Les présidents des groupes parlementaires membres des partis politiques dûment représentés à l’Assemblée Nationale se sont envolés samedi pour Ouaga au Burkina Faso.
Avec le médiateur et non moins chef d’état du pays hôte, il a été question de la suite à donner à la gestion de la Transition, mais aussi et surtout de la mise en place d’un gouvernement inclusive et cela avant le 31 juillet. Une équipe gouvernementale largement dominée par les partis politiques représentés. Cheick Modibo Diarra avait crû bon de diriger un gouvernement qui pourrait résister à l’épreuve du temps et des intempéries politiques en mettant de côté les partis politiques du pays, fer de lance de toutes activités nationales.
Dressant un bilan frisant le chaos, l’homme clé de la restauration, malheureusement a fini par se convaincre que rien de bon et de sérieux ne pourrait se faire sans ces grosses mastodontes que sont l’Adema, l’URD, le PDES, le Parena, etc… En conclusion, il a fini par se rendre à l’évidence, avant d’aller à leur rencontre. Ces partis ne sont pas allés par le dos de la cuillère, en demandant la dissolution pure et simple de ce gouvernement sans âme, ignorant totalement les réalités socio- politiques nationales à un moment où, le pays se trouve amputer des 2/3 de son territoire.
Que deviendrait le ‘’PM’’ dans tout ça ?
Selon certaines sources proches des partis politiques, notamment ceux du FDR, Cheick Modibo Diarra a totalement et définitivement perdu grâce aux yeux des Maliens. Sa gestion politique de l’intérim de la présidence de la république, gestion sous tendue par ses mauvais choix, ses atermoiements, l’ont totalement disqualifié. Pire sa complicité avérée dans l’attentat contre le chef de l’état, une complicité qui s’explique par son manque criard du sens de l’anticipation et son ridicule béni- oui – ouisme ont failli plongé le sud dans un indescriptible chaos socio – politique favorisant du coup, le resserrement des rangs des troupes rebelles, lesquelles, profitant de l’atmosphère de plongeon total de l’état fortifièrent leur position. Ces tares s’il faut les qualifier ainsi font qu’il lui serait difficile de rester à la tête du nouveau gouvernement, à moins d’une extraordinaire concession politique. Mieux, qu’est-ce qui nous dit, que le président de la république, Dioncounda Traoré, quoique très magnanime, accepterait de travailler avec un ‘’ PM’’ que lui Dioncounda et la quasi-totalité du peuple du Mali taxent depuis de ‘’PM’’ putschiste’’
Mais au-delà de toutes les considérations citées plus haut, le bon bamanan que Cheick Modibo Diarra reste, doit de lui-même rendre le tablier, le meilleur mea culpa.
Sory de Moti
Accueil CEDEAO
A bât tous ces politicards qui veulent détruirent le Mali pour leurs propres intérêts.Ce gouvernement restera bel et bien et ne bougera pas d’un niota pour laisser la place aux ennemies du peuple que sont les FDR,ADEMA et les autres porcs.Vous qui avez brûlé notre pays,si jamais vous essayez encore de revenir on vous brûlera tous vif.Ce pays na plus besoin des gens comme vous.Laisser ce gouvernement travailler tranquillement,tous les maliens savent bien qu’il faut bien organiser l’armée pour ouvoir faire face aux apatrides du nord et leur complices politiciens de bamako.Alors de grace laissez en nous en paix.
C’est qui ce débile sory de moty à la solde du FDR ? Combien le FDR t’a donné pour écrire de pareilles idioties ? Sory , tu fais honte au métier de journaliste avec tes idées de pyromane .
11 juillet 2012 – 04:42
C’est lamentable ce qui arrive au Mali. Que le COREN aille au diable, organisation politique non pas pour les populations du nord mais pour ceux la même qui ont été chassé du pouvoir : la bande de voleurs du FDR dont le chef suprême se trouve au Senegal et son adjoint parti se soigner en France. Les va t en guerre savent pertinement que l’armée malienne ne peut gagner dans l’immédiat cette guerre. Mais en réalité ces apatrides veulent la disparition totale de l’armée pour leur intérêt personnel. Mais il ch Allah, l armée malienne va gagner cette guerre mais elle se prépare et aucun soldat de la cedeao ne va mourir pour le Mali. Vous allez voir, une fois les forces de la Cedeao au Mali, elles seront une force d’ interposition entre l’armée malienne et les bandits. Même si notre armée a la possibilité de prendre le dessus: ce sera peine perdue. La France a mandaté la Cedeao pour faire libérer ses otages. Si les maliens soutiennent leur armée qu’ ils la fassent sinon ne comptons pas sur les autres. S’ils voulaient libérer le nord déjà cela avait été fait. Le Burkina a t il demandé au Mali une autorisation pour récupérer le chef du MNLA blessé? Non. Si la Cedeao avait la volonté de le faire, elle n’a pas besoin de venir a Bamako, elle connait la route du nord Mali.
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