Alors que les autorités de Transition ont informé par écrit la CEDEAO de l’incapacité de tenir les élections législatives et présidentielles au délai initialement prévu, l’organisation sous-régionale, au cours de sa 3è session extraordinaire tenue le 06 novembre courant à Accra, a toutefois imposé une interdiction de voyager et un gel des avoirs financiers à la junte, au gouvernement, au CNT, à leur famille, ainsi que des « groupes identifiés ». Elle a aussi invité l’UA, l’ONU et l’Europe à faire de même et promet en outre d’autres sanctions le mois prochain.
Quant à la France qui tire les ficelles de toutes ces sanctions de la CEDEAO contre le Mali, elle dit vouloir apporter son aide à l’organisation sous-régionale. Au vu des recommandations prises, il y a plus de peur que de mal, mais la question qui est sur toutes les lèvres est la suivante : s’achemine-t-on vers une véritable strangulation lente mais inexorable de notre pays si seulement si les progrès que veut la CEDEAO (même au détriment des intérêts du peuple malien) ne sont pas réalisés ? Ce qui se dessine n’est rien d’autre qu’un complot venant de l’intérieur du pays contre la Transition entretenu par la France et la CEDEAO.
Où se situe le problème ?
Sans contexte, il est clair que la pomme de discorde, c’est bien la tenue des Assises Nationales de Refondation (ANR) et le respect des dates des élections législatives et présidentielles. D’un côté, la CEDEAO tient fermement à ses sanctions tant que le Mali n’a pas respecté les engagements pris, de l’autre le Mali qui poursuit inexorablement sa refondation en posant le premier acte que sont les Assises rejetées par la CEDEAO, pourtant passage obligé, côté Transition, pour les élections fermement exigées par la CEDEAO. Pour l’instant, nous assistons non pas à un dialogue de sourds, mais un jeu de ping-pong entre des prétendus adversaires qui se pèsent et soupèsent, chacun espérant que la balance se penchera de son côté. Si la mission de la CEDEAO est de nature à aider le Mali, pourquoi est-elle si réticente à l’idée même de la tenue des Assises nationales, malgré les explications fournies par les autorités de la Transition ? Pourtant, à analyser de près, ces Assises nationales sont censées apporter du sang neuf dans notre système de gouvernance que la CEDEAO ne cesse d’exiger à ses Etats membres. Et pour cause :
- La CEDEAO dit exiger la bonne gouvernance, ces Assises Nationales sont le levier pour y parvenir ;
- La CEDEAO exige la tenue d’élections paisibles et sujettes à moins de contestations, ces Assises Nationales tracent le chemin pour y parvenir ;
- La CEDEAO exige l’instauration d’un régime démocratiquement élu, ces Assises Nationales en donnent la possibilité. Alors, où se situe le problème ?
A notre avis, il se situe au cœur même du système que les dirigeants de la Transition, avec le soutien du peuple, veulent déboulonner dont les tenants, trente ans durant, ont trahi les idéaux du peuple malien et l’ont jeté en pâture à ses pires ennemis : les fossoyeurs de son économie au profit de leur mentor qui n’est autre que la France. La CEDEAO doit comprendre que la nouvelle mentalité que nourrissent les maliens depuis les moments chauds de la lutte contre le régime d’IBK et depuis le mois de juin dernier avec l’arrivée du Colonel Assimi au pouvoir, est que les élections ne doivent plus être une question de personne et lorsque les électeurs votent, ils ne cherchent ni un mari, ni un ami, ni un papa ou une maman. Car, les considérations sur les prétendues « personnalités indispensables » (qui ont jadis gouverné et détruit l’expression populaire) sont les artifices des hypocrites pour ne pas assumer les réalités politiques de fond. Maintenant, seuls doivent compter les sacrifices que les candidats sont en mesure de concéder pour leurs localités qui leurs vaut le soutien des électeurs. C’est cela le Mali Koura.
