Contribution : présidentielle du 28 juillet 2013 : IBK n’a jamais laissé filer la confiance des Maliens

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La double crise institutionnelle et sécuritaire que vit le Mali depuis le coup d’Etat du 22 mars 2012, continue d’enregistrer des comportements contraires à nos valeurs sociétales. Cette situation interpelle à plus d’un titre des patriotes et démocrates convaincus. Au moment où tous les Maliens de bonne foi sont préoccupés de trouver les voies et moyens pour surmonter cette crise durant laquelle notre” Maliba”  a  trop souffert, une autre catégorie de Maliens se donne tout le plaisir de ternir l’image d’un homme qui incarne les valeurs sures de la République. Ill s’agit, bien sûr, de El Hadj Ibrahim Kéita, un homme pénétré de grandes valeurs politiques.

 

Le peuple malien sait ce qu’il a vécu ces 20 dernières années. Dans un Etat démocratique, la véritable évaluation d’un homme politique se fait dans les urnes. Cette évaluation n’est pas le rôle des leaders politiques désespérés et perturbés  par le vent d’un changement,  qui ne leur est  pas favorable. Les démocrates  et patriotes maliens qualifient ces querelles de mesquines…. Un  adage de chez nous dit : ” Quand tu rencontres un homme de valeur, cherche à  lui ressembler. Si tu rencontres un homme médiocre, cherche ses défauts en toi-même”.

IBK, par sa sagesse, a pu cultiver les valeurs d’unité et de cohésion et non pas par passion. Cet homme n’a jamais laissé filer entre ses doigts la confiance que les Maliens ont placée en lui.  C’est pourquoi  il tire sa légitimité de son parcours de grand combattant de la République.

 

Rappelons qu’IBK, par deux fois au moins, a sauvé notre pays du chaos. En 1994, après la démission rapide de l’actuel président par Intérim de l’Assemblée nationale et celle du regretté Abdoulaye Sékou SOW (paix à son âme) IBK est arrivé à la primature en pleine crise : crise scolaire, crise syndicale avec l’UNTM,  rébellion sans oublier la dévaluation du franc CFA .

 

Je salue au passage les efforts de Bakary Koniba Traoré, excellent ministre porte-parole du gouvernement à l’époque. Ensemble avec le président Konaré, ils ont su relever les  défis majeurs et, devant l’histoire, ils ont fait le serment, celui de réhabiliter les valeurs morales qui ont fait jadis la grandeur du Mali.

En 2002, il fait profil bas, à la limite de l’insupportable, malgré sa victoire à la présidentielle au motif que rien ne vaut le Mali. L’homme refuse de conduire son pays dans une situation qu’a connue le Kenya en 2007. Cet acte lui a valu la présidence de l’Assemblée nationale avec 46 députés pour le RPM.

 

A cause de sa méthode de travail et sa personnalité, il fait de l’Assemblée nationale la plus enviée des institutions de la République. Les travailleurs de l’Hémicycle et certains anciens députés ne tiennent que des propos nostalgiques et répètent à l’envie ce qu’il a fait au cours de sa présidence à Bagadadji.

 

Jamais cet homme n’a confondu le pays à  sa propre famille. Contrairement à ce que Maitre Abdoulaye Wade a fait au Sénégal avant d’être démocratiquement chassé du pouvoir.  C’est pourquoi rares sont ceux qui peuvent témoigner avoir vu un membre de sa famille se promener entre  les couloirs de l’Hémicycle et les bureaux de l’institution pour d’éventuels avantages. Encore moins à la primature…….

 

Au regard de tous ces efforts, je ne peux jamais imaginer que le pire des ennemis de cet homme, ou encore le moins intelligent de ses détracteurs pouvait le qualifier de pro-putschiste ou co-auteur du coup d’Etat de Mars 2012. C’est vraiment mal connaître cet Homme d’une rectitude morale hors du commun. Heureusement que le ridicule ne tue pas!

Le fait de ne pas ignorer la mauvaise gestion du dossier du nord-Mali est-il synonyme de pro-putschisme ? Surtout quant on sait que le RPM s’est farouchement opposé à la signature des Accords d’Alger de juillet 2006. Alors où étaient les soi-disant républicains que le jeune maire Moussa Mara qualifie de : ” Républicains sélectionnistes”.?

