Lettre ouverte au Président du Mali, au Président de la conférence d’entente nationale inclusive, au Haut Représentant du Président de la République pour la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la Réconciliation au Mali, au Premier Ministre, au Ministre de l’administration territoriale, de la décentralisation et de la réforme de l’Etat, au Ministre de la réconciliation nationale, au Ministre de la défense, au Ministre de la sécurité, à Tiébilé Dramé, à Soumaïla Cissé, à Dr Soumana Sako, à l’opposition, au CSA, au CNCA, aux Maliens et aux Partenaires (ONU/Minusma, Barkhane, UA, UE, CEDEAO, OCI, …)
Je suis patriote Malien, de la société civile et Président de l’ONG TILWAT International.
Ma motivation est de contribuer (1) à établir la vérité sur l’utilité de l’accord de Bamako pour les Maliens, (2) à la paix et (3) à la réconciliation au Mali.
Jean Jaurès avait dit que le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire.
En mettant en avant le Mali, prenons de la hauteur pour chercher cette vérité.
La déclaration de l’opposition politique Malienne, suite à l’invitation qui lui a été adressée par Baba Akhib HAIDARA, Président de la conférence d’entente nationale au Mali, pour participer à la réunion d’information et d’échanges sur l’organisation de la conférence d’entente nationale, réaffirme que la seule solution pacifique viable et inclusive de résolution de la crise multiforme que connait notre pays passe par la tenue d’une CONCERTATION NATIONALE INCLUSIVE.
Comme je disais à Soumaïla Cissé (Président URD et Chef de file de l’opposition Malienne), au Dr Soumana Sako (Président de Faso Here) et à l’opposition, à laquelle appartient Tiébilé dramé, nous vous remercions de votre apport à la démocratie au Mali et à la pluralité des points de vue.
La diversité contribue à la richesse.
Mutualisons cette richesse et Partageons-la entre toutes les Maliennes et tous les Maliens.
- L’union et l’intelligence collective font la force
Cher frère, Tiébilé Dramé, Président du parti Parena, l’essentiel, aujourd’hui, c’est :
– de prendre de la hauteur par rapport à vos critiques de l’accord de paix et de la conférence d’entente nationale et à celles de l’opposition, en mettant le Mali et l’avenir des Maliens en avant,
– de considérer le fait que le contexte a changé et que le Mali dispose, depuis plus de vingt mois, d’un accord de paix issu d’un compromis entre parties prenantes Maliennes sous la supervision de la médiation internationale,
– de considérer l’espoir qu’apporte cet accord de paix déjà signé, ET
– de s’asseoir, entre frères et sœurs Maliens, d’échanger sur les causes profondes de la crise, sur les problèmes du Mali en liaison avec la mise en œuvre de l’accord de paix et sur l’impact induit par les retards des engagements pris dans l’accord de paix, afin d’apporter les solutions idoines durables :
– pour sécuriser, développer le Mali et ses institutions en s’appuyant sur la bonne gouvernance et la résilience et apporter une défendre efficace au Mali, mais aussi
– pour réconcilier les Maliens et leur apporter le bien-être dans un Mali, Un et Indivisible, sans fédération ni confédération ni partition ni indépendance d’aucune partie du Mali.
Car, comme vous le dites, pour éviter la rechute et le mur à nouveau, la solution aux crises Maliennes ne réside qu’au Mali. Ce qui n’empêche pas que nos partenaires nous épaulent.
Mutualisons, donc, avec eux, nos solutions, nos idées et nos intelligences ET éradiquons durablement ces crises.
L’union et l’intelligence collective font la force.
Vos critiques et celles de l’opposition concernent l’accord de paix et sa mise en œuvre, en particulier, la conférence d’entente nationale.
- Mes répliques aux critiques de Tiébilé Dramé
Mes répliques, le 10 mai 2015, sur plusieurs médias (facebook, malijet, maliweb, …), aux critiques de Tiébilé Dramé sur l’accord de paix et à celles de l’opposition vont dans ce sens, voir ci-dessous :
https://www.facebook.com/permalink.php?id=238800652822372&story_fbid=843704805665284
Le moment n’est-il pas inadapté pour une concertation nationale inclusive pour reconcevoir un nouvel accord pour la réconciliation et la paix au Mali alors que vous reconnaissez que la mise en application de l’accord de paix, déjà signé, n’a pas commencé ?
