Le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), un groupe rebelle touareg indépendantiste, doit désarmer et la question de ce groupe ne doit pas constituer un facteur de blocage pour le dialogue inclusif au Mali, a affirmé vendredi Kadré Désiré Ouédraogo, le président de la commission de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest (CEDEAO), lors d’une réunion à Bamako.
Dans le cadre de la libération des grandes villes du nord du Mali entamée depuis fin janvier, à l’exception de celles de Gao, Ansongo, Ménaka, Tombouctou, entre autres, l’armée malienne n’est présente pas à Kidal au motif que le MNLA “ne veut pas qu’elle y soit”.
A l’ouverture de la 4è réunion du groupe de soutien et de suivi sur la situation au Mali, le président de la commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo, a affirmé que “la situation ambigüe qui semble prévaloir dans la région de Kidal avec les exigences persistantes du MNLA devrait interpeller les membres du groupe de soutien et de suivi”.
“Pour la CEDEAO, aucun groupe scissionnistes ne doit exister (..), le MNLA doit donc désarmer et accepter de dialoguer avec les autorités maliennes”, a précisé Kadré Désiré Ouédraogo.
“A cet égard, nous demandons à la communauté internationale et aux forces alliées de faciliter le déploiement des forces de défenses et de sécurité maliennes sur toute l’étendue du territoire tout en oeuvrant à l’ouverture des discussions politiques avec toutes les parties qui s’ inscrivent au plan de paix de la communauté internationale”, a ajouté M. Ouédraogo.
Par ailleurs, après avoir remercié l’ Union européenne et les USA pour leurs soutiens à son organisation et au Mali, Kadré Désiré Ouédraogo a “lancé un appel pressant à tous les autres partenaires internationales de la CEEAO de remplir leurs engagements pris au cours de la conférence des donateurs du 29 janvier dernier à Addis-Abeba”.
Le président de la commission de la CEDEAO a attiré l’attention des membres du groupe sur “les conséquences de la détérioration de la situation humanitaire, particulièrement dans les localités anciennement occupées”, rappelant que “les conditions de vie des populations affectées sont déjà difficiles du fait de l’insécurité alimentaire” et qu’elles “risquent d’être exacerbées avec la hausse des prix des denrées pendant la période soudure (..)”.
Kadré Désiré Ouédraogo “en a appelé à l’appui supplémentaire de la communauté internationale, notamment des agences humanitaires pour la prise en charge du nombre croissant de réfugiés et de personnes déplacées dans les pays voisins et à l’intérieur du Mali”.
Selon lui, son organisation, la CEDEAO, a “fourni une assistance humanitaire de 4,5 millions de dollars depuis le déclenchement de la crise au Mali et compte poursuivre cet engagement (..)”.
French.news.cn 2013-04-20 15:41:34
Tout le monde est au courant que le MNLA est l’instigateur principal de cette crise au nord. Alors pour en finir, il faut un desarmement total de ce groupe de bandits.
Pour cela il faut l’implication de tous c’est a dire l’armee malienne, la MISMA, le Tchad, et la France. Cela evitera un bain de sang de part et d’autre et epargnera beaucoup de vies humaines.
Cependant je regrete de constater un certain laxisme de la MISMA par rapport a ce subject, et l’armee malienne est soit incompetente ou indisciplinee pour entreprendre la mission toute seule.
Pour eviter les amalgames il faudra desarmer ces bandits et toute personne surprise avec arme sera alors qualifiee comme terroriste.
La négociation avec MNLA. Après tout ce qui s’est passé, il fallait seulement ce duo Djonki-Diankis pour nous faire subir une telle bassesse.
Abas la France, si seulement elle savait que nous la détestons encore plus que quand elle venait dans cette guerre.
VIVE LA FRANCE DE HOLLANDE! LE MALI C’EST POUR LES MALIENS ET MERCI HOLLANDE DE RESTITUÉS LE MALI AUX MALIENS, MERCI LE THAD, MERCI LES ÉTATS UNIES MERCI L’ONU, MERCI UNION AFRICAINE, MERCI LA CEDAO.
PAS UN CM CARRÉ DU TERRITOIRE MALIEN AUX MAIN DES TÉRRORISTES MNLA ET SES ALIÈS POUR L’INTÉRÊT DE FINANCIÉS L’ALGÉRIE ET LE PETIT QUATAR.
je crois que la France doit mettre fin à cette attitude des rebelles terroristes car ils chercheront toujours a s’armée davantage et de recrutés tous les terroristes en fuites dans le désert entre la Libye ,Algérie , Niger et Mali pour retrouver une force.
la France doit savoir tant que y a des groupes armées qu’on autorise dans ce désert le problème restera entier donc la solution :DESARMER TOUS LES GROUPES ARM2ES SANS DISTINCTION
Une vérité inconvenante.
Avec la présence d’un soit-disant MNLA non désarmé à Kidal- ce “devil’s footprint”du jihadisme et “enemy of good”- tout dialogue de négociation pour recoller le tissu social communautaire sera un dialogue de sourds ou une tirade, voire une mission vaine.
ces apatrides ne desarmeront que par la force,ça je vous le dit,ils ont occupes par la force ils seront chasser,sinon ils sont là à jamais…
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