Détérioration de la situation sécuritaire au Mali : Pour la CEDEAO la situation constitue une « menace pour l’ensemble de la sous-région »

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Les présidents et chefs de gouvernements des Etats d'Afrique de l'Ouest réunis à Abuja, pour les 40 ans de la Cédéao, le 16 décembre 2015. © REUTERS/Afolabi Sotunde
Les présidents et chefs de gouvernements des Etats d'Afrique de l'Ouest réunis à Abuja, pour les 40 ans de la Cédéao, le 16 décembre 2015. © REUTERS/Afolabi Sotunde

Les questions de paix, de sécurité et de démocratie et particulièrement la situation au Mali étaient au cœur de la quarante-neuvième session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de Gouvernement de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui s’est tenue le 4 juin 2016 à Dakar au Sénégal. L’organisation sous-régionale a exprimé « sa vive préoccupation, face à la détérioration de la situation sécuritaire au Mali, marquée par la recrudescence des attaques terroristes », ajoutant que « cette situation constitue une menace pour l’ensemble de la sous-région ». La CEDEAO a exprimé son indignation face à la situation à Kidal où, un an après la signature de l’Accord, le Gouvernement et les Forces de Défense et de Sécurité du Mali n’ont toujours pas accès pour une sécurisation complète du territoire national et exige que cette situation prenne fin.

 

La Conférence a réaffirmé l’importance de la paix, de la sécurité, et de la stabilité dans l’espace CEDEAO pour le développement économique de la région, réitérant sa détermination à poursuivre, sans relâche, le combat contre le terrorisme. Le sommet a souligné, à cet égard, la nécessité d’une lutte internationale coordonnée. La Conférence a également exprimé sa « vive préoccupation face au fléau du terrorisme qui devient une menace persistante dans la région ». Elle condamne avec la plus grande fermeté les attaques terroristes de Bamako et Tombouctou (Mali), de Ouagadougou (Burkina Faso) et de Grand Bassam (Côte d’Ivoire) respectivement en novembre 2015 et mai 2016, et en janvier et mars 2016, ainsi que celles du groupe Boko Haram au Niger (3 Juin 2016) et au Nigéria. La Conférence a exprimé sa solidarité avec les pays touchés et présente ses sincères condoléances aux Gouvernements et aux peuples du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Mali, du Niger et du Nigeria.

Sur la situation au Mali, la Conférence a rappelé son attachement au respect de l’unité, de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de l’Etat Malien. Elle a exprimé sa « vive préoccupation, face à la détérioration de la situation sécuritaire au Mali, marqué par la recrudescence des attaques terroristes qui ont visé les forces de défense et de sécurité du Mali, les forces des Nations Unies, la force française Barkhane et les populations civiles. Cette situation constitue une menace pour l’ensemble de la sous-région ».

Usant du langage diplomatique, la Conférence a salué « les efforts déployés par le Gouvernement du Mali, sous le leadership du Président Ibrahim Boubacar Kéita, en vue de l’application intégrale et effective de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali ». Mais personne n’est dupe sur la situation qui prévaut au Mali, où les parties signataires, aussi bien la CMA que la Plateforme d’Alger (pro-gouvernementale) se plaignent, tapent du point sur la table et en arrivent même à claquer la porte, pour dénoncer la lenteur et l’immobilisme du président et du gouvernement dans l’application de l’accord et le processus de paix.

Redéployer l’armée malienne

La Conférence a en outre exprimé « son indignation face à la situation à Kidal où, un an après la signature de l’Accord, le Gouvernement et les Forces de Défense et de Sécurité du Mali n’ont toujours pas accès pour une sécurisation complète du territoire national et exige que cette situation prenne fin ».

Elle demande aux mouvements signataires de s’engager de bonne foi pour une application diligente, intégrale et effective de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali. « La Conférence réitère sa décision adoptée lors de sa 47ème session tenue à Accra le 19 mai 2015 selon laquelle toutes les forces de défense et de sécurité du Mali disposent du droit et de la légitimité d’occuper toute localité du territoire national, dans le cadre de leur mission régalienne de protection des frontières, des personnes et de leurs biens et que toute occupation par des forces irrégulières non-étatiques est illégale et doit prendre fin ». Elle a demandé, conformément aux résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité des Nations Unies, de l’Union Africaine et de la CEDEAO, que les Forces de Défenses et de Sécurité du Mali soient redéployées le plus immédiatement possible sur tout le territoire de l’Etat malien pour faire face aux ennemis de la paix et protéger les populations aux frontières. « La Conférence exhorte le Conseil de Sécurité des Nations Unies à prendre les mesures nécessaires pour renforcer le mandat de la MINUSMA et la doter de moyens et d’équipements adéquats, en vue de l’adapter au contexte sécuritaire qui menace la paix et la sécurité de l’ensemble de la Région, avec des risques de contagion ». Elle envisage de mettre en place une Force multinationale mixte pour lutter contre le terrorisme au Mali.

Le retour du ministre porte-parole

Au-delà du discours diplomatique qu’use l’organisation sous régionale, le terrorisme qui sévit au Mali depuis 2012 et qui tarde à être éradiqué tend au contraire ses tentacules au-delà de notre pays. Sauf à se voiler la face, les attentats du Capuccino au Burkina Faso et de Grand Bassam sentent un prolongement des attaques terroristes qui ont trouvé dans le nord du Mali un terreau fertile. Faute d’une réponse à la hauteur du fléau, ces attentats se sont étendus au centre et au sud du Mali depuis la visite controversée du Premier ministre Moussa Mara à Kidal en mai 2014 et la guerre qui s’en est suivie.

