Le Forum des OSC au Mali a appris par voie de presse l’organisation prochaine par la CEDEAO et spécifiquement par le Médiateur, Son Excellence Monsieur Blaise COMPAORE, Président du Burkina Faso, d’une rencontre avec les parties prenantes de la crise institutionnelle et sécuritaire au Mali en vue d’échanger et de procéder à l’élargissement de l’équipe gouvernementale de transition aux acteurs politiques et de la société civile.
La dite rencontre de Ouagadougou prévue pour se tenir le 07 juillet 2012 devra réunir des représentants de l’ensemble des parties prenantes de la crise malienne.
Le Forum des OSC au Mali, remercie toutes les Organisations nationales, sous-régionales et internationales pour leur assistance et leur sollicitude en vue de résoudre la crise malienne dans sa globalité.
Le Forum des Organisations de la Société Civile au Mali, bien que consciente des difficultés institutionnelles et sécuritaires au Mali, tient par la présente à informer les parties prenantes de sa position non seulement sur la question de fond mais aussi de forme.
Sur le fond, le Forum des Organisations de la Société Civile au Mali, invite à la prudence et à la clairvoyance en ce qui concerne l’élargissement du gouvernement de transition par rapport à la recherche d’une solution de sortie de crise pour le pays. Ce questionnement s’adresse à la probable valeur ajoutée attendue de la mise en place d’un gouvernement d’union nationale dans le contexte actuel du Mali étant donné que toutes les parties prenantes s’étaient prononcées pour l’accompagnement du gouvernement actuel.
Sur la forme et au cas où la concertation devra se tenir, le Forum des OSC au Mali exprime son souhait de la voir se tenir à Bamako afin d’élargir la base sociale du processus. A cet effet, le Forum des OSC tient à exprimer toute sa désapprobation du choix annoncé d’organiser cette deuxième rencontre des parties prenantes du Mali à Ouagadougou. Le Forum des OSC au Mali estime inopportun ce second déplacement de Ouagadougou et invite toutes les parties prenantes à privilégier l’espace national dans tout processus de recherche de solutions et d’appropriation citoyenne.
Le Forum des OSC au Mali estime que la priorité des priorités, aujourd’hui au Mali, est la libération des régions occupées du Mali. Cet agenda nous semble partagé par l’ensemble des acteurs politiques et de la société et l’engagement devra plutôt être de renforcer les institutions en place pour une réponse plus rapide à la crise au nord du pays.
Fait à Bamako, le 5 juillet 2012
Le Président
Adama DIAKITE
Peu importe le lieu de la rencontre pourvu que la liberté d expression soit respectée , on peut dire qu on est pas d accord en allant a la discussion , le forum me surprend , en principe la société civile est flexible et se donne des stratégies d adaptation, . Par cette attitude le forum donne raison a ce qui pense qu au Mali il n y a de vrai société civile capable de faire un contre poids, aller a Ouga ne veut jamais dire vendre son âme au diable,
Actuellement toute conceration est utile meme en dehors du pays ,
Alors monsieur diakite vous si vous regreter d être dans la société civile rejoignez les autres
La recherche ce la paix est un processus et non une démarche linéaire , a Ouga on peut au moins expliquer aux responsables dd la CEDEAO de tenir compte des consultations internes
Rèflecissez
Est foutu qui accepte d’avoir à domicile dans ses casernes et ses villages des casques bleus de l’ONU ennemi de la paix et des relations internationales stables et fondées sur le respect des principes de souveraineté, d’égalité et du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Depuis sa création, pendant la période de la guerre froide, l’institution au service du camp occidental impérialiste a été freinée dans sa servilité à servir les intérêts exclusifs de celui-ci. Mais depuis le démantèlement du mur de Berlin et la chute du camp soviétique, l’ONU reste caporalisée par les prédateurs impérialistes, contre la paix et la sécurité mondiale. Elle accompagne désormais, la déstabilisation des relations internationales, soutient les politiques d’ingérence coloniale impérialiste, d’exportation et d’assassinat de la démocratie au bazouka et à coup de missiles.
A ce titre, il ne faudrait pas se tromper et s’illusionner sur ce que sont devenus aujourd’hui l’ONU et ses appendices locaux que sont l’UA et la CEDEAO: des institutions au service de l’OTAN et de l’hégémonie des USA et sous-fifres européens contre la paix mondiale et la souveraineté des peuples d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Sud.
Les Maliens sont prévenus contre la classe politique corrompue qui s’amuse à Bamako avec le destin de la Nation.
Ils sont prévenus contre l’ONU-assassin de la paix, l’Otan-criminel, les barbouzes occidentales et les mercenaires que les fantoches de la CEDEAO et de l’UA s’apprêtent à déverser à domicile, non pas pour les libérer mais pour les asservir aux intérêts de l’impérialisme et de la fameuse gouvernance mondiale.
A méditer: l’indépendance et l’unité du Mali ne dépendent que des Maliens seuls.