- Des politiciens populophobes
Mais, ce qu’on a constaté lors du meeting du M6-KFC. C’est bien un ramassis de mécontents, tous nantis d’un faux manteau de populisme en manque d’initiatives, ligués contre la personne du Premier ministre Choguel K MAIGA (comme si c’est Choguel qui fixe les règles du jeu alors qu’il a un Chef en la personne d’Assimi GOITA et tout le monde connaît les limites d’un Premier ministre dans un régime d’exception (comme la Transition) et/ou présidentiel (comme le confère notre Constitution). En effet, pour être populiste, il faut être populaire, ce qui n’est pas le cas de cette meute de politiciens affamés et accablés par l’instinct de survie cherchant désespérément de quoi s’entretenir et entretenir les militants qui les abandonnent petit à petit pour chercher leur pain ailleurs. Ces politiciens sont plutôt populophobes, car ils parlent beaucoup du Mali, mais peu se sacrifient pour lui. Et au plus fort de la lutte du M5-RFP contre le régime IBK, ce sont ces mêmes politiciens qui se retranchaient derrière le pouvoir avant de lui donner l’estocade quand ils ont su que la cause était entendue et qu’il faille changer de fusil d’épaule. Après cette trahison ourdie contre le Président IBK, les voilà qu’ils remettent avec ce meeting qu’ils viennent d’organiser et qui prouve à suffisance qu’ils n’ont pas encore compris le sens de la direction du vent de la refondation et du Mali Koura. En revendiquant les mêmes griefs formulés par les Chefs de la CEDEAO contre les autorités de la Transition, ils ont montré leur face cachée trempée dans du fiel de la trahison au peuple et qu’ils ont, malheureusement, reculé pour sauter encore… plus bas.
C’est d’ailleurs ce soutien loufoque qui génère un effet d’optique déformant dans les perceptions des Chefs d’Etat de la CEDEAO. Et à distance de la réalité du terrain, se joue donc le destin (tragique) d’une nation sciemment entretenu par certains de ses propres fils. Une nation qui aspire à la paix et au bien-être de sa population mais que des politiciens véreux (par incurie politique) veulent bloquer parce qu’ils ne se retrouvent plus dans un schéma qui les tient à l’écart de la nouvelle real politique malienne. A tout point de vue, il semble que les organisateurs de ce meeting et leurs partisans en général ont été payés de leur naïveté face à la mesure de sanctions que la CEDEAO s’apprêtait à prendre contre le Mali. Mais, tel Icare qui a brûlé ses ailes, les anti-Assises Nationales ont brûlé leurs faisceaux auprès du peuple malien dont la majorité est favorable à sa tenue.
Un renouvellement de la classe politique s’impose
Principal moteur de l’Histoire et/ou instrument aux mains de meneurs habiles qui exploitent à leur profit ses qualités et ses défauts, c’est le lieu d’interpeller la jeunesse à prendre sa destinée en mains et à se débarrasser de ces vieux briscards de la politique qui n’ont d’autres soucieux que leur perpétuation à la tête des partis. Histoire d’éviter de refourguer sur la scène les hommes-politique qui ont lamentablement échoué, il est temps d’injecter “du sang neuf” dans la classe politique et la jeunesse doit pousser ces vieux loups à trouver le moyen d’encourager la transmission. Pendant trente ans qu’ils sont aux commandes de l’Etat, le pays ne cesse d’aller à reculons et c’est parce qu’ils ont échoué qu’on en est arrivé là : aucune perspective pour le pays, un état disloqué aux antipodes du progrès, un avenir sombre pour ses enfants. Loin d’un déni de démocratie, il s’agit de reconnaître, de valoriser et d’encourager l’engagement des jeunes qui se trouvent en première ligne, poussés par leur besoin d’absolu, leur désir de changement, leur courage et leur dynamisme. Les jeunes sont donc avertis, ils ne doivent pas rater pas ce virage au risque de compromettre définitivement leur avenir. Car, le Mali Koura, c’est aussi le renouvellement de la classe politique.