Tirant les enseignements de sa participation au 49ème Session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO, le président Roch Marc Christian Kaboré du Burkina Faso le plus gros contributeur au sein de la force onusienne au Mali (Minusma) a souhaité qu’une partie de ses hommes soient redéployés à la frontière entre les deux pays afin de limiter les incursions d’éléments armés sur son territoire. « Nous avons demandé au niveau de la Minusma (Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali) au Mali de pouvoir redéployer un de nos bataillons vers la frontière entre le Mali et le Burkina Faso », a déclaré dans la nuit de dimanche à lundi le président Kaboré à son retour du sommet de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest (CEDEAO). « Nous avons engagé cette discussion aussi bien avec le représentant spécial (du secrétaire général) de l’ONU à Dakar (Mohamed Ibn Chambas) mais également avec le président (malien) IBK (Ibrahim Boubacar Keïta) », a indiqué le président Kaboré, soulignant que l’objectif était de « sécuriser beaucoup plus notre frontière du Nord ».

Selon le chef de la diplomatie burkinabè Alpha Barry, le président Kaboré devrait « rediscuter » de la question avec le patron des Nations Unies Ban Ki-moon en marge du sommet sur le VIH/Sida du 8 au 10 juin à New York.

Le Burkina Faso est le plus gros contributeur de troupes au sein de la Minusma avec deux bataillons de 850 hommes. Le premier est basé à Tombouctou et le deuxième près de Gao, deux des principales villes du nord du Mali, jadis occupées par les groupes armés.

Pays sahélien pauvre d’Afrique de l’ouest, le Burkina Faso est devenu une des cibles des groupes sahéliens. Depuis avril 2015, les attaques meurtrières à sa frontière nord avec le Mali sont fréquentes. « Six personnes -trois policiers, deux gendarmes et un civil- ont été tuées dans des localités situées au nord du Burkina Faso, frontalières du Mali et du Niger depuis avril 2015 », constate l’AFP. « Ces attaques ont culminé le 15 janvier lorsqu’un commando jihadiste a pris d’assaut plusieurs hôtels et restaurants en plein centre de Ouagadougou, tuant 30 personnes -majoritairement des étrangers- et en blessant 71 », rappelle l’AFP.

Le 26 mai, lors d’une interview sur RFI, l’opposant malien Tiébilé Dramé regrette qu’il n’y ait ni paix ni réconciliation, un an après la signature de l’Accord d’Alger. Il parle de la détérioration de la situation sécuritaire, de l’instabilité qui se « métastase » dans la sous- région. Sur Kidal, il soulignait qu’un an après Alger, cette région échappe toujours au contrôle de l’État et qu’à 10 kms de Tombouctou, il n’y a plus d’État.

Une semaine après, le vendredi 3 juin, le Gouvernement répond à Tiébilé Dramé. Choguel Maïga, le ministre porte parole du gouvernement qui avait perdu sa langue depuis son communiqué raté de l’histoire du « petit monsieur » l’a subitement retrouvée, mis en mission par le président et le Premier ministre pour répondre et porter les menaces du pouvoir contre l’opposant Tiebilé Dramé : « il y a des limites à ne pas franchir ».

Toutefois, avec le communiqué final du Sommet de Dakar, sans ambages, sauf à faire l’autruche, la CEDEAO rejoint les analyses de l’opposition. A suivre.

B. Daou

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  1. Isn’t it amazing that the geniuses at ECOWAS are finally perceiving the terrorists conditions in Mali for what they are. It appear you all were so involved with your corrupt ways that you ignored the fact corruption in Africa as in other places often attract “die hard” terrorists. Usually they do not stop unto they are destroyed or have conquered all of reach that is corrupt. You should not worry you have jet liners plus foreign bank accounts having as a minimum hundreds of millions of dollars. However, there are those Africans not of such luxury plus will be stuck in Africa under the control of terrorists if the leaders who will act in their best interest do not take charge plus do what have to be done to at least limit the terrorists to places like Libya. As you all know Europe plus America decided to give Libya to terrorists when they acted to remove Ghadaffi from power. He was not the most like head of state but he kept the needed order in Libya. Now without that order we will continuously face the prospect of a terrorist state being created in northern Africa. For the record sake so that we may move forward on resolving this condition the prospect would not exist without African nations for to long having had syncophantic fools in leadership who fail to evolve their nations to where they could be individually or as a unit both self-sustaining plus self-sufficient. Lets all agree we have had enough of such ways. For those who have not may you poison your family existence 100 times more as to that of people of Africa. We know the terrorists are infiltrating through Libya into more southern regions. They are also bringing weapons plus supplies by such way. We have to at least effectively harass the transporters plus uncover whose securing the passages for the movement of terrorists plus their supplies moreover, who are their spies among us? Neutralize the spies plus their supporters. It will decrease our casualties plus enable us to more effectively raid the terrorists plus their supplies while they are in transport to more southern regions of Africa. Keep it real. Peace piece. Very sincere, Henry Author Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan.

    • I read your post. It is what it is. Let me quickly remind you that Kadafi did threat to kill his own people. We knew that his soldiers opened fire on demonstrators against his regime.
      I would concede to you that the area was calmer then than now, but we can always blame the current situation on the person who was the dictator in his country for 41 years. He built the system in such a way that without him, everything would collapse, that was exactly what we got after his removal from office. Let’s make no mistake about it, KADAFI WAS A DICTATOR WHO HARMED HIS OWN PEOPLE AND WHO USED THE WEALTH OF HIS COUNTRY TO HARM MANY COUNTRIES. I would advise you to read about his role in the civil wars in Chad, Sierra Leone, Liberia, and Mali….etc. He did also participate directly and/or indirectly in the funding of terrorist activities in other parts of the world. Should I remind you the name of the person who was behind the bombing of Pan Am flight?

