Initialement prévues les 4 et 18 février 2024, pour les deux tours, la présidentielle devant marquer la fin de la Transition et le retour des civils au pouvoir a été reporté le 25 septembre 2023 pour une date inconnue. Il ne s’agit pas du seul scrutin en souffrance puisque les autorités ont renoncé par la même occasion à l’organisation des législatives prévues fin en 2023. Selon le communiqué y afférent, le gouvernement « décide d’organiser exclusivement, l’élection présidentielle pour sortir de la Transition… les autres élections feront certainement l’objet d’un autre chronogramme qui sera établi par les nouvelles autorités, sous les directives du nouveau président de la République ».
Seulement voilà : annoncé comme « un léger report pour des raisons techniques », quatre mois après aucune date n’est encore retenue. Cela, malgré l’adoption en 2023 de la nouvelle constitution et la révision annuelle des listes électorales qui, en principe, prend fin en décembre de chaque année. Le seul problème est vraisemblablement lié au litige avec une société française, Idemia, qui, selon des confidences, n’est autre que pécuniaire. Où réside en définitive le blocage quant à un nouveau chronogramme des élections ? Malin qui pourrait le dire. En attendant, le Mali court le risque d’un nouvel embargo susceptible de le couper à nouveau des ports d’approvisionnement. C’est du moins ce que laisse penser le silence de la Cedeao. En effet, depuis l’annonce de ce léger report, l’organisation sous régionale n’en a fait le moindre commentaire alors que ses décideurs se sont réunis en conclave à deux reprises au moins. Contre toute attente, et comme pour dire que la Cedeao n’acceptera aucune nouvelle date pour le retour à l’ordre constitutionnel après deux reports, la démarches des autorités maliennes a été mise sous le boisseau, lors du dernier sommet consacré aux quatre pays de la communauté sous régime militaire.
Comme quoi, il n’est pas exclu que la Cedeao n’attende que de constater la non-tenue de la présidentielle pour infliger de nouvelles sanctions à un pays qui tire le diable par la queue ou presque. Et, à l’instar de l’embargo de 2022, les sanctions qui s’annoncent pour 2024 pourraient, en plus de ne plus reconnaitre les autorités de la transition, s’étendre à une fermeture totale des frontières avec le Mali, la suspension des échanges commerciaux, l’arrêt des aides financières et le gel des avoirs du Mali à la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). Les autres pays membres pourraient tout aussi rappeler leurs missions diplomatiques accréditées auprès Mali. Quelle qu’en soit la tournure éventuelle, la sanction qui guette le Mali sera catastrophique pour les citoyens d’un pays où les vaches sont désormais mortes de maigreur avec cherté insupportable de la vie. Et, pendant que les Maliens se préoccupent plus de survivre que de vivre, certaines indiscrétions annoncent même des banques de la place à court de liquidité.
Amidou Keita
To speak of politics plus refer to United States Trump won his party general election to represent Republican Party of state of Iowa. It was bought to my attention how much Ron DeSantis is reminder of young Joe Biden. See some of news highlight from decades past. You might find them on YouTube. Is Marjorie Taylor-Green best vice president running mate for Trump? Many believe her presence would ascertain Trump presidential win. Trump intend to win!
Henry Author Price Jr aka Kankan
“…Les autres pays membres pourraient tout aussi rappeler leurs missions diplomatiques accréditées auprès Mali. Quelle qu’en soit la tournure éventuelle, la sanction qui guette le Mali sera catastrophique pour les citoyens d’un pays où les vaches sont désormais mortes de maigreur avec cherté insupportable de la vie. …”
IL Y A LA TERRE ET L’EAU EN GOGO AU MALI. RIEN NOUS EMPECHE DE CULTIVER POUR NOUS NOURRIR. LE PAYSAN DE OUSBIDJANDJAN SE FOUTE PAS MAL DES SANCTIONS DE LA CEDEAO.
Amidou Keita un autre troll de la maudite France et un écervelé au service des politiciens apatrides Maliens. Il faut que ce soit clair pour toi que le Mali n’hésite devant aucun problème de decider de son future et surtout nous n’allons pas faire plaisir a qui que ce soit si ce n’est pas le peuple Malien! La CEDEAO est instrumentalisée par la maudite France alors nous sommes avec nos freres et amis de l’AES, la Russie, la Chine, l’Iran, la Turquie et la Guinee alors nous avons peur de quoi que ce soit