Roman : Makandi, la Perverse

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Son rêve se réalisera cette nuit. Poussé par son animal désir de ne rien épargner, Boussandy, se sachant dans le viseur de Korika, ne tarda pas à la rejoindre. A peine le maître d’hôtel disparu avec son plateau  soulagé du grand verre de jus, que, Korika, l’épouse de son ami et la mère de sa passion, Makandi, s’offrait à lui. Obéissant à la galanterie, Boussandy tentait  juste un câlin quand il vit Korika se serrer fortement contre lui, dirigeant sa main gauche, sur la braquette du pantalon de l’étranger. Là, elle rencontra un lourd pilon en manœuvre de durcissement. Son sang se figea, ses lèvres fiévreusement cherchaient celles de Boussandy qui, non content de l’éviter, en détournant sa tête, enfonça son index gauche dans le collant de Korika, engageant ainsi une manœuvre de fouille dans  le voisinage de sa féminité. L’irruption de l’index de Boussandy dans le très fond du jardin secret de Korika arracha  à celle -ci, un strident haaaaaaaye. L’assaut la mit dans tous ses états. Ne pouvant rester tranquille encore moins se dégager, elle dégrafa avec une célérité effroyable les boutons à pressions qui gardaient bien jalousement l’accès de sa cage.  Une cage qu’elle n’avait auparavant jamais laissée à portée de quelqu’un, à part son Massamba. Le mouvement de va-et-vient millimétré du doigt d’expert de Boussandy, acheva Korika qui, d’un retour tendre et provocateur, baissa son pantalon, arcboutant son corps vers l’avant, les deux longues jambes charnues bien écartées laissant une entrée libre service au lourd pilon

visiblement très remonté et énervé de Boussandy.  A peine s’est-elle saisie de l’armure de l’ami de son mari qu’elle tentait de la diriger vers l’entrée de sa belle vase charnue et tendrement tondue, qu’elle sentit Boussandy se dégager, tournant galamment les talons. Sans se relever, comme tétanisée par la tournure des évènements du reste très attendue, Korika, contenant des larmes, la voix déchirée par l’humiliation, lui intima l’ordre de revenir. Sa vase en ébullition explosait déjà sous les doigtés provocateurs du désormais homme de sa folle passion. Nullement impressionné, ce dernier, disparu entre les feuillages des plantes qui ornaient les allées du jardin. Humiliée et diminuée par l’attitude de Boussandy, Korika s’étala de son long sur le banc en béton armé qui était là, juste à côté d’elle, lorsqu’elle tentait de se faire pénétrer par l’ami de son mari absent. Nue comme un ver après s’être débarrassé de son petit pull, Korika ne prêtant pas attention de ce qui pourrait advenir, sentie une ombre penchée sur son corps. Ce n’était pas Boussandy, mais Beidy, son maître d’hôtel….Trempée jusqu’à la moelle épinière et perdue dans la colère de l’humiliation dont elle venait de faire l’objet, elle dévisagea mal l’ombre qui se penchait vers elle. Cherchant humblement à savoir ce que sa patronne faisait là, à cette heure et pourquoi. Beidy n’aura pas le temps de comprendre. Sa patronne, la femme préférée de Massamba, décidée à se faire visiter profondément cette nuit là, le tira vers elle par la manche longue de sa tunique.  Savait- elle ce qu’elle était entrain de faire ? Beidy, en tout cas, ne se fit pas compter. Happé par la senteur du parfum de sa patronne, il perdit le contrôle de son corps, mon Dieu, de son âme. Au  toucher de son arsenal, Korika comprit que son homme du moment, a mieux à la fois que son Massamba et son ami Boussandy. Massant la courge bien durcie de Beidy, de haut vers le bas, Korika s’agrippa à son maître d’Hôtel, l’attirant à elle, le bloquant par la taille au moyen de ses deux grosses cuisses. Un don de Dieu ? La réponse a fusé  de la gorge de Korika, suppliant Beidy de la faire mal, mal, mal. L’amant inattendu savait ce qu’il faisait dès lors qu’il venait de  plonger dans le très fond de sa patronne, reste que celle-ci ne puisse plus jamais s’en passer. Le va-et-vient de sa grosse courge volcanisa Korika, la transportant dans les cieux avant de la faire lâcher un grand et déchirant un  cri d’extase. Beïdy, est-ce bien toi ? Oui, répondit- il, la voix rouillée, mouillée. Vient encore, ne me laisse pas, vient, wooooooooooooooooye, vient, une sommation dont Beïdy se passa volontiers. Plongé dans le très fond du jardin secret fort bien trempé de sa patronne, le majordome qu’il est, réussissait d’une pierre deux jolis bons coups. Le plaisir qu’il s’offrait entre les jambes d’une dame qui n’éprouvait en son endroit qu’une vaine considération, mieux, la position plus que privilégiée  dont il jouirait désormais dans cette belle et grande maison de riches personnes, à travers son désormais emprise sexuelle sur la maîtresse incontestée des lieux.

