CRI-2002 : L’association à la croisée des chemins de par la faute de Sall

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Quinzième (15ème) article de l’an 2021 et 36ème au total depuis janvier 2019, l’Association fondée par feu Maître Abdoulaye Sékou SOW a outrancièrement perdu ses repères de par les agissements de sieur Abdoulaye Sall qui se prend pour le centre du monde alors que personne ne s’intéresse vraiment à lui.

Sall doit absolument rendre compte non pas à ses sbires triés sur le volet et conditionnés mais aux acteurs dignes, membres fondateurs.

Il comptera certainement sur son pitoyable bras droit Modibo Koly, né pour avaler des couleuvres dès lors que Sall lui jette des miettes. Le plus opportuniste du groupuscule de petits messieurs autour de Sall, Moussa Traoré, ne répondra pas présent aux heures chaudes de la redevabilité.

Il n’y a pas un seul partenaire de Cri-2002 qui ne soit destinataire des articles de crise et ce, depuis janvier 2019. Les PTF ont droit de savoir exactement ce qui se passe afin de mesurer le degré de transparence, de participation, de respect des textes fondateurs et non se contenter du verbiage et de rapports « circonstanciellement habillés » de l’accusé accusateur qu’est Abdoulaye SALL.

C’est connu, Sall est d’une collaboration odieuse. Et la goutte d’eau qui fit déborder le vase fut la tenue de la truquée et frauduleuse Assemblée Générale ayant entériné ses désidératas les plus malsains à force de forcing pour rester Président de Cri-2002 vaille que vaille, sans aucune retenue dans la mise en application de ses honteuses méthodes de manipulation, de combine et de manigances.

Voilà pourquoi, le Permanent, le seul qui veille au grin et archive de Cri-2002 depuis sa création jusqu’à ce jour, gêne Abdoulaye Sall dans ses méthodes aux antipodes de la convenance, de la bienséance et du bon sens.

Seule la déraison fit croire à Sall que l’on le laisse piétiner les règles élémentaires de la création de l’association Cri-2002 ; déraison qui découle de son gout très prononcé pour l’argent et la gloire, même au détriment d’autrui ; ce qui fait que Sall est un cas singulier et rarissime au Mali. L’homme ne pense qu’à lui-même, les autres peuvent crever, il s’en fout éperdument. L’association n’est que de nom, c’est sa personne qui compte, point.

Pour toutes ces raisons, Sall n’arrive pas à la cheville de notre Dévoué et Démocrate feu Maitre SOW tant du point de vue de savoir, de culture générale que de leadership qui requiert doigter, don de soi et abnégation, toutes notions étrangères à la gestion atypique de Sall et inconnues de son vocabulaire.

  1. Sall, en persistant dans l’erreur et le forcing, ira sur la pointe des pieds

L’agression d’huissier dans une salle d’Assemblée générale associative est loin d’être un fait anodin. C’est une faute lourde et grave qui entache inéluctablement la carrière des auteurs (Modibo Koly, Mamadou Sall, Hamidou Ly) et le donneur d’ordre qu’est Abdoulaye Sall.

C’est ainsi que Sall est freiné dans son élan de recherche de poste public de responsabilité au sommet de l’Etat tant il apparait sous son vrai visage qui l’éloigne des discours qu’il tient sur la gouvernance de façon générale et sur les notions de redevabilité et d’inclusivité particulièrement.

Toute sa gestion se résume au clanisme, à l’exclusion et à la promotion de sa petite personne au détriment de l’effort collectif qui fit de Cri- 2002 une association crédible de la place et que Sall s’évertue à démolir de par son égocentrisme exacerbé.

Vouloir être devant, s’exhiber devant les médias de façon intempestive est sa gymnastique favorie dans le seul dessein de récolter les dividendes de la notoriété qui lui a fait tant défaut tout au long de sa carrière professionnelle du fait de son comportement associable.

On ne peut pas avoir de la personnalité ni travailler avec de GRANDS HOMMES comme feu Maître Abdoulaye Sékou SOW, fondateur de l’Association Cri-2002, ancien Premier Ministre et feu Dr Oumar MAKALOU, fonctionnaire international/ILLUSTRE FILS du Mali et courber l’échine devant Sall incapable de voir plus loin que le bout de son nez tant il est pétri de sa petite personne, faisant qu’il ne s’entend avec personne, le moins qu’on puisse dire à son sujet ici.

Il a détruit la réputation de Cri-2002 se faisant passer comme le fondateur et la personne indispensable à sa survie alors qu’il n’en est rien. Il se sert opportunément de Cri-2002 pour arriver à ses fins. Tout observateur averti le sait.

Au vu de tout ce qui précède, Sall s’est pitoyablement mis dans de sales draps faisant qu’à la fin, c’est compliqué pour lui de sortir par la porte qu’il a contribué lui-même à boucher progressivement et dangereusement.

  1. L’échec judiciaire de Sall démontre son manque de sérieux dans la gestion de Cri-2002

L’implication de l’Arrêt de la Cour d’Appel à l’encontre de Sall est la remise dans tous ses droits du Permanent/Secrétaire à l’Organisation véritable régulateur des agissements de Abdoulaye SALL qui se prend pour un chef d’entreprise voire PDG et non sociétaire de Cri-2002.

