Nouveaux échanges ONU-UA-CEDEAO sur l’envoi de troupes au Mali
Le Conseil de sécurité des Nations Unies a de nouveau échangé vendredi avec des représentants de l’Union africaine (UA) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) sur la question de l’envoi d’une force internationale au Mali.
Une feuille de route détaillée comprenant l’effectif, le coût et les modalités de déploiement de cette force a été à cette occasion présentée par les deux organisations africaines, a-t-on indiqué de source malienne sans plus de précision.
A l’issue d’une première rencontre tenue 48 heures plus tôt au siège des Nations Unies à New-York, le Conseil de sécurité avait évité de se prononcer sur le sujet avant d’y voir plus clair.
Le plan africain d’intervention au Mali vise à déployer des troupes sous la bannière de l’ONU afin de « sécuriser » les institutions de transition et, au besoin, d’aider à pacifier les régions Nord du pays sous contrôle de groupes rebelles et terroristes.
Pays en crise, le Mali connaît un tripartisme marqué par la présence d’une junte et la nomination du président du parlement, Dioncounda Traoré, comme président par intérim à la tête d’un gouvernement dont il n’a pas désigné le premier ministre.
Alors que la force internationale est réclamée par les partisans de Dioncounda, une telle perspective n’emballe pas outre mesure les deux autres parties, en particulier la junte, qui a affirmé y voir une possible future force d’interposition.
Les forces gouvernementales n’ont besoin que d’appui logisitique pour reconquérir la partie du territoire tombée aux mains des groupes rebelles et islamistes, a notamment déclaré Bakary Mariko, porte-parole de la junte.
AT//od/APA
2012-06-16 08:02:53
Une feuille de route détaillée comprenant l’effectif, le coût et les modalités de déploiement de cette force a été à cette occasion présentée par les deux organisations africaines, a-t-on indiqué de source malienne sans plus de précision.
A l’issue d’une première rencontre tenue 48 heures plus tôt au siège des Nations Unies à New-York, le Conseil de sécurité avait évité de se prononcer sur le sujet avant d’y voir plus clair.
Le plan africain d’intervention au Mali vise à déployer des troupes sous la bannière de l’ONU afin de « sécuriser » les institutions de transition et, au besoin, d’aider à pacifier les régions Nord du pays sous contrôle de groupes rebelles et terroristes.
Pays en crise, le Mali connaît un tripartisme marqué par la présence d’une junte et la nomination du président du parlement, Dioncounda Traoré, comme président par intérim à la tête d’un gouvernement dont il n’a pas désigné le premier ministre.
Alors que la force internationale est réclamée par les partisans de Dioncounda, une telle perspective n’emballe pas outre mesure les deux autres parties, en particulier la junte, qui a affirmé y voir une possible future force d’interposition.
Les forces gouvernementales n’ont besoin que d’appui logisitique pour reconquérir la partie du territoire tombée aux mains des groupes rebelles et islamistes, a notamment déclaré Bakary Mariko, porte-parole de la junte.
AT//od/APA
2012-06-16 08:02:53 Quelle est votre réaction ?
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Tres Fache aux USACette declaration de Bakary Mariko, est qu 'en meme naif."Les forces gouvernementales n’ont besoin que d’appui logisitique pour reconquérir la partie du territoire tombée aux mains des groupes rebelles et islamistes" Les militaires on pu defendre leur camp a Kati contre les beret rouge. Ils se sont battu farrouchement jusqu a la fin. Pendant deux mois c'est pas les blindes qui ont manque a Bamako. Je ne sais pas quel genre de logistic ils ont besoin. Si reellement c'est le cas, Ils n' ont qu a publier leur demande de logistic pour faire la guerre, les maliens ferront tout pour leur procurrer. Ceux qui veulent s'entre tuer a Bamako pour le pouvoir aller s' y. Mais de grace laisser les autres militaire africains venir liberer les terre parents nos patrie. On dirais ces militaires de la CNDRE n' ont rien appris de l histoire. Les militaires qui se melle de la politique finisse toujours par s' entre tue et laissee leur famille souffrir. Cela a toujours ete vrais. -
Tres Fache aux USAC'est vraiment regretable. Les chef d'etat africains d' aujourdhui ca fais honte. On veux toujours l' avale des autres pays meme pour defendre les terres que nos ancetres se sont battus pour nous laisser. C' est normal que l' ONU n' acceptera jamais une intervation militaire parce que c'est un pays africains qui est occupe. Attender qu' un terroristre rentre dans leur Headquater a New Year pour faire des demandes. On verra s' ils vont negocier avec le bandit arme. Les africains doivent compendre qu' ensemble on represente une impuissance economique et militaire et les autres puissances le savent. On n'a besoin d'avale de personne meme l' ONU pour defendre nos terres. Donnons nous les mains, luttons ensemble et demandont le respect meme s' ils faut mourrir ensemble. C'est ce que les autres nations attendent de nous. Tres fache a Washington
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TBarouBon Frère, avec cette situation du Mali, a force de s'y prendre et d'y penser vous pourriez tomber malade. J'en connais deja. En premier lieu, c'est aux Maliens de comprendre que personne n'ira faire cette guerre a leur place. S'ils veulent sortir en heros apres cette situation plus que honteuse et desolante ca serait apres la guerre et dans cette guerre il y aura malheureusement des sacrifices de toutes sortes a payer. Sinon l'ONU a l'obligation non seulement morale mais aussi legale d'aider le Mali. C'est l'ONU qui a donner l'accord pour attaquer la Libye et assassiner Gadhafi. La Libye est actuellement dans la merde totale. En dernier point le pouvoir du General ATT n'avait pas la capacite de dirriger ce pays. Il n'avait aucune politique strategique(les Nigeriens, Mauritaniens l'ont bien fait) sur la situation dont le monde savait que tot ou tard c'allait explorer quelque part au Mali; au Nord ou a Bamako. Malheureusement il y a eu une implosion simultannee qui a emporter l'etat et la democratie malienne avec elle. C'est dommage. God Bless Mali.
