Chers concitoyens,
Demain lundi est le 21ème anniversaire de l’aboutissement du soulèvement du peuple malien contre le régime militaire arbitraire et injuste de Moussa TRAORE. Il en est sorti des institutions qui sont le fruit de la lutte populaire pour la dignité et le progrès démocratique, social et économique. Et par-dessus tout, le peuple avait recouvré sa souveraineté et son droit inaliénable à choisir, par les urnes, les hommes et les femmes qui doivent gérer les affaires publiques. Au cours des vingt ans qui ont suivi, nous nous sommes attelés, patiemment mais résolument, à la consolidation des acquis politiques, civiques et économiques de notre pays.
Chers concitoyens,
Aujourd’hui encore, des soldats, autoproclamés justiciers et redresseurs de torts, se sont attaqués aux institutions légitimes et légales du Mali. Cet acte inqualifiable est en train de plonger le pays dans un chaos dont les conséquences pourraient requérir des années à être réparées. D’ores et déjà, des compatriotes ont subi des arrestations arbitraires, des actes de pillage et de vandalisme ou des expropriations barbares. Les propriétés privées sont violées sans ménagement et les libertés civiques et économiques, qui régissent le Mali depuis des siècles, sont ouvertement menacées.
Les rebelles profitent de cette situation de confusion pour gagner du terrain jour après jour. Pendant ce temps, Monsieur Sanogo et ses copains sont en train de terroriser les paisibles populations qu’ils sont supposés défendre. Jamais, dans l’histoire récente du Mali, son intégrité territoriale et son unité ont autant été menacées qu’après ce coup de force militaire.
Notre pays est, à cause de cette forfaiture, en train de subir toutes sortes d’humiliations telles que les exclusions d’organisations dont il est cofondateur, le confinant dans un isolement croissant. Mais, si les dignes fils du Mali ne se décident pas à agir immédiatement et efficacement pour mettre un terme à cette fuite en avant, il n’est pas exclu de voir le pays subir des interventions de forces extérieures qui engendreront plus de morts, de destruction et de désolation.
Chers concitoyens,
Beaucoup d’entre nous avons été réconfortés de voir la classe politique condamner fermement ce coup de force militaire, perpétré par des éléments irresponsables des forces de défense qui ternissent l’image de marque de notre armée républicaine dont nous sommes si fiers.
Cependant, il est clair que les condamnations, aussi fermes qu’elles puissent être, ne suffiront pas à rétablir les populations dans tous leurs droits. Il faut nécessairement des actions urgentes et énergiques pour circonscrire ce désastre.
C’est pour ces raisons que j’en appelle à tous les citoyens, partout au Mali, à sortir massivement le lundi 26 mars 2012 pour commémorer le 21 ème anniversaire de la chute du régime arbitraire et incapable en place, à la suite du soulèvement du peuple malien pour se réapproprier ses droits et tous ses droits.
L’Histoire va-t-elle se répéter ?
Cela dépendra de notre détermination, en tant que peuple, à récupérer nos libertés à travers l’engagement citoyen de chacun de nous.
Une contribution de Bakary Camara (depuis Addis Abeba)
Officiers Généraux de l’Armée Malienne, avez –vous du cœur ?
Ce coup d’Etat était attendu il y a 2 mois par le peuple malien après la tuerie d’Alguelhoc dans le pire des cas, sinon une démission forcée sous la pression des Officiers Généraux dans le meilleur des cas , tant les récriminations faites par le Comité Nationale de Redressement de la Démocratie et la Restauration de l’Etat étaient fondées à savoir :
•Le manque de succès militaires au Nord contre la rébellion touarègue et les djihadhistes,
•la non dotation des militaires en moyens suffisants et adéquats pour anéantir la rébellion ;
•le pays désabusé, humilié et découragé par le manque de réactions à la hauteur de l’espérance du Peuple malien face à la rébellion au Nord.
Cette situation m’amène à me poser dix questions sur la situation socio-politique au Mali à l’heure actuelle
1) Pouvait-on rester jusqu’au 08 juin 2012, dans cette situation d’hypocrisie, de République poignardée par ses enfants gâtés que sont les touaregs de l’AZAWAD ?
