Bien, l’adoption de ce décret qui débaptise le nom de certains avenues, boulevards et rues de Bamako, pour effacer les traces de l’occupation coloniale française !
Le problème, le grand problème, est que figurent dans la nouvelle liste des noms du gouvernement du Mali des djihadistes notoires dont la qualité de Maliens est sujet à débat et qui ont été à l’époque équipés militairement par les colons européens pour venir ravager les territoires de l’actuel Mali, comme ce qu’on voit de nos jours avec les terroristes Ag Gali et Koufa. C’est ce qui a facilité la pénétration militaire coloniale, puisque tous les royaumes et chefferies authentiquement africains avaient été détruits par ces djihadistes.
Par ailleurs, je n’ai jamais compris pourquoi le gouvernement donne à nos écoles, facultés et universités le nom d’événements historiques et de personnes. L’Université des sciences juridiques doit rester l’Université des sciences juridiques, l’Université des lettres doit rester l’Université des lettres. Beaucoup d’étudiants maliens passeront par cet établissement sans lire un seul livre de Yambou Ouologuem mal distribué au Mali ou sans apprécié l’œuvre littéraire de notre compatriote.
Le décret de dénomination des places, voies et établissements publics qui est entré en vigueur ne doit pas nous faire perdre le sens de la reconnaissance a ceux qui le méritent vraiment, même s’ils sont d’origines occidentales.
Il y a parmi eux certains qui ont oeuvré en bien pour notre pays, donc la patrie ne doit pas leurs arracher sa reconnaissance.
N’oublions pas que d’illustres Maliens peuvent aussi bénéficier d’une reconnaissance pareil a l’étranger.
Comme le bel exemple du stade Salif Keïta (Domingo) de Cergy en France.
Même si on aime le lièvre, on doit reconnaître qu’il a de grandes oreilles.
Bien, l’adoption de ce décret qui débaptise le nom de certains avenues, boulevards et rues de Bamako, pour effacer les traces de l’occupation coloniale française !
Le problème, le grand problème, est que figurent dans la nouvelle liste des noms du gouvernement du Mali des djihadistes notoires dont la qualité de Maliens est sujet à débat et qui ont été à l’époque équipés militairement par les colons européens pour venir ravager les territoires de l’actuel Mali, comme ce qu’on voit de nos jours avec les terroristes Ag Gali et Koufa. C’est ce qui a facilité la pénétration militaire coloniale, puisque tous les royaumes et chefferies authentiquement africains avaient été détruits par ces djihadistes.
Par ailleurs, je n’ai jamais compris pourquoi le gouvernement donne à nos écoles, facultés et universités le nom d’événements historiques et de personnes. L’Université des sciences juridiques doit rester l’Université des sciences juridiques, l’Université des lettres doit rester l’Université des lettres. Beaucoup d’étudiants maliens passeront par cet établissement sans lire un seul livre de Yambou Ouologuem mal distribué au Mali ou sans apprécié l’œuvre littéraire de notre compatriote.
Le décret de dénomination des places, voies et établissements publics qui est entré en vigueur ne doit pas nous faire perdre le sens de la reconnaissance a ceux qui le méritent vraiment, même s’ils sont d’origines occidentales.
Il y a parmi eux certains qui ont oeuvré en bien pour notre pays, donc la patrie ne doit pas leurs arracher sa reconnaissance.
N’oublions pas que d’illustres Maliens peuvent aussi bénéficier d’une reconnaissance pareil a l’étranger.
Comme le bel exemple du stade Salif Keïta (Domingo) de Cergy en France.
Même si on aime le lièvre, on doit reconnaître qu’il a de grandes oreilles.
Adieu la FrancAfrique et adieu la FRANCEDEAO!