Les vrais ennemis du Mali sont partis a OUAGADOUGOU ils doivent etre executer a leur retour ce sont des traitres voleurs opportunistes 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳
EXTENSION DU GOUVERNEMENT ACTUEL DE TRANSITION DE QUELQUES MINISTRES PUIS CRÉATION D’UN CONSEIL CONSULTATIF GLOBAL INDÉPENDANT ÉTENDU AUX RÉGIONS
Bonjour,
Associer la population Malienne aux décisions et à la sécurité est primordiale. Ainsi, elle épaulera le gouvernement pour apporter une solution durable à la crise Malienne.
Pour ce faire, d’une part, la stabilité et la gouvernance des institutions sont très importante, en particulier la présidence et le gouvernement de transition actuels doivent être stabilisés et avoir le pouvoir de décision et d’autre part, c’est une excellente idée que le gouvernement de transition ait proposé de créer un conseil élargi de concertation servant de cadre de dialogue.
1. STABILITÉ DES INSTITUTIONS ET DE LEURS GOUVERNANCES
La stabilité des institutions étant nécessaire et compte-tenu du fait que la CEDEAO et des forces vives de la nation souhaitent un gouvernement d’union nationale, il serait judicieux de partir du gouvernement de transition actuel et de lui ajouter quelques ministres, je propose quatre ministres, d’ouverture aux forces vives, trois pour la classe politique et un pour la société civile.
Je propose que le Ministre issu de la société civile soit un Ministre d’Etat qui s’occupera des problématiques de l’intégrité territoriale et du développement local. Ce qui permettra de positionner ces problématiques comme préoccupation majeure du nouveau gouvernement et du Mali.
L’avantage de l’EXTENSION DU GOUVERNEMENT ACTUEL DE TRANSITION, c’est de ne pas perturber la seule stabilité dont dispose aujourd’hui le Mali, à savoir le gouvernement de transition actuel. Ayant déjà été au courant des dossiers pendant plus de deux mois, en gardant le gouvernement actuel, les décisions futures seront prises plus vite si la gouvernance se stabilise et a le pouvoir de décision.
PLUSIEURS RAISONS MILITENT CONTRE LE FAIT DE TOUCHER A CETTE STABILITÉ, A SAVOIR :
(1) l’iniquité : supposons qu’on veuille changer certains ministres de la transition, sur quels critères se baser pour le faire sachant que la transition n’a fonctionné que très peu de temps.
(2) plus d’instabilités et la transition s’allongera : si plusieurs ministres de la transition sont changés ou tout le gouvernement de transition actuel change, il y aura plus d’instabilités car il faut un temps d’adaptation aux dossiers et le Mali sera probablement obligé d’augmenter la période de transition.
2. CONSEIL CONSULTATIF GLOBAL INDÉPENDANT
C’est une excellente idée que le gouvernement de transition actuel a eu en proposant de créer le conseil élargi de concertation servant de cadre de dialogue.
Mais, malgré le fait que ce conseil consultatif intègre la société civile, des dignitaires religieux, des opérateurs économiques, des militaires et des acteurs politiques, n’est-il pas judicieux de créer un tel conseil dans chaque région du Mali, à travers un comité régional de compromis, avec un conseil consultatif global indépendant centralisant les décisions issues de ces comités, ce dernier coopérant avec le gouvernement de la transition ?
Sûrement, l’intérêt étant de disposer de bilans périodiques reflétant les avis de tous les Maliens.
3. SAUVER DURABLEMENT LE MALI
De l’engagement de tous les Maliens dépend l’unité et la réconciliation de la famille Malienne, qui doit compter sur ses membres pour garantir sa stabilité et la sauver durablement.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC et Gouvernance
E-mail: Anasser_AgRhissa@yahoo.fr
Le Mali est l’image de son peuple. Un pays remplis des mediocres, des paresseux, des egoistes Un peuple qui aime toujours humillier ses prochains c’est pourquoi le pays a ete maudit tout se paye d’ici-bas. 😳 😳 😳 😳 😳
Pour quoi encore des Maliens ne parviennent pas ravaler leur foutue fierté, et égo pour une unification et une pacification du Mali. Même si cela doit se passer à DIAPAGA, il faut y aller!!!
Croyez-vous que c’est le même peuple que celui de nos ancêtres qui ont pu civiliser toute l’Afrique car ayant un savoir vivre sans précédent!!!
Mais vous n’avez pas vu des démocrates applaudir le putsch?
Mais qu’avons-nous comme wulibali!!!!! encore? Nothing!!Rien
Le Formu des OSC,une organisation de la societé civile réfléchie et responsable.
Je partage entièrement cette déclaration.
Félicitations Mr Diakité, vous avez pris vos responsabilités en tant que citoyen malien.Mais les politichiens hypocrites ne vous entendrons pas, car votre position est contraire leurs interêts égoïstes.
vive les OSC au MALI.A bas le FDR à la solde de l’EXTERIEUR.
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