Ben Ali est parti, la Tunisie reste à reconstruire, mais évitons de remplacer Ammar par Salah.
Empêchons que la rue tunisienne, qui a porté la Révolution du Jasmin, au prix du sang, soit mise à l’écart des choix historiques qui s’opèrent dans le pays.
Ben Ali n’est que le visage du problème, les fondements du malaise de la société tunisienne sont d’ordre constitutionnel, économique, politique et social. Si une pression sociale / civile coordonnée ne se manifeste pas MAINTENANT, pour que toutes ces questions soient mises à l’ordre du jour des débats en cours, nous risquons de ne remplacer une mafia que par une autre.
Tunisiens au Mali, réunissons nous et cherchons ensemble ce que nous pouvons faire dans ce contexte.
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