Vous croyez, à tort, à une fuite en avant du Mali et de ses amis (les partenaires) en considérant que la mise en œuvre de cet accord est une étape (intermédiaire) de la longue quête de la paix, de la réconciliation et de la stabilité. Au contraire, sa mise en œuvre, inclusive et stricte et sans complaisance, aboutira à la paix, à la réconciliation et à la stabilisation au Mali et au bonheur des Maliens. Elle constitue un espoir pour les Maliens.
En tant que responsable politique, vous devez, en cette période trouble pour le Mali, contribuer à la paix, à la réconciliation et à la quiétude au Mali.
L’accord de Bamako met plus en avant la régionalisation au Mali et un système de gouvernance, basé sur la libre administration des régions, mettant les populations au centre du dispositif.
La paix durable s’établira par l’implication des acteurs et la confiance entre eux à travers la gouvernance participative (exigé dans l’accord, dans tous les domaines y compris la sécurité, la défense et la réconciliation) et la conjonction de plusieurs éléments tels que :
– cette régionalisation et le développement équilibré qui s’appliqueront à toutes les régions mais aussi,
– les dispositions sécuritaires, de défense, de réconciliation, de justice et les actions humanitaires associées, et
– les garanties qu’apporte le dispositif de suivi-évaluation par le comité international de suivi de l’accord et l’observateur extérieur.
- Conférence d’entente nationale inclusive
Au nom de la réconciliation nationale, de la paix et pour la stabilisation du Mali, cet accord de paix doit être mis en œuvre par toutes les parties prenantes sachant que, plus tard, une conférence d’entente nationale inclusive sera organisée pendant la période de transition.
Cette dernière portera sur les causes profondes du conflit, les solutions idoines en conformité avec l’accord de paix y compris pour la mise en place de l’architecture institutionnelle du Mali, pour l’instauration des règles et pratiques de bonne gouvernance et pour la promotion de la paix et de la réconciliation nationale.
La conférence d’entente nationale a été retenue, par l’accord de paix, déjà signé, pour :
(1) Permettre des échanges approfondis entre Maliens sur tout ce qui est relatif à la mise en œuvre de cet accord, comment rendre optimale l’inclusivité (utilisation d’une méthodologie inclusive pour une participation optimale de toutes les communautés Maliennes et dans toutes régions du Mali pas seulement celles du nord du Mali) et sur la validation éventuelle de l’appellation Azawad pour désigner les régions du nord du Mali,
(2) Etablir, sur une base consensuelle, une charte pour la paix, l’unité et la réconciliation nationale en vue de prendre en charge les dimensions mémorielle, identitaire et historique de la crise Malienne et de sceller l’unité nationale et l’intégrité territoriale.
Elle aboutira à une charte pour la paix, l’unité et la réconciliation nationale ET fera un inventaire des problèmes, des besoins, des revendications, des solutions et des approches à partir de ces échanges approfondis entre Maliens et d’éventuels consensus établis, sur tout ce qui est relatif à la mise en œuvre de l’accord, en particulier, sur les Autorités Intérimaires, le MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination), le DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion), le Référendum sur la modification de la constitution pour prendre en compte certaines dispositions de l’accord de paix.
Elle contribuera à la cohésion nationale, à l’unité nationale, à la réconciliation mais aussi à consolider, plus tard, l’intégrité territoriale.
Ce qui est important, aujourd’hui, c’est, indépendamment des bords politiques, de s’unir autour de la conférence d’entente nationale inclusive et pour la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali, qui a été signé, en 2015, à Bamako.
- Mes répliques aux critiques de Soumaïla Cissé, de Dr Soumana Sako et de l’opposition sur l’accord de paix et la conférence d’entente nationale inclusive
Vous trouverez ci-dessous mes répliques aux critiques de Soumaïla Cissé (Président URD et Chef de file de l’opposition), de Dr Soumana Sako (Président de Faso Here) et de l’opposition sur l’accord de paix et la conférence d’entente nationale inclusive :
Mes répliques mettent en évidence la pertinence de la conférence d’entente nationale inclusive incluant des concertations régionales (conférences de compromis au niveau des régions) dans toutes les régions du Mali (pas seulement des congrès des communautés du nord et celles du centre comme le propose Tiébilé Dramé) par rapport à la concertation nationale inclusive contrairement à ce que stipule l’opposition.
