En décidant de rapprocher ces différentes entités (culture – artisanat – tourisme) et de les confier à une jeune, le président a conscience et confiance. Aujourd’hui, il semble ne jamais le regretter, les défis bien qu’énormes se lèvent chaque jour que Dieu fait. C’est ce qui nous pousse à vous présenter ce département. Quelles sont ses attributions ? Qu’est-ce qui a été fait ? Quelles sont les perspectives ?
L’arrivée de N’Diaye Ramatoulaye Diallo à la tête de ce département a suscité espoir et inquiétude. C’est normal, il faut le dire. La valeur n’attendant point le nombre des années, il est aujourd’hui clair que le choix n’a pas du tout été regrettable. Tous les acteurs honnêtes estiment que le résultat sans être excellent est aujourd’hui positif voire envié.
En effet, quelles sont les attributions de ce département socioéconomique ?
Les attributions du Ministère de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme sont de l’ordre de la mise en œuvre des politiques nationales dans les domaines de la culture, de l’artisanat et du tourisme.
A ce titre, le département a la lourde tâche de développer les compétences nécessaires pour : – promouvoir et développer une culture ancrée dans les valeurs de la société malienne et de la civilisation universelle; – favoriser le développement harmonieux de la productivité et de la créativité artistique et culturelle du Mali. ; – protéger et valoriser les œuvres du patrimoine culturel. Ce qui implique le renforcement de la protection des droits d’auteurs et droits voisins et la lutte contre la piraterie. – promouvoir la destination Mali en renforçant le secteur du Tourisme et en développant des offres nouvelles.
A la lumière de ses attributions, le département en charge de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme s’est attelé à mettre en œuvre le Programme d’Action Gouvernemental, en vue de satisfaire aux attentes des secteurs à charge.
L’action culturelle, la protection du patrimoine, la protection des œuvres artistiques et littéraires, l’artisanat, le tourisme, la protection des statistiques, la vérification des structures, le transfert des compétences sont au centre des activités du Ministère de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme.
Les résultats, ici présentés par secteur d’intervention (Culture, artisanat et tourisme), n’altèrent aucunement l’impulsion donnée à l’interaction et l’interdépendance des secteurs ci-dessus cités.
Quelles sont donc les réalisations ?
REALISATIONS
Dans le domaine de la Culture
La tâche a essentiellement consisté en la poursuite des efforts de reconstruction et de réparation des atteintes physique et morale causées à ce secteur. Ainsi, avec l’appui de ses partenaires, le Mali a reconstruit treize (13) mausolées détruits à Tombouctou et Kabara. Ce projet de reconstruction a permis au Mali de documenter l’architecture qui fait la spécificité de ces sites historiques mondialement reconnus. Dans la même dynamique, plusieurs actions de protection et de conservation des manuscrits anciens ont été menées.
A cette reconstruction physique, se greffent plusieurs actions de réarmement moral, qui consistaient essentiellement à maintenir le dynamisme de la vie culturelle au service de la réconciliation nationale et du retour aux valeurs. C’est ainsi que pour le compte de l’action culturelle, le ministère s’est attelé à organiser la Rentrée Culturelle et Artisanale, à soutenir la plupart des initiatives culturelles (festivals et autres manifestations) qui ont une portée nationale et internationale. D’où l’organisation de plusieurs expositions à travers le monde, dans le cadre du projet Timbuktu Renaissance. En effet, New York et Bruxelles ont reçu l’exposition itinérante Timbuktu durant l’année écoulée et nombre de manifestations de sensibilisation de la cause de Tombouctou ont été organisées.
Il s’agissait aussi de poursuivre les efforts dans le domaine de la protection des œuvres de l’esprit. A ce jour, 114 250 œuvres piratées ont été saisies et détruites, 98 nouvelles autorisations délivrées et 730 œuvres enregistrées au titre des droits d’auteur et des droits voisins.
L’Action Culturelle se prévaut aujourd’hui de la réhabilitation du Palais de la Culture Amadou Hampâté Bâ, des actions entreprises pour la rénovation et l’extension du Centre International de Conférence de Bamako et surtout du projet de construction d’un nouveau centre de conférence pour accueillir le prochain sommet Afrique-France de 2016.
Dans le domaine de la production cinématographique, le Mali et la France ont signé une convention de partenariat en vue d’apporter une toute nouvelle dimension ambitieuse et complète quant à la politique commune culturelle cinématographique et participer à la croissance des productions et coproductions de films dont les sujets comportent un intérêt commun pour nos deux pays. En outre, cette convention ouvre le marché français aux productions maliennes en vue de développer l’économie et l’industrie du Cinéma.