  2. La CEDEAO et l’opposition peuvent avoir les mêmes positions mais qu’est ce que ces derniers ont pu faire pour que cette situation soit juguler?
    Cette CEDEAO organisation fictive à l’image de l’ONU qui n’a jamais pris de résolution concrète et qui passe le temps à nous distraire. Ça prendra le temps que ça prendra mais notre pays retrouvera son intégrité territoriale. Il faut que la CEDEAO arrête de nous distraire.

    • L’enigmatique, CEDEAO et OPPOSITION?????
      Pourquoi me faire rire?????
      Ils font ce qu’on leur demande de faire. LES VRAIS ACTEURS SONT AILLEURS!!!!!

  3. Les partenaires techniques et financiers n’ont pas respecté leur engagement envers notre pays. Les financements promis n’ont pas été donnés pour que les choses puissent démarrer comme il se doit. Le processus de paix demande assez de moyens donc nous interpellons nos partenaires à respecter leur engagements envers notre pays.

  4. Nous avons toujours eu confiance en IBK et nous continuerons d’avoir confiance en lui car les actes qu’il pose prouvent une qu’il est une personne digne de confiance.
    Il ne cesse de se battre pour améliorer les conditions de vie de ses compatriotes.
    Nous pensons qu’il est vraiment l’homme qu’il faut à la tête du Mali.

  5. Jusque là les groupes armés n’ont pas encore fait de concessions depuis la signature de l’accord d’Alger. Alors l’état malien a adopté la loi portant sur les autorités intérimaires, financé le forum de Kidal, payé les pic up pour la patrouille mixte.
    Mais on assiste de jour en jour à de nouvelles exigences de leur part.

  6. Le conflit du Sahara Occidental existe depuis 1976 (40 ans)!!!!!!!!
    Que faire si le voisin est determine’ a’ creer et maintenir un conflit chez toi pour ses propres interets qui sont en contradiction avec les tiens?
    Chasser les terroristes de son propre pays et continuer a’ tirer des profits enormes des commerces illegaux poussent le voisin a’ creer et maintenir la MER.DE dans notre faso!!!!
    Soyons tres patients et ne nous inquietons pas de ce que nous ne controlons pas!!! CONTINUONS A’ OBSERVER ATTENTIVEMENT LA SITUATION!!!!!

  7. Je me demande souvent le rôle de ces forces étrangères sur notre sol. On assiste à la montée de l’insécurité mais elles ne sont toujours restées indifférentes. Il est temps qu’elles prennent leur responsabilité face à ces djihadistes qui veulent mettre en retard le processus avec le concours des membres des ex rebelles.

  8. Je pense que sur le plan sécuritaire, le président a misé sur le recrutement et la formation de nouveaux agents pour lutter efficacement contre l’insécurité. Tous les pays en crise sont en proie de cette insécurité qui est un des effets négatifs de la crise, surtout avec la prolifération des armes.

  9. Nous sommes inscrits dans un processus de paix qui suit son cours. Le président mettra tout en oeuvre pour offrir la paix à son peuple comme convenu. Personne ne croira à vos articles à la con incitateur de haine pour mettre à mal la cohésion sociale

  10. Tout le monde est unanime sur le fait que la crise du Nord est une insurrection armée contre un état légitime. Qu’on t-ils fait donc pour aider notre pays à trouver des solutions?
    Absolument rien! Il faut donc qu’on arrêter de blablater et d’aider le Mali a retrouver sa souveraineté nationale. 😡 😡 😡 😡 😡 😡 😡

  11. La cedeao et l’Ua doivent tout mettre en oeuvre pour prendre leur destin en main. Avec la montée des djihadistes c’est toute l’Afrique qui est menacée. Nos partenaires ne veulent pas que cette crise finissent car ils tirent plus de profit quand elle perdure. Que nos chefs d’état conjuguent leur force pour barrer la lutte à ces djihadistes et trouver les fonds nécessaires pour la mise en place de l’accord de paix.

  12. Tous les peuples doivent parler la même langue de nos jours face à ce mal qu’est le terrorisme qui est au plus profond de nos sociétés. Sans réelle coopération nous ne pouvons pas à bout de cette plaie mondiale. Il faut que nous soyons concrets sur le terrain et éviter de nous rejeter la faute. Il ne faut pas s’arrêter à de simples condamnations mais il faut poser des actes concrets. Depuis combien de temps cette histoire de force sous régionale est annoncée sans être mis en place?

  13. Toute coopération est profitable surtout dans la lutte contre le terrorisme qui est un fléau transnational. Il faut encourager nos présidents à accentuer la coopération sous-régionale. Avec des rencontres comme celle qui a eu lieu IL y a de cela près de deux mois a Abidjan pour échanger les informations et définir les stratégies communes de lutte.
    Ils doivent concrétiser les résolutions de cette rencontre car elles sont des moyens efficaces pour lutter contre le terrorisme.

  14. Au-delà de la coopération internationale demandée par le président Poutine dans la lutte contre le terrorisme il doit avoir la coopération au sein des nations même. Toutes les filles et les fils des différents pays doivent coopérer avec les services de sécurités et de renseignements en leur fournissant des informations pour l’avancée de leurs investigations dans la traque de ces terroristes qui se dissimulent très facilement parmi nous. Lutter contre le terrorisme n’est pas du tout aisé c’est pourquoi nous devons encourager nos forces qui déjouent de plus en plus d’attaques.

