Après 48h d’intenses négociations (18 et 19 mars) avec le gouvernement malien, le médiateur de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), Goodluck Jonathan, a quitté Bamako dimanche dernier (20 mars 2022) sans parvenir à un consensus sur le chronogramme de la transition malienne.
Selon un communiqué publié le dimanche (20 mars 2022) par le gouvernement malien, la Cédéao a proposé un chronogramme de 12 à 16 mois. Une proposition que Bamako a jugée «essentiellement électoraliste» ne prenant pas en compte «les aspirations légitimes de réformes politiques et institutionnelles exprimées par le peuple malien». Le gouvernement a produit et soumis «un chronogramme révisé» comprenant des actions relatives audites réformes ainsi que «des actions détaillées relatives aux élections avec un délai de 36 mois (3 ans)» pour la durée de la transition. Une proposition naturellement rejetée par la délégation de la Cédéao
Le gouvernement a ensuite proposé un chronogramme de 29 mois. Un délai ramené à 24 mois (2 ans) par le président de transition malien, colonel Assimi Goïta qui a accordé une audience à Goodluck Jonathan et sa délégation vendredi dernier. «Ce nouveau délai, incompressible aux yeux des autorités maliennes, n’a pas reçu l’assentiment du médiateur de la Cédéao», a souligné le communiqué du gouvernement. L’organisation sous-régionale, dans un communiqué publié dimanche dernier (20 mars 2022), a déploré cet échec car seul «un accord permettra de lever progressivement» les mesures prises par la Cédéao et l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) le 9 janvier dernier à Accra, au Ghana.
Le Médiateur Goodluck Jonathan a néanmoins réaffirmé sa «volonté de continuer à discuter» avec les autorités maliennes afin de convenir d’un «calendrier de transition acceptable». Il a aussi réaffirmé la volonté de son organisation de soutenir le Mali dans la «réalisation des aspirations de son peuple à la paix, à la bonne gouvernance et au progrès». Il a été ainsi demandé au Comité local de suivi et aux experts de poursuivre leur travail avec les autorités maliennes.
Kader Toé
Il est encore temps que Assimi se rende a cette rencontre a Accra, Il faut juste la volonte’ et le courage mais le de’placement en vaut la chandelle.
Malikol, Le peureux ce n’est pas seulement celui qui fui mais qui a peur ou n’a pas le courage OU he’site d’affronter.
Merci Malikol d’avoir cherche’ la concorde, a travers la ve’rite’, entre Moudjahidine et moi.
Moudjahidine, merci pour votre quete de cohe’sion et pour l’excuse pre’sente’e.
Assimi se veut auto-suffisant, c’est pourquoi l’inclusivite’ n’a pas e’te’ suffisamment prise en compte jusqu’a maintenant.
Bonjour,
Malikol, Patriote, Cisse’, Moudjahidine et
des Anonymes, quand on assume une responsabilite’, on ne le fait pas en partie en ayant peur.
Comme je le disais, Assimi lui meme doit partir de’fendre sa politique, sa strate’gie
et les expliquer aux autres Chefs d”Etats de la CEDEAO.
S’il arrive a Les convaincre, ils acepteront sa Strate’gie et le chronogramme associe’.
Avec la crainte qu’ont tous Les partisans de Assimi GOITA (y compris ses Ministres) vaut mieux lui conseiller de de’missionner car on ne gere pas un pays la peur au ventre.
Assimi, veuillez re’pondre a l’invitation de la CEDEAO, vous en sortirez grandi.
Ainsi, votre aura sera encore plus grande au Mali et ailleurs.
Maintenant, la rencontre se fera a huis clos.
Donc, la de’le’gation Malienne de quatre Ministres ne sera pas admise.
Il est encore temps que Assimi se rende a cette rencontre, Il faut juste la volonte’ et le courage mais le de’placement en vaut la chandelle.
Bien cordialement
Dr Anasser Ag Rhissa
Expert TIC, Gouvernance et Se’curite’
Email: Anasser.Ag-Rhissa@orange.f r
TEL 0 0 2 2 3 95955792
😊ASSIMI NE DOIT PAS S Y RENDRE! DÉLÉGUER CHOGUEL ET LE PRESIDENT DU CNT SUFFIRAIT LARGEMENT! LES VISIO CONFERENCES SUFFIRAIENT ENTIÈREMENT! LES DISCUSSIONS PEUVENT SE FAIRE EN LIGNE ET PUBLIQUEMENT S IL LE FAUT! ASSIMI DOIT TOUT DIRE AU PEUPLE QUI LE SUIT!😊
Comments are closed.