime de IBK la corruption a beaucoup baissée il faut le reconnaître car avec IBK c’est le mérite, les nominations sont faites de façon très stricte car pour être dirigeants à un poste il faut des critères.
Oui, l’espoir est permis, parce que la lutte contre la corruption, qui anéantit tous les efforts du gouvernement, est bel et bien engagée. La volonté politique et la détermination du chef de l’Etat à combattre ce fléau ne font l’ombre d’aucun doute.
Je pense aussi que la société civile et les partis politiques doivent s’associer à cette lutte car s’il y’a corrupteur c’est qu’il y’a corrompu. Nous saluons déjà les initiatives de l’AJCAD pour implication contre ce fléau
le régime d’IBK a fais de la bonne gouvernance une priorité pour un développement propice. le peuple malien a mis sa confiance en IBK ace 77 % des voix alors nous devons l’encourager car il est là pour nous.
La lutte contre la corruption est une lutte de tout le monde et de tous les jours.C’est pour cette raison que je demande l’adhésion de tous les maliens pour endiguer ce fléau.
Le président IBK fait déjà sa part et nous devons tous le soutenir dans ce sens.
Ce problème de corruption doit être compris sous un angle à deux composantes.
Il faut comprendre que s’il y a corrompu c’est qu’il y a forcement corrupteur.
C’est tout le monde qui doit donc prendre conscience pour éradiquer ce fléau dont nos sommes tous coupables
En effet pour réussir cette lutte contre corruption, il faut une justice avec des magistrats efficaces et dévoués pour cette cause. Nous voulons un pays sans corruption pour une économie forte pour le bien être du peuple malien.
Il faut noter qu’elle est un frein au développement car elle n’encourage pas les partenaires à s’investir. Le système demanderait toujours des pots de vin avant de laisser les dossiers ce qui ralentit le déroulement des investissements.
En Afrique lorsque lorsqu’un président s’achète une chemise cela devient un débat, on dirait qu’avant de venir au pouvoir cet homme était un pauvre. Nous devons soutenir les actions de nos dirigeants pour un lendemain meilleur.
Il est temps que nous maliens, nous comprenons que la corruption est une mauvaise pratique contre le pays, nous devons sans hésiter accompagner le président de la république dans cette lutte qui sera bénéfique pour nous et pour notre nation.
La lutte contre la corruption doit être un comportement une idéologie de tous les maliens dans leurs activités de tous les jours et même de leurs comportement.
La lutte contre la corruption doit et sera une réussite au Mali, le pays a longtemps souffert de la corruption.
Nous avons déjà la bonne volonté du président de mettre fin à la corruption au Mali rien ne doit nous arrêter à faire de cette lutte une réussite.
Il faut que les hautes autorités prennent leurs responsabilités. Quant il y’a trop de corruption c’est parce que ce sont les autorités qui sont complices sinon quand les autorités sont claires, la population sera claire aussi sans doute.
Les autorités seules ne peuvent pas combattre la corruption, il faut que la population aussi s’investisse dedans pour combattre ce fléau.
C’est un fléau qui s’est enraciné depuis les premières heures des indépendances et les gouvernants n’ont rien fait pour y mettre fin. Cela a donné lieu à un enrichissement facile
Ensemble combattons la corruption.
Je pense que vous n’avez rien compris lorsque vous parlez de corruption s’il y a un corrompu c’est qu’il y a un corrupteur. de vous à moi toi tu as été corrompu et ton corrupteur est un opposant qui te file les billets de banque chaque week-end. il devons tous faire violence sur sois.
Ibrahim Boubacar Keïta a affirmé, à l’occasion des vœux d’Aïd-el-Fitr, qu’il serait impitoyable désormais. Ces propos montrent qu’il va entamer une guerre contre la corruption et ses auteurs. Et lors de la cérémonie de la rentrée des cours et des tribunaux il a invité les magistrats à agir dans le cadre de la lutte contre la corruption.
Une analyse juste de la société malienne actuelle.
J’ai aimé cette phrase «…arrêtons de donner des bonbons ou des pièces de monnaies aux enfants pour qu’ ils nous sourient »car c’est de là que tout se déroule.
Tout petit,j’ai 47ans,je n’osais jamais montrer à mes parents une pièce de monnaies dont je ne saurais expliquer la provenance.Les questions sur la provenance de l’ argent m’étaient toujours posées.Sans explication convainquante ,la sanction suivait immédiatement.
Que constatons nous aujourd’hui?
Rares sont les familles qui appliquent ces règles élémentaires nécessaires à l’éducation de l’ enfant.Au contraire un enfant qui arrive à amener de l’argent sans provenance connue est félicité,traité d’enfant dynamique.Et celui là commence à avoir du poids dans la famille.
Ceux qui cherchent à connaître la provenance de son argent sont traités« hassidis ».
Ainsi,au fil du temps,c’est devenu une valeur suprême dans mon pays d’avoir la capacité de voler au vu et au su de tout le monde.
A L’école ,les meilleurs sont ceux qui arrivent à soudoyer le professeur.
Le meilleur professeur est celui qui arrive à avoir plus d’élèves dans la falsification des notes.Ce professeur est magnifié par les élèves et les parents.
Des espaces (famille,école)qui devaient être des endroits d’une bonne éducation des enfants pour un MALI FORT ET INVINCIBLE sont devenus des lieux de perversion de la jeunesse pour UN MALI SOUMIS ET FAIBLE.
