OUAGADOUGOU, 17 mai (Xinhua) — « Les négociations pour une sortie de crise apaisée au Mali reprennent du chemin ce week-end », a annoncé au cours d’un point de presse, jeudi à Ouagadougou, les médiateurs de la CEDEAO.
Faisant le bilan de la médiation du président burkinabé Blaise Compaoré au Mali et à quelques jours du délai de 40 jours d’intérim de Dioncounda Traoré à la tête de la république du Mali, M. Djibril Bassolé a laissé entendre que le délai de 40 jours pour organiser l’élection présidentielle au Mali ne saurait être considéré comme la durée limite du mandat de M. Traoré.
L’organisation de l’élection présidentielle s’avérant matériellement impossible dans les conditions actuelles, le représentant du médiateur estime qu’aucune disposition de la constitution malienne ou de l’Accord-cadre ne permet de changer Dioncounda Traoré avant l’élection d’un nouveau président.
A cet effet, la médiation recommande au gouvernement du Mali de saisir la Cour constitutionnelle afin qu’elle se prononce sur la question. Elle invite par ailleurs, le CNRDRE de concilier sa position avec celle de la CEDEAO et à s’inscrire dans le respect des institutions républicaines.
Malgré les incidents malheureux qui ont perturbé le fonctionnement régulier des institutions républicaines, la médiation considère que le Mali a renoué avec la normalité constitutionnelle.
C’est pour consolider cet acquis que le président burkinabé Blaise Compaoré, médiateur de la CEDEAO entame ce week-end les concertations avec l’ensemble des acteurs de la crise malienne.
Blaise Compaoré a également entrepris des concertations en vue d’élaborer un agenda de sortie de crise impliquant les mouvements armés du Nord Mali », a indiqué M. Djibril Bassolé.
« La CEDEAO rejette également toute idée d’organiser une convention nationale pour désigner un président de la république par intérim après les 40 jours comme le réclame le CNRDRE », a dit M. Bassolé, ajoutant que pour la CEDEAO, les institutions républicaines sont déjà en place.
« Nous avons un président de la république dûment installé qui ne demande qu’un peu plus de temps pour conduire le pays à des élections présidentielles libres et acceptées de tous », a souligné M. Bassolé.
Selon lui, c’est une interprétation de la communauté toute entière et toute autre formule qui est différente de l’élection du président au suffrage universel direct et qui a pour objectif de démettre le président par intérim actuel de ses fonctions pour trouver, désigner et nommer à sa place un autre président ne pourra pas être acceptée.
Publié le 2012-05-18 10:15:17 | French. News. Cn
Ah… mon frere “Malien”, je pense que tu as raison; moi meme Malien comme moi hein… j’accepte ton analyze
Je suis profondement deçu du comportement des politiciens du Mali. Primo, ivres par leur comportement de mafieux, ils espèrent que le Burkina, un pays contre lequel nous avons méné une guerre avec des cicatrices encore ouvertes, va nous devenir un pays ami jusqu’à nous aider sincèrement dans la resolution de nos problèmes; erreur, il ne fera que nous pousser au fond du gouvre, l’histoire nous en dira davantage le Mossi est foncièrement rancunier, ADO en est une parfaite illustration. Secondo, nos politiciens détruisent leurs pays en remplaçant la construction des humains par celles de blocs de betons, en détruisant tous nos repères moraux, en amenant ce peuple à n’adorer que la facilité et le culte de la megalomanie. Puis ils sortent sans vergogne déclarer à tous va que seule leur arrogance et leur ignorance sont les solutions des problèmes de ce pays, que sans eux ils n’ya point de lendemain, pitié quand même pour ce pays qui vous a tout donné. Ils savent qu’ils valent pas grande chose et n’ont rien de sérieux à proposer que de marchander pour assurer leur bièrre et leur confort personnel alors ils refusent une concertation avec des maliens. Sinon en bons Maliens, vous vous présentez vous avancez vos arguments pour éclairer les lanternes(si vous etes crédibles). Pour le choix du Président quoi de mal à choisir un autre plus crédible surtout que Sanogo ne fait plus de sa présidence une exigence. A moins qu’on me dise que si les Maliens vont à la convention, personne ne peut dire la moindre vérité à Sanogo, si c’est le cas c’est qu’il n’ya plus d’espoir pour ce Mali. Tous le savent, avec un Dioncounda, le rearmement moral des Maliens(condition sinequanun de notre reussite) ne sera qu’une illusion perdue. je veux me faire une raison mais la réalité est que Mr Dioncounda, n’inspire confiance à personne et ce monsieur nous a maintes fois démontré ses carences et son manque d’engagement. Alors de grace, que nos politiciens aient pitié du Mali, nous n’avons plus rien à donner et à attendre de la bande actuelle. Que la CEDEAO sache que si ce pauvre Mali est détruit beaucoup d’autres pays vont en souffrir. Je sais que de plus en plus de Maliens jugent outrageant ce qu’on nous fait subir.