2) Pouvait-on vivre quotidiennement dans ce climat d’insurrection populaire lié à la guerre contre la rébellion au Nord ?
3) Pouvait-on endurer la honte bue causée par la déroute de toute une armée nationale défaite à cause du manque de nourriture, de munitions, d’équipements de guerre ?
4) Pouvait-on rester inactif face à la baisse de l’estime de l’armée dans le cœur des maliens ?
5) Pouvait-on rester jusqu’au 08 juin 2012 ; dans le découragement ; le pessimisme au moment où la démocratie est menacée par des aventuriers agglutinés au pouvoir et la république par les renégats plus préoccupés à protéger un espace vital pour leurs trafics (drogue et armes) que par une quelconque indépendance de l’AZAWAD ?
6) Pouvait-on encore faire confiance à un président qui n’a jamais su distinguer les amis du Mali, de ces ennemis ?
7) Pouvait-on faire des élections dans un pays où le 1/3 du territoire national est aux mains des rebelles ?
8) Pouvait-on être rassuré par un général d’armée cinq étoiles (dernier palier de la hiérarchie militaire) diplômé de l’école de guerre de Paris, avec lequel les rebelles sont en passe de réussir ce qu’aucun régime n’avait accepté c’est-à-dire la reddition pure et simple face à leurs velléités indépendantistes ?
9) La classe politique pouvait-elle encore continuer à faire le ‘’Griot’’ derrière un président de la république, Chef de l’Etat qui n’a jamais assuré son rôle de gérant de l’indépendance nationale et l’intégrité du territoire ?
10) Pouvait-on continuer à cautionner l’émiettement du territoire national en créant des soit disant régions administratives à caractère identitaire faite au gré du désir des rebelles pour permettre à une minorité de dominer une majorité ?
Toutes les réponses à ces questions sont NON !
Presque tous les Partis Politique ont appliqué la politique de l’Autruche, c’est-à-dire ne rien voir, ne rien entendre, ne rien sentir, ne rien faire qui contredit l’option du président de la république. Cette attitude est aussi vraie pour les Institutions de la république.
Au lieu d’informer le peuple malien sur la réalité des faits, le Gouvernement n’a fait que s’est attaqué à la presse privée qui n’a fait que son devoir d’information du peuple.
Maintenant que le vin est tiré, il faut le boire, certe avec modération, mais il faut le boire qu’à même.
Le CNRDR composé d’Officiers subalternes a peut-être sauvé pour le moment ATT, la classe politique et l’Armée.
Personne ne fait une révolution à soi tout seul, c’est tout le monde qui s’en charge.
Pour une question de principe, une grande partie de la classe politique a condamné le coup d’Etat. Au delà des principes, la réalité a rattrapé la classe politique. Elle doit se mettre à la disposition du CNRDR pour mieux piloter la suite des évènements en établissant un ordre de priorités. Cela permettra d’éviter le Chaos, car ATT ne pourra plus jamais diriger ce peuple et son armée, par ce qu’il n’avait plus rien à proposer
Ma proposition de sortie de crise est la suivante :
1) Mettre tous les Généraux, Colonels-Majors et Colonels à la retraire anticipée pour avoir trahi leur serment d’Officier ou de soldat. Cette décision permettra de réorganiser la hiérarchie militaire ;
2) Mettre en place sous la présidence d’un intérimaire choisi conformément à la constitution du 25 février 1992, un gouvernement d’union nationale avec les partis politiques, représentés à l’Assemblée Nationale ; la société civile et les représentants du CNRDR ;
3) Créer un ministère de la guerre pour récupérer le Nord et éradiquer pour de bon la rébellion.
4) Affecter les budgets de l’élection présidentielle, référendaire et législatives aux opérations de rétablissement de l’intégrité du territoire national. Ne compter sur aucune aide extérieur pour mener cette guerre, tant reportée, faute de courage ;
5) Remettre en place non seulement l’assemblée nationale pour légiférer sur les actes que le Gouvernement d’Union Nationale posera ; mais aussi les autres institutions ;
6) Organiser des élections présidentielles, législatives, communales dans un bref délai une fois, tout le territoire récupéré, les refugié rentrés et des bases militaires installées dans chaque cercle du septentrion malien.
