Les news épicés : Rupture d’alcool à Ségou

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festival niger
festival Niger

Le festival sur le Niger demeure un grand rendez-vous de rencontre et de divertissement. Qui dit lieu de divertissement, dit aussi lieu de défoulement. C’est pourquoi quelqu’un disait : « à chacun donc son défoulement… ».

 

En tout cas, lors de cette 10ème édition du festival sur le Niger, tout portait à croire que le meilleur lieu de divertissement était dans les maquis, les bars, les boites de nuit ou encore les points de vente d’alcool aménagés pour la circonstance. Tellement la consommation d’alcool a coulé à flot, qu’au lendemain de la clôture, il y avait rupture de stock de boisson alcoolisée dans la ville de Ségou. Imaginons une ville qui reçoit en 4 jours, plus de 20 000 personnes, hé bien cela peut s’expliquer. En toute vérité, pour ceux qui aimeraient voir la face cachée de nos jeunes sœurs et frères, il suffit de faire un petit tour dans les coins chauds de Ségou en cette période, pour se rendre compte du degré de consommation d’alcool par ceux-ci.  En tout cas, si l’abus dans toute chose tue, les promoteurs de bars se réjouissent plutôt d’avoir fait de bonnes affaires

 

 

La flambée des prix

Un événement d’une aussi grande envergure tel que le festival sur le Niger est l’occasion pour la population locale de faire de bonnes affaires. Tout le monde fait de son mieux pour ne pas sortir de l’événement les mains vides. Les petits commerçants (vendeuses de brochettes, d’arachides et autres produits), veulent se remplir les poches. Le taxi dont le prix variait entre 300 et 500 FCFA, passe sans transition à 1000 FCFA. Les prix des maisons à louer, surtout des villas, ont pris l’ascenseur. Dans ce domaine, signalons qu’il y a des jeunes qui réservent des chambres et une fois arrivés à Ségou, les cèdent en essayant de gagner le double des prix. Ce qui favorise la spéculation.  Plusieurs jeunes ont pris goût à ce jeu et vont jusqu’à réserver l’ensemble des chambres d’un hôtel, pour ensuite spéculer et augmenter les prix. Chose déplorable et dont les organisateurs du festival avec l’Omatho devraient bannir.

 

Commerce du sexe en abondance

Le festival sur le Niger, au-delà de son caractère instructif, culturel et touristique, est en passe de devenir un lieu de commerce de sexe par excellence. L’occasion est très bonne pour les professionnelles de sexe, de faire de bonnes affaires. Dès le jeudi soir, un impressionnant contingent de jeunes filles venant de tous les horizons pour l’évènement ont débarqué dans la ville de Ségou, avec pour seule mission, gagner des marchés juteux. On retrouve plusieurs catégories de filles de joie. D’aucunes démarchent les postes d’hôtesse, surtout les positions où elles ont plus de visibilité. Cela leur facilite la tâche. Cette catégorie de chercheuses de marché travaille en collaboration avec les membres de commission en charge de l’hôtellerie. Soit ce sont leurs copines, soit ils ont un pourcentage sur les marchés gagnés. Celles qui ne sont pas dans cette catégorie, débarquent simplement dans les hôtels et traquent les clients sur place. La soirée du samedi décrétée « Samedi national » est le point final. Les rues où se trouvaient des boîtes de nuit «Mobaso », « Cinquantenaire », ou encore les bistrots et les bars comme « Sikoro », « Mama Africa », «Feu Vert », etc., ont refusé du monde. En tout cas, chacun comme on le dit « s’enjaille » comme il peut. Ce ne sont pas les personnalités présentes sur les lieux qui s’affichaient avec des filles pouvant être leurs enfants, qui diront le contraire ! En vérité, même la pédophilie était passée par là.

Rassemblés par clarisse njikam

 

Saint Valentin : Le Mali à l’heure de la fête des amoureux

Le Mali, à l’instar de la communauté internationale, célèbre ce vendredi 14 février, la fête de la Saint Valentin, ou encore, la fête des amoureux. Dans les rues de Bamako, les préparatifs vont bon train. Les décorations en forme de cœurs pullulent partout, car les amoureux devront ranimer ou se déclarer leur flamme, en s’offrant mutuellement des cadeaux ou en allant dîner en tête-à-tête. Cette fête, qui a pris racine en Europe, a fini par gagner le continent.

 

La Saint-Valentin est un phénomène que l’on remarque surtout chez les jeunes citadins d’une manière générale. La fête est aussi présente dans les milieux instruits et cultivés. Elle est surtout célébrée chez les jeunes de 18-35 ans. Cette tranche d’âge en réalité fête cette journée juste pour imiter les Occidentaux. Par contre, pour les 35-45 ans, c’est une occasion de ressouder leur union. Nous avons fait un tour au grand marché de Bamako. Les amoureux se bousculent devant les boutiques pour acheter des fleurs, des cadeaux afin de faire plaisir à leur bien-aimée. D’aucuns préparent des surprises en réservant dans des restaurants chics de la place. C’est l’occasion pour les promoteurs de restaurants et d’hôtels de faire des prix promotionnels afin d’attirer le plus grand nombre d’amoureux. Ils en profitent également pour proposer des menus « spécial Saint-Valentin ». Ce jour-là, on verra des couples marchés bras dessus bras dessous, n’hésitant pas à montrer leur affection par des gestes tendres. Dans les lycées, les jeunes aussi s’y mettent et cherchent par tous les moyens à économiser pour offrir des cadeaux à leurs petits copains ou petites copines.