Sanogo et sa petite bande la ont conduit un coup d Etat pendant qu’une grande partie de l’armée et de l’arsenal de défense étaient au Nord du pays!!1 Coment traite ATT de Laxiste lorsque lui-meme (SANOGO)ne fait que fanfaronner a KATI ???
IL N’Y A QUE LE VIOL QUI Y MANQUE POUR DEPASSER LE MNLA, ANSAR DINE AQMI ET TOUS LES AUTRES CAFARDS REUNIS.
!!!!!!!!!!!!!!!!ATTENTION AU KHMERS VERTS MALIENS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
“Mutinerie, atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat, atteinte à la sûreté extérieure de l’Etat, destruction d’édifices, opposition à l’autorité légitime, violence et voies de fait, embarras sur la voie publique, homicide volontaire, homicide involontaire, coups et blessures volontaires, blessures involontaires, enlèvement de personnes, arrestations illégales, séquestrations de personnes, dommage volontaire à la propriété mobilière et immobilière d’autrui, incendie volontaire, pillage, extorsion et dépossession frauduleuse, vol qualifié, vol, atteinte à la liberté du travail, atteintes aux biens publics « .
!!!!!!!!!!!!!!HONTE AUX MILITAIRES QUI SE CACHENT A KATI, BAMAKO, SEGOU, KOULIKORO SIKASSO… ALORS QUE LES 2/3 DE LEUR PAYS SONT OCCUPES!!!!!!!!!!!!!!!
En négociant avec le deux tiers du territoire occupé, on sera davantage humilié , bafoué et dimunié, le Mali ne mérite pas ça . La reconquête du territoire est un combat qu’on doit méner au prix de notre sang, sinon ce serait la honte pour notre pays. En restant statique et immobile câd ne rien faire , c’est la communauté internationale qui va décider à notre place et chaque acteur de la scène internationale a son agenda caché. Ce combat ne sera pas mené par la CEDEAO, mais par les maliens eux-mêmes avec ou sans l’appui des pays amis . Il faut juste un sursaut national, nous avons la capacité et c’est une question de volonté . J’ai la ferme conviction que c’est un défi qu’on peut relever et qui est à notre portée. En menant ce combat un nouveau Mali va naitre, un Mali plus confiant, un Mali plus fort et plus prospère . On ne négocie pas en position de faiblesse , prenons notre destin en main.
dioncounda tu a bien fait reste sur ta position nom a la convention nationnal
le peuple du mali na pas besoin de convention le peuple du mali veut que sanogo degage avec ses bidase sinom le 21 ou le 22 a minuit cest le peuple qui va degager sanogo comme moussa traore a ete degager
sanogo est personna nom gratta en republique du mali cest fini pour lui
le compte a rebour a commencer j – 3
vous pouver amistier la junte a la malienne entre vous mais le peuple sen fout de lamestie il vont etre juger et pendue haut et cour qaunt il sortiront ont les connait tout
et si la communauté dite internationale va à contre courant de la majorité des Maliens que peut -il se passer?
LE MALI EST MORT DEPUIS LONGTEMP.LE LINGE SAL NE SE LAVE PLUS A LA MAISON AU MALI.QUELLE HONTE POUR NOS DIRIGEANT.LE PROBLEME DES MALIENS DOIT SE DISCUTER AU MALI APRES TOUT LE MALI EST UN PAYS INDEPENDANT OUI OU NON MEME SI LE MALI EST MEMBRE DE LA CEDEAO.DIONCOUNDA=ATT=CEDEAO
Les maliens n’ont qu’à ce rendre à l’évidence: toute la communauté internationale est aujpurd’hui derrière la CEDEAO. S’opposer à cette organisation reviendra à se mettre dos toute la communauté internationale, et cela vaudra ce que ça vaut pour un pays pauvre dépendant de l’aide extérieure. Pour ceux qui continuent à parler de souveraineté lorsqu’il est question de la CEDEAO, ils doivent comprendre simplement qu’ils ne connaissent même pas le fonctionnement de leur propore pays. Par ailleurs, à partir du moment où l’armée nationale a fui devant un petit groupe de rebelles, quelque soit la sophistication de l’armement de ces derniers, devrions-nous encore parlé de souveraineté ou de fierté nationale? Je pense que nous devrions pour le moment troquer notre fierté nationale contre le minimum vital pour nos frères des trois régions nord.
Ah… mon frere « Malien », je pense que tu as raison; moi meme Malien comme moi hein… j’accepte ton analyze
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