Gasmart Event et ses partenaires dont l’Association des teinturiers sérigraphes de Bamako, Millenium Communication organisent le 27 octobre 2017, une émission téléréalité pour la promotion de la teinture au Mali dénommée : Gala d’or. L’information a été donnée le vendredi 13 octobre 2017 par les initiateurs de l’émission au cours d’une conférence de presse tenue à l’hôtel de l’Amitié de Bamako.
Cette conférence de presse était animée par l’initiatrice de l’événement, Mariam Samaké de Gasmart Event, en présence de Mohamed Lamine Dembélé de Gasmart Event, Sadio Diouara de Millenium Communication, Adama Sissoko, président de l’Association des teinturiers sérigraphes de Bamako, Modibo Samaké, représentant des personnes en situation d’handicap et d’autres personnalités.
Selon la conférencière, Mariam Samaké de Gasmart Event, l’objectif de cette conférence de presse est d’informer l’opinion nationale et internationale sur la tenue d’une émission téléréalité pour la promotion de la teinture au Mali dénommée « Gala d’or ». Avant d’ajouter que ladite émission est prévue le 27 octobre prochain et s’étalera sur deux mois. A l’en croire, l’émission concerne Bamako pour un départ, mais s’entendra par la suite, sur l’ensemble du territoire malien. A ses dires, cette émission permettra aux jeunes teinturiers d’exprimer leur talent et leur savoir faire. « Au cours de cette émission, il y’aura la sensibilisation des teinturiers sur la protection de l’environnement et sur leur propre protection contre les produits chimiques. J’invite les uns et les autres dont les autorités maliennes à valoriser la culture malienne », a déclaré Mariam Samaké.
En outre, les organisateurs ont indiqué que l’enregistrement de l’émission aura lieu à l’hôtel de l’Amitié de Bamako et sera diffusée sur l’ORTM, le dimanche 29 octobre prochain. Par ailleurs, le président de l’Association des teinturiers sérigraphes de Bamako, Adama Sissoko a mis l’accent sur les difficultés des teinturiers du Mali dont la conservation de leurs produits chimiques, le poids de l’importation des produits contrefaits et surtout le refus des banques de leur octroyé du crédit.
A.S