Aux détracteurs d’IBK, je demande d’éviter de tomber aussi bas en  s’attaquant de cette manière éhontée à un homme de paix, de bien, de dialogue, de dignité , de cohésion et de respect  surtout dans un pays à 90% musulman. L’Islam est par essence une religion de tolérance et d’amour du prochain. Elle  ne laisse aucune place à la haine et à la calomnie. Retenons ce qu’a dit Nelson Mandela à ce propos : “La haine détruit plus celui qui la porte  que celui contre qui, elle est orientée “. Alors sachons raison garder.

 

S’agissant du rajeunissement de la classe politique ou du changement générationnel, je dis oui, mais il faut le préparer lentement mais sûrement. Il faut le préparer profondément. C’est une loi naturelle que les systèmes politiques se dégradent, meurent et s’épuisent. Ce qui nous oblige à ne pas conduire le même système de gestion qui a conduit le pays à ce que nous connaissons tous aujourd’hui, et cela,  peu importe l’âge de tel ou tel candidat.

 

La situation actuelle du Mali  exige de nous le choix d’un sage qui ne regrette pas le poids du temps, mais qui compte juste sur son âge pour rassembler et mettre au service du pays toutes ses longues années d’expériences. Nous sommes pour ce type de passage du pouvoir générationnel avec évidemment des mesures d’accompagnement. Notre vieux peuple sait que tous les libérateurs ne sont pas porteurs de liberté et d’espoir. Personne ne peut emprisonner la tendance naturelle vers le changement. “Seuls les médiocres rampent sinon ceux qui sont bien restent bel et bien débout” , disait Jean Marie Doré de la Guinée. Que ceux n’ont pas de recette à proposer aux Maliens se mettent à l’écart et se taisent!

     Secrétaire Général de la    sous-section UJ / RPM  Hamdallaye

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12 COMMENTAIRES

  1. Jamais Deux sans Trois. IBK s’apprete a prendre son troixiemme racle. Heureusement qu’on sait qu’il n’a pas honte “On a vole mon election 3” mdr!!!

  2. il faut etre dupe pour pensée que ibk est kankeletigui ca m etonne pas il n a pas participer a l avenement de la democratie il est venu apres et il a ete servi sur un plateau d argent. en 2002 il a fait sacagé le cocotier au non de l islam c est lui meme le teroriste

  3. Ibrahim Boubacar Keita, l’homme aux différentes vestes politiques, le patron des flips et des flops, enfin les masques sont tombés.
    Ibrahim Boubacar Keita, la mémoire de l’ère démocratique. Le partenaire de tous les régimes. Le témoin de tout ce qui s’est passé ces 22 dernières années. L’homme qui fut là à chacune des étapes qui ont marquées l’histoire de notre démocratie. L’homme qui fut au courant de tout. L’homme qui fut au centre du système étatique depuis l’instauration de la démocratie. L’homme qui trahit le Mali quand ses amis d’intérêts l’assassinaient. L’homme qui fut de connivence avec AOK et ATT quand ceux-ci signaient des accords suicidaires. Bref, il ne fut que le complice du ramassis de gangsters qui ont humilié notre pays. Maintenant, il prétend être le plus véridique, le plus patriote et le candidat de la mosquée en prêchant fallacieusement le nom d’Allah.