En cette phase de la crise sécuritaire généralisée que traverse notre pays, il y’a lieu d’être inquiet de voir certains politiques enjamber les Assises Nationales. Parce qu’en toute conscience, après toutes ces souffrances subies, le peuple ne peut pas se donner le luxe de rater ce virage de la refondation. Ces Assises sont un moyen pour tout citoyen de pouvoir se forger une opinion politique loyalement avant de l’exprimer dans l’urne. C’est pourquoi, elles demandent du temps pour développer les idées et arguments et des formats transparents et loyaux. En somme, loin des sentences marionnettistes de la CEDEAO et de leurs thuriféraires politiques de seconde main qui prétendent nous assigner quoi dire ou quoi penser. Notre chemin vers l’urne doit être libre et éclairé. Peut-on réellement réussir ce challenge en un si peu de temps dans un pays en guerre et occupé des 2/3 ?
L’énergie consacrée par les Chefs d’Etat de la CEDEAO, la France et leurs soutiens politiques pour conjurer le coup d’Etat au Mali est redoutable. Tout simplement parce qu’ils ont peur que le peuple prenne vraiment le pouvoir politique pour « bouleverser les équilibres politiques et économiques de la sous-région ». Aidée par la France et par des politiciens en mal d’audience auprès du peuple, tout est mis à l’œuvre par la CEDEAO pour faire plier les dirigeants actuels de la Transition. Comme s’ils oublient que le ver du changement est déjà dans le fruit sous-régional et que l’identité républicaine du peuple est un socle solide et majoritaire depuis la chute d’IBK. Les maliens de tout temps sont attachés à la souveraineté du peuple et à la liberté. Et à chaque fois, il a trouvé le ressort nécessaire de surmonter les dures épreuves. Cette guerre qui nous est imposée par la France et la CEDEAO ne fera pas exception.
Par Mohamed SACKO
Journaliste
Bourem Iso, tu as raison, merci pour ta reflexion sur les elections baclees et precipitees qui vont aboutir a la partition du Mali et surtout ramener les memes voleurs et vautours au pouvoir!
Si la CEDEAO est reellement est la pour le Mali et l’intérêt de la sous- région ouest africaine où est son aide financière et militaire apportée aux populations du centre du Mali? La CEDEAO ne se mêle jamais de cet aspect tant important pour les population… elle préfère plutôt jouer le rôle de délégué anti- souveraineté et anti-peuple.
Organise les élections présidentielles seulement dans 4 régions c’est pour légitimé la partition du Mali Comme j’ ai maintes fois explique que chaque région désigne son candidat finaliste et on fait l’élection de la phase finale avec ses candidats finaliste et c’est aux délégués des Régionaux cela pour éviter des faux candidats a Bamako et diminuer les risques de violence .et la phase finale aura lieu a Kidal pour la fin du bras de fer entre Bamako,Kati et Kidal.ET pour résoudre un autre problème chaque région aura désigné son président de région. comme au Nigeria ou USA avec chacun son gouvernement et un Gouvernement Central a Bamako .Je pense que tout le Monde a vu Bokoharam au Nigeria cela na pas empêché les autres États de la fédération du Nigeria de fonctionné et pourtant 11/19Etats au Nigeria applique la charia mais dans le respect de la république vive les ETat fédérés du Mali vive la République du Mali Un Peuple Un But Une fois wa salam
You know people tend to suck at least little when giving intimate kiss. With all unnecessary ass kissing ECOWAS doing with France I wonder do french have any ass left.
It is obvious ECOWAS is attempting to sacrifice Mali plus likely Guinea to keep France as place they launder monies they steal from people of their nation. We will overcome this plus we will not forget what these bitch niggers calling themselves Negroid African leaders did for sake of fulfilling wishes of foreigners that psychologically enslaved them holding them to system devised to benefit foreigners above all others. All that ass kissing not necessary but bitch niggers do not allow themselves freedom to perceive truth as independent government do.