Clarisse Njikam.

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8 COMMENTAIRES

  1. Je lance un appel aux plus hautes autorités du Mali,à la direction maison de la presse de faire un tri parmi les journalistes,n’ importe qui ne doit pas pouvoir écrire car cette profession est noble ,on doit bonnir les opportinustes ,les menteurs,maîtres chanteurs, escros et espions de leur rang surtout les ingrats car un pays qui t’ offre l’ hospitalité toute ta vie tu dois respectée.Clarisse doit être expulsée du Mali pour toujours pour l’ honneur du Mali car trop nuisible. Tant que ce domaine n’ est pas assini notre population et le reste du monde ne sauront ce qui se passe réelement ce qui se passe ici ,chez nous.Pauvre Maliba !!!!!!!!!!

  2. 1-Festival ou pas Festival le plus vieux métier du monde a des adeptes ainsi que l’alcool et c’ est pas vous qui me direz le contraire

    2- la recherche du profit par les jeunes d’ une ville économiquement morte pendant 2 ans est comprehensible et gérable

    3- au lieu de chercher à montrer la face cachée des gens pourquoi vous ne laissez pas tomber votre masque, pour une fois soyez honnête et respectueux envers les gens qui vous lisent

    4- ne vous servez pas de votre profession pour faire chanter les gens car on sait que votre arme c’ est de seduire les hommes pour atteidre vos objectifs et faire chanter les gens pour avoir de l’ argent donc gardez vos venins s’ il plaît à Dieu les maliens ne vous laisseront pas gaté le nom de leur meiulleur Festival

    5- Je vous connais dépuis le cameroun,pourquoi vous n’ expliquez pas votre parcours et comment avez pu vous installer à Bamako ? de quoi vivez vous ne me dites pas que c’ est votre salaire de journaliste étrangère..

  3. Cet article est malhonnête. dites la vérité aux gens que le festival sur le Niger à permis de relancer l économie malienne , valoriser notre culture et redorer l’image du mali..
    Qd est ce que vs aller respecter votre déontologie ?

  4. Non….comme ça les organisateurs du Festival de Ségou n’ ont pas donné assez de Beer à leur journaliste partenaire ???? c’est grave ça mais si tu n’ es pas satisfaite de ton séjour (pris en charge totae par le Festival) il y a une bonne manière de règler cela mais pas dans les colones de ton journal ou de ton site ( maliweb). Dans le partenariat cela ne se fais pas . Tu n’ es pas professionnelle et ferais mieux de te former si tu veux rester journaliste. A bon entendeur salut

  5. Mais Clarisse à vous lire j’ ai l’ impression que vous avez effectuez le voyage sur Ségou juste pour raconter des bobards aux internautes et gâté le nom des organisateurs du Festivals. votre ingratitude est sans parail,vous venez a ségou dès que qu’ il y a 1 évènement ( cercle du Festival sur le Niger),vous faites tout pour faire votre m’ as tu vus,on vous voit partout comme si vous êtes réellement de coeur avec eux dans le developpement de ségou.Cet évènement vous a trop aider et d’ année en année vous vendez votre image pendant le festival et vous harceler les artistes et les invités pour vos interviews ou je ne sais quoi,si les organisateurs connaissaient votre vrai visage d’ opportuniste assoiffée ils se méfieraient de vous.

  6. Le journaliste dit vrai et on voit que ce professionnel ne se vend pas. La description est minutieuse. Les membres de commission d’organisation sont les plus grands obsédés sexuels. Les animateurs de la scène de musique étaient tous accompagnés par des filles. Des hauts cadres de l’administration et des ONG internationales ont fait la fête dans l’alcool et le sexe. Bien sûr, les homosexuels étaient également dans la fête, le recrutement était fructueux. Comme les blanches ne sont pas venus, nos soeurs étaient convoitées

  7. 😉 😉 😉 😉 c’est pas seulement le 14 février,à la fete des toutereaux,ou des amoureux ,qu’ont doit faire bras dessous et dessus,car tous les jours de l’année ils faut déclaré,son Amour,bref, 😆 😆

  8. JE VEUX SAVOIR QUI EST LE ROI BACCHUS DE SEGOU POUR QU’IL PUISSE AVOIR RUPTURE DE STOCK.
    ON EST DANS UN PAYS A 98% MUSULMAN JE NE COMPRENDS PAS AIDEZ MOI A SAVOIR QUI A BU TOUT MON TCHIMI TCHAMA.
    JE VAIS ATTRAPER MOLOBALY IL VA TOUT ME DIRE MEME SI C’EST SOURAKA OU LE CHERIFOU

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