Il est important que la solution définitive de cette sortie de crise, ne viendra uniquement que du Peuple. Elle ne viendra ni de SARKOZY, ni de Ban-Kimoon, ni OBAMA ou des pays voisins. Notre sort se trouve dans nos propres mains. L’ADEMA ne doit pas rester en marge de cette révolution nouvelle, vingt ans après la 1ère, celle de 1991.
C’est de cette façon seulement, que le peuple malien entier se sentira dans sa peau et fière d’être les descendants d’un peuple guerrier qui a dominé de l’atlantique au confoin du Nigéria et qui a établi depuis le 4ème siècle des relations avec les Pharaons d’Egypte (l’Empire de Koukiya – Ansongo)
Lanceni Balla KEITA
Les propositions de lanceni me semble raisonable pour sauver la démocratie
Oumar Mariko: Premier Ministre!
Le coup d’Etat du 22 mars vient d’etaler a grand jour le manque d’Etat que les uns et les autres avaient constate sous le regime incompetent de ATT. Je salue vivement le coup de force meme si je ne comprend pas comment un bataillon venant d’une seule caserne militaire a reussi a renverser tres rapidement le regime corrompu de ATT.
Il n’est pas surprenant de voir les principaux partis politiques s’emouvoir de la tournure des evenements sous pretexte que les elections devaient etre maintenues aux dates fixees. Ces dirigeants politiques sont les plus irresponsables, car au lieu de presser ATT d’affronter la crise du nord avec serieux, ils se sont rendus complice de ce dernier en pensant qu’on pouvait organiser des elections paisibles et fiables avec un fichier electoral inexistant, comme pour dire que c’est OK d’organiser des elections mediocres au meme moment ou le Senegal organise des elections transparentes surveillees par des observateurs nationaux.
Meme si je reconnais que le Capitaine Sanogo est a l’intersection de Dadis et de Thomas Sankara en terme de Leadership, je suis convaincu qu’il vient de sauver la democratie au Mali, et si on lui donne la chance, il sera le prochain Jerry Rawlings du Mali, en ce sens qu’il va organiser des elections fiables et transparentes et quitter le pouvoir tout en rappelant aux nouveaux elus qu’il veille sur eux. Pour aboutir a ce schema ideal, le Capitaine Sanogo doit choisir le DR Oumar Mariko comme Premier Ministre en lui donnant comme feuille de route l’organisation d’elections transparentes, et la recuperation des territoires perdus au rebelles.
Dr Mariko etait le seul a dire que ce serait une fantaisie de penser qu’on pouvait organiser les eletions dans les conditions actuelles au moment ou les grands partis politques battaient campagne avec l’argent vole au fil des annees etant convaincus que c’est le seul moyen d’engranger plus d’argent et d’influence sur le destin du Mali. Parmi les gens qui se disent partisans de la legalite constitutionnelle, personne d’entre eux ne s’est battu pour l’avenement de la democratie plus que Oumar Mariko. Il est le seul a avoir refuser la farce appelee au Mali une gestion consensuelle des affaires. En 10 ans de pouvoir, ATT a mene le pays vers la ruine avec l’assistance des principaux partis politiques, ADEMA, RPM, CNID, URD. Les dirigeants de ces partis politiques ne doivent pas donner de lecon de democratie au Capitaine Sanogo.
Un autre fait frappant de ce groupe est l’absence notoire d’officiers superieurs, en particulier les Generaux. La floraison de Generaux sous ATT etait un signal qu’il y’avait de plus en plus un fosse entre les officiers superieurs et les soldats. Il y’a meme des suggestions que des officiers superieurs maliens etaient de connivence avec AQMI au Nord pour faciliter les traffics de toute sorte. Je demande au Capitaine Sanogo de traduire ces officiers devant la cour martiale en les radiant de l’armee pour haute trahison.
Il doit recompenser et supporter les Officiers superieurs qui se battent au Nord et sommer tous ceux qui servent dans les ministeres comme inspecteurs de rejoindre leurs corps d’origine. On a pas besoin d’officiers superieurs dans tous les ministeres.