Henry Author Price Jr aka Kankan
A notre ami PKAGAME
Je te fais du Coumba Sacko mais c’est une lecture interessante! Kankan fera la traduction en BAMANANKAN pour ceux qui ne lisent pas l’anglais.
Mali’s recently concluded Conference of National Understanding was designed as an opportunity to lay foundations for the final settlement of the country’s separatist conflict and foster reconciliation among the many parties involved. Yet a flawed preparation and a general lack of commitment to inclusiveness seem to have merely put off the necessary heavy lifting on addressing the root causes of violence and resolving a number of outstanding issues from a peace agreement signed in Algiers in 2015.
Prior to its commencement, an article in Le Monde had warned that the summit—attended by about 300 representatives of government, the political opposition, armed groups, and civil society—could become the “conference of national misunderstanding” if it were not well-prepared. The event had faced criticisms of this nature from the very beginning. Shortly after its announcement on December 31 last year, the Coordination for Azawad Movements (CMA) and the Platform—the two signatory coalition of armed groups to the peace agreement—as well as several other parties, accused the government of excluding them.
Although the Algiers negotiators initially envisaged the conference as primarily a discussion with the armed groups, many Malians and members of the international community had come to see it as a much-needed opportunity to finally hold an inclusive dialogue with the whole nation. When it became clear that this would not be the case, the CMA and opposition politicians boycotted, also citing the fact that it would be impossible to debate all the country’s problems and find the solutions within a week. Though the dissenting parties eventually agreed to participate, their initial views appear to have been validated; the conference ended up highlighting the complexity of instituting real dialogue between all Malian parties, as well as with the general population.
The Algiers negotiators had agreed to use the national conference to put off discussions on a number of issues that had been blocking a settlement. Among these were the status of the “Azawad”—a disputed northern region for which the CMA wants juridical and political recognition. The government recognizes the region has geographical and historical significance but does not wish to afford it an independent political status. At the end of the conference the question of its future remained unresolved, though there was at least an agreement that a committee of experts and elders be formed to further discuss it.
The same committee was tasked with formulating a “charter for peace, unity and national reconciliation,” as per the Algiers agreement, and the conference final report included a few measures to improve governance, restore security, and better manage cultural diversity. For example, it suggested engaging negotiations with more radical actors in Mali’s ongoing conflict, such as Amadou Koufa, a preacher heading the Macina Katiba armed group, and Iyah Ag Ghaley, the new chief of Jama’a Nusrat al-Islam wal Muslimeen (born of the merger of four al-Qaeda groups, including Macina Katiba).
Yet more meaningful progress could have been achieved had the gathering been preceded by the return of at least a minimal degree of trust between the different peace agreement signatories, and a constructive dialogue within the political class and with civil society. Recent months have seen some progress on elements of the agreement, but in an incomplete manner. Local elections were held in a climate of tension; installation of interim authorities in the north were established in a partial and contested manner; and the commencement of joint security patrols between the state military and armed groups took place in Gao (after delays), but not in other northern areas, such as Kidal, where the government has long lacked a presence.
One of the recurrent points of contestation in Mali is indeed whether the authorities in place are representative of local populations. Regional governors, for instance, are simply designated by the central government and have systematically been military men in northern Mali. Ahead of the conference, the CMA and Platform published a declaration that decisions on the agenda, and even participation, were made without real consultation and without including all stakeholders, such as certain nomadic populations and refugees.
The conference should have attracted extensive preparation, commitment, and awareness along the lines of the 1991 National Dialogue Conference. Unfortunately, these efforts, including selection of participants, were particularly hasty. They largely consisted of a number of consultations in March with stakeholders in the regions—again excluding Kidal—and with the Malian diaspora in neighboring Burkina Faso, Mauritania, and Niger. This geographic spread, and the involvement of local authorities, were preconditions to guarantee genuine national ownership. They were, however, employed on the basis of ensuring minimum inclusiveness only.
