La commune IV de 2009 à 2013 sous Moussa Mara : l’icône du changement !

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Très disponible pour sa populations, il a su mettre en valeur l’intérêt commun au-dessus de l’individuel. En commune IV, un homme a su séduire et a forgé l’admiration de tout un peuple : Moussa Mara, un jeune maire, bâtisseur et a toujours mené pour amoindrir la souffrance.

Jadis connue pour des litiges fonciers, de malfaisance financière, le d’espoir de la population, la commune IV du district a eu en son temps Moussa Mara qui a su palier à certains problèmes de la population en si peu de temps. Il s’agit des litiges fonciers, l’emploi des jeunes, la confiance entre les maires et la population, l’assainissement, la place des ainés dans la société, la valeur des chefs de quartiers, des imams, des prêtres, la sante pour tous,  place et rôle des femmes de la commune IV, bref un développent,  voir  un changement radical pour le quotidien de sa population à travers une gestion transparente des biens publics. Les réalisations à son arc sont nombreuses. On peut citer entre autres le pavage et aménagement de voies et de collecteurs à Lafiabougou et
Djicoroni pour environ 3 milliards de FCFA, la réalisation d’aires de sport pour 20 millions de FCFA ; la construction du dépôt de transit à Hamdallaye sur financement Lux-Development pour 25 Millions  de fcfa,  la réalisation de la maison des jeunes de la commune IV pour 48 millions de FCFA, la réalisation de caniveaux à Djicoroni pour 40 Millions de FCFA , du pavage aux abords du cimetière de Lafiabougou pour près de 26 millions de FCFA ;  des caniveaux à Lafiabougou Djissourountou pour plus de 30 millions de fcfa,  la clôture du dépôt de transit de Lafiabougou pour un montant de 24 millions de CFA, la réalisation du dispensaire et de la maternité de Kalabambougou pour 31 millions de FCFA ; la mise en œuvre du projet ACI 2000 visant à raccorder  la zone ACI aux autres ensembles de quartiers de la commune à travers un projet intégrateur pour un coût de 1,540 milliards de FCFA ; la régularisation de la situation foncière des personnes démunies dans tous les quartiers de la commune, majoritairement à Kalabambougou et la mise à disposition d’un espace de 40 hectares en cours de bornage pour compenser les personnes victimes de spéculation foncière.

A cela s’ajoutent des  procès intentés contre la mairie du District dont 12 gagnés à ce jour et tous relatifs à la protection des espaces publics de la commune  et la généralisation de l’uniforme scolaire dans les établissements scolaires de sa commine.   Mieux parmi les 703 communes du Mali,  beaucoup de maires ont vu leurs compteurs EDM enlevés faute des impayés sauf certaines mairies comme celle de la commune 4 du District de Bamako à cause d’une stratégie efficace de bonne Gouvernance mis en place par l’équipe communale sous l’égide du jeune Maire MOUSSA MARA à 35 ans seulement.

Mieux, pour ses efforts en matière de bonne gouvernance fondée sur la participation des administrés avec des innovations importantes dans le domaine de la transparence, la lutte contre la corruption et la délinquance financière, le jeune maire de la Commune IV du district de Bamako, Moussa Mara, a reçu le prix Harubuntu, le 1er décembre 2011 à Bruxelles.

Il  a  donné le bon exemple de la gestion municipale dans la commune IV où le maire ne s’implique pas dans la passation des marchés, des appels d’offres mais ‘’veille au grin ‘’ pour contrôler la régularité des procédures.

C’est donc dire que Moussa Mara a été et sera un maire exemplaire, un icone du changement,  une chance pour le district de Bamako, si toute fois les Bamakoises et les Bamakois lui faisaient confiance aux prochaine élections du District de Bamako  prévu pour le17 décembre 2017.

Touré, correspondance particulière

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