  4. Ecrire l’histoire de la vie démocratique du Mali se présente comme un défi presque insurmontable. Tant faite de fausses promesses, d’accès à une vie plus digne et de justice sociale. La démocratie malienne s’exhibe comme un univers d’opportunisme peuplé de politiciens sans convictions et sans visions politiques. Manifestement, certains d’ entre eux sont, inimaginablement, prêts à tout faire pour arriver à bon port. Ils n’hésitent guère à marier leur âme au diable pour seulement l’avoir et le pouvoir.
    De nos jours, les politiciens véreux, profitent toujours de la non-rigidité et de l’absence de la culture politique des citoyens maliens, pour faire des abus contre leur peuple. Ils ne respectent les clauses contractuelles faites au peuple qu’a l’instant de la période pré-électorale. Une fois élus ou après les élections, les citoyens sont jetés à la poubelle avec leurs rêves. Ceci relève toujours d’un calcul politicien lié à une pauvre capacité de réflexion de nos hommes politiques qui se traduit par des manques de projets de développement, et de leurs bonnes convictions vis-à-vis du Mali. A telle enseigne que nous finirons par dire que les politiciens n’ont pas valeur d’exemple.
    Au regard de tout ce qui se passe dans notre pays, il faut le marteler sans hésitation que c’est le manque de conviction dans l’arène politique qui est en train de se faire voir aujourd’hui. A voir leurs parcours politiques, ils ne sont nombreux ceux-là qui sont dans la politique soit pour défendre et protéger les intérêts des plus pauvres et des plus vulnérables, soit pour promouvoir un idéal. La plupart y est pour satisfaire leur mal de vivre au détriment d’une population qui a perdu tout espoir et qui n’a aucun respect pour ses politiciens.
    Au plus fort de ces jeux politiques, l’exemple le plus patent est celui d’Ibrahim Boubacar Keita, le soit disant Kankeletigui, qui est et reste le quiproquo pour nombre de citoyens. Le politicien d’opérette. Un de ceux-là qui n’hésiteront pas à changer leurs vestes pour faire le griot du prince du jour. En politique, dans la société malienne aussi bien que dans la religion musulmane, ceci est un acte dangereux, hypocrite, infidèle, sournois, trompeur, calculateur, honteux, granguignolesque…. Son parcours politique perturbe et bouscule de nombreuses interprétations chez beaucoup d’avertis de la politique malienne. Cependant, certains le qualifient de kankeletigui comme s’il avait le meilleur des messages, comme s’il était toujours à la recherche de la vérité, comme s’il avait des valeurs et des qualités qui pouvaient sauver notre pays. Please ! Ils oublient que ceux qui tournent de vestes sont beaucoup plus dangereux, car ils sont beaucoup plus tentés par l’argent, le pouvoir et l’opulence. Ses supporteurs oublient que cet homme a côtoyé directement ou indirectement tous les régimes de l’ère démocratique. Il a été la cheville ouvrière des régimes d’Alpha et D’ATT, principaux fossoyeurs de L’Etat Malien. Tout au plus, il a occupé les postes les plus élevés dans l’appareil d’Etat Malien pendant 11 des vingt-deux années de la vie démocratique. Lui seul, pendant 11 ans ! Quel projet a-t-il pour le Mali qu’il n’a pas pu faire pendant les 11 années qu’il était au pouvoir ? Est-ce donc logique et rationnel de prendre seulement Alpha et ATT comme les premiers responsables de ce sort honteux que notre pays vit actuellement et puis se glorifier d’IBK ? Quel paradoxe ? Quel analphabétisme politique ? Quelle honte ?
    Il doit être dans la même poubelle tout comme Soumaila Cissé, Modibo Sidibé, et n’importe quel candidat qui émergera de L’ADEMA pour les prochaines échéances car ils étaient tous présents
    Peu de gens adhéreront à ces remarques car ils sont convaincus qu’entre deux maux ; il faut choisir le moindre mal. Car, ils pensent qu’il est meilleur à Soumaila Cissé et Modibo Sidibé. Cependant, l’idée est simple, claire, et convaincante. Il fait partie de ceux qui sont responsables de la déconfiture de notre pays et ne doit être nullement dédouané. Il n’est pas question de diviniser ou sanctifier IBK !