Reports suggest that debates ended up being rather open, substantive, and animated, yet the poor preparations still meant that it was not taken as a credible commitment to dialogue by many political actors. The conference was structured with three working groups relating to peace, justice, and reconciliation, and the CMA and Platform were each given the chair of a group. While this was something of a concession to differing viewpoints, the fact that the chair influenced the conclusions of the groups meant that these did not result from true consensus.
In light of these shortcomings, the government’s will to move ahead with the Conference of National Understanding is an indication of its intention to implement concrete commitments from the peace agreement before the end of the document’s 24-month interim period in June this year. The interim period is, however, a concept which the armed groups continue to contest; they argue that progress should not be marked by the conclusion of a period of time but through completion of a number of benchmarks.
It is clear that a truly inclusive reconciliation process—taking in armed groups, civil society members, and opposition politicians—is still required. This is also valid for the communal elections, the joint patrols, and the installation of interim authorities. The results of the recent conference have at least brought forward questions about representation and reiterated the need for political will from all parties to tackle the fundamental issues stopping the country from moving on. It also highlights that getting the process right, i.e. investing in building trust at every step of the way, rather than simply ticking boxes, is key. Without this, the government will only face increasing opposition and mistrust.
Delphine Mechoulan is a Policy Analyst in the Center for Peace Operations at the International Peace Institute.
Que vive la CEDEAO des PEUPLES pour que meurt la CEDEAO des Princes du jour! Que meurt tres vite la FrancAfriqe afin que vive l’AfricAfrique
BABANANW KO: NI IYE’ NEGUE’ BILA AKO KANGALA, NI IYE’ NEGUE’ BILA AKO KANGALA; IBA TO AKA NEGUE’ KAN DE’ LA! Nous avons donne’ plusieurs conseils pour eviter la situation actuelle. Les colonels du CNSP peuvent toujours se ressaisir en faisant marche arriere! J’ai toujours ecrit qu’il faut vous eloigner de cette philosophie du HARI NI AMBE’ SA, AN TAKE’! Mes amis, MOGO CHI TA FE’ AWKA SA!!!!! Nous voulons un Mali fort, uni et respecte’! DJAGOUYA FANGA ET LA FOLIE DU POUVOIR NE SONT PAS ACCEPTABLES DANS LE MONDE D’AUJOURD’HUI! Je vous conseille les elements suivants:
1- Renoncer aux assises et aller aux elections
2- La CEDEAO levera ses sanctions et mobilisera des moyens techniques et financiers pour aider le Mali a’ organiser les elections
3- Une malienne sage ou un malien sage et neutre sera choisi par les 5 colonels pour etre le president de la transition pendant les 4 mois qui restent. Il nommera un premier ministre qui formera une nouvelle equipe gouvernementale compose’ de technocrates. AUCUN POLITICIEN NE DOIT FIGURER DANS LE PROCHAIN GOUVERNEMENT DE LA TRANSITION. QUE LES POLITICIENS AILLENT SE PREPARER POUR LES ELECTIONS.
4- Les militaires du CNSP retournent dans leurs casernes. Ils auront une amnestie et seront associe’s a’ toutes les decisions relatives aux FAMAs.
5- Les grands decideurs et les organisations internationales aideront les autorite’s de Bamako a’ organiser les elections dans les zones controle’es par les groupes arme’s
Mes amis, il faut avoir un regime qui a une legitimite’ aux yeux de la communaute’ internation. L’ actuel pouvoir n’est ni legal ni legitime! IL N’EST PAS ACCEPTABLE!