En effet, demander à Abdoulaye Sall l’état de tel ou tel dossier Cri-2002 équivaut à un crime de lèse-majesté car à son entendement, lui, Sall n’est redevable envers personne. Il décide, produit à sa guise même si cette production n’est guère satisfaisante pour l’Association car en porte à faux avec les règles élémentaires de conduite associative, voire contractuelle.

N’importe qui désavoué, comme Sall le fut, serait parti de honte de ce regroupement dynamique qui allait retrouver ses lustres d’antan sous le 1er Président, DEMOCRATE ET DEVOUE, feu Maître SOW. Mais Sall, reste égal à lui-même, collé à Cri-2002 comme un sangsue ne sachant quoi faire d’autre de sa vie dandinante.

Mieux, la seule issue qui lui reste est la démission qui sera suivie d’une nouvelle Assemblée générale digne de ce nom pour élire un nouveau bureau tout aussi digne de ce nom sans naturellement ses quelques laquais qui se morfondent depuis dans le regret de l’avoir suivi bêtement pensant qu’en tant que Président, tout lui est permis.

Et comme mentionné dans plus d’un article, certes il se cache du sigle Cri-2002 pour s’abriter derrière CEPE mais cela suffit-il vu l’ampleur du déshonneur ? Absolument non.

  1. Sall mit Cri-2002 à terre à travers l’agression d’huissier en Assemblée générale ordinaire

L’on ne saurait assez décrire tous les tenants et aboutissants du long règne de Abdoulaye Sall à la tête de Cri-2002 tant les mauvais actes sont dans l’ordre normal des choses pour ce monsieur ; l’exception étant quelques cas isolés.

Ce donneur d’ordre pour faire déloger un huissier invité par le Permanent en Assemblée générale où Sall avait fait venir quatre de ses fils accompagnés de badeaux invités pour intimider le Permanent contestataire du SOUVERAIN Sall. Mal leur en prit, la présence d’huissier détruisit tout leur plan machiavélique car toute l’attention fut dirigée vers cet huissier, grand intrus à leurs yeux devant l’Eternel, d’où la colère et l’ordre de le faire évacuer manu militari (PV d’huissier en atteste au procès gagné face à Sall).

Tenez : comme l’a si bien écrit un de nos talentueux journalistes éditorialistes, Sall a toujours œuvré à Cri-2002 pour viser les postes publics de responsabilité, plus précisément le poste ministériel. C’est là, un secret de polichinelle ; Cri-2002 étant pour lui un marchepied. Ses sorties médiatiques intempestives et calculées s’inscrivent dans le cadre de ces élucubrations malveillantes et arrivistes.

Bref, sous la houlette de Sall, l’association Cri-2002 a cessé d’être une organisation indépendante, neutre et impartiale. Lui –même ne se gênait pas de dire haut et fort que Cri-2002 est une association politique qui agit comme telle ; ce qui constitue pour tout intellectuel avisé un aveu aberrant n’engageant que son auteur seul et non la structure organisationnelle. Réellement, Sall est un personnage atypique qui agit et s’active uniquement par instinct de survie personnelle et non par acte patriotique comme il veut faussement le faire croire.

  1. Le déroulement piteux de l’Assemblée Générale bidon digne d’une AG de collégiens

Deuxième du genre  en matière d’organisation d’Assemblée générale truquée et exclusive organisée par Sall (après celle de février 2010), elle a, de façon inattendue, abouti à plonger Sall qui prévoyait s’en servir pour se débarrasser des esprits critiques.

Aucun dirigeant normal ne peut convoquer une Assemblée Générale ordinaire en ignorant  les membres fondateurs ? C’est simplement révoltant voire indécent.

Sa convocation viciée et dans la forme et dans le fonds se situe  aux antipodes de l’éthique et de la morale et sa tenue forcée  violant tout aussi et les règles de forme et de fond de l’Association Cri-2002  est une énième tentative d’accaparement par Sall pour assouvir ses ambitions personnelles visant d’une part à se soustraire des exigences de redevabilité que lui imposent les critiques  et d’autre part à se forger une réputation publique qui lui a fait si défaut tout au long de sa carrière  professionnelle afin d’ accéder  un jour au poste public de responsabilité. Mais, à son grand désarroi, le fossé se creuse désespérément pour que ce rêve devienne réalité.

Ce que Abdoulaye Sall fait au sein de Cri-2002 dépasse l’entendement et l’acceptable. Son comportement est aux antipodes de son discours qui d’ailleurs est le plus souvent choquant ; l’homme aimant discourir alors que son verbe est agressif. Et pire, il est démasqué, apparant sous son vrai visage qui n’est pas reluisant, loin s’en faut.

Conclusion :

L’aspiration de Sall de vouloir faire main basse sur le patrimoine commun qu’est l’Association Cri-2002 à travers ses biens mobiliers et autres ressources  est anéantie par la résistance de plus d’un membre fondateurs qui sont désormais aux aguets, scrutant faits et gestes pour l’obliger à rendre le tablier nonobstant l’appui de ses notoires énergumènes que sont Modibo Koly, Assétou Coulibaly et Moussa Traoré, tous confinés sous ses ordres.

Bamako, le 17 décembre 2021

Mamadou F. KEITA

Secrétaire à l’organisation depuis août 2000

Conseiller Permanent depuis février 2010.

 

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