  5. IBK, le Kankeletigui qui fut avec Alpha Oumar Konaré et avec L’Adema
    Il a été présent depuis les premières heures de notre démocratie de façade ; en occupant successivement les postes de conseiller diplomatique, d’ambassadeur du Mali en côte d’ivoire, et de Ministre des affaires étrangères. IBK a intimement participé aux incompétences et inefficacités du régime d’AOK. Arrivé à la primature, quelques années plus tard, dans un pays en situation d’instabilité, IBK devint le soldat marionnette du régime nuisible, faux, perfide, et traitre d’Alpha Oumar Konaré. Maitre du jeu, Il fut l’auteur de tous les coups infligés au peuple malien : organisation de la plus mauvaise élection au Mali, la fermeture des écoles sur toute l’étendue du territoire, initiateur et créateur des ninjas responsables des désordres continus et constants dans la police nationale (pas surprenant, ils sont à l’image de leur créateur) , sponsor des casinos sous l’impulsion de Oumar Bongo, marginalisation des étudiants qui rêvaient des mêmes conditions d’études que son enfant pendant que celui-ci fréquentait des écoles en occident.
    Outre, il est vraiment hypocrite de voir IBK se saper comme le candidat de la mosquée malgré qu’il il fut le seul premier ministre dans l’histoire du Mali à prescrire une sérieuse correction aux leaders religieux de ce pays quand ceux-ci revendiquaient certains droits. Quel oubli ?
    Premier ministre pendant 6 ans, IBK a vigoureusement soutenu Alpha dans tous ses plans et accords suicidaires contre notre pays. Sa fonction à la primature ne fut seulement honorifique. IBK fut le premier ministre qui a eu plus d’autorité que n’importe qui dans l’histoire du Mali. Il constitua un personnage politique qui assume des responsabilités substantielles. … Il cordonna et dirigea pleinement toutes les actions du gouvernement comme la constitution lui confère. Malheureusement avec tous ses pouvoirs confères, IBK n’a jamais pu amener le Mali à bon port comme les maliens l’auraient souhaité en reliant a son propre histoire un silence de radar
    Nul n’ignore qu’au moment Alpha, par peur d’un coup d’état, a complètement détruit l’armé malienne. Ceci fut exécuté en la présence du soit disant kankeletigui sans autant qu’il ne lève la voix pour informer le peuple malien de cet acte apatride de son ami d’avant et principal ennemi politique d’aujourd’hui. Où est le Kankeletiguia dans ça ? Peut-être envers Alpha son employeur, mais pas envers le peuple malien. Au contraire, ceci doit être vu comme un acte de haute trahison. Et, dans un état sérieux il serait à la barre avec son patron.

  6. IBK, Le Kankeletigui qui fut avec ATT
    Apres avoir été pendant 6 ans le chien policier de Alpha pour stabiliser le régime de ce dernier, il devint le griot de ATT pour donner la caution intellectuelle à un président illettré. Outre, il fut l’un des grands piliers du premier mandat d’ATT. Etant le président de l’assemblée nationale, IBK fut constamment consulté et informé par le président de la république quand celui-ci prenait des décisions mal saines à l’encontre des intérêts de la nation malienne et de son armée. Au lieu donc de jouer son rôle d’arbitre prestigieux, et de défenseur des intérêts du peuple, le kankeletigui de sebenikoro jugea nécessaire de faire plaisir au prince du jour tout en se limitant aux simples critiques. Alors qu’il avait le pouvoir constitutionnel et législatif pour non seulement interpeller le gouvernement d’ATT, mais aussi pour informer le peuple malien des activités déloyales et perfides, IBK choisit le bien être du général aux intérêts du peuple malien.
    Celles-ci ne sont quelques-unes des preuves irréfutables de ses trahisons permanentes. Il fut toujours du bal des traitres. Cet homme-là qui a toujours affirmé que le pardon ne veut pas dire l’oubli, doit reconnaitre que nous autres maliens nous nous rappelons de ses 11 années de gestion sur les vingt années de l’ère démocratique.
    IBK a tellement changé de vestes qu’il ne sait même plus la quelle choisir ou dans quel sens les tourner

