Depuis l’Éthiopie, l’instance régionale a renforcé les restrictions contre Bamako en vue de réduire les marges de manœuvre des autorités de Transition.
Dans un contexte de divergences sur une récente rencontre à Ouagadougou où les ministres des affaires étrangères du trio Burkina -Mali-Guinée ont constitue un front commun pour la levée de leurs sanctions respectives, la réponse de la CEDEAO n’a pas tardé à intervenir. En marge du sommet de l’UA, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest a tranché sur leur requête conjointe par un niet catégorique. Les ministres et autres autorités du Mali demeurent interdits de voyages dans l’espace communautaire et pourraient l’être ailleurs avec l’appel de l’instance sous-régionale à la solidarité des autres organisations.
Les hauts cadres de l’administration et les figures de proue de l’administration voire de la transition ne sont pas en reste et des sources indiquent que mêmes certaines personnalités précédemment épargnées ne comptent plus parmi les privilégiés. Ont parle, en clair, du ministre des Affaires Étrangères Abdoulaye Diop qui n’était pas concerné par les restrictions en même temps que le président de la Transition.
Il est par ailleurs exigé de maintenir un dialogue inclusif avec toutes les forces vives dans un contexte de divergences autour de l’imminent projet de référendum. Aussi la CEDEAO réfute toute initiative unilatérale sans qu’elle soit impliquée, histoire de décrier la cadre parallèle des 3 transitions de la région qui ont décidé de faire front commun.
À l’endroit de Koulouba, le cadre commun régional met en avant une chose : l’unique interlocuteur de la CEDEAO reste le président de la commission. Il faut noter que les autres sanctions partielles sont maintenues malgré la levée des aspects économiques.
Reste à savoir si les nouvelles sanctions feront leur effet dissuasif sur Koulouba, au regard des nouveaux débouchés que la transition s’est créés et qu’elle entend continuer à exploiter au profit des activités économiques du pays.
IK
Après ces Sanctions, Choguel Kokala va encore décrété un autre jour de souveraineté.
Le populisme comme programme gouvernemental.
Notre ministre populiste Diop va désormais faire son tourisme entre Burkina et Guinée.
eventuellement, il pourra faire le trajet Kéniéba Kidira et Badiangara.Ministre des affaires de la poussière et de la cooperation avec le burkina et la Guinée.
Si tu es preoccupe car dans ton cas tu ne vas plus voir les toutou a Adjame, ce n’est pas l’affaire de Diop ou de Choguel. Nous disons vie la Federation Burkina-Guinee-Mali
Il faut tout simplement arrêter ce jeu de dupe avec la CEDEAO, les émissaires de cette maudite organisation au premier desquels Goodluck Jonathan doivent être interdits de séjour dans notre pays.
Que vive la Federation Burkina-Guinee-Mali pour une Afrique unie, souveraine, prospere et intelligente!
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