- Conclusion
Pour aboutir à la paix, la sécurité, l’unité, la réconciliation et au développement durable dans un Mali, Un et Indivisible, sans fédération ni confédération ni partition, ni indépendance d’aucune de ses parties, et pour générer le bien-être aux Maliens, il est indispensable que les Maliens s’unissent autour de l’accord de paix, signé en 2015, et le mettent, TOUS/TOUTES, en œuvre, sans complaisance, pour leur bien-être collectif.
Au lieu de vouloir, coûte que coûte, une concertation nationale inclusive pour reconcevoir un autre accord, dont on n’est pas sûr qu’il sera mieux que celui dont nous disposons, faisons revenir l’espoir et la cohésion en développant un élan national, indépendamment des bords politiques, autour de la mise en œuvre de l’accord de paix dont nous disposons.
En effet, on connait ce dont on dispose (l’accord actuel offrant un cadre consensuel obtenu à travers des pourparlers inclusifs inter-Maliens) mais on ne sait pas, avec exactitude, ce qu’on aura et dans combien de temps si on décide de le reconcevoir.
Engageons-nous, TOUS/TOUTES, SERIEUSEMENT ET SANS COMPLAISANCE, nos partenaires et nous, pour la mise en œuvre de l’accord de paix dont nous disposons, en particulier, en participant à la conférence d’entente nationale inclusive, pour le bonheur des Maliennes et des Maliens.
- Contact
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
Expert Consultant de la conférence d’entente nationale
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 00223 78 73 14 61
Bonjour,
Des fois, certains internautes me condamnent ou me conseillent de ne pas répondre à ceux qui m’adressent des contributions en réponse aux miennes.
Jugez-en vous-mêmes.
C’est par politesse, pour partager certains points de vue et pour dissiper certaines incompréhensions que je réponds à tous ceux qui prennent le temps de lire mes lettres ouvertes et mes contributions et d’y répondre.
Ainsi, s’établissent des échanges fructueux entre ces derniers et moi : un enrichissement mutuel à travers des consensus et des fois des points de vue différents, mais pouvant être utiles, pour faire avancer les choses.
Sachez que la différence et la diversité contribuent à la richesse et au développement.
C’est en étant à l’écoute des autres que s’opère cet enrichissement.
Vous savez, j’ai créé une passerelle internet pour la paix et la réconciliation au Mali depuis 2012, à travers mes lettres ouvertes et mes contributions sur des problématiques liées à la crise Malienne.
Elle permet de rapprocher les Maliens entre eux, d’établir des échanges entre eux pour dissiper certaines incompréhensions et amalgames ET favoriser la culture de la paix et de la réconciliation nationale.
C’est une passerelle d’intermédiation pour la paix et la réconciliation au Mali.
Cette passerelle inter-Maliens a suivi toutes les étapes de conception de l’accord de paix, sa signature et la période intérimaire actuelle.
C’est ainsi que des centaines, voire des milliers, de lettres ouvertes adressées au Président du Mali, aux Maliens et aux Partenaires (ONU/MINUSMA, UA, CEDEAO, UE, …) et de contributions ont été écrites par mes soins dans ce cadre.
Des lettres ouvertes, sur mes répliques aux critiques de Soumaïla Cissé, de Dr Soumana Sako, et de Tiébilé Dramé relatives à l’accord de paix et à la conférence d’entente nationale, rentrent aussi dans ce cadre.
Elles ont été précédées par d’autres contributions et lettres ouvertes en ligne comme répliques aux critiques, sur l’accord de paix, de Tiébilé Dramé, Dr Soumana Sako, Pr FOMBA Ibrahima, des Directeurs de recherche Français, Hervé Bourgeot et Bruno Jailly, etc.
Ma motivation est de contribuer (1) à établir la vérité sur l’utilité de l’accord de Bamako pour les Maliens, (2) à la paix et (3) à la réconciliation au Mali.
Mon objectif principal est de rapprocher les Maliens entre eux afin qu’on aboutisse à une paix et une réconciliation durables dans un Mali, Un et Indivisible, sans fédération ni confédération ni partition ni indépendance d’aucune partie du Mali.