Le domaine de la culture pâti d’un faible financement. C’est pour palier à cela que le département en charge de ce secteur accentue la réflexion pour la création de la banque de la culture, en vue de permettre l’accès des acteurs culturels aux crédits.
Dans le domaine de la photographie, signature de l’Accord de partenariat entre la Compagnie Nationale Royal Air Maroc et le Ministère de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme sur les Rencontres de Bamako, Biennale africaine de la photographie.
Dans le domaine de l’Artisanat et du Tourisme
Le secteur de l’artisanat et du Tourisme a souffert des affres de la guerre. Dans le cadre de la relance de ces secteurs pleins d’atouts, le Ministère a sollicité, et obtenu l’adhésion des membres du gouvernement concerné, l’obtention de mesures d’urgence en faveurs des entreprises touristiques et artisanales. Ainsi, des facilités de paiement de factures d’eau et d’électricité ainsi que des allègements fiscaux seront octroyés dans les plus brefs délais aux acteurs de ces deux secteurs.
Le développement de ces secteurs passe par la professionnalisation de ses acteurs. C’est pourquoi, en partenariat avec l’Assemblée permanente des Chambres de Métiers du Mali (APCMM), le département a mis en œuvre un programme de recensement et de mise à disposition de cartes biométriques aux artisans. Cette carte a l’avantage de faciliter la tenue des bilans statistiques mais aussi de permettre aux artisans d’avoir accès à plusieurs services dont les financements auprès des banques. A ce propos, le Programme de relance du volet crédit aux artisans de l’ex Projet de Développement de l’Artisanat (ex PDSA) a été lancé et doté d’un montant de près d’un milliard huit cent millions (1 800 l000 Fcfa). Aussi, au niveau institutionnel, le deuxième plan, d’action 2014- 2018 du Document de Politique du Développement du Secteur de l’Artisanat a été adopté.
En ce qui concerne les infrastructures, le village artisanal de Mopti a été inauguré avec les maisons des artisans de Bandiagara et Djenné. La construction des villages de Sikasso se poursuit avec un taux d’exécution de près de 90%. La Direction Nationale de l’Artisanat a été dotée d’un nouveau siège. De même, plusieurs actions sont en cours, auprès de départements concernés, en vue de doter les artisans ” Benkadi ” de la Commune III et ceux de la zone IMACY de terrain pour l’exercice de leurs métiers.
Le tourisme n’est pas en reste. En effet, la venue de la compagnie aérienne TURKISH AIRLINES ainsi que celle annoncée de EMIRATES sont des gages de relance d’un secteur qui n’a que trop souffert de la crise. Le Mali a continué à la promotion tant à l’intérieur qu’à l’étranger. Ce qui a conduit de grands groupes hôteliers a souhaité s’installer au Mali ; c’est le cas du Groupe SHERATON, du groupe ONOMO HOTELS. A cela, s’ajoutera un nouvel hôtel d’un standing international dans la zone aéroportuaire, en vue d’augmenter les capacités d’accueil de notre pays lors du prochain sommet Afrique-France et au-delà.
Dans le cadre de l’amélioration de l’environnement institutionnel, l’Office Malien du Tourisme et de l’Hôtellerie (OMATHO) a été restructuré et a donné naissance à la Direction Nationale du Tourisme et de l’Hôtellerie (DNTH) et à l’Agence de Promotion Touristique du Mali (APTM) dont l’opérationnalisation est cours. Le Conseil Supérieur du Tourisme (CST) a été créé.