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saboLe representantdu mali a l'onu Mr n'daou est nul,la mission du mali a new york a besoin d'un visage nouveau.Ils sont ici par complaisaisance.
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kossasoit l'onu accepte ou le mali n'a qu'a se retirer de l'organisation,un point un trait...
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IbrahimSecond phase of Alassane way of thinking, clean the house and bring true workers to get the job done. Alassane and his team are managing the West African struggle very well. The world is changing, West Africa is changing and the only way out is the implementation of true and accurate management. There is no magic to get results, Alassane Ouattara’s one year presidency produced results never before seen in the whole of African political history. Mr. Ouattara took his nation from craziness to happy home. If everyone is real like Alassane, West African youth will stay in Africa and eat their futu at night. You know why? Because they will have all the tools they need to succeed at home. Lastly, Timbuktu the pearl of Mali is still under siege and I hope the international community will back up Alassane (BCEAO) proposal to bring peace and prosperity to West Africa. At the end of the day Conakry has prospered, developed and stable, Abidjan, Dakar, Ouaga, etc… the party will end in Bamako.
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Dans combien de temps l'armée malienne pourra être prête: 10 ans ?L'armée malienne en dix ans ne pourra pas libérer le Nord à elle seule. Il n' y a pas d'armée mais une bande de salariés qui panique dès qu'elle est déployée au Nord. Certains internautes ne savent pas de quoi ils parlent. Beaucoup de nos BRDM et armes sont détenus par les hommes de Iyad Ag Agali et les rebelles puisque nos militaires les avaient abandonnés en fuyant le champ de guerre. Même les vivres destinés au ravitaillement des militaires était remis aux ennemis. Gonogo le 1er sinistre manipulé par le CNRDE veut utiliser l'idée de reformer l'armée pour tuer le temps et s'éterniser au pouvoir avec ses alliés du CNRDE. Ils veulent seulement de l'argent et du matériel. L'intervention d'une force internationale est indispensable au Mali- Le 1er ministre fait tout pour l'empêcher pour des raisons inavouées. L’armée malienne n’est pas capable de libérer le Nord du Mali sans l’intervention d’une force internationale. Dès que les soldats maliens atterrissent dans le désert, ils sont psychologiquement vaincus. Tous comptent sur le colonel Gamou qui était avec ATT. Malheureusement le CNRDE et le gouvernement qui sont complices et leurs alliés font tout pour empêcher l’intervention d’une force internationale. Leurs raisons inavouées sont bien connues. En effet, ils savent que la force internationale visera aussi à sécuriser les organes de transition qui n’existent actuellement que de nom et sans pouvoir. Ils sont également soucieux de maintenir le climat actuel qui milite à leur faveur. De fait, les objectifs du 1er ministre Diarra et de son allié Sanogo sont clairs: récupérer la transition en retardant son processus jusqu’à un moment favorable à Sanogo pour présider le Mali, maintenir Djoncounda qui les gêne à l’écart, tromper la communauté internationale en leur faisant croire au rétablissement de l’ordre constitutionnel, empêcher l’intervention d’une force internationale, mettre hors d’état de nuire leurs ennemis communs comme les militaires et leaders politiques sensés nuire à leur règne,… La réforme de l'armée vise à donner carte blanche à Sanogo pour éliminer les militaires qui n'avaient pas applaudi son putsch et à mettre leurs hommes. C'est la chasse aux sorcières. Si on suit le 1er sinistre, le Sud du Mali (car le Nord ne peut pas connaître pire) héritera d'un pouvoir monstre, pire que le régime de Moussa Traoré son beau père, pire que celui d'Alpha qui a écrasé l'ADEMA pour installer ATT dont le régime a fini dans ce chaos.
