Le roman “Une femme presque parfaite” d’Oumou Ahmar Traoré : Une plume engagée au service de la cause de la femme et de l’enfant

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Après “Mamou, épouse et mère d’émigrés”, notre consœur Cissé Oumou Ahmar Traoré, journaliste écrivaine, signe son grand retour avec le roman “Une femme presque parfaite” paru aux éditions “La Sahélienne”. Ce deuxième livre traduit la fidélité d’une grande plume engagée au service de la cause de la femme et de l’enfant.

Yagharé, un brillant chef d’entreprise, est l’héroïne de ce roman palpitant dont le lancement est prévu ce samedi 10 février 2018 au Centre National de Documentation et de l’Information sur la Femme et l’Enfant (CNDIFE). “Une femme presque parfaite” magnifie le courage féminin. Dans un style engagé et interpellateur, Madame Cissé Oumou Ahmar Traoré met en avant le combat acharné de la gent féminine en général et, celui de Yagharé en particulier, dans une société conservatrice en pleine dérive religieuse. « Son travail est à la fois exaltant et contraignant. Veiller au rayonnement continu du fromager, s’affirmer dans une société conservatrice en pleine dérive religieuse, s’atteler  à l’éducation de ses trois enfants dont une déficiente mentale, contribuer à sa façon, à la recherche et à la sauvegarde de la paix. Ce sont autant de défis que le chef d’entreprise Yagharé compte relever. Mais tout cela n’est pas sans conséquence. Sa santé chancelle, son couple vacille et son mari n’en peut plus de cette épouse absente », peut-on lire dans le résumé de ce roman.

À en croire Ismaila Samba Traoré, éditeur du livre, “Une femme presque parfaite”  est un grand roman. « On est en présence d’un grand roman, chargé de sens, à forte teneur psychologique, riche de multitude des grandes questions de société auxquelles l’homme et la femme, le couple sont confrontés… Un environnement rarement exploré avec finesse et perspicacité, celui des réels  rapports homme-femme où les clichés et archétypes s’effacent pour laisser apparaître des réalités plus justes parce que contrastées : des hommes qui ” vident la fontaine de leurs yeux”  en cachette, des femmes qui saisissent  “la lune à pleine-dents” sans verser une seule larme, en dépit des épreuves traversées », souligne Ismaila Samba Traoré.

Ce roman traduit la fidélité d’une grande plume engagée au service de la cause de la femme et de l’enfant.

Bintou Diarra  

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3 COMMENTAIRES

  1. Une femme discrète respectueuse qui se fiche du comportement deshonorable de son ambassadeur de mari à Bruxelles
    Un voleur soulard opportuniste coureur de jupons un hypocrite
    qui court non seulement derrière Igor mais également derrière Karim

  2. Je suis très fière de Mme Cissé Oumou Ahmar Traoré, une femme très engagée j’ai lui le livre “Mamou mère et épouse d’émigrés”.

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