Heureux de croire à ce qu’il venait de réussir entre les jambes de sa patronne, une dame qu’elle craignait et respectait comme personne auparavant. Soulagé et conquérant, il disparut  de son champ d’exploit pour s’engouffrer dans la moite chaleur de son appartement jouxtant la cuisine et la buanderie. Là-bas, dans le jardin, couché à même le fauteuil en béton, les jambes ramenées au niveau du ventre, recroquevillée  sur elle-même,  Korika savourait toujours la douceur qu’elle sentait tout au long de la partie de jambes en l’air qu’elle venait de vivre avec son employé, même si l’acte était loin d’une préméditation. Cependant, elle ne put empêcher le vague sentiment de culpabilité qui l’étreignait. Comment va-t-elle agir désormais à l’endroit de ce majordome qu’elle n’hésitait pas à traiter avec insolence, chaque jour que dieu faisait, s’interrogeait- elle. Et comment dans la grande maison, les gens, à commencer par son mari et sa fille, interpréteront sa nouvelle attitude avec son employé ? Elle venait de s’y frotter elle s’est fait piquer. BeÏdy pour tout dire avait agréablement surpris sa patronne. Il avait du répondant et se présentait beaucoup mieux dans les parties de jambes en l’air que, son mari, le père de ses enfants, Massamba. Une autre flèche dans son arc dirait l’autre. Va- t –elle pouvoir s’en passer désormais ? Autant de questionnements qui la traversaient. Ce n’était pas le moment de penser à tout ça, sûre d’elle, de sa grâce et de la puissance de feu avec laquelle, elle gérait sa maison. Korika se leva prestement, traversa son jardin en arpentant le long couloir qui séparait ce jardin de la porte d’entrée de sa cuisine. Sa robe de soir mal ajustée faillie restée derrière la porte qu’elle ferma brutalement derrière elle. Une victoire morale pour le majordome tout le temps rabroué, vexé et humilié, mais désormais requinqué remerciant au passage son bijou de famille qui venait de lui offrir le palier de plus à son intégration forcée dans la maison de son patron. Désormais, la belle et sulfureuse Korika, la mère de la perverse de Makandi, l’épouse de Massamba,  devrait plus que jamais faire avec lui, car elle adore les parties de jambes en l’air mieux que tout sur la terre. Frustrée par les longs déplacements de son époux, Korika n’avait jamais réussi à refouler son désir animal du sexe. Elle en avait toujours besoin, encore, encore et encore, fatiguant ses doigts qui ne quittaient jamais son entrejambe.

 

Boussandy, enfin face à son destin.

Au même moment, Frédérique Boussandy, l’ami de son mari, assis dans une des grandes banquettes de l’énorme salon, savourait un verre de vin digne de son rang, cherchant solution à son problème, Makandi, la belle et malicieuse Makandi. Comment va-t-il s’y prendre sans heurter la jeune femme qui feignait de l’ignorer, sachant au fond d’elle-même que ce n’était pas un mec avec qui, on pouvait se permettre la moindre résistance. Comme si ces réflexions agissaient sur le cours des évènements, Makandi dans sa superbe splendeur, vêtue d’une petite robe valorisant ses deux longues jambes, elles-mêmes ornées de grosses cuisses, derrière lesquelles,  deux oreilles d’une fesse, savamment

dessinées de la chute du dos à l’entame de celles-ci, fit son apparition dans la salle. Sachant que Boussandy s’y trouvait, Makandi d’un air détaché lança un bonsoir d’une rare douceur à l’hôte de son père dans sa perverse démarche  vers le petit bar. Un superbe bar où se désaltèrent régulièrement les maîtres des lieux et leurs invités.