  15. C’est bien beau de faire des discours mais la réalité sur le terrain est tout autre. Certaines parties du nord échappent au contrôle de notre état mais la plus grande menace vient de l’extérieur notamment des pays comme l’Algérie et la Libye. Le Niger est une passoire pour ses terroristes et la Libye un lieu d’approvisionnement en combattants et en armement tout de même que l’Algérie. Le Burkina aussi est une arrière base de ces terroristes qui ont des maisons de luxe dans des quartiers huppés de Ouagadougou. Tous ces comportements contribuent à l’amplification de ce phénomène. Il faut donc qu’on évite toujours de vouloir faire passer notre pays comme le premier responsable alors que nous avons tous notre part de responsabilité.

  16. En dépit de la campagne antiterroriste en cours. Il est impérieux pour les États du Sahel de faire montre d’une plus grande détermination et de renforcer leur coopération dans les secteurs de la prévention et de lutte contre le terrorisme en mettant en œuvre les instruments continentaux et internationaux car nous partageons des frontières communes et après les actions menées en internes il faut des actions sous régionales et même régionales pour définir une stratégie de lutte commune afin d’éradiquer ce fléau qui menace la vie de nos nations.

  17. Cette prise de conscience de la part de nos présidents est la bienvenue et leurs paroles doivent être traduits en actes concrets. Il était un moment où des pays voisins nous rejetaient la faute. Le mal a été fait mais cela s’est accentué depuis la chute de Kadhafi. Donc pour freiner cette instabilité dans la sous-région seule on doit miser sur l’action commune. On doit mener des opérations de sécurisation commune à nos frontières, échanger des informations et traquer ensemble ces terroristes.

  18. Médiation algérienne, CEDEAO, communauté internationale, etc… L’heure n’est pas aux beaux discours comme nous l’entendons depuis la signature des accords de paix passant par la conférence des donateurs pour le Mali et autres; tout ça n’est que des paroles en l’air. Il faut montrer une volonté de soutenir le gouvernement dans ses efforts pour la paix. Il faut montrer à la CMA que c’est à elle de modérer ses points de vues car c’est elle qui a pris les armes contre le gouvernement légitime. Il faut que ses acteurs internationaux agissent pour aider nos dirigeants dans la reconquête du territoire national.

  19. Les sites de cantonnement ont été construits mais les groupes armés veulent plus de recrues en leur rang alors que les moyens font défaut. Le gouvernement est en train de faire sa part donc que la France joue la tienne pour que nous puissions combattre ces terroristes jusqu’à leur dernier retranchement.

  20. Tous les mouvements djihadistes ne viennent pas du Mali seulement. Donc je ne vois pas la raison qui fait de notre pays une menace pour la sous région. Nos gouvernants doivent conjuguer en créant une force spéciale anti terroriste pour barrer leur avancée.

  21. Daou je voulais savoir comment est ce que la Cedeao aurait donné raison à l’opposition malienne immature et irresponsable. Notre pays n’est pas Bagdad en ce que je sache. Je sais si la Cedeao s’est opposé à la mise en place des autorités intérimaires tout comme l’opposition. pauvre con, abrutis de crève faim.

  22. Les raisons qui font bloquer cet accord sont connues tous.Maintenant est ce que nos pays peuvent affronter les personnes qui font perdurer cette crise pour leur intérêt économique.Les trafics de drogues qui s’opèrent dans le nord,est une affaire juteuse pour ces pays qui manipulent les rebelles et leur font poser des actes qui font stagner cet accord de paix.

    • Pas mal comme commentaire Sali et yasmine. Il faudrait pas oublier nos chefs vampires et nos organisations, communautés etc…qui sont a la merci des interets.
      Pauvres de Nous.

  23. Je ne comprends très bien la position de la CEDEAO dans cette crise du nord Mali.Si la situation du Mali constitue une menace pour la sous région,pourquoi cette passivité de la sous régions face à la recrudescence des attaques dans le nord Mali?Je pense donc que les chefs d’Etat et du gouvernement de la sous régions doivent s’impliquer d’avantage dans la résolution de cette crise.

  24. Nous sommes dans un processus de paix.Je pense que les ex rebelles doivent faire preuve d’une volonté sincère à aller à la paix.Ils posent toujours des conditions inadmissibles pour faire blocage au processus de paix.Quant à la CEDEAO elle dit apporter concrète au Mali pour sortir de cette crise.Il ne faut pas que les décisions arrêtées soient dans les tiroirs.

  25. Ils sont fous ces ex rebelles.20 000 combattants de la CMA dans notre armée et imposent qu’on fasse d’abord la mise en place des autorités intérimaires avant le cantonnement .Ils veulent pas aller à la paix ces rebelles.

  26. Les ex rebelles qui font ces bêtises seront mis hors d’état de nuire.Le gouvernement malien saigne pour que ce processus aboutissent et ces gens ne pensent qu’à leur ventre.Ils font tout pour faire obstacle à l’application de l’accord de paix.

  27. Les chefs D’États de la CEDEAO doivent être ferme dans leur prise de décision.Et il faut que les décisions soient suivies d'actions concrètes pour que la situation change.Les partenaires qui accompagnent l'accord de paix doivent jouer franc jeu.Le financement promis par l'Europe pour l'accord n'a jusque là pas été décaissé.

  28. Il faut vraiment et de façon rigoureuse que des dispositions soient prises afin de mettre fin à ces pratiques.Le gouvernement malien fait tant d’efforts pour que ce processus soit une réussite, que ces personnes égocentriques boycottent le travail qui est fait. C’ est inadmissible.

  29. Je pense que les ex rebelles sont pas du tout sincères.Tous ce qu’ils veulent c’est de se mettre plein les poches et le reste ils s’en foutent.Cela est vraiment dommage.Le cantonnement se fera avent la mise en place des autorités intérimaires.

  30. Les ex rebelles sont des ennemis de notre pays.Le gouvernement fait tout pour qu’on aille à la paix,ces personnes ont trouvé une occasion de s’enrichir sur le dos de notre pays s’en tenir compte des souffrances des populations.

