Longtemps décriée pour sa mollesse dans la gestion du département ministériel de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme, Mme N’Diaye Ramatoulaye Diallo, incapable à gérer ce portefeuille à elle confié, sort de sa léthargie. La malhabile va au mieux vaut tard que jamais, de par ses sorties sur certaines régions, telles Ségou et Mopti.
Les critiques corrigent aussi mieux pour ne pas dire « les conséquences corrigent mieux que les conseils », selon l’adage populaire. Quelques mois après sa nomination, N’Diaye Ramatoulaye Diallo est sous les feux de critiques du fait de sa gestion capricieuse tuant les trois secteurs qu’elle détient. Le patrimoine culturel est en péril, l’artisanat mis en branle et le tourisme à l’agonie.
Mme Diallo vit entre un trident de feux : par-ci son manque de vision et d’innovation assassine le busness touristique avec conséquences des milliards de perte ; par-là la piraterie qui gangrène le monde culturel n’a entamé guère le moral du ministre qui préfère mieux même de tuer « le poussin dans l’œuf » en prenant des mesures draconiennes contre les artistes. D’autre part encore, ce sont les artisans qui ont ramassé les pots cassés avec la convention flatteuse de prêt que le ministre a signée au nom des artisans avec Coris Bank. Une situation de léthargie ou de préméditation entretenue dans laquelle s’est enveloppée l’incapable pour respectivement nuire au département et se faire les poches.
Il a fallu des mois, voire des années pour que N’Diaye Ramatoulaye Diallo se remette en question et comprendre qu’elle n’est pas ministre des bureaux vitrés de Bamako, mais pour sillonner les régions afin de s’approprier des difficultés auxquelles sont confrontés les secteurs de sont département.
Comme mieux vaut tard que jamais, Rama, se libérant des dieux soporifiques, commence à observer la lueur de jour. Ce qui lui a permis d’effectuer une tournée d’échange d’un quatrain de jours, du 4 au 8 février, à Ségou et à Mopti, avec les acteurs des trois secteurs sur les obstacles à leurs épanouissements. Une manière pour elle de se tirer des foudres de la critique dont elle est souvent victime. Que cela ne soit pas une flatterie de la capricieuse.
Cyrille ADOHOUN
Il y a les c–ons de la pire espèce et les espèces de c–ons. Et ça c’est du journalisme ça ? Si ce n’est de la pure méchanceté quel est le sens d’un tel torchon ? Quels ont été les résultats de son voyage à l’intérieur du pays, ce sont ces réponses qu’un bon journaliste doit traiter. Mais non, une succession de mots négatifs avec un français lamentable juste pour remplir un papier et insulter les gens. Espèce de gros sa—lopard de journaliste, qui passe son temps à y dégoiser sa marchandise infâme dans les médias. Franchement, si on devait enfermer tous les journalistes c–ons de ce pays dans des placards, il ne resterait pas grand monde pour fermer les portes. 👿 👿 👿
Comments are closed.