Installée sur une longue chaise, Makandi laissait à Boussandy le spectacle intense qu’offrait son beau corps. La courbe des oreilles de ses fesses séparées  par une fine raie disparaissant à la chute de son dos. Mon Dieu, lança l’hôte qui, n’attendant la moindre invitation sortit de son fauteuil pour le petit bar. Là, Makandi observant depuis le miroir fixé devant elle, au fond de l’étale des bouteilles, cambra son dos, une attitude qui offrait un spectacle fort avenant. Le sang de Boussandy se figea, son pilon, libre des entraves d’un dessous moins contraignant, s’indigna. La grosse et très longue masse de chair et de nerf entra en action. Comme pour attirer l’attention de Makandi sur la force du mouvement en cours, Boussandy se colla à elle, faisant en sorte que son pilon masse la raie des oreilles de la fesse de la fille de son ami. La perverse reçue la touche comme une décharge électrique d’une tonne de voltage. Waouh… laissa t-elle échapper, alliant l’acte à la parole, elle laissa tomber sa main gauche derrière elle, attaquant frontalement le pilon de Boussandy dansant dans son pantalon sans verrou de sécurité. Avec passion, non sans délicatesse Makandi se saisit du lourd pilon en proie à une réelle et visible tension, soudain emprisonné dans une chaleur qu’il ne voudrait pour rien au monde en sortir. Dans la posture, Boussandy sentit son sang parcourir son corps, montant le long de sa colonne vertébrale, chevauchant sur les terres  humides de sa nuque avant de se répandre dans son cerveau. Son bijou familial toujours sous l’emprise des doigts de la belle bête enflait encore et encore, intimant à son

maître l’ordre d’une intime réaction. Tentant de tourner sa tête vers Makandi, sans doute pour saluer sa maestria, celle-ci lui intima un non niet et catégorique exprimé par la volupté que dégageait ses beaux yeux, en lui plaquant son index sur les lèvres. Obéissant, Boussandy réagit en enfonçant sa tête dans le haut de la petite robe. Là il reçu la décharge de sa vie. Deux grosses mamelles cernées de deux boutons noirs de ténèbre attendaient imperturbables. Comprenant la manœuvre, Makandi d’une pichnette du doigt, libera son sein gauche, et l’orienta vers la bouche de son amant qui d’un geste le happa d’une bouchée aride, assoiffée. La mamelle remplie sa bouche immobilisant nette sa langue. Baigné dans la tourmente du  délice Boussandy remonta ses doigts vers le bas du ventre de sa nouvelle conquête. La manœuvre avait fait son effet puisque sentant l’avancée des doigts de son amant, elle desserra l’étau de ses deux grosses belles cuisses, offrant le spectacle d’une vision sublime, la naissance de son jardin.

Mon dieu lâcha Boussandy. Un jardin soigneusement bien tondu, majestueusement offert. Dans l’accalmie de la trouvaille, Boussandy prit le plaisir de visiter le puit dans sa profondeur intime, une immixtion qui vola un  cri d’extase à Makandi qui ne s’empêcha d’emprisonner l’index de Boussandy dans son jardin, l’étreignant encore et encore plus fort contre elle, laissant se plaquer sur elle-même ses seins sous le poids de son amant. Des minutes interminables pour les deux amants. Qui ne voudrait pas être à la place de Boussandy en ce moment là ? Remonté tel un cheval de 2 ans, Boussandy, d’un tour de bras, retourna vers lui la chaise roulante de Makandy, les yeux dans les yeux, les deux corps face à face. Mon dieu, laissa t –il explosé à la vue des deux grosses mamelles de Makandy, grosses dégageant la chaleur d’un foyer en ébullition. Les deux grosses mamelles de Makandy à la forme de deux belles pastèques nues de toute pression tombaient presque sur son minuscule ventre.

Appétissant mon dieu. Sans  attendre le moindre aval, Boussandy actionna deux de ses doigts vers les cuisses de Makandi qu’il tentait d’écarter pour pensait-il avoir accès à la douce prairie charnelle.

Non, gesticula Makandi qui d’un bond desserra l’étau de  Boussandy en sautant de sa chaise pour disparaître, offrant à son amant assurément très pressé le soin de se curer les yeux sur les belles oreilles de ses fesses dansant au rythme de ses longues jambes, disparaissant dans le long couloir qui mène à la cuisine. Resté seul au bar du grand salon, la queue bien en jambe dans son minuscule pantalon de soie rouge, Boussandy ruminant toujours sa colère ; Il ne connaissait pas les échecs et tout au long de sa vie d’homme de 67 ans, ce sont les belles tendres pucelles et  jaunes mures de son grand monde à lui, qui s’offraient toujours à lui, souvent en larmes, le suppliant de les honorer de ses magiques coups de reins.  Se laisserait-il humilier par la perverse, la fille de son intime ami ? Makandi avait de quoi rendre fou n’importe quel mâle.

 

A suivre…

 

Sory de Motti

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