AYEZ PITIE’ DU MALI ET DU PEUPLE MALIEN! NOTRE PEUPLE SOUFFRE, LES DENRE’ES ALIMENTAIRES SONT TRES CHERES ET LE PAYS EST ENVAHI PAR LES GROUPES ARME’S! QUAND NOUS SOMMES DANS UN TROU ET NOUS VOULONS SORTIR, NOUS NE CREUSONS PAS D’AVANTAGE!
ALLAH KA BE’ SON HAKILI GNOUMAN NA!
LE VAILLANT PEUPLE MALIEN MERITE MIEUX!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
La situation diplomatique actuelle a expose le visage d’organisation marionnette anti-africaine de la CEDEAO …je vous jure de DIEU la CEDEAO ne survivra plus en Afrique de l’Ouest pour long temps …car aune telle organisation ennemie des intérêts des peuples sera démantelée ou nos états d’Afrique l’ouest vont disparaitre a cause de l’insécurité transfrontalière, le terrorisme international, l’exploitation, conflits intercommunautaires, guerres de proxy, pauvrete chronique, émigration massive, maladies épidermiques (Ebola, Lassa etc..), sous développement etc..!!!!
Actuellement des villages entiers sont en train d’être déplacés dans les région centre du Mali par des terroristes, des populations mises en détresse intenses, des tonnes de vivres brulés…etc..rien de tout ça n’intéressè la CEDEAO depuis 10 ans!!! Les massacres des populations au Niger, au Mali et au Burkina tout ça… n’intéresse pas la CEDEAO! Le seul centre d’intérêt de cette organisation inefficace voire anti- indépendance, anti- développement, anti-peuples est la soumission totale de nos états a sa mission de délégué colonialiste. Pas étonnant que la CEDEAO ne se mêle jamais jamais de l’aspect securite ou humanitaire de nos pays…. pour ex., qui jamais vu la CEDEAO envoyer ne serait- ce que une fois des vivres, des médicaments et des tentes a nos populations déplacées du centre et du nord? …Qui a une fois vu la CEDEAO s’occuper des cas de massacres et mini- génocides de villages comme Ogoussagou, Souba da etc..???
Cette CEDEAO n’a pas d’avenir …je vous jure de Dieu a son rythme d’aliénation et de chantage marionnette contre la justice, la souveraineté et l’aspiration a la securite des peuples du Senegal au Nigeria la CEDEAO sera vue comme l’ennemie clair des intérêts nationaux et ainsi que ennemie numéro 1 des peuples ouest africains!!! Je le prédis dans 10 ans la CEDEAO aura un autre nom ou elle sera plus la!
Nos autorités de a Transition doivent renforcer la défense au centre par tous les moyens nécessaires! Les populations ne peuvent pas continuer a vivre dans cette condition de détresse permanente! Il est temps de montrer aux terroristes la ligne rouge et cela quelque soit le cout!!!
Une JUNTE qui prend le pouvoir représente le peuple ??
Seules les élections issues des URNES donnent le pouvoir au PEUPLE …
Les militaires armés par la Nation , se servent des ces armes pour prendre le pouvoir ..et renverser l’ordre national ..
SANOGO n’a jamais été jugé ..et bien sur cela incite d’autres à faire de même..
Merci bien pour cette analyse,
Ces genres d’intervention sont nécessaires pour nos jeunes! Quand je vois certains maliens qui aspirent à des responsabilités nationales applaudir ces sanctions, j’ai les larmes aux yeux. Je ne comprends pas comment on peut cautionner l’humiliation de sa propre patrie.
Moi je ne demanderai pas notre retrait de la CEDEAO, mais je demanderai une suspension de notre participation au financement des organes de l’organisation. Il n’y a pas lieu de financer une institution qui nous tire vers le bas. Dans des circonstances pareilles, il faut savoir se faire respecter!
Notez bien que le Gabon (pays francophone) a adhéré au COMMUNWEALTH. Le Rwanda est aussi membre depuis e génocide de 1994, malgré tout Macron a supplié Kagamé de prendre la tête de la francophonie.
Une JUNTE qui prend le pouvoir représente le peuple ?????