C’est pourquoi la solution immédiate et nécessaire est la réinstallation du MOUVEMENT NATIONAL DES PIONNIERS.
Si la corruption n’est pas rayée de notre système, nous ne pourrons jamais accéder à un vrai développement donc le pays compte sur le concours de tous les fils.
vous parlez de gestion qu’est ce qui doit faire la différence entre un président et un citoyen lambda? un président est la première personnalité d’un pays donc il reflète l’image du pays, si le président est sale l’on dira que ce pays est très sale, ce n’est pas dans des cabanes qu’il recevra ses homologues.
Il faut reconnaître que nous avons pris une mauvaise habitude en s’adonnant à la facilité. Il est temps de mettre fin à cette pratique qui n’honore notre pays car elle a un impact négatif sur notre économie.
monsieur le journaliste à voir vous comprenez bien la langue de molière mais que fais tu pour ton pays? tu parles de corruption alors que tu es corrompue. soyons honte la gouvernance du président IBK est la meilleur que le mali est connu contrairement à ses prédécesseurs.
La bonne gouvernance nécessite des institutions de la république très fortes.Il faut travailler à rendre notre justice plus équitable et objective.En cela l’on peut remercié le président IBK pour les efforts consentis dans ce sens.Il faut continuer pour avoir un résultat plus positif.
La gouvernance du président IBK à mon sens est la meilleur que notre pays ait connu.Il a finit avec les complaisances et recommande le mérite.Cela est très encourageant pour appréhender l’avenir avec espoir..
La bonne gouvernance pour la mettre en place dans un pays où a régné durant toujours du désordre est une vraie bataille.Certains te détesteront pour cela.Je pense que le président IBK est sur la bonne voie et nous avons confiance à l’homme pour que la bonne gouvernance soit une réalité dans notre pays.
Il faut que les maliens changent de mentalité.Ces comportements sont dans nos faits et gestes depuis toujours.C’est ce qui tient l’économie malienne clouée au sol.Et tout le monde accuse le gouvernement pourtant nous en sommes les auteurs.
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Il faut que les maliens changent de mentalité.Ces comportements sont dans nos faits et gestes depuis toujours.C’est ce qui tient l’économie malienne clouée au sol.Et tout le monde accuse le gouvernement pourtant nous en sommes les auteurs.
Le président IBK dès son arrivée aux affaires a fait de la lutte contre la mal gouvernance son cheval de bataille.Je pense que cette volonté de finir avec cette attitude mène déjà ses fruits.Garde donc à ceux qui s’amusent avec l’argent du contribuable malien.
La corruption est un un frein à notre développement économique.Je pense que depuis l’accession du président IBK à la présidence de notre pays il y’a une nette baisse de ce fléau.Il faut donc que les populations s’inscrivent dans cette logique de lutte contre la corruption qui tue notre économie.
La bonne gouvernance est gage de développement durable.C’est pourquoi le régime actuel en a fait une priorité.Il faut que nous les citoyens jouons notre partition en bannissant tout acte de corruption et tout ce qui met cette bonne gouvernance en mal.
La gouvernance dans notre pays avec le président IBK est la meilleur que le Mali ait connue depuis notre indépendance.Et cela est perceptible dans tous les domaines des activités économiques du pays.
Faire de hautes études c’est pour sortir ça population des difficultés et non pas leurs retirer leurs derniers espoirs.
Celui qui élève ça population fera partie de l’histoire, de la mémoire commune.
Si IBK et son gouvernement veulent qu’on se rappelle d’eux, il faut qu’ ils perpétuent l’histoire du Mali, qu’ils fassent l’honneur du Mali.
Ceux qui ont étudiés et qui sont restés intègres brillent par leurs esprit de solidarité et sont universellement connus.
C’est parce que le vol n’est pas une vertu que le voleur se cache.
Il ne faut pas céder à la facilité.
Celui qui désobéit à Allah est maudit.
Celui qui s’approprie le bien public a transgressé aux lois divines et est éloigné de la miséricorde d’Allah.
Vivre du haram c’est l’autodestruction.
Allah réserve le malheur à ceux qui pensent et agissent ainsi.
Restons de kurukanfuga
Il faut tous qu’on fasse en sorte de mettre la corruption hors de mur.Le gouvernement malien seul ne peut pas mener cette lutte.S’il y’a des corrompus c’est qu’il y’a des corrupteurs.Les comportements de corruption doivent cessés donc.
La bonne gouvernance n’a jamais été dans la culture des autorités maliennes qui sont passées avant le président IBK.C’est aujourd’hui que le président de la république a fait de la bonne gouvernance une priorité.Il faut donc le soutenir dans cette quête de bonne gouvernance pour une société plus équitable.
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La corruption qui a gangrené notre économie durant plusieurs années commence à reculer de façon considerable. Cela parce que le président IBK fait tout pour que le que Mali soit un pays équitable.Un pays où tous les citoyens ont les mêmes chances d’accès aux richesses du pays.
La bonne gouvernance n’a jamais été dans la culture des autorités maliennes qui sont passées avant le président IBK.C’est aujourd’hui que le président de la république a fait de la bonne gouvernance une priorité.Il faut donc le soutenir dans cette quête de bonne gouvernance pour une société plus équitable.
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