Pour votre information, c’est en plus de ma fonction de Président de l’ONG TILWAT international et d’expert consultant, sur les TIC, la Gouvernance et la Sécurité, que je m’organise pour écrire ces contributions et ces lettres ouvertes pour mon pays afin de contribuer à résorber la crise dans laquelle il est plongé.
Par exemple, du 25 décembre 2016 au 04 février 2017, des concertations inclusives en prélude à la conférence d’entente nationale ont été organisées, dans la région de GAO, sous la supervision de l’ONG TILWAT International.
Une lettre ouverte en ligne a été publiée, sur internet , facebook et les réseaux sociaux, pour faire le bilan de ces concertations inclusives dans la région de GAO.
L’engagement patriotique de chacun(e) est sollicité.
Cdlt
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
E-mail: Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 00223 78 73 14 61
Dokotoro rhissa: “Vous avez raison, nos enfants ne sont pas scolarisés, depuis 2012”
Vous êtes un menteur, vos enfants ne vivent pas le nord.
Ni vous, tous les leaders criminelles enturbannes!
Vous mentez toujours vos familles en sécurité en France, a nouattechiottes, Ouga ou Bamako la poubelle!
C’est aux autres familles maliennes que les enturbannes nazillons des sables apportent la guerre… Avec ses viols, massacres, fermetures d’écoles etc…
Et jusqu’ a aujourd’hui aucun de ces leaders ne sont devant la justice!
Je ne suis pas d’accord avec vous sur ce ton. On peut vivre ailleurs et apporter sa contribution au développement de son Pays. Je ne sais pas là où il vit ni sa famille.
Nous ne devons plus tergiverser, allons droit à l’essentiel, c’est la substance de son message, en ma compréhension.
Bonjour,
Merci Kabako11 de votre contribution et le fait d’attirer l’attention sur le ton utilisé par WSR.
Effectivement, allons à l’essentiel en éliminant les barrières entre nous ET en dialoguant afin d’aboutir à une paix durable.
Comme je le disais à WSR, sachons que le Mali est Un et Indivisible, les membres Maliens des mouvements armés et d’autodéfense Maliens étant nos frères Maliens, nous devons tout faire pour ramener ceux qui ne sont pas terroristes dans la nation et isoler les autres.
Nous devons agir pour mettre de côté ceux qui font souffrir le peuple Malien mais nous devons savoir qui sont nos frères (non terroristes) et qui ne le sont pas.
J’ai demandé à WSR de ne pas généraliser sans preuve en indexant TOUS les « turbannés », pour reprendre son terme, de criminels et de nazis ET d’apporter la guerre avec ses viols, massacres, fermetures d’écoles, …
Certains ont leurs enfants au nord et d’autres à l’étranger.
Ce qui n’empêche pas celui qui veut aider au développement du nord de le faire, en particulier, sur les aspects de construction d’écoles ou sur la contribution à des réflexions sur des stratégies pour la scolarisation au nord.
Comme vous l’aviez si bien dit, on peut vivre ailleurs et apporter sa contribution au pays.
Cultivons le vivre ensemble et la coexistence pacifique dans un Mali uni, Un et Indivisible, sans fédération ni confédération ni partition ni indépendance d’aucune de ses parties.
Bien cordialement
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 95 58 48 97
Bonjour,
Merci WSR de votre message.
Pourquoi recourir aux insultes et amalgames.
Je suis un Tamasheq et je ne suis d’aucun mouvement armé ou d’autodéfense.
Arrêtez vos amalgames.
Vous me confondez toujours aux membres des groupes armés ou d’autodéfense.
Pour votre information, je suis ressortissant de la région de GAO dans laquelle vivent certains de mes parents.
Mes propres enfants ne vivent pas au nord mais une partie de ma famille et des neveux y vivent.
Par exemple, certains de mes neveux, membres du regroupement
d’autodéfense, Plateforme, ont été emportés par l’attentat suicide du 18 janvier 2016 ET d’autres sont morts.
Sachons que le Mali est Un et Indivisible, les membres Maliens des mouvements armés et d’autodéfense Maliens étant nos frères Maliens, nous devons tout faire pour ramener ceux qui ne sont pas terroristes dans la nation et isoler les autres.
Nous devons agir pour mettre de côté ceux qui font souffrir le peuple Malien mais nous devons savoir qui sont nos frères (non terroristes) et qui ne le sont pas.
