La 66e session ordinaire de la Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement de la Cédéao s’est tenue ce dimanche à Abuja, au Nigeria, sur fond de tensions avec les pays de l’Alliance des États du Sahel (AES) et de défis régionaux majeurs.
La capitale fédérale du Nigeria, Abuja, a accueilli ce dimanche la 66e session ordinaire de la Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao).
Cette rencontre a rassemblé les dirigeants des pays membres de l’organisation régionale pour examiner les principaux défis auxquels la région est confrontée, notamment sur les plans politique, sécuritaire et économique. Selon des informations rapportées par Dakar, le chef de l’État sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a pris part aux travaux.
Les échanges ont principalement porté sur les problématiques sécuritaires, socio-économiques et politiques qui freinent l’intégration régionale. Dans ce cadre, l’organisation a réaffirmé son engagement en faveur de réformes profondes pour relever ces défis.
D’après la même source, le président Bassirou Diomaye Faye a été « chaleureusement félicité pour ses efforts de médiation entre la Cédéao et les pays de l’Alliance des États du Sahel (AES) ». La Conférence des Chefs d’État, sous la présidence de Bola Tinubu du Nigeria, lui a renouvelé sa confiance en le désignant pour poursuivre les négociations diplomatiques visant à réintégrer ces pays au sein de la Cédéao. Le président sénégalais effectuera ainsi prochainement une visite dans ces États, dans le cadre de cette mission. Cette décision s’inscrit dans la lignée de la requête du Parlement communautaire, qui avait demandé une prolongation du délai de retrait des sanctions expirant le 29 janvier.A
Le Mali, le Burkina Faso et le Niger, regroupés au sein de la Confédération des États du Sahel (AES), avaient exprimé leur volonté de quitter la Cédéao « sans délai » en janvier 2024, accusant l’organisation d’être manipulée par la France. Toutefois, ces pays ont annoncé, samedi 14 décembre, l’ouverture de leurs frontières aux ressortissants de la Cédéao, marquant une étape dans l’apaisement des tensions régionales.
Apanews
AC/APA
Certains ont besoin d’aller en psychiatrie.
Rebel si c’ est Bola Tinubu, Umaru Emballo, Nana Ado et Patrice Talon tes premiers de la classe alors nous te demandons de reduire un peu la consommation de la cocaïne Colombienne!. Sale troll de la très maudite France.
Quand les trois derniers de la classe veulent quitter pour organiser leur propre compétition, il faut juste leur dire tout simplement bon débarras ! On ne retient pas quelqu’un contre son gré. Il y a le discours politique d’un coté, et la réalité factuelle de l’autre. Entre les deux, les textes communautaires doivent être appliqués sans état d’âme si la Cédéao veut avancer en gardant le cap.
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Pensées rebelles.
Que Bassirou s’ occupe de ses hauts grades en revolte contre sa decision de fermer les bases Françaises au Senegal!
Il est temps de garder les portes grandement ouvertes aux peuples frères de l’ Afrique de l’ Ouest mais de fermer les portes a toute visite au nom de la FRANCEDEAO. Que vive l’ AES des Peuples.
“D’après la même source, le président Bassirou Diomaye Faye a été « chaleureusement félicité pour ses efforts de médiation entre la Cédéao et les pays de l’Alliance des États du Sahel (AES) ». La Conférence des Chefs d’État, sous la présidence de Bola Tinubu du Nigeria, lui a renouvelé sa confiance en le désignant pour poursuivre les négociations diplomatiques visant à réintégrer ces pays au sein de la Cédéao. Le président sénégalais effectuera ainsi prochainement une visite dans ces États, dans le cadre de cette mission.”
Prière aux autorités publiques du Mali et de l’AES ne pas accueillir quelqu’un pour parlementer encore avec la CEDEAO composée d’indignes fils de l’Afrique. Il faut en particulier mettre à sa place de petit ce somnambule sénégalais de Diomaye Faye.
Ce sont ces criminels de la CEDEAO qui ont affamés et tués des centaines de milliers de citoyens de l’AES, et qui étaient sur le point d’entrer en guerre contre le Niger et ses deux alliés. Tout ça pour faire plaisir à leurs maîtres français et occidentaux.
Des minables qui s’empressent pour des pacotilles de vendre leurs frères africains aux Européens et aux Américains comme au temps de l’esclavage et de la colonisation.
De la vomissure, cette CEDEAO !