  7. IBK, le Kankeletigui qui a farouchement critiqué le coup d’état au kantiamantigui qui est devenu l’ami des putschistes
    Le peuple malien à travers une majorité écrasante a salué l’arrivée du CNRDE (Comité National de Redressement de la Démocratie) car celle-ci fut pour l’individu lambda comme une exigence du temps et des circonstances qui marquaient la transition à une ère nouvelle : celle de l’espoir, de la justice sociale, et le rêve souverain du peuple. Tout en trompant la conscience des maliens, comme un stratège, IBK fut l’un des premiers a critiqué le coup d’état du 22 mars avec passion et sans équivoque. Il martela que rien ne justifie la prise du pouvoir par les armes. L’habitude étant la seconde nature de l’homme, au fil du temps, IBK passa de l’anti putschiste, au neutre et enfin on le voit comme l’allier principal de ces putschistes qui ont accéléré la déconfiture du pays. C’est aussi lui qui affirma sur une télévision étrangère que l’Algérie était indispensable dans la gestion de la crise malienne quand l’ennemi prenait le dernier verrou de l’armée malienne à konna tout en oubliant que des défenseurs et compatriotes maliens perdaient leurs âmes. Ou était parti le sens de la bravoure, sa confiance a l’armée malienne et son sens de soutient a la nation en ce temps-ci. Hélas, il se souciât de l’intérêt de l’Algérie.
    Pire, quand le Mali était désemparé face à la soudaineté, IBK, le faux Kankeletigui se pavanait entre différentes positions. Tantôt il supporta un point, et tantôt il disait le contraire de ce qu’il avait mentionné quelques jours auparavant.
    Comme d’habitude le voilà resurgir encore comme étant le porte-drapeau d’une révolution des non révolutionnaires (CNRDE).
    Aujourd’hui, une fois de plus, et au moment que la France et François Hollande sponsorisent la création ou l’autonomie d’un état Touareg, IBK s’aventure à trompeter son amitié avec Hollande. Quel manque de respect à l’égard du peuple Malien ?
    IBK tenait toujours a affirmé que : « le pardon ne veut pas dire l’oubli ». Il doit reconnaitre que nous autres maliens nous nous rappelons de ses 11 années de gestion sur les vingt années de l’ère démocratique. A cela nous ajoutons que : « faire preuve d’une bonne rétrospective est un bon moyen de faire un choix judicieux »
    Il est temps que nous maliens puissions avoir le sens de faire des analyses critiques sur les commentaires et actions de nos hommes politiques à travers le temps. Cet exercice nous permettra de faire un choix merveilleux parmi les prétentieux. L’avenir du Mali dans un court terme dépendra du choix que chacun de nous aura à faire lors des élections à venir.
    L’histoire en jugera.

  8. IBK Pour le MALI est le don de Dieu. on récolte ce qu’on sème .Des gars comme vous n’ont pas conscience à l’avenir du MALIBA ,vos demoiselles de candidat comme soumiiiiiiiii ,les pédés…. et tant d’autres plaisantins n’intéressent guère les maliens .
    vive kankelentigui..

  9. Mr le Secrétaire Générale juste des observations. Votre intervention a commencer par:<>. Oubliant que l’homme que vous défendez a aussi été l’un des acteurs principaux ces périodes: Premier Ministre six (6) ans sous Alpha Oumar KONARE et cinq (5) ans Président de l’Assemblée Nationale. Après tous ceux-ci, vous voulez nous faire croire qu’il n’est pas comptable de ces 20 dernière années.
    L’école malienne; c’est pas ce même homme qui nous a dit: <>.
    Elections 2002; Comment on peut vous trichez au profit de quelqu’un et en fin de compte, vous formez un regroupement politique ESPOIR 2002 pour soutenir la même personne. Il y avait-il pas d’autre choix? Par exemple demander aux électeurs de voter qui ils veulent.
    En 2002 nombre de députés 46 dans l’assemblée Nationale de nos jours il y a en combien? et pourquoi ça?
    Quelle était sa position réelle après le Coup d’Etat? Pro ou anti putschiste? C’était définie,c’est pour quoi les disent ce qu’ils pensent.

  10. MOUSSA MARA EST DANS LA COURSE AU LIEU DE PASSER SON TEMPS A RACONTER DES FAUSSES HISTOIRES.
    C’EST TOUT CE QUE J’AI A DIRE
    A BON ENTENDEUR SALUT

    • Une élection locale n’est pas nationale. Moussa Mara ne peut même pas égaler 5% des voix au niveau national. Sachons raison gardé Moussa Mara est loin encore du niveau d’IBK, n’en déplaise aux oiseaux de mauvais augure. D’ailleurs ce Moussa Mara n’est pas mûre pour diriger ne serait-ce que un gouvernement, son langage et trop léger, sa connaissance profonde des choses, superficielle. Pour preuve c’est cet homme qui a dit qu’il ira aux élections sans l’armée malienne à Kidal ( course folle au pouvoir oblige) si l’armée française peut sécuriser les élections. Sa folie du pouvoir l’a fait perdre le caractère sacré de notre armée à Kidal, oubliant le précédent grave que cela aurait crée. Cet homme à une conception enfantine du pouvoir. Seules ceux qui sont restés enfants dans leur jugement peuvent penser et croire que ce monsieur peut diriger le Mali.

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