PERSPECTIVES
Dans les douze mois à venir, le Ministère de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme envisage :
– l’opérationnalisation de la Direction Nationale du Tourisme et de l’Hôtellerie (DNTH), de l’Agence de Promotion Touristique du Mali (APTM) et du Conseil Supérieur du Tourisme (CST) ;
– l’organisation des concertations nationales sur la relance du Tourisme ;
– l’achèvement des travaux de construction du village artisanal de Sikasso et la pose de la première pierre du village artisanal de Kayes ;
– la réalisation du programme Timbuktu Renaissance dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord de paix. ;
– la poursuite des festivités de la célébration du Centenaire de Modibo KETA Premier Président de la République du Mali ;
– la production de films documentaires et de films de fiction ;
– l’appui/participation aux évènements culturels, artisanaux et touristiques au Mali et à l’étranger (JMT, Journées du Patrimoine, FESPACO, SIAO…);
– la poursuite et intensification de la lutte contre la piraterie des œuvres littéraires et artistiques;
– l’organisation de travaux de recherche sur les traditions culturelles au Mali ;
– l’inventaire du patrimoine culturel matériel et immatériel ;
– l’aménagement/ réhabilitation/ reconstruction des sites culturels et touristiques (poursuite des travaux de reconstruction des mausolées de Tombouctou, fléchage, etc.) ;
– la réhabilitation des infrastructures culturelles (Palais de la Culture, Centre International de Conférence de Bamako,…) ;
– l’amélioration/renforcement du cadre législatif et règlementaire (textes sur le Fonds d’aide à l’Industrie Cinématographique, sur les Négociants de Biens culturels, sur les Statuts des artistes, transposition du code de l’Artisanat de l’UEOMA,…) ;
– la poursuite des missions de vérification ainsi que suivi de la mise en œuvre des recommandations issues des missions de contrôle et le renforcement de capacité ;
– l’élaboration du plan triennal du transfert des compétences des secteurs de l’Artisanat et du Tourisme d’une part, et d’un décret du transfert des compétences du secteur de la Culture d’autre part ;
– la production des statistiques;
– la formation des acteurs des secteurs de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme ;
– la poursuite de la préparation du Sommet Afrique- France.
Depuis sa nomination à la tête de ce département, Rama ne dort plus. Elle ambitionne de sa rénovation et surtout que les actions et les posés qui se posent soient désormais pérennes. Qui dit mieux!
Ousmane COULIBALY
il faut dire mme rama ne fait rien pour la bonne marche de l culture et du tourisme. cest toujours des projet. ellle est en train de faire des surfacturations sur les quelques travaux menees. cest ses proches et son agence de communication qui profitent. les travaux du palais culture, allez y savoir ce kel a fait dans lachat des rideaux avec le directeur diaby.
dans tout sa et le secteur du livre?
Que vous êtes cynique et irresponsable. Le palais est un EPA, vous savez ce que ça veut dire? En plus des rideaux ? C’est sur ça qu’elle ira prendre une commission? Pourquoi certains maliens sont comme ça? Si on doit organiser un concours d’égoïsme et de méchanceté à travers le monde certains maliens arriveront premiers. Que certains sont menteurs et méchants!!! Vous gagnez quoi dans tout ça?
il faut dire mme rama ne fait rien pour la bonne marche de l culture et du tourisme. cest toujours des projet. ellle est en train de faire des surfacturations sur les quelques travaux menees. cest ses proches et son agence de communication qui profitent. les travaux du palais culture, allez y savoir ce kel a fait dans lachat des rideaux avec le directeur diaby.
Elle a discretement fidelement Att…Mabo a tout fait pour cette femme et la suite on la connait
Kabako, il faut donc admettre qu’elle est sans moral
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 ,
Kabako craches le morceau donc, Je m’en fout de qui est qui mais Je milites et agis pour la verité et les faits. Elle et mabo je les connais bien même plus que tu ne peux penser 😉 😆 .
😉 . Donc racontez pas des conneries et bobards juste parce que parce que J’ai entendu ceux ci ou ceux la. Seulement je me mets au dessus et très au dessus de vos stupidites et conneries. Ce n’est pas la paine du tout de perdre mon temps avec des gens et d’autres qui racontent des conneries, des injures et insultes.
Cas même je le dis et le rappelerai a linfini sil le faut ATT devrait partir. Et AOK, ATT ET IBK sont tous de même père et de la même mère. Ces vampires sans egal Nous, le peuple, On en avait pas besoin si seulement On le savait raison pour laquelle le Mali aura de la difficulté a s’en sortir avec ces requins, crocodiles, coyotes, rapaces et vampires et leurs clans.
Oui vous en êtes capable soeur si et seulement vous ne vous pas drainer par vos politi-chiens requins, crocodiles, coyotes, rapaces et vampires. Le jeux politique malien detruit les jeunes qui rentrent dans leur danse de tous les temps. Vous en savez et connaissez bien 😉 .
Yes you can do it. Oui vous en êtes capable.
😉 😉 😉 .
Salut le Premier Fils, au moins toi ton post est responsable!!!! Quand je vois des individus qui créent des comptes pour juste insulter sur le net, ça fait vomir. Les voyous du net ont carrément fait partir tous ceux qui laissaient des bonnes analystes sur ce forum. La mauvaise éducation s’exporte même sur le forum pas besoin de savoir qui est qui, même dans les propos on les reconnait 👿 👿 👿
Merci bien koudis,
C’est dommage des fois que ces gens s’acharnent sur x,y ou Z sans même avoir aucune idée de la chose. C’est très dommage pour le Nous.
