Lors des derniers affrontements à Kidal, les combattants de la CMA ont tenté une sortie pour défier les forces du général Gamou. Grand mal leur a pris ! Pourtant renforcés de nombreux supplétifs d’Ansar-Dine, ils ont rapidement été malmenés. Refusant le combat frontal contre un ennemi potentiellement à sa portée, Cheikh Ag Aoussa a rapidement sonné la retraite. Sa débâcle a été totale et le soit disant « chef de guerre » a été laminé. Au point que se pose légitimement aujourd’hui la question de son courage.
Nous connaissions le « Boucher d’Aguelhok », mais qui aurait pu se douter qu’il était également le « Poltron de Kidal »?
Trois échanges de tirs et voilà déjà Cheikh Ag Aoussa qui déguerpit la peur au ventre. Comme un chien craintif, il s’est réfugié à la maison, la queue entre les jambes. La déroute est monumentale, le sauve-qui-peut lamentable. Même une fois réfugié derrière les murs de la ville, il en tremblait encore de peur. Au point d’exiger de la MINUSMA qu’elle sécurise Kidal pour empêcher toute irruption des combattants du GATIA.
Bel exemple ! Tu parles d’un chef ! Si un de ses hommes avait eu un tel comportement, il l’aurait immédiatement accusé de désertion.
Où est-il le valeureux guerrier, l’illustre combattant de Libye ? Pas à Kidal, ça c’est certain !
Il nous en apporte la preuve, tout cela n’était que tissu de mensonges, fables pour les simples d’esprit.
Il nous montre enfin son vrai visage. Et la réalité de ses exploits est bien moins reluisante.
C’était sans doute plus facile d’égorger de pauvres soldats maliens, sans défense les mains liées dans le dos. Cheikh Ag Aoussa, le trouillard, prend moins de risque à faire poser des mines par des enfants.
Voilà tout l’héroïsme dont ce lâche est capable !
Qu’il s’en aille rejoindre son maître Iyad Ag Ghaly. Là au moins, il sera à sa place
Boubacar Samba