N’indexez pas TOUS les « turbannés », pour reprendre votre terme, de criminels et de nazis ET d’apporter la guerre avec ses viols, massacres, fermetures d’écoles, …
Certains ont leurs enfants au nord et d’autres à l’étranger.
Ce qui n’empêche pas celui qui veut aider au développement du nord de le faire, en particulier, sur les aspects de construction d’écoles ou sur la contribution à des réflexions sur des stratégies pour la scolarisation au nord.
Cultivons le vivre ensemble et la coexistence pacifique dans un Mali uni, Un et Indivisible, sans fédération ni confédération ni partition ni indépendance d’aucune de ses parties.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 95 58 48 97
« AUCUN MALIEN NE PEUT JOUER INDIVIDUELLEMENT OU CLANIQUEMENT ET GAGNER INDIVIDUELLEMENT OU CLANIQUEMENT CONTRE LE MALI. S’IL JOUE IL PERD. S’IL GAGNE IL MEURT DANS SON CORPS ET DANS SA CONSCIENCE»
ILS SONT TOUS PAREILS LES HOMMES POLITIQUES. CE QUI FRENENT LES ARDEURS DES UNS ET DES AUTRES C’EST LA PEUR DE LEURS INSTITUTIONS ET DE LEUR PEUPLE.
DEVENONS UN PEUPLE EXIGEANT, CONSCIENT DE SA FORCE DE TRAVAIL ET DE CHANGEMENT.
METTONS NOS INTELLIGENCES AU SERVICE DU TRAVAIL PRODUCTIF, DE NOTRE HYGIENE DE VIE. HONORONS ET RESPECTONS LE TRAVAIL ET L’EXCELLENCE.
SI LE MALIEN NE CHANGE PAS SA FACON DE PENSER ET D’AGIR IL NE SERA PAS CAPABLE DE RESOUDRE LES PROBLEMES QU’IL A CREES AVEC SES MODES ACTUELS DE PENSEE ET D’ACTIONS.
AN KA DABAYA ANI YERE YIRA DABILA KA BARA KE, KA BARA BOYAN ! AN DOUSSOU KA BO NI AN HAKILI YE !
Bonjour,
Merci Generation-Sankara de votre contribution.
Vous avez raison, seul un changement de mentalités et de comportement pourra nous aider à relever les défis auxquels le Mali est confronté.
En mettant le Mali en avant et en optant pour l’excellence, nous devons mettre en oeuvre des mécanismes de contrôle, de bonne gouvernance et de qualité avec des parmètres de suivi-évaluation de ce qu’on fait.
Soyons exigeants à travers tous ces mécanismes.
Avec la régionalisation, tout cela deviendra obligatoire.
Soyons ouverts, Optons pour l’intelligence collective et sa mutualisation.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 95 58 48 97
Vous monologuer dans le sens de ibk. Sans LA munisma aucun responsable du Mali ne peut foutre pied a kidal, vous parler de parler de quoi donc
❗ ➡ 😎 :hangman:
Bonjour,
Merci SMQ de votre message.
Vous savez, IBK ou pas, l’accord de paix sera appliqué car il est issu d’un compromis et d’un consensus les parties prenantes Maliennes sous la supervision de la communauté internationale.
Il est conçu pour apporter le bien-être à tous les Maliens à condition qu’ils s’y impliquent collectivement, en le mettant TOUTES/TOUS en œuvre, indépendamment des bords politiques.
Il constitue un espoir pour tous les Maliens, il met en avant la paix, la sécurité et la réconciliation au Mali ainsi que la prospérité des MALIENS.
Il n’y aura pas de perte de souveraineté avec l’application STRICTE ET SANS COMPLAISANCE de l’accord de paix.
AINSI, CHAQUE MALIEN (NE) POURRA ALLER OU IL (ELLE) VEUT AU MALI, EN PARTICULIER, A KIDAL, SANS LA MINUSMA.
D’après le constitutionaliste Allemand, Georg Jellinek, la souveraineté est la compétence des compétences.
Le souverain peut être l’Etat ou un citoyen ou une région ou une commune ou un peuple ou une nation, …. Le souverain est celui qui décide, qui a le pouvoir de commander et comment il lui a été conféré.
Le souverain peut déléguer ou transférer des compétences sans porter atteinte à sa souveraineté (ses fonctions régaliennes) tant qu’il possède la possibilité de reprendre ces compétences.