Certes je critiques presque tout parce que Je n’ai pas de partie prise et simplement apolitique mais en même temps des fois je rends a Cesar ce qui appartient a Cesar ou plus a Cleopatre celle qui la revient aussi
Tu vois nonnnn 😆 😉 .
voici la vérité sur cette pétasse
N’diaye Ramatoulaye Diallo : Capricieuse et incapable, elle tue trois secteurs à la foisseptembre 13, 2015Ibrahima DIAPolitique,SliderPas commentairesTOURISME MENACEGrand-père avait donc raison : « on ne saurait faire boire un âne qui n’a pas soif ». Voilà un pays situé au centre de l’Afrique de l’ouest, exceptionnellement doté par la nature d’un riche patrimoineculturel et touristique, mais souffrant d’un criard manque de vision de la part de ceux chargés de le divulguer et de le monnayer.Combien de sites touristiques compte le Mali ? Combien d’artistes dont l’œuvre faisait référence hier, maintiennent aujourd’hui un silence de cimetière ? Le Mali, ses sites touristiques, et tout son riche patrimoine culturel ont-ils, en un laps detemps perdu la valeur ? En tout cas, le constat est amer.Cependant, si les recettes provenant dusecteur touristique sont passées de 64 milliards FCFA en 2001 pour 110 milliards FCFA, de 2007 à 2013, elles n’ont que doublé malgré l’occupation d’un tiers du territoire. Par contre, aujourd’hui, par la faute d’une politique dépourvue de vision, les recettes de 2014 et 2015 sont si signifiantes que le département de tutelle s’évite de rendrepublics les chiffres. Il s’agit pourtant d’un secteur qui occupait la troisième place sur le plan économique du pays.D’ailleurs, le secteur du tourisme ne concerne pas seulement les régions en insécurité dont les recettes ne constituent qu’une infime partie des recettes recouvrables. Il y aussi le tourisme d’affaires qui se mène plus généralement à Bamako. Mieux, bien d’autres sites comme le pays mandingue, la boucle du Baoulé, le Gourma et certains sites dans la régionde Mopti demeurent vendables.Le secteur se meurt, et au lieu de mettre des organes compétents dans les conditions, on les a laissés se détériorer. Créé en 2009 pour approprier l’activité touristique d’abord par les nationaux et organiser les acteurs publics pour la commercialisation de l’offre touristique et de promouvoir les circuits inter-Etatspar la suite, le salon International du tourisme (sitour) de Bamako est aux cendres par absence d’initiatives.PARTIMOINE CULTUREL EN PERILCertes, la piraterie est vieille, mais les artistes eux, ont mené une lutte de longue haleine dans le but de récolter les fruits de leurs œuvres. Et le fait que l’actuelle ministre Ramatoulaye Diallo leur ait promis la récolte en leur offrant sécheresse était prévisible, se savaient-ils en de mauvaises mains.Et que la musique malienne ne rapporterien aux musiciens, compositeurs et producteurs ne concerne en rien madame le ministre dont les affaires personnelles marchent bien.De même, attendue pour une meilleure promotion de la culture et de l’artisanat afin de vendre le Mali à l’étranger et auxétrangers, la ministre Rama a préféré rester cloitrée dans son bureau à rougirses lèvres et à se mirer, plutôt que d’aller à la rencontre de étrangers en visite à Ségou au Festival sur le Niger, au Festival Kayes-Médine Tamba et aux Soirées de la caravane dans les 3è,4è et 5è régions.Plus de biennales au cours desquelles artistes et autres jeunes talentueux avaient l’occasion d’exprimer leurs talents pour s’en assurer la survie. AvecRama, la rentrée culturelle et les activités classiques sont désormais du passé.Faisant partie d’un système pourri de commissions et de rétro commission, Rama joue sur tous les tableaux pour se faire aimer tel qu’on la savait bien avant ce régime.Devenir ministre à tout prix pour se faire du sou était son crédo. Vénale, la ministre qui se sait manipulable par le sou, croit pouvoir tout régler avec des billets verts.Pour confirmer sa main mise sur le département qu’elle occupe, Rama propose à l’ancien Directeur du Bureau malien des droits d’auteurs le poste du secrétariat générale du ministère. Alors que ce dernier est peu doué en la matière et n’y est que pour figurer, l’objectif de le placer