  31. Les ex rebelles ne font que jouer avec le gouvernement malien.Ils ne veulent pas aller à la paix c’est pourquoi ils posent des conditions inadmissibles au gouvernement malien.Le gouvernement malien doit être prudent avec ces gars.

  32. Le menace de ces groupes armés n’est pas une menace pour le Mali seulement mais contre toute l’Afrique entière même le monde.Les organisations internationales doivent prendre des mesures radicales pour exterminer ses terroristes de toute urgence.

  33. Pourquoi ce petit journaliste ne raisonne qu’en terme d’opposition . Ah j’oubliais que c’est Tiebile qui le pays. Nous savons que L’opposition malienne n’aurait pas fait mieux. Il s’agit pas seulement de perronner pour avoir raison.

  34. Depuis que le monde est monde, tout conflit, interne ou international s’achève toujours par un compromis. Et le document qu’à signé nos autorités mettra fin à notre désastre.Pour mettre ses accord en place le Mali aura besoin des organisations internationales.

  35. Nous savons tous bien que les choses sont un peu lentes concernant l’application de cet accord de paix et la réconciliation.je crois avec l’intervention de la Cedeao les choses pourront aller vite.

  36. Le majeur souci de notre président IBK est de ramener la paix et la réconciliation nationale dans un pays n’est pas quelque chose de facile du tout donc admettons que le gouvernement est entrain de fait tout son possible pour pouvoir ramener la paix au pays.

  37. Nous somme déjà a une année de la signature de l’accord de paix et réconciliation nous pouvons dire que le bilan n’est aussi mauvais que ça parce qu’ après la signature de cet accord les choses se sont calme un peu même si tous les problèmes nous avons réellement besoin d’une aide les organisations internationales.

  38. Le menace de ses terroristes n’est pas une menace pour le Mali seulement mais contre toute l’Afrique entière même le monde.Les organisations internationales doivent prendre des mesures radicales pour exterminer ses terroristes de toute urgence.

  39. Nous espérons que la mise en œuvre de l’accord d’Alger sera pour bientôt car IBK et les membres de la Cédéao se sont consultés sur le blocage de ce processus de paix et de réconciliation nationale.

  40. Je crois que nous aurons besoin de l’aide d e Cedeao avec ses groupes armes même nous sommes tous pressés pour le retour de la paix et de la réconciliation. Le gouvernement doit continuer à doubler d’effort pour que nous puissions atteindre nos objectifs.

  41. La CEDEAO a exprimé son indignation face à la situation à Kidal où, un an après la signature de l’Accord, le Gouvernement et les Forces de Défense et de Sécurité du Mali n’ont toujours pas accès pour une sécurisation complète du territoire national et exige que cette situation prenne fin.

  42. si le processus de mise en place des accords et bloqué c’est parce que la communauté internationale qui est représenté ici par la MINUSMA ne joue pas son vrai rôle. que la communauté internationale doit arrêter son double jeu car le peuple malien a vraiment besoin de la stabilité et que la CMA sache que tôt ou tard on aura l’intégralité du maliba

  43. La lenteur dans la mise en œuvre de l’accord de paix réside à plusieurs niveaux. Il faut reconnaître qu’en dehors de la mauvaise foi de certaines parties signataires, le gouvernement malien manque de moyens pour tout mettre en place pour cette mise en œuvre, et la communauté internationale ne veut pas la fin de la crise aussi tôt. Donc ce n’est pas la CEDEAO qui réussira quoi que ce soit car elle est dirigée par l’Europe. Mais cela ne nous empêche pas la solliciter.

  44. L’accord de paix d’Alger de 2015 est une réussite pour le régime d’IBK. Mais cet accord a du mal à s’appliquer. Car le comité de suivi avait lui aussi du mal à se mettre en place. Ce retard s’explique par le double jeu des groupes armés qui jouent à la complicité avec les terroristes.

  45. Le Mali est un pays plongé dans la crise, depuis plus de trois ans maintenant. Le retour de paix dans cette nation n’est pas le rôle du seul gouvernement mais celui de toute la nation malienne qui est la première bénéficiaire. Personnellement, je ne compte ni sur la communauté internationale ni sur la CEDEAO ou une autre organisation qui ont toujours été, sont et resteront impuissantes face aux problèmes du monde.

  46. Je pense qu’il serait mieux que la CEDEAO doit être associée dans la mise en place des accords de paix afin que ceci se fasse rapidement. les zones d’ombre doivent être levées et que chaque partie connaisse sa place dans le processus. Je pense que le président en exercice de la CEDEAO doit conduire le dialogue.

  47. La volonté de parvenir coûte que coûte à la paix du gouvernement malien est connue de tous. Les groupes armés ont toujours été, sont et resteront les plus grands obstacles au retour de la paix dans notre pays. Ils sont en complicité avec les terroristes pour rendre les choses difficiles au gouvernement et profiter de la situation.

  48. Si la case de voisin brule ça sera bien que tu l’aide à l’éteindre car si le feu s’agrandit tu ne sera épargner donc mieux vaut prendre des précautions.Ce cas du Mali est probleme non seulement Mali mais celui de la sous région.

  49. ces bandits sont soutenu par des personnes malveillants qui cherchent a nuire notre pays c’est pourquoi on accuse le gouvernement de passif alors que se sont le plateforme et le CMA qui enflamme le pays par des actes barbares aux yeux et su de tout le monde personne ne dit rien il est temps que le peuple sache que le problème n’est pas l’accord il y’a des mains destructeurs invisible en dessous que dieu nous garde

  50. Allons nous rester toujours à condamner fermement les attaques et laisser ces barbares continuer à se moquer de nous? Il faut que nous ouvrons les yeux pour comprendre que les groupes armés au nord mali sont les commanditaires des attaques terroristes de Ouaga, Bassam et autres attaques terroristes. Il est temps de que la CEDEAO se lève pour sauver son peuple car l’insécurité devient grandissante dans la sous-région.

