Contre la pathologie bénigne prostatique : Un médicament efficace mis au point

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Un nouveau médicament pour traiter l’hypertrophie bénigne prostatique est enfin disponible au Mali ce, grâce à un jeune chercheur qui fait ses preuves dans le traitement  de la maladie. Plusieurs structures sanitaires dont l’hôpital du Mali ont jugé très efficace le remède à base de plants.

 Il est celui par qui le Mali  peut se vanter d’avoir fait une très grande avancée dans le traitement de l’hypertrophie bénigne prostatique. Adama Konaté, pour le nommer, est un jeune chercheur qui soulage aujourd’hui des milliers de malades de la prostate.

Les médicaments utilisés par le jeune chercheur tradi-thérapeute sur les malades souffrant d’hypertrophie bénigne prostatique et infections urinaires  ont été confirmés très efficaces par l’INSRP et plusieurs structures de santé 2 et 3e référence.

Le médicament  contre l’hypertrophie bénigne prostatique mis au point à base de liquide guérit selon l’auteur en moins de 24 h. Une première au Mali, selon des médecins avec qui il a collaboré dans le traitement de plusieurs patients. « Si la prostate n’est pas cancérisé, je  la traite et le malade commence à se sentir mieux au bout de 4 heures », dit-il. Le médicament souligne Adama Konaté est conçu à base de combinaisons thérapeutiques et ne cesse de faire des heureux.

A l’annonce de la découverte du médicament contre la prostate, son bureau  ne désemplit pas. « Plusieurs dizaines de malade de prostate viennent de partout (Mali, la sous-région, l’Europe et l’Amérique ».

Après s’être rendu célèbre dans la recherche et le traitement de l’hypertrophie bénigne prostatique et des infections urinaires dans plusieurs pays : Mali, Sénégal, Bénin, Congo Brazzaville, Cameroun, Gabon, Afrique du Sud, Cote d’Ivoire et auprès des personnalités de ses pays, Adama Konaté, tradithérapeute a décidé de mettre ses services à la disposition de la médecine moderne de son pays.

Les premiers cas de malades de l’hypertrophie bénigne prostatique et l’infections urinaires soumis par des médecins ont été traités avec « satisfaction totale ». Certains médecins n’en revenaient pas. Le travail de M. Konaté a été porté à la connaissance de l’institut national de recherche en santé publique (INRSP). Dans cette structure de recherche, le service ethnobotanique (division médecine traditionnelle) fait venir le jeune chercheur.

Le professeur Rokia Sanogo et les siens loin de lui croire sur parole lui demande d’apporter des clichés des malades traités avant, pendant et après le traitement de patients. Plusieurs clichés ont été ainsi apportés. Du jamais vu ! Pour l’INRSP, c’est une grande avancée dans le domaine du traitement contre l’hypertrophie bénigne prostatique.

Le service ethnobotanique division médecine traditionnelle ne s’est pas limité à cette phase d’étude des clichés d’anciens malades de prostate, il a jugé utile de procéder au teste le médicament nouvellement conçu  par M. Konaté. C’est alors que le service ethnobotanique division médecine traditionnelle a adressé une correspondance au CSref de la Commune V, au Cnam et à l’Hôpital du Mali leur demandant de collaborer  avec le chercheur dans sa pratique en lui faisant « parvenir un rapport circonstancié sur son champ de compétence au bout de cette évaluation » qui va durer 4 mois. La phase teste du médicament pouvait ainsi commencer. Au CSref, il a collaboré avec le spécialiste en radiologie et d’imagerie médicale et responsable de l’unité radiologique te d’échographique « dans le cadre des bilans d’échographie Reno-vessico prostatique des pathologies prostatique ».

Au Cnam, Adama Konaté a collaboré avec le service d’imagerie médicale pendant six mois. Le travail effectué sur place rentrait dans le cadre d’une « démarche scientifique en imagerie médicale concernant toutes les maladies devant effectuer une échographie abdominopelvienne avant et après le traitement ».