Seules les élections issues des URNES donnent le pouvoir au PEUPLE …
Les militaires armés par la Nation , se servent des ces armes pour prendre le pouvoir ..et renverser l’ordre national ..
SANOGO n’a jamais été jugé ..et bien sur cela incite d’autres à faire de même..
il est écrit “Quant à la France qui tire les ficelles de toutes ces sanctions de la CEDEAO contre le Mali, elle dit vouloir apporter son aide à l’organisation sous-régional”
Pourquoi des africains veulent-ils faire croire que leurs dirigeants soient des marionettes ????
Pourquoi la CEDEAO dans laquelle siègent le Nigéria et le Ghana anglophones sera-t-elle le valet de la France ??
Bien sur marionettes de la France et pas de la Chine , ou de la Russie ..
La grande ennemie du Mali qu’est la France a quand même financé une guerre très chère commencée en janvier 2013 ..Dépensant probablement plus de 10 milliards d’Euros..sans compter la pertes de ses soldats!!!
Nous trainons un certains nombres de jugements dépassés et nos journaux peinent à sortir des expressions toutes faites comme ” Le pays colonisateur”
Regardons nos pays en relevant nos faiblesses pour pouvoir mieux fonctionner
Le Mali par exemple abrite encore des esclavagistes , des gens qui tuent les Albinos , certaines ethnies se font la guerre, et l’armée malienne met à la rançon les éleveurs peulhs
La federation Ethiopienne basee sur l’ethnie livre une guerre tous les 4 ans. On a plus assez de ressources pour se permettre un tel luxe. Il faut que les enfants aillent a l’ecole si non c’est la peste. Un pays ne se construit pas sur l’espoir place aux autres. Il faut changer et travailler dur pour que nos enfants ne soient pas des poubelles.
Très, très bonne analyse !
Les traîtres finissent toujours mal.
Qu’Allah les guide !
J’ai pitié d’eux, en particulier Tiéblin Dramé qui a longtemps porté l’espoir.
Visiblement, il était affamé ;son état physique s’est nettement amélioré.
Monsieur Sacko soit réaliste , avant la CEDEAO a tout fait pour resoudre cette crise qu’animmait en son temps l’actuel PM Koukalani , ils ont eu à envoyer deux fois les émissaires voir les faux marabouts M’Bouillé et Dicko rien sauf la démission d’IBK, ensuite après le coup de force des faux colonels il y’a eu un accord sur la durée de transition , et le 2 è coup de force dans son article 9 , le colonel putschiste a justifié en ces termes :<> alors où se trouve le complot ? Soyons honnête.
A la bonne question posée par le Journaliste, Mohamed SACKO, de l’Aube: “Où se situe le problème ?”, je réponds que, “Sans contexte, il est clair que: 1) la pomme de discorde (entrez la CEDEAO et La JUNTE- BIDASSE, NDLR), c’est bien la tenue des Assises Nationales de Refondation (ANR)” que la majorité des maliens, qui s’expriment sur le sujet, estiment que ces assises ne sont pas nécessaires et encore moins suffisantes pour aller vers des élections crédibles dans le temps imparti et, 2) “que le respect des dates des élections législatives et présidentielles” est normalement exigible par le commun des mortels en ce que, de tous les temps, les élections générales ne se sont tenues sur le territoire nationale, même ans l’insécurité “résiduelle”, en tout état d cause, on peut organiser les élections sur la moitié du territoire national non sujet à l’insécurité, telles que les régions de Kayes, Sikasso et District de Bamako qui cumulent, à elles seules, les 70% des électeurs maliens.
Sincèrement
https://information.tv5monde.com/video/canada-des-fouilles-pres-d-un-pensionnat-autochtone
🙂 LE GENOCIDE PLANNIFIE, LES TROIS RELIGIONS A L OEUVRE , LES PEUPLES DU MONDE EXTERMINES🙂
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