On peut, donc, faire du partage ou de transfert de souveraineté, exemples, transferts de la souveraineté de l’Etat aux citoyens, aux régions, aux communes, au peuple et à la nation.
D’où plusieurs formes de souveraineté :
– la souveraineté de l’Etat,
– celle conférée à un citoyen,
– celle conférée au peuple : souveraineté populaire,
– celle conférée à la nation.
Ce n’est pas ce partage ou transfert de souveraineté qui fera perdre au Mali sa souveraineté.
Théoriquement, en droit international, tous les états sont égaux et indépendants (souverains).
Mais est-ce toujours possible ?
En pratique, des Etats peuvent être influencés et même contrôlés par d’autres états ou des organisations internationales.
Il peut y avoir des impacts sur leurs souverainetés à travers, par exemples :
– la coopération et les relations internationales,
– la glocalisation (impact au niveau local ou régional de la mondialisation) ou la mondialisation ou les liens géostratégiques et géopolitiques,
L’accord de paix, à travers la régionalisation, le transfert des compétences et du pouvoir vers les citoyens, les communes, les régions, le peuple et la nation, tout en garantissant les fonctions régaliennes de l’Etat, permettra au Mali de garder sa souveraineté à travers les différentes formes de souverainetés, qui, avec une utilisation et une coopération intelligentes, un renforcement de capacités, une veille et une implication de tous pour la mise en œuvre de cet accord et pour son suivi, éviteront que le Mali soit influencé voire contrôlé par des organisations ou des puissances extérieures.
Chacun (e) doit être gardien de la souveraineté du Mali, à travers la sienne, celle de sa commune, de sa région, de la nation.
Pour garder la souveraineté du Mali, l’implication et la participation de tous/toutes est indispensable.
Impliquons-nous, Sauvegardons et protégeons notre accord de paix, mettons-le en œuvre, scrupuleusement et sans complaisance, pour qu’il nous apporte la paix et la prospérité.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 78 73 14 61
Dr AG Rhissa,
Le Pape et la Reine D’Angleterre ne sont pas cités.
Ils vont être jaloux.
Bonjour,
Frère Fassakênê, merci de votre message.
Evictions d’engendrer la jalousie et l’exclusion, on pensera, à eux et à d’autres, la prochaine fois.
Surtout que plusieurs de nos compatriotes habitent dans leurs pays de résidence.
Peronne ne doit être mis de côté.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 78 73 14 61
Bonjour,
La phrase était incomplète, je voulais dire :
Evictions de ces derniers mais évitons d’engendrer la jalousie et l’exclusion, on pensera, à eux et à d’autres, la prochaine fois.
Surtout que plusieurs de nos compatriotes habitent dans leurs pays de résidence.
Peronne ne doit être mis de côté.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 78 73 14 61
Merci de votre réaction docteur !
Vos idées nous éclairent à chacune de vos interventions.
Comme vous l’avez si bien dit, il est temps que nous dépassons des querelles partisanes et nous attelions à l’essentiel pour sortir notre Pays de cette situation qui n’à que trop durée.
Encore une fois merci et tous mes encouragements à vous.
Depuis 2012 les enfants du nord ne vont pas à l’école à cause de cette guerre stupide.Que faire ?
Bonjour,
Merci, Syllaka, de votre contribution.
Vous avez raison, nos enfants ne sont pas scolarisés, depuis 2012 ou le sont partiellement à certains endroits, à cause de cette guerre qui n’a que trop duré.
Il est temps que l’on s’occupe de cet aspect.
Vous voyez, c’est pourquoi, il est temps qu’on finisse d’installer les autorités intérimaires dont une des fonctions est l’installation des services de base tels que le retour de l’administration, la formation, la santé, etc.
L’aspect sécuritaire est aussi important d’où l’urgence au nord de la généralisation du MOC et des patrouilles mixtes et de la mise en place du DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion).
La mise en œuvre de l’accord de paix permettra de faire fonctionner tous ces services et d’impulser le développement des régions et communes dans un Mali Un et Indivisible.
Engageons-nous, TOUS/TOUTES, pour ce faire pour éradiquer, définitivement et durablement, cette crise.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et sécurité
E-MAIL : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL (00223) 78 73 14 61
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