Encore hier mercredi 31 mai, des écoles et mairies de Sah et de Guidjo-Saré, dans le cercle de Youwara, région de Mopti, ont été saccagées et incendiées par des hommes armés. Le Parti pour la Renaissance Nationale (Parena) revient à la charge pour dénoncer cette insécurité et ses conséquences dans le centre du Mali.
Dans son dernier communiqué sur la situation au centre du pays, le PARENA condamne énergiquement les destructions d’écoles perpétrées par des hommes armés dans la région de Mopti. Selon le Parena, « ces actes de violence d’un genre nouveau confirment, s’il en était besoin, l’aggravation de la situation dans cette partie du territoire malien. » Le parti du bélier blanc dénonce, aussi, le fait que « près de 300 écoles sont fermées dans la région de Mopti, plusieurs milliers de jeunes sont ainsi jetés à la rue à la merci des terroristes ». «Devant une crise d’une aussi grande amplitude, la réponse des autorités nationales est plus que décevante», déplore le Parena.
Pour le Parena, «ces actes de violence d’un genre nouveau confirment l’aggravation de la situation dans cette partie du territoire malien». Le Parena a, finalement, appelé «le gouvernement à sortir de l’immobilisme, à tenir compte de la gravité de la situation et à agir de manière à assurer la sécurité des biens et des personnes».
COMMUNIQUÉ DU PARENA SUR LES DESTRUCTIONS D’ÉCOLES DANS LA RÉGION DE MOPTI
Le PARENA condamne énergiquement les destructions d’écoles perpétrées par des hommes armés dans la région de Mopti.
Ces actes de violence d’un genre nouveau confirment, s’il en était besoin, l’aggravation de la situation dans cette partie du territoire malien.
Le PARENA réaffirme sa vive inquiétude face à la crise de la gouvernance et de la sécurité au Centre. Des dizaines d’incidents armés ont provoqué, entre janvier et la mi-mai, la mort 135 personnes dont plus de 40 militaires maliens.
Près de 300 écoles sont fermées dans la région de Mopti, plusieurs milliers de jeunes sont ainsi jetés à la rue à la merci des terroristes.
Devant une crise d’une aussi grande amplitude, la réponse des autorités nationales est plus que décevante.
C’est ainsi que, malgré les milliards de dotation budgétaire au profit de la défense et de la sécurité, une dizaine de brigades de gendarmerie du Centre n’ont pas un seul véhicule. Le véhicule du peloton de garde de Ténenkou, calciné en 2016, n’est pas remplacé. Quelle inqualifiable irresponsabilité?
Le PARENA invite le Gouvernement à sortir de l’immobilisme, à prendre la mesure de la gravité de la situation et agir de manière à assurer la sécurité des biens et des personnes.
Bamako, le 30 mai 2017
P/ Le Comité Directeur
Le Secrétaire à la Communication.
Dommage et très désolant de voir l’avenir du Maliba hypothétiqué surtout celui de nos enfants par nos dirigeants laxistes, lamentables et pourris.
L’éducation, la santé et autres services sociaux ils s’en foutent.
1- la santé est le dernier leurs soucis car aucun d’eux ni d’elles ne se soignent dans nos hopitaux et partent se faire des soins à l’étranger aux frais du contribuable et avec leurs délégations et familles qui les accompagnent. Des milliards de fcfa pour eux gratuit. Alors nos hôpitaux peuvent être très bien équipés avec ces sous.
Pourquoi pas une loi pour interdire à nos dirigeants d’utiliser l’argent du contribuable avec leurs délégations et familles à côté d’utiliser notre argent à leurs fins personnels ? A discuter et voyons une loi a investir ces sommes à nos soins de santé.
2- l’éducation c’est pareil. IBK lui même dans les 90 l’a craché aux visages des maliens et maliennes que leurs enfants et ceux des richissimes iront étudier à l’étranger. Donc que si les élèves et étudiants veulent rentrer en classes pour étudier qu’ils le fassent. Sinon tant pis pour eux.
Je pourrais en citer des dizaines.
Vivement à la poubelle tous ces prédateurs racailles et vampires de politicards tant pouvoir que de l’opposition à nos depotoirs pour que le peuple refasse du nouveau et imposer le vrai changement.
Sinon avec ces pseudo démocrates racailles vampires du pouvoir que de l’opposition ne feront pire en pire en pire.
Croyez moi car ça été démontré de AOK à IBK aujourd’hui en passant par ATT.
Voila le resultat lorsqu’on vote pour un IRRESPONSABLE, INCONSCIENT et INSOUCIANT.
Tout ce qui compte pour le VAURIEN TOTO VOLEUR VENTRU IVROGNE c’est la SATISFACTION DE SA BOULIMIE DU LUXE. Il n’a rien à foutre de la misère des maliens.
D’ailleurs LES MALIENS LE DEGOUTE. Pour preuve il a préférée assister à la conference inutile culturel d’azerbaijan au lieu de rendre hommage au 8 soldats tué à asongo.
Une chose est sur, ceux qui pense qu’en 2018, ce DECHET POURRITURE IMMONDE va perdre les élections se trompent lourdement, car il va faire du BOURRAGE D’URNES.
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Gloire perpétuel à KLELA BABA. Que soit benit son nom, sa vie, sa source et sa lumière.
Vive le GANJISME, vive la science universelle !
M Goboro,sachez IBK s’en fout de la région de Mopti sinon la situation est plus désastreuse au centre qu’au Nord. Nous avons un président déboussolé, désorienté,désemparé;il ne sait plus sur quel pied danser.Il fallait qu’il soit élu pour que beaucoup de ses militants sachent que c’est une loque.Les militaires qui ont contribué à son élection continuent de mourir au Nord,au centre et un peu partout,pourquoi ne pas le renverser et chercher un autre “kankelentigui” Quant au marabouts escrocs de Bamako,ils ont même voté pour ce goujat dans les mosquées afin qu’il soit élu ; on a entendu les putschistes de Kati dire ceci : “koronfela si Tina an mara blen ,non y’a baanen ye” et ils oublient que sa femme est une “koronfela” et il y’a beaucoup de “koronfela” qui occupent des postes juteux. D’ailleurs lors des élections municipales passées, IBK n’a pas gagné à Kati.Chers maliens la chanson intitulée “yabe 2012” de Mylmo,il a tout dit.Si vous pensez que je suis anti-IBK,détrompez-vous. Mais je sais qu’il y’a beaucoup de passionnés et moi je ne le suis pas.Le Mali ne contrôle que 1 tiers de son territoire et d’autres se permettent de dire que ça commence à aller
J’invite le PARENA à sortir de l’immobilisme. Les déclarations ne suffisent plus, le gouvernement d’ibk n’entend que le langage de la rue. Il faut agir. Tant que IBK et sont gouvernement restent en place la situation du Mali ira que de pire en pire. La société civile doit enfin sévir.
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