  51. Les seuls ennemis de la paix sont les rebelles qui ont rejeté l’accord de paix et ne veulent pas de son application. Il s’agit d’Iyad Ag Ghaly et ses collaborateurs. Donc ces gens sont les ennemis de tous. Le gouvernement et les autres acteurs de la paix sont en collaboration. Mais les mêmes groupes qui sont les complices des terroristes sont tous invités à la sagesse et à la bonne foi.

  52. Les seuls ennemis de la paix sont les rebelles qui ont rejeté l’accord de paix et ne veulent pas de son application. Il s’agit d’Iyad Ag Ghaly et ses collaborateurs. Donc ces gens sont les ennemis de tous. Le gouvernement et les autres acteurs de la paix sont en collaboration. Mais les mêmes groupes qui sont les complices des terroristes sont tous invités à la sagesse et à la bonne foi.

  53. Certes, des difficultés jalonnent le processus de paix, après plus d’un an de signature mais nous devons comprendre que le retour de la paix à travers la mise en œuvre d’un accord de paix n’est pas du tout une chose facile. La CEDEAO, en tant qu’Organisation régionale devrait s’engager dans la mise en œuvre de l’accord depuis le début. Mais il n’est jamais trop pour bien faire. Son soutien est sollicité.

  54. C’est maintenant que vous remarquez cela çà toujours été une menace pour l’Afrique.Et cela nécessaire un grand front commune comme ces groupes armées enfin de les déloger de force des partie du pays.

  55. Le président de la république, Ibrahim Boubacar Keïta tient beaucoup au retour de la paix et de la réconciliation nationale. Si seulement les autres parties signataires de l’accord d’Alger étaient de bonne foi comme le gouvernement, cette nation allait connaitre la paix depuis fin 2015.

  56. La gestion de la crise malienne n’est pas cachée du grand public malien et de toute la communauté internationale. Les avancées faites par le régime en place sont connues de tous et le retour de la paix n’est plus impossible. Ce sont toujours certains groupes rebelles qui servent de soutiens aux terroristes qui déstabilisent actuellement notre pays.

  57. Le sommet de Dakar s’est prononcé en défaveur des blocages et obstacles qui empêchent les forces de défense et de sécurité de s’acquitter de leur mission régalienne en se déployant sur l’ensemble du territoire national.

  58. Il n’y a qu’Ibrahim Boubacar Keïta et la CEDEAO qui sont dépassés par la situation sécuritaire de notre pays. Toute la population malienne souffre de la lenteur de la mise en œuvre de l’accord de paix issu du processus d’Alger. Il est temps que des choses sérieuses commencent pour sauver ce pays.

  59. Il n’y a qu’Ibrahim Boubacar Keïta et la CEDEAO qui sont dépassés par la situation sécuritaire de notre pays. Toute la population malienne souffre de la lenteur de la mise en œuvre de l’accord de paix issu du processus d’Alger. Il est temps que des choses sérieuses commencent pour sauver ce pays.

  60. c’est à la médiation internationale de mettre la pression sur les groupes armés pour faire avancer le processus de paix au Mali car le gouvernement fait sa part mais il faut dire qu’avec la mauvaise foi de ces gars là si la médiation internationale n’agit pas rapidement ce n’est pas bon pour le mali et la sous-région. il faut dire que pour que l’ordre soit établit les groupes armés cherchent l’affrontement sinon les accords sont très claires.

  61. la situation du nord mali interpelle l’ensemble de la communauté africaine et internationale si le nord n’est pas stable c’est tout le sahel qui se voit menacé il s’agit maintenant de former une coalition des forces pour conter les attaques djihadistes dans les régions et neutraliser ces bandits

  62. Je pense que la CEDEAO a pleinement raison en disant que la situation constitue une menace pour l’ensemble de la sous-région. cela dire que la CEDEAO prendra des mesures pour que le Mali regagne sa stabilité car c’est dans l’intérêt de tous les pays de la sous-région.

  63. Il faut être un’’ IBK-phobe’’pour pouvoir attribuer la responsabilité de la lenteur accusée dans l’application de l’accord de paix au chef de l’Etat, comme le font les pessimistes. Toute personne bien informée du cours du processus de paix sait qu’IBK est de bonne foi pour le retour de la paix dans notre pays. Je remercie la CEDEAO pour son attachement aux principes fondamentaux de notre Etat.

  64. Certes plusieurs accords ont échoué dans le passé lors des régimes précédents, le Mali et les belligérants doivent tout mettre en place pour le respect scrupuleux de cet accord. Le Mali n’est pas seul sur le coup, elle dispose de plusieurs aides internes comme externe, qui lui permettront de mettre en œuvre les principes de l’accord.

  65. certaines personnes dirons que je suis malade mais je pense que j’ai mes raisons car si les groupes armés continuent de tuer les agents de l’ONU et aussi s’ils peuvent tuer des soldats français cela sera très bien car c’est aussi une voie de résolution de la crise du nord. si l’ONU et la France resterons les bras croisés et laisser les rebelles continuer dans leur bêtises on verra. qu’ils les tuent et et l’ONU et la France prendrons leur responsabilité pour les bombarder et comme ça nous aurons la paix.

  66. Toutes les parties signataires doivent faire comme IBK, ils doivent faire preuve de bonne foi. Le respect scrupuleux de l’accord par les belligérants est la seule manière de donner une suite favorable à la crédibilité de l’accord. Le respect de l’accord du 20 Juin est le seul moyen de sortie de crise qui date depuis fort longtemps. J’invite tous parties à faire preuve de bonne foi, de responsabilité et de maturité.