Les prochaines semaines s’annoncent incertaines, mais je suis convaincu que ce coup de force est salutaire a plus d’un titre. L’erosion de la confiance des citoyens aux institutions, la corruption rampante, l’illetrisme, l’insecurite etaient des indicateurs que ATT et sa clique ont echoue, il est temps que le tandem Capitaine Sanogo-DR Oumar Mariko prennent la releve pour une duree de 6 a 12 mois.
CNRDRE, junte = MNLA = AQMI = ANSAR DINE = SOMALISATION DU MALI
Les gens qu’ils ont laissé mourir à Agueloc soit 78 militaires par leurs incapacités a gérer le pays avec honneur et discernement, eu n’ont pas eu la chance comme ATT et ses acolytes d’être dans des prisons ils sont mort égorgés ou une balle dans la tête. S’ils avaient accordé un peu de respect à l’humain malien ils allaient jamais décider de faire des élections pendant plus de 500.000 maliens sont dans le désarroi réfugié dans les pays voisin sans songer à leurs rapatriement et leurs prise en charge. Réfléchissez avant de marcher parce que nous sommes là civil et militaire a vous barrer la route, nous s’en fou de vos discours on veut faire marcher les choses pas marcher dans la rue vous pouvez marcher jusqu’à Tessalit la vous allez trouver les rebelles que Att a installé royalement ils vont vous rentrer dedans copieusement.
Reine foutre de tes 78 vie par rapport au 14 million de vie des maliens. Il ‘ y a eu combien de malien-ne-s qui se sont sacrifié en 91 pour que le Mali ait la liberté? Je te lis depuis hiers…, mais que tu es limité dans ta réflexion!!!! C’est facile de dormir au Canada et nous balancer ces genres de connerie!!! Dis à ton parent Kaya Sanogo de libérer le plancher!! 😈 😈 😈 😈 😈
Mars 1991, le monde avait cru qu’un pays africain, le Mali était prêt à rompre avec la médiocrité, la pauvreté et surtout avec l’humiliation quotidienne de ses citoyens à travers le monde. Mais c’était sans compter sur la détermination de certains Maliens à maintenir ce pays dans le chaos : il s’agit apparemment d’une situation voulue, créée et entretenue pour permettre à certains de vivre aisément au détriment d’autres (conformément à la loi de la jungle).
Puisque c’est cette direction que vous voulez prendre en laissant s’installer un régime militaire dans votre pays et donc effacer 21 ans de travail pour instaurer la démocratie et fouler au pieds la mémoire des martyrs, alors le monde entier, en commencer par moi vous souhaite bon vent !
Sachez qu’on a tout compris.
Maliens je pense qu’il est temps de regarder devant et non derrière car je vous le dis et je le répète nul ne peut changer le destin d’un homme ou d’un pays. Le temps ATT est derrière, il le sait lui mm, son marabout l’avait prédit c’est son destin trouver une solution pour rassurer un avenir meilleur car il fait partir d’une partie de l’histoire malienne il à jouer un rôle important dans la démocratie malienne il fut le symbole d’une époque du Mali.
Quand à Dioncounda, IBK, Modibo Sidibé, Qu’ils apprennent une chose dans la vie chacun à son temps dans la vie d’une nation d’une société et d’une famille. Leurs temps est révolu (Ils furent les pères de la démocratie avec ATT Alpha Iba et autres… Comme les Modibo, Mamadou Konaté et autres furent les pères de l’indépendance. Quand aux Moussa Traoré et Sekou ly et autres ils furent les dictateurs les pions de la France pour mettre à genou le mali piller ses richesses assouplir la vengeance de la France contre ces pays colonisés)
Maintenant les Jeunes du CNRDRE font partir de cette génération consciente qui à les yeux ouverts. Cette génération qui veut le développement réel de l’Afrique qui est conscient du problème réel de l’Afrique. Ces Jeunes veulent être les pères de l’industrialisation du développement durable de ne plus être la main tendue qui réfléchit à travers la banque mondiale et les partenaires techniques et financiers.
