« Femmes chrétiennes levons-nous pour accélérer la venue de notre Seigneur et sauveur Jésus-Christ » tel est le thème choisit pour cette rencontre. Selon Mme Diagne Rachel, coordinatrice du mouvement Sara Mali, ce thème n’est pas fortuit, car il colle convenablement au contexte actuel du pays. « Nous voulons sensibiliser, encourager et aider les femmes et les jeunes filles chrétiennes et musulmanes à se réveiller spirituellement et à œuvrer pour le salut des femmes, par des programmes de formation, de prière, d’enseignement biblique, d’évangélisation et surtout leur apporter l’évangile par la stratégie de l’amitié, par leur propre témoignage et par la parole de Dieu » a-t-elle confié. Avant d’ajouter que l’objectif final est d’aider les femmes à sortir victorieuses, par la grâce de Dieu, de toutes les préoccupations de leur vie.
En une semaine d’intenses activités, les heureux élus à cette rencontre -puisque les hommes y sont également conviés- auront droit aux louanges, d’adorations, aux enseignements, d’intenses prières d’intercession, de messes, et d’effusion du Saint-Esprit… animés par d’éminents hommes de Dieu.
Il faut rappeler que le Mouvement Sara International a commencé en 1996 à Bouaké (RCI), par la prière d’un petit groupe de femmes. Le mouvement s’est rapidement étendu dans la sous-région notamment au Niger, en Guinée- Conakry, au Sénégal, au Mali, au Burkina Faso, au Bénin, au Togo, au Tchad, au Burundi, et en RCA. Il est en voie de création dans d’autres pays d’Afrique. Il a pour vision de sensibiliser, de former et d’encourager les femmes et jeunes fill
es chrétiennes à œuvrer pour le Salut des femmes et des jeunes filles musulmanes.
Clarisse Njikam (Maliweb)
@Clarisse Njikam.Pourquoi le mouvement s’appelle “SARA”[qui signifie à la fois Merci (saha) en arabe et “Charme”= en français d’où “Sarama”= charmant…]?Sinon c’est une bonne initiative à encourager chez nos sœurs chrétiennes, car dieu même aurait dit: priez-moi je vous répondrais…Il ne faut pas que ce soit la prière des petits Coulibaly et les Samaké qui gardent malgré tout, l’ autre pied dans l’adoration de leur “djo”. 😆 😆 😆 😆 😆
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