  67. La mise en œuvre de l’accord de paix d’Alger connait des difficultés. La CEDEAO et le président de la république du Mali, Ibrahim Boubacar Keïta sont tous contre la lenteur qui freine l’application de l’accord d’Alger. Mais tout le problème réside au niveau des groupes rebelles qui, à mon avis, ne sont pas toujours de bonne foi.

  68. Dans cette affaire d’insécurité, nous ignorant un point très essentielle, qui est la suivante : Le gouvernement malien a signé un accord de paix avec les groupes armées qui se rebellaient dans le septentrion malien. Le gouvernement malien n’a pas signé d’accord de paix avec les terroristes, et ce sont les terroristes qui sont en train de perpétré toute ses attaques terroristes. Sinon du côté des ex-rebelles grâce à l’accord de paix les armes se sont tues.

  69. L’Afrique doit se mettre en ensemble en particulier la Cédéao, si vraiment les États membres de CEDEAO souhaite vraiment aider le Mali a sortie de cette crise. Elle doit épauler le Mali dans la processus de mise en œuvre de l’accord de paix et de réconciliation.

  70. Dans cette affaire d’insécurité, nous ignorant un point très essentielle, qui est la suivante : Le gouvernement malien a signé un accord de paix avec les groupes armées qui se rebellaient dans le septentrion malien. Le gouvernement malien n’a pas signé d’accord de paix avec les terroristes, et ce sont les terroristes qui sont en train de perpétré toute ses attaques terroristes. Sinon du côté des ex-rebelles grâce à l’accord de paix les armes se sont tues.

  71. L'Afrique doit se mettre en ensemble en particulier la Cédéao, si vraiment les États membres de CEDEAO souhaite vraiment aider le Mali a sortie de cette crise. Elle doit épauler le Mali dans la processus de mise en œuvre de l'accord de paix et de réconciliation.

  72. l’Algérie ne joue pas aussi sa part dans la mise en place des accords car pourquoi ne pas donner les directives aux différentes parties c’est à dire en
    1- le cantonnement
    2- le désarmement
    3- l’installation des autorités intérimaires
    etc……. …………………………………………..comme cela tout est claire.
    donc il faut dire que l’Algérie est de mauvaise foi dans cette histoire car elle sert de base arrière des terroristes, il est difficile mais nous devons l’accepter il est temps de passer à autre chose la médiation doit quitter l’Algérie afin qu’on retrouve la paix.

  73. Le gouvernement malien a fait preuve de bonne foi depuis la signature de l’accord de paix issu du processus d’Alger, les différentes parties signataires en particulier la CMA doivent faire de bonne foi et respecter leurs engagements vis-à-vis du gouvernement malien et de la communauté internationale.

  74. La signature d’un accord de paix est plus que différent de sa mise en œuvre. La mise en œuvre d’un accord demande plus de temps, plus d’entretien, plus de financement et tant d’autres divergences. Malgré la lenteur, le gouvernement est en train d’accomplir un travail salutaire dans la mise en œuvre de cet accord de paix et de réconciliation.

  75. Depuis la signature de l’accord de paix et de réconciliation, le président IBK par sa bonne gouvernance est petit à petit de mettre en vigueur les principes de l’accord. Le gouvernement malien malgré les nombreux problèmes dont rencontre la mise en œuvre de l’accord arrive lentement mais surement à la mettre en place.

  76. il y’a quelque temps tout les parties signataires étaient unanime sur une bonne marche de l’accord c’est juste au moment que les choses prennent forme on assiste a ce blocage la question qui se pose est la suivante la voix de la Cédéao compte plus que celle des milieux invisibles d’où le ficelles de la situation malienne semblent tirées?

  77. C’est la communauté internationale en particulier la CEDEAO qui ne doit faire preuve de laxisme vis-à-vis de ce même accord de paix et réconciliation. Les efforts unique du gouvernement malien est insuffisant la communauté internationale doit jouer sa part. Elle doit épauler et accompagner le gouvernement dans la mise en œuvre de l’accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger.

  78. l’application de l’accord de paix connait un blocage inquiétante qui a d’ailleurs fait réagit la CEDEAO et la communauté internationale mais personne ne s’est demander d’ou provient ce déroute.

  79. Tous ces attaques sont perpétré dans le seul but d’intimidé l’Etat et sa population et l’Etat, c’est pour déstabiliser le pays et tirer profit de la situation. Les malfaiteurs veulent mettre en cause et même faire annuler l’accord signé le 15 Mai et le 20 juin. Le gouvernement met tous en n’œuvre pour mettre fin à ces actes ignobles. Restons mobilisé derrière notre armée et l’Etat.

  80. Il ne faut pas rester à condamner seulement mais il est temps d’agir sinon les terroristes nous dicterons leur loi. Il faut que la CEDEAO prend ses responsabilités afin d’aider le mali pour pouvoir s’en sortir des griffes des groupes armés.

  81. l’analyse de la situation du nord par Ce Tiébilé . Je pense qu’il fait du coq à l’âne. Monsieur qui ne paie pas ses factures trouvent que les choses tournent au ralenti alors tous sont unanimes que le processus est en marche. Il doit la boucler une bonne fois ce mauvais payeur et disciple de soumi le voleur.

  82. Nous devons comprendre désormais à quel point chaque acte que nous posons individuellement peut influer l’avenir de ce pays, celui de nos enfants. Nous devons comprendre jusqu’où notre compromission hypothèque l’avenir de notre peuple la situation actuel du pays nécessite un effort commun de tous le sahel ainsi que le monde entier

  83. Je pense que la CEDEAO doit faire énormément de travail pour que la crise du Mali s’arrête de se détériorer pour que la sous région s’écarte de la crise politico-sécuritaire. L’ONU doit renforcer le mandat de la minusma, pour stopper la détérioration de la situation du Mali.

  84. L’application de cet accord nous fatigue trop, une année après la signature les pays amis qui faisaient comme si allait être appliquer sans signer, se sont retirer de la danse. Je pense que la communauté internationale doit arrêter sa mauvaise foi.

  85. L’application de cet accord nous fatigue trop, une année après la signature les pays amis qui faisaient comme si allait être appliquer sans signer, se sont retirer de la danse. Je pense que la communauté internationale doit arrêter sa mauvaise foi.

  86. La CEDEAO ne joue pas le rôle qui est le tien. Le président IBK a fait tout ce qui est en pouvoir pour que notre pays retrouve la paix.Il faut une implication des forces africaines pour trouver une issue rapide afin le nord se développe.. La loi sur les autorités transitoires a été votée et adoptée par l’hémicycle le jeudi passé. Il ne reste plus que ces autorités prennent fonction et les efforts sont en cours pour cela. Mais cela ne devrait pas amener ces rebelles à suspendre leur participation.

  87. Cet accord a été trahi par les partenaires techniques et financières, pour qu’on parle de mise en œuvre il faut qu’il y ait des bailleurs pour financer, l’accord, je pense que la CEDEAO dans ses prises de décisions doit être ferme, on en a marre de cet accord qui ne fini pas par appliquer.

  88. La question sécuritaire du mali devint inquiétante vu que le processus de paix est bloqué car le gouvernement et les groupes armés n’arrivent pas à être d’accord pour la mise place des accords de paix. Il faut dire que seule la médiation peut donner du rythme au processus de paix, mais personne ne joue franc jeu.

  89. Vraiment nous disons l’ONU, que la mise en œuvre de cet accord, le Mali seule ne peut appliquer cet accord, il nous faut l’aide de toute la communauté internationale comme au moment de la signature, la cma est de mauvaise foi en ce qui concerne la mise en application de l’accord.

  90. le chef de l’Etat malien a indiqué qu’un accord suppose l’engagement d’au moins deux parties et que le Mali est arrivé à bout de ce qu’il peut donner dans le cadre de l’application de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali.

  91. L’application de cet accord nous fatigue trop, une année après la signature les pays amis qui faisaient comme si allait être appliquer sans signer, se sont retirer de la danse. Je pense que la communauté internationale doit arrêter sa mauvaise foi. :223love: :223love: :223love: :223love:

  92. La communauté internationale fait un jeu au malien, le blocage se trouve au niveau de la communauté internationale et de la cma parce que pour la mise en oeuvre de l’accord soit quel que de vrai, il faut qu’il y ait des bailleurs de fond pour financer la mise en oeuvre.

  93. les rebelles de la plateforme ne veut pas s’engager réellement dans le processus de paix ils exigent du gouvernement leur conditions qui ne sont pas définis dans l’accord et tout le monde les soutien ainsi ils participent a la chute du nord afin de s’en emparer cette situation engage non seulement les organisation africaine et internationale la menace terroriste c’est une menace contre toute l’humanité

  94. Je crois que comme la dit le président en exercice de la CEDEAO, le conseil de sécurité des nations unies doit revoir la mission des forces onusiennes, il faut que leur mission doit être renforcer, pour que l’application de cet accord puisse avoir jour.

  95. Le sommet de Dakar s’est prononcé en défaveur des blocages et obstacles qui empêchent les forces de défense et de sécurité de s’acquitter de leur mission régalienne en se déployant sur l’ensemble du territoire national.

  96. ces bandits sont soutenu par des personnes malveillants qui cherchent a nuire notre pays c’est pourquoi on accuse le gouvernement de passif alors que se sont le plateforme et le CMA qui enflamme le pays par des actes barbares aux yeux et su de tout le monde personne ne dit rien il est temps que le peuple sache que le problème n’est pas l’accord il y’a des mains destructeurs invisible en dessous que dieu nous garde

  97. Nous devons comprendre désormais à quel point chaque acte que nous posons individuellement peut influer l’avenir de ce pays, celui de nos enfants. Nous devons comprendre jusqu’où notre compromission hypothèque l’avenir de notre peuple la situation actuel du pays nécessite un effort commun de tous le sahel ainsi que le monde entier

  98. l’application de l’accord de paix connait un blocage inquiétante qui a d’ailleurs fait réagit la CEDEAO et la communauté internationale mais personne ne s’est demander d’ou provient ce déroute. il y’a quelque temps tout les parties signataires étaient unanime sur une bonne marche de l’accord c’est juste au moment que les choses prennent forme on assiste a ce blocage la question qui se pose est la suivante la voix de la Cédéao compte plus que celle des milieux invisibles d’où le ficelles de la situation malienne semblent tirées?

  99. Pour le respect des lecteurs; je vous prie de ne pas salir ces importantes recommandations de la CEDAO pour la paix au Mali avec vos commentaires opportunistes.

  100. il faut dire que la situation sécuritaire au nord Mali devient très préoccupante pour les autres pays de la sous-région car une fois l’instabilité est bien installée les autres pays sont en danger et pour éviter cela il faut la collaboration de tous afin de mettre une stratégie en place pour lutter contre ce fléau.

  101. Je pense que la CEDEAO a pleinement raison en disant que la situation constitue une menace pour l’ensemble de la sous-région. cela dire que la CEDEAO prendra des mesures pour que le Mali regagne sa stabilité car c’est dans l’intérêt de tous les pays de la sous-région.

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