Cette Génération à plusieurs composantes :
La défense et la sécurité : C’est cette pratique de protection de biens, espaces, et personnes. Cette pratique de protection est assurer par des individus d’ambitions différentes (pour inspirer à un développent quelconque il faut la sécurisation de son espace de vie et de travail ainsi sa personne) Sans une sécurisation durable on ne peut pas parler de développement durable d’où l’erreur d’ATT de Modibo Keita. ATT avait oublié la sécurité avec le facteur temps comme je vous ai tjrs dit la sécurité fait partir de l’une des équations à plusieurs inconnues. Att dans son analyse sécuritaire à oublier que la variable nord mali (rébellion touaregs) peut jouer en sa défaveur. ( Sanogo, Konare, Mala, et autre font partir de cette composante)
La politique : c’est l’art de diriger un pays. Cet art est pratiqué par des individus qui ont des ambitions différentes, c’est aussi une équation à plusieurs inconnues. Les hommes politique sont des variables selon leurs ambitions toujours le facteur temps est la aussi. ( cet art à tendance à avoir comme norme internationale le démocratie) (Oumar Mariko, Moussa Mara, Guindo font partir de cette composante
L’économie : c’est les activités que fait un pays pour monnayer ses produits et services. Ces activités sont faites par des individus qui ont des ambitions différentes selon leurs intérêts (Nous Economistes Ingénieurs font partir de cette composante les hommes de l’ombre)
Oui Mr Camara, les maliens soucieux de la sauvegarde de notre pays, doivent se lever comme un seul homme pour barrer le chemin à ses imposteurs. Notre combat n’est pas la défense de ATT mais celle de la nation Mali notre patrie. Alors oui les maliens où qu’ils soient de kidira à Ansongo et même en dehors du pays doivent se lever pour défendre l’esprit et la lettre du 26 mars 2012.
Bonjour
Personne ne t’écoutera, tu dois remarquer que les maliens dans la majorité vague à leur occupation et la vie reprend doucement. ATT a perdu le pouvoir et il ne peut s’emprendre qu’a lui
Chers amis c’est quoi la démocratie?
Est ce qu’un Président parce qu’il a été élu n’a pas l’obligation de respecter son serment? Est ce que les députés laissant un président en exercice faire tout ce qui lui passe par la tête au mepris de son serment n’ont ils pas eux aussi trahit leur peuple? Alors est ce qu’il fallait continuer à fermer les yeux sur ces crimes de haute trahison au nom de je ne sais quelle democratie quand on sait que le bas peuple était exasperé par le laxisme du chef suprême des armées qui se vantait d’être un soldat connaisseur de la guerre au moment au l’armée malienne subissait des revers sur le terrain (près de 2/3 du territoire n’est sous contrôle de l’armée).Manifestement non, la democratie telle que veue en occident n’existe nulle part en Afrique. C’est une curieuse vision de la democratie que ces occidentaux ont réussi en inculquer dans les têtes de certains “intellectuels africains” qui ne voeint pas au dé là du bout de leur nez. Ouvrons nos yeux, pour comprendre que tout civil qui aurait pris le pouvoir suite à des élections organisées dans la situation de deconfiture aurait echouer dans l’exercice de ses fonctions en raison des dissentions au sein de l’armée mais plus grave encore des contestations post electorales inevitables en pareille circonstance pour des mauvais perdants.Qu’on aime pas le pouvoir militaire d’accord mais il n’ y a que ce pouvoir la pour sauver ce qui peut l’être encore au Mali à savoir, la dignité de l’Homme malien et l’intégrité du territoire.Soutenons donc le CNRDR!
C’est pas ATT qui faut defendre, mais la democratie. Ce coup d’état est très mal venu. Le Mali va très mal et on n’est pas loin de l’implosion.
Mais celui qui a ecirt ce torchon est a Addis Abeba, mes chaussures.
MERCI MR ,SEUL LE PEUPLE PEUT SE LEVER POUR CONTRECARER SES MILITAIRES DE LA DERNIERE MINUTE .
LA TETE D’UN HOMME COMPTE PEU DANS NOTRE DEMOCRATIE ON NE PEUT PAS PERDRE CE ACQUI PAR CE QUE ON NE VEUT PAS DE ATT:LES HOMMES VIENENT ET PARTENT MAIS LA DEMOCRATIE DOIT RESTER.
CAR DANS CE CAS POUR L’AVOIR DANS L’AVENIR IL FAUT D’AUTRES SANG.
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