Le rapport d’évaluation de l’évidence et ho médicale du surveillant du centre d’encologie pendant un an sur le suivi clinique des patients a donné le résultat honorable. Là, sur 80 personnes ayant subi l’hypertrophie bénigne de la prostate, le nombre de malades cliniquement guérit a atteint 79 soit un taux de guérison de 98%.

Le rapport de l’hôpital du Mali affiche clairement que les médicaments utilisés par le jeune Konaté sont très efficace. « Les médicaments utilisés par Adama Konaté pour traiter les maladies souffrant l’hypertrophie prostatique bénigne a été révélée très efficace », a souligné le rapport.

Le médicament mis au point par M. Konaté pourrait figurer comme traitement de première ligne et certains médecins promettent de le prescrire dans leur protocole de soins.

Pour le natif de Mopti, produire un médicament ne suffit pas ! Encore faut-il s’assurer qu’il touchera ceux qui sont les plus éloignés des centres de santé et qui soufflent en leur facilitant l’accès au produit.

L’hypertrophie bénigne de la prostate se caractérise par une augmentation de la taille de la prostate. Une prostate volumineuse comprime l’urètre tout en faisant pression sur la vessie, ce qui engendre un besoin fréquent d’uriner et divers problèmes de miction.

Selon des études, presque tous les hommes sont sujets à l’hypertrophie bénigne de la prostate, en vieillissant. Les Hommes atteints d’hypertrophie bénigne de la prostate risquent davantage de rencontrer des infections urinaires : une vessie qui ne se vide pas complètement favorise la prolifération de bactéries. Si les infections urinaires se produisent à répétition, une chirurgie pour réduire le volume de la prostate et désobstruer les voies urinaires peut être envisagée. Les mêmes études révèlent que des dommages aux reins peuvent compromettre les fonctions rénales, à long terme.

Dans les prochains jours, Adama Konaté compte ouvrir une clinique spécialisée pour soulager les nombreux malades de l’hypertrophie bénigne prostatique.

Pour tout contact : 76 32 64 32

A.S.

 

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3 COMMENTAIRES

  1. Bravo!
    Mais on reste quand même sur notre faim quand dans tout ce laïus, on ne mentionne pas, même à minima les différentes phases (Phase I à III) que ce produit a fait l’objet. Si l’article pouvait être lourd en détaillant toutes les phases d’étude que ce produit a fait l’objet, il n’en demeure pas moins que les résultats de phase III devraient être détaillés. Avec quel médicament ce produit a été comparé? Si oui a t-il été comparé avec un médicament qui est le traitement standard actuel pour comparer son efficacité par rapport au traitement standard? A t-il été comparé à un Placebo qui peut être un médicament dans le traitement de “Pathologie bénigne de la prostate” comme dit le titre?
    La preuve scientifique ne vient pas de photos de malades avant ou après traitement par ce produit. Elle vient après les études de modele animal , de phase I (pharmocodynamie, pharmacocinétique, pour les concentrations minimalisent efficaces ou minimalisent toxiques chez un nombre limité de sujet), de Phase II (tolérance et efficacité sur un nombre relativement élevé de patient), de phase III randomisée qui est l’étape cruciale pour une commercialisation (évaluant l’efficacité comparé à un standard). La preuve d’efficacité du produit vient de son efficacité comparé à un médicament connu sur le marché comme le traitement standard.

    Dr Konaté et ses sponsors n’ignorent certainement pas la rigueur scientifique devant soutenir leurs travaux. La sécurité des patients est en jeu.
    Mais en attendant, se basant sur cet article de presse, je ne sais pas si c’est le message ou le messager qui doit être “HARAKIRI”.

    • Concentration “minimalisent” efficace ou “minimalisent” toxiques LOL! :)…Lire Minimalement s.v.p.!

  2. Excellente nouvelle pour le Mali et les malades de la prostate. Le travail du jeune Konaté merite d’être reconnu officiellement par le premier responsable de la santé du Mali. Il doit etre soutenu au plus haut niveau de l’Etat. Nous allons l’aider dans la mesure du possible. Bravo à M Konaté. Bon courage meme si on sait que ce n’est pas facile dans ce pays.

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