à ce poste n’est guidé que par la volonté de l’écarter du bureau malien du droit d’auteur, un poste juteux auquel la ministre placera sa personne.A son tour relevée du secrétariat général du ministère dès l’arrivée de Rama, Mme Haïdara se verra nommée à la Direction nationale de l’action culturelle. Alors que madame Haïdara en partant, tentait de se désigner un intérimaire, elle verra très vite la ministre lui rabattre le caquet.Curieusement, celui dont madame Haïdara défendait le dossier pour lui en assurer l’intérim au secrétariat général, est sans préavis, nommé par Ramatoulye Diallo à la direction de la pyramide du souvenir. Pis, c’est du communiqué conseil des ministres que l’ex Directrice de la pyramide apprendrason limogeage sans préavis.A l’office malienne de l’hôtellerie et du tourisme aussi, Rama ne manquera de faire son jeu. Alors géré par une femme, cette dernière est très rapidement renvoyée de ce poste qui, selon ses bourreaux, sera ouvert à un avis d’appel à candidatures. Elle se verra aussi nommée comme conseillère technique de Rama.DES ARTISANS ASSERVIS ?Plus de touristes, les objets de l’artisanat malien, alors désirés ailleurs, pourrissent même dans les ateliers de fabrication sous l’effet de la chaleur et de l’humidité. « Ce n’est en tout cas pascomme avant et on a l’intention que le Mali n’est plus envié hors de nos frontières», fulmine un artisan dans l’anonymat.Si avec un tapage, la ministre a su fairedanser les artisans en leur promettant une pluie d’argent crédit chez Coris Bank, une banque avec laquelle elle a des accointances notoires, ce fut un court rêve pour nos artisans qui se voient aujourd’hui roulés dans la farine.« Nos noms ont été utilisés pour faciliter l’accès aux prêts bancaires à une minorité riche, se lamente un artisan de Bamako. On nous a fait savoir que nous pouvions prendre de l’argent à crédit au niveau de Coris Bank, mais jusque-là nous n’avons rien vu ».Au finish, l’on se pose la question à savoir qui est derrière cette convention signée par le ministre de l’artisanat, au nom des artisans mais qui financerait tout sauf les vrais artisans.Il faut noter que la convention devant servir à prêter de l’argent aux Artisans du Mali, a été signée en mars dernier. Par la suite, quatre-vingt et neuf ateliers d’artisans ont fait parvenir leursdossiers au niveau de Coris Bank. Et jusqu’ici, c’est le mystère.Dieumerci Cyril AkpistonSource:Lesoft
Par cet article, je suis surpris et écœuré: depuis quand fait-on la promotion d’un ministre? Ce ministre est-il à l’initiation et à l’exécution de tous ceux que vous lui attribuez? Le ministère n’est pas pas une continuité? Et d’ailleurs l’étique professionnelle et le respect vis-à-vis des lecteurs doivent vous amener à faire des recoupements. Alors sachez que voue avez mis à nu son incapacité à diriger ces départements, qui n’ont jamais connu une telle misère dans l’exécution de ses taches gouvernementales. Certes le poste est politique, mais de grâce éloignez de nous cette gestion folklorique. Vivement un changement pour un réveil de notre immense savoir-faire nationaL
Ramatoulaye: SOUNGROUBADEN
Je vous demande d’etre indulgent envers Mme NDiaye.Elle fait de son mieux pour promouvoir son département.Soyez moins agressif à son endroit.Dites lui Dites à cette dame si elle a réellement travaillé qu’elle anime une rencontre avec la presse pour défendre son BILAN. Promotion Canapé en MARCHE…….N’est-ce pas TOUAREG ?
Voilà le type de journalistes payé pour flatter. Tu n’as jamais vu tout ce que racontes.
Cette fille à L’allaitement Sy n’est que sa mère. Cette dernière fut la copine à Moussa Traore et chose qui lui a permis d’être ministre. Et comme le dit l’adage : telle mère telle fille, on voit que Rama est aussi celle qui est susceptible d’être la copine du pdt IBK. C’EST L’ESPÈCE D’UNE SOCIÉTÉ SANS VERGOGNE
Un internaute l’appelait comme suit : RAMA LA SUCEUSE FILLE DE SUCEUSE
Il faut donc vite avertir la première dame sinon cette opportuniste va tuer le vieux dèh
Combien t’a-t-on payé pour écrire ça ?
Et a littérature ? Elle ne fait